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 N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo)

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N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) Vide
Message(#) Sujet: N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) EmptyDim 14 Nov 2010 - 18:51

N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) 308y4910 N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) Spn123
Do you want to play a game?

@ DragonDraws ; shiya

Une paire de chaussures qui valse à l’autre bout de la pièce, une veste jeté sur le canapé, c’état le signe que Max Blackross venait de rentrer chez lui. Il n’était pas connu pour être quelqu’un de soigneux et encore moins maniaque. Il se dirigea vers le frigo alors qu’il entendait sa sœur descendre les escaliers. « Max ? » Avec sa bière dans la main il pivota pour faire face à sa sœur, sur la dernière marche. Il resta figé quelque instant sur l’image d’Elina, elle était magnifique, un peu trop justement. Elle portait une sublime robe blanche, révélant quelque peu ses sous-vêtements, sans tomber dans la vulgarité pour autant. « Bon d’accord, tu sors, tu m’appelles au moindre problème ? » Un sublime sourire illumina le visage de la jeune femme, elle déposa un tendre baiser sur la joue de son frangin. « Comme toujours ! Toi tu fais quoi ce soir ? » Un sourire en coin se dessina sur le visage de Max, à l’instant où il avait vu sa sœur, il avait su qu’il ne passerait pas la soirée seul. Il n’en avait pas envie et il savait aussi avec qui il allait passer sa soirée, quelqu’un qui ne pourrait absolument pas lui refusait. Sa sœur admira son sourire avant de pousser un soupir. « J’ai compris, je ne rentre pas trop tôt. » Un baiser sur son front avant de s’éclipser sous la douche après avoir terminer sa bière d’une traite. Elle le connaissait trop bien. Pourtant, la jeune femme ignorait que son grand-frère allait fréquenter Cléo ce soir. Dans le fond, même si elle l’apprenait, ça ne changerait pas grand-chose, ce qu’elle ignorait c’était le comportement de son frère avec la jeune femme.

En réalité, Max savait que Cléo ne lui refuserait pas sa présence puisque Monsieur jouait les mettre chanteur. N’allait pas croire que la jeune femme était soumise au point de lui obéir sans broncher, loin de là. Les deux jeunes gens avaient des rapports violents et très honnêtement, c’était ce qui plaisait à Max, une fille qui accepte sans broncher, c’est bien une fois mais, c’est loin d’être amusant. Finalement, Max en plus d’être un manipulateur doublé d’un salaud il était peut-être un peu maso sur les bords.

Installait sur son canapé, il prit son portable et envoya un message à la jeune brunette. Loin d’un message affectueux, elle allait sûrement être énervée rien qu’en voyant son nom s’afficher sur le portable alors en lisant le contenu, elle allait très certainement être hors d’elle. Il lui avait dit qu’il avait des besoins à comblés et qui se elle voulait que son secret reste un secret, la maison n°8001 sur apple road l’attendait.

Le message venait de partir, il lui laissait vingt minutes maximum avant de lui envoyé un second message si jamais elle résistait, bien sûr la jeune femme devait se douter qu’il était capable de débarquer chez elle pour obtenir ce qu’il souhaitait, de toute façon avec lui rien ne devait vraiment l’étonner. Le pire dans tout cela, ce qu’il prenait un plaisir malsain à une telle situation.

En attendant une réponse, de la « douce » Cléo, le jeune homme se lambinait tranquillement dans son canapé comme s’il n’était pas en train de jouer un jeu sadique avec une brunette qui ne méritait pas ça. Il fallait croire qu’il n’avait pas vraiment de conscience, pour lui c’était un jeu très amusant, très plaisant.
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Message(#) Sujet: Re: N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) EmptyJeu 18 Nov 2010 - 10:07



Do you want

to play a game ?.


    MAX BLACKROSS & CLEO OFERSEN

    N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) Vyqvr7 N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) 15ebosw N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) 29nwlsn
    @ Dragon claws ; Bedshaped





Cléo avait passée la journée enfermée chez elle, refusant de sortir. Elle n'avait pas le moral, comme souvent d'ailleurs, mais là encore plus. Et le problème, c'était que Cléo ne pouvait rien faire de ce que font les filles en règle générale quand elles ne vont pas bien. Première solution : virée shoping. Oui d'accord, mais Cléo n'avait pas un rond. Tout son argent passait dans sa nourriture, les charges, l'électricité etc. Elle tentait de mettre de côté tout de même pour se payer des choses qui lui feraient plaisir, mais ce n'était pas tous les jours. Deuxième solution : se retrouver toutes chez elle et manger des glaces tout en se faisant des masques et pestant contre les garçons. Oui mais voilà, Cléo n'avait pas beaucoup d'amies et ses problèmes dépassaient bien ceux des peines de cœur. Et troisième solution : se faire belle et sortir dans les bars pour draguer. Oui mais voilà, le soir Cléo travail et de toute façon si elle pouvait échapper à son boulot pour une nuit ce ne serait certainement pas pour aller voir des hommes. Donc, Cléo était plus ou moins coincée chez elle à pleurnicher devant la télé, à manger tout ce qui lui passait sous la main et à attendre que ce soit l'heure d'aller "bosser". Et les heures passaient bien trop vite d'ailleurs. Elle n'avait pas envie d'y aller, comme à chaque fois.

En début de soirée elle monta dans la salle-de-bain afin de se préparer. Après une longue douche elle passa au maquillage. Oui c'était toujours long le maquillage pour elle. Car elle devait en avoir de façon voyante sans tomber dans la vulgarité pour autant. Ce qu'elle faisait en règle générale, c'était se mettre du crayon ainsi que de l'eye-liner pour bien dessiner le contour de ses yeux, ainsi que du mascara et pour le far à paupière tout dépendant de comment elle allait s'habiller. Ce soir elle opta pour une petite robe dorée à bustier. Donc, du doré sur les yeux. Un peu de poudre, du blush et c'était bon. Elle laissa ses cheveux détachés, se les bouclant légèrement. Évidemment, Cléo ne pouvait pas sortir dans la rue ainsi. Vous avez déjà vu une femme de ménage porter ce genre de tenue ? Pas franchement non. Alors, comme toujours, elle enfila un bas de jogging très large afin de ne pas être gênée par le bas de la robe et en haut un gros pull de sport également. Des baskets aux pieds, et un pseudo sac de sport contenant ses chaussures à talons ainsi que ses accessoires. Elle fourra ses clés et son porte-feuille dedans et sortit de chez elle. En fermant sa porte, elle remarqua qu'elle avait reçu un nouveau message. Elle fronça les sourcils et regarda. Quand elle vit le nom, Cléo ferma les yeux et serra les dents. Elle sentit une once de colère monter en elle. Bon sang pas lui !! Max Blackross... Cléo avait horreur de cet homme. Depuis qu'il avait découvert son métier il l'a faisait chanter. Elle devait "travailler" pour lui gratuitement ou sinon tout le quartier apprendrait la vérité. Et ça, c'était bien la dernière chose qu'elle voulait. Pourquoi fallait-il toujours qu'elle se mette dans des situations pas possible ? Elle ouvrit le message et chaque mot qui était écrit l'écœurait. Non, non et non ! Elle ne voulait pas y aller. Hors d'elle, elle répondit : VA TE FAIRE FOUTRE ! Oui, sauf qu'elle n'avait pas franchement le choix. Elle s'assit quelques secondes sur ses marches, devant sa porte. Elle plaça son visage entre ses mains, désespérée. Ce mec était un tordu, un vicieux. En tant normal il aurait pu lui plaire, après tout, il était bel homme ! Mais ce mec n'était vraiment pas net. A chaque fois qu'ils se voyaient, ça tournait mal. Cléo s'énervait, résistait et monsieur devenait violent. Et le pire, c'était qu'il aimait ça ce fou. Elle finit par se lever, contrainte d'y aller. Mais il allait l'entendre ce salaud !

Elle partit donc dans la direction opposée à celle du Club de Pride. Elle espérait également qu'il ne soit pas là ce soir, ainsi il ne remarquerait pas son absence. Sinon, elle était mal. Il lui fallut environs dix minutes pour arriver à destination. Arrivée devant la porte, Cléo prit une grande inspiration. La soirée allait être longue et très... mouvementée. Elle ne prit même pas la peine de frapper, elle enclencha la poignée et ouvrit violemment la porte, la repoussant fermement derrière elle, la faisant claquer bruyamment. Elle ne tarda pas à repérer Max qui était tranquillement assit dans son putain de canapé. Furieuse, Cléo s'approcha de lui à grand pas et lui balança son sac de sport dessus. Joignant le geste à la parole elle déclara : « Tu peux pas te trouver quelqu'un d'autre à emmerder Blackross ?! J'suis censée aller au travail à cette heure. » Bon, au vu de sa tenue, il était certain que ça ne crevait pas les yeux. Elle se mit à faire les cents pas dans son salon, toujours aussi énervée. Gesticulant dans tous les sens, elle continua : « T'es vraiment le pire des emmerdeurs ! J'en ai marre de toi et de tes délires de pervers. J'ai pas du tout l'intention de te satisfaire ce soir, tu peux toujours courir ! » Elle s'arrêta un instant, plantant son regard dans le sien. C'est vrai qu'il était bel homme quand même... Oh mais qu'importe ! Il lui tapait sur le système et elle n'avait pas l'intention de se laisser faire ce soir. Comme toujours d'ailleurs, mais comme toujours il aurait le dessus...

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Message(#) Sujet: Re: N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) EmptySam 20 Nov 2010 - 23:42

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Do you want to play a game?

@ DragonDraws ; shiya

Assis dans son canapé, Max avait pris une deuxième bière, attendant patiemment la demoiselle Cléo avec son sourire malsain sur les lèvres. Son portable vibra dans la poche de son jean, il le saisit dans la seconde, un réflexe. Une fois le portable dans sa main, il a afficha le message, Cléo, évidemment. Un magnifique sourire s'afficha « VA TE FAIRE FOUTRE ! » La poésie de Cléo était magnifique et les mots qu'elle employait faisaient tourner la tête de Max. Bien évidemment, Max était largement satisfait de la réponse de la demoiselle, comme le serait tout homme sadique qui se respecte. La demoiselle pouvait bien être énerver, elle n'avait pas vraiment le choix et sa fureur ni changerait rien. Savourant une longue gorgée de bière, Max pensait à Cléo et aux plaisirs violents qu'elle lui offrait. Il était réellement fou. Il n'y avait probablement pas une personne sur cette Terre pour comprendre pourquoi Max avait ce besoin de violence, d'être violent, de recevoir de la violence, de faire mal, qu'on lui fasse du mal, quelque part, c'était vital. Cette situation -le besoin de violence, pas la situation avec Cléo- durait depuis bien trop longtemps pour changer quoique ce soir maintenant.

Et c'est dans un fracas remarquable que Cléo fit sa magnifique entrée dans la demeure des Blackross. Si la voisine voulait des ragots, elle allait être servi si elle était sa fenêtre à cet instant. Veille morue d'Ocean Grove qui s'ennuie au point d'attendre l'événement de la semaine chez le voisin. Max avait aussitôt posé sa bière sans pour autant tourner son regard vers Cléo immédiatement. Il resta assis, sans la regarder avec son petit sourire vicieux, un salaud, voilà ce qu'il était. En réalité, il ne la regarda qu'au moment où un sac de sport lui tomba dessus, sac qu'il jeta à l'autre bout de la pièce. Toujours avec son sourire, il la regarda, ce qu'elle pouvait être belle quand elle était énervée ! Un charme fou, cette fille-là. « Tu peux pas te trouver quelqu'un d'autre à emmerder Blackross ?! J'suis censée aller au travail à cette heure. » Trouver quelqu'un d'autre ? Pourquoi faire, c'était bien plus appréciable en sa compagnie, il ne se voyait pas jouer à ce jeu avec personne d'autre. Il aimait l'emmerder. Quant à son travail, il s'en moquait à vrai dire, après tout, elle pourrait bien faire des supplémentaire, au moins elle était payé! Bon d'accord c'était plus que bas et très méchant... mais, il s'en moquait, il voulait Cléo ce soir, alors son boulot, elle allait le pratiquer avec lui, d'une tout autre façon et sans être payé, forcément, là c'était encore moins agréable, pour elle. Puis, Max, toujours sans le moindre mot, toujours son cul sur le canapé, toujours avec son putain de sourire, regarda la tenue de la jolie brune. Joli jogging de femme au foyer désespérée. Peu flatteur. Pourquoi un tel chiffon sur une telle beauté, c'était comme faire de la symphonie de Mozart un son électro, une horreur, un crime contre l'humanité ! Il la regarda, de haut en bas, de bas en haut alors que cette dernière semblait tout à fait hors d'elle dans le salon. « T'es vraiment le pire des emmerdeurs ! J'en ai marre de toi et de tes délires de pervers. J'ai pas du tout l'intention de te satisfaire ce soir, tu peux toujours courir ! » Le pire ? Que de compliments ! Non bien sûr Cléo n'avait pas l'attention de se laisser faire, loin de là, ça serait trop simple sinon, si peu plaisant mais, la belle n'avait guère le choix. C'est seulement quand elle planta ses prunelles dans les siennes que Max daigna à lever ses fesses du canapé.

Il s'approcha lentement d'elle, attrapant son bras au passage, il se posta juste derrière elle, son souffle devait se sentir au niveau du cou de la demoiselle. Cette situation devait clairement être horripilante et certainement deux fois plus quand le jeune homme murmura à l'oreille de sa « victime ». « quelle honte de cacher un si beau corps derrière une telle immonde barrière de textile, je crois qu'il va falloir remédier à ça. » Il laissa sa main -celle qui ne tenait pas fermement le bras de la jeune femme- caresser les cheveux de Cléo. Il ne répondait en rien à ses paroles, il l'énervait davantage, bientôt le plaisir serait violent, il le savait, il était sur ses gardes, à chaque instant, veillant l'instant où la demoiselle tenterait tans bien que mal de lui résister, pauvre Cléo, elle n'était pas sortie de l'auberge avec un psychopathe pareil. « Tu m'as beaucoup manqué, ça faisait un moment que nous ne nous étions pas retrouvé, toi et moi. Voyons, tu sais tout comme moi comment les choses finissent entre nous, c'est inévitable. » Sa voix, elle ressemblait très certainement à celle des pervers, celle qu'on peut imaginer dans les films d'horreur ou encore la voix qu'on pourrait utiliser pour un pédophile sadique. La voix de Max était loin d'être rassurante quand il prenait ce ton sadique, il le savait, il aimait, il en jouait. C'était Max Blackross et ça voulait -presque- tout dire.

Mais, alors que la demoiselle devait toujours sentir son souffle lui glaçait le sang et parcourir son cou et supporter sa voix justement insupportable, il déposa sa main sur sa taille et là c’était sans aucun doute le geste de trop…
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N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) Vide
Message(#) Sujet: Re: N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) EmptyMer 1 Déc 2010 - 22:56



Do you want

to play a game ?.


    MAX BLACKROSS & CLEO OFERSEN

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    @ Dragon claws ; Bedshaped





Le fait qu'il reste aussi tranquille, les fesses sur son canapé comme si la situation était tout à fait normal l'exaspérait. Malgré le fait qu'elle ait déjà atteint un certain niveau de sa colère, elle la sentie accroître à nouveau. Elle se mordit l'intérieur des joues, se retenant de lui sauter dessus et de l'étrangler. Il fallut attendre qu'elle lui balance son sac de sport pour qu'il daigne au moins la regarder. Il était là, avec son sale sourire et sa tête de pervers en manque. Il savait très bien ce qui allait se passer, il savait qu'elle avait beau parler et résister il allait obtenir ce qu'il voulait. Et ça la mettait hors d'elle de lui "appartenir" ainsi, de ne rien pouvoir faire pour lui échapper. Elle aperçut alors la bière sur sa table. Elle réprima une grimace de dégoût et secoua lentement sa tête de droite à gauche. En plus d'être un enfoiré aux envies dignes du plus tordus des hommes, il s'enfilait des bières tout seul chez lui. C'était d'un pathétique répugnant et Cléo ressentait la terrible envie de lui cracher à la figure pour le lui faire comprendre. Mais elle n'eut le temps de rien dire. Il se leva subitement et s'approcha d'elle. Cléo eut un mouvement de recul sans même s'en rendre compte. C'était instinctif, comme si elle voulait se protéger de lui et de sa folie. Elle se figea lorsqu'il lui attrapa le bras et tous ses muscles se crispèrent. Elle redressa la tête dans un signe de fierté, comme pour lui montrer que si physiquement elle ne faisait rien, elle luttait moralement. Elle serra sa mâchoire, se retenant de continuer à débiter tout un flot d'insultes et de remarques agressives. Même si elle savait que ça ne lui faisait rien du tout et même peut-être bien que ça lui plaisait. Elle en était sûre même, c'était inévitable. Elle sentit son souffle se glisser dans son cou et elle ne put retenir un frisson. Elle n'aurait su dire si c'était un frisson de plaisir ou de dégoût. Et d'ailleurs elle ne se pencha pas plus que ça sur la question, ayant bien trop peur de découvrir une réponse déplaisante.

Il se pencha à son oreille et lui murmura : « Quelle honte de cacher un si beau corps derrière une telle immonde barrière de textile, je crois qu'il va falloir remédier à ça. » Elle déglutit, se retenant de se retourner pour le frapper. Et peut-être aussi parce qu'il lui tenait encore fermement le bras... Elle continuait d'espérer qu'elle allait pouvoir lui échapper ce soir, qu'elle se montrerait suffisamment persuasive et qu'il abandonnerait l'idée. Mais au fond d'elle, elle savait que c'était peine perdue. Max n'avait jamais abandonné, jamais renoncé. Quand il avait quelque chose en tête il allait jusque bout, Cléo en savait quelque chose. Tout ceci l'amusait, elle le savait, elle le voyait. Il adorait ce jeu malsain, ce pouvoir qu'il avait sur elle. Et elle ne cessait de se demander ce qu'il avait bien pu vivre plus jeune pour en être arrivé là désormais. Mais il y avait forcément quelque chose qui avait merdé quelque part. Ce n'était pas possible d'être ainsi de nature, elle refusait de croire cette éventualité. Cléo était encore si naïve sur la nature humaine... C'était pour ça qu'elle s'était si souvent faite avoir. Pour ça aussi qu'elle en était là aujourd'hui. Max reprit alors la parole. « Tu m'as beaucoup manqué, ça faisait un moment que nous ne nous étions pas retrouvé, toi et moi. Voyons, tu sais tout comme moi comment les choses finissent entre nous, c'est inévitable. » Elle échappa un petit rire mesquin, l'air de dire : pauvre con. Lui en tout cas, il ne lui avait pas manqué, mais alors pas du tout. Au contraire même, moins elle le voyait, mieux elle se portait. Mais il avait raison sur un point : la fin de cette soirée était inévitable. Mais elle fut vite sortie de ses pensées. La main de Max sur sa taille la réveilla. Non, ça ne se passerait pas comme ça. Même si à la fin il aura ce qu'il voulait, il était hors de question de lui faciliter la tâche.

Elle lui donna alors un violent coup de coude dans le ventre afin qu'il lui lâche le bras. Elle se retourna et le poussa loin d'elle. Elle reprit alors ses paroles, lui répondant avec une rage certaine. « Pauvre idiot ! Qu'est-ce que tu voulais ? Que je sorte de chez moi et que je traverse tout le quartier habillée comme une pute ?! Et tu ne toucheras pas à mes vêtements. Hors de question. » Elle recula de plusieurs pas, cherchant à instaurer une distance maximum entre eux. Et puis aussi, en signe de protection. Elle connaissait parfaitement les pulsions de Max et elle savait combien il pouvait être violent parfois. Surtout quand elle lui résistait trop et s'en prenait physiquement à lui. Il semblait ne pas supporter qu'elle puisse avoir le dessus sur lui. Il devait toujours tout contrôler, maitriser. Elle se sentait comme prise au piège. Elle avait vraiment l'impression d'être à lui, d'être son jouet, son pantin. C'était une sensation horrible. Et pourtant, il y avait quelque chose d'intrigant et d'attirant en lui. Peut-être ce côté dangereux justement... Qui sait ? Mais dès qu'elle repensait à ça, elle se bloquait complètement. Elle ajouta alors : « Entre nous ? Il n'y a pas de nous. T'es tout seul dans ton délire de pervers. T'es malade, j'te jure t'es un malade... » Sa voix était étrangement calme et elle le fixait avec une intensité à la limite de la méfiance. C'était vrai après tout non ? Il ne fallait pas être très net pour se comporter d'une telle façon avec quelqu'un. En tout cas, c'était ce qu'elle pensait elle. Elle ne le lâchait pas du regard, redoutant une réaction imprévue, violente.
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N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) Vide
Message(#) Sujet: Re: N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) EmptyDim 5 Déc 2010 - 0:16

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Do you want to play a game?

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Elle pouvait bien avoir un mouvement de recul, elle pouvait bien maintenir la tête haute, montrer sa fierté, elle n'échapperait pas aux griffes de Max. Elle le savait et lui encore plus, il y avait une part d'appartenance, Cléo appartenait un peu à Max ce qui était loin d'être agréable. Elle pouvait espérer tant qu'elle voulait, c'était peine perdue. Rien, absolument rien de qu'elle pourrait lui dire ne le ferait pas changer d'avis, la seule qui le pouvait c'était Elina mais, là, il doutait qu'elle intervienne. Max était sadique, pervers et il ne cesserait jamais ce jeu, il l'aimait bien trop tant qu'il pouvait jouer, il jouait. Il était ainsi. Personne ne le changerait. Quelque part, il y avait une passion dévorante entre elle et lui, vous savez cette passion qui donne des rapports violents tant que le désir est dévorant et le contexte désagréable. Il y avait peut-être un peu de cette passion, encore fallait-il l'admettre.

Cléo laissa un petit rire lui échapper, visiblement elle mourait d’envie de l’insultait. Il ne lui avait pas manqué ? C’était dommage mais, ça ne changeait rien à son sort, celui que lui réservait Max. Si elle venait à résister trop au goût de Max, il deviendrait violent, si elle fuyait, son secret serait révélé, elle n’avait aucune issue favorable. En même temps, si elle était trop docile, Max serait déçu, ce qui n’était pas une solution non plus, même très loin de là.

Puis en ayant posé ses mains sur la taille de la jolie brune, il provoqua chez elle une réaction, violent qui plus est. Elle n'avait pas envie de se laisser faire visiblement et le coup de coude violent que Max reçu ne fit que prouver cette certitude. Elle le poussa loin d'elle et autant avouer, ça n'avait pas plus à Max. Rageusement, alors que le regard de Max se durcissait, Cléo reprit la parole. « Pauvre idiot ! Qu'est-ce que tu voulais ? Que je sorte de chez moi et que je traverse tout le quartier habillée comme une pute ?! Et tu ne toucheras pas à mes vêtements. Hors de question. » La demoiselle reculait, essayant visiblement d'établir une distance entre le beau brun sadique et elle-même. Peut-être avait-elle compris son erreur ? Tenter d'atteindre Max c'était risqué un contact violent. Max ne bougeait pas, du moins pas encore, il regardait la jolie brune reculait, s'approchant d'un mur sans même sans rendre compte, le piège se refermant petit à petit sur elle-même. Plus calmement cette fois, sur un ton un peu méfiant, la jeune femme se permit de reprendre à nouveau la parole. « Entre nous ? Il n'y a pas de nous. T'es tout seul dans ton délire de pervers. T'es malade, j'te jure t'es un malade... » C'était maintenant qu'elle le découvrait ? Qu'il était fou, du moins pervers et malade ? Certainement pas. Mais là où elle se trompait c'est que quelque part, entre eux il y avait un « nous » pas forcément un « nous » d'amour, certainement pas bien au contraire mais, un « nous » exprimant haine et dégout autant que d'attirance et de désir. C'était leur passion, du moins d'un point de vue très profond de Max, un point de vue qu'il n'avouait même pas lui-même.

Il avança vers la belle Cléo, plus ou moins bloqué entre les murs et Max, d'ici peu elle serait totalement bloquée. De façon très vive il attrapa son poignet et la plaqua contre un mur, la bloquant littéralement. Il planta ses prunelles dans les siennes, en serrant bien fort le poignet de la miss évitant ainsi que cette main vienne frapper ce doux visage. « Si tu crois que tu as le choix, Cléo, il est tant que tu te réveilles. » sa voix était entre la colère - parce qu'il ne l'avait pas exprimé par les gestes, du moins pas assez.- et la perversité - parce que ça, ça ne le quittait jamais en compagnie de Cléo-

Il bloqua davantage la jeune femme, resserrant son emprise sur elle, il commença lentement à laisser ses mains parcourir son corps et ses lèvres effleuraient son cou. La réaction de Cléo ne serait pas docile et il avait plus ou moins réussit à se contrôler une fois, il n'y arriverait pas une seconde fois, il était trop violent pour résister à ses pulsions...
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N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) Vide
Message(#) Sujet: Re: N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) EmptyMer 8 Déc 2010 - 15:32



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Cléo se doutait à peine que le fait qu'elle lui résiste lui plaisait tant. Elle n'avait pas encore comprit que plus elle se montrait sauvage et farouche avec lui, plus elle prétendait le détester et le repoussait et plus il adorait ça. Pour Cléo ça n'avait pas de sens, c'était contre logique. Et si on lui avait expliqué ça, elle n'aurait pas pu comprendre. Ça la dépassait, ça lui semblait dingue. Mais d'un côté, Max était dingue... Si elle avait su qu'elle n'avait qu'à se montrer docile et conciliante pour le lasser, elle l'aurait fait depuis longtemps maintenant. Mais ça ne lui avait jamais traversé l'esprit. Tant pis, tant mieux... Elle ne savait plus trop au final. Certes il l'insupportait et elle le détestait mais... Mais il y avait un "mais" dans toute cette histoire. Arrivé au moment ou elle ne pouvait plus lui résister, ou elle devait se résigner à s'abandonner à lui, une vague de plaisir et de désir s'emparait d'elle à chaque fois sans qu'elle comprenne pourquoi. Était-ce la folie de cette relation qui la rendait toute chose dans ces moments ? Elle n'aurait pas su dire et elle trouvait ça étrange, anormal presque.

Après lui avoir infligé son coup de coude, elle s'était aussitôt éloignée de lui. Si elle avait pu elle aurait fuit, mais elle était coincée. Le regard qu'il posa sur elle n'eut pas pour effet de la rassurer sur son sort. Elle avait provoquée sa colère, elle savait que quelque chose allait lui tomber dessus, qu'il allait lui faire payer cet affront. Elle déglutit, tentant malgré tout de resté fière et déterminée. Mais ce n'était pas facile lorsqu'il vous regardait avec ses yeux là. Son souffle s'était accéléré tout comme son rythme cardiaque. C'était un mélange d'angoisse, d'appréhension et d'envie à la fois. Elle ferma les yeux l'espace de quelques secondes. De l'envie... N'importe quoi ! Tout ce dont elle avait envie, s'était de se tirer de là et vite fait. Enfin, c'était ce qu'elle pensait... Ou c'était ce qu'elle avait l'impression de penser, elle ne savait plus trop au final. Et elle ne comprenait pas pourquoi il faisait ça. Max était un bel homme, il ne devait pas avoir de problème avec les femmes. Alors pourquoi ce chantage ? Pourquoi elle ? Et était-elle sa seule victime ou avait-il piégé d'autres femmes ? Tout un tas de questions se bousculaient dans son esprit sans qu'elle ne trouve de réponse. Elle pensa alors à Elina. Son seul moyen de vengeance contre Max. Elle eu un petit sourire exprimant satisfaction et cynisme. C'était rare de la voir sourire ainsi, Cléo étant quelqu'un de gentil elle n'avait pas pour habitude d'abuser des gens. Mais là, elle ne pouvait pas le laisser faire sans riposter d'une façon ou d'une autre. Il n'avait pas le droit d'avoir le pouvoir absolu sur elle, elle ne pouvait pas l'accepter. Cléo était comme ça, bien trop indépendante et libre pour tolérer qu'un sale mec ait du pouvoir sur elle. C'était insupportable pour elle.

Cléo jeta un coup d'œil derrière elle, pour voir où elle allait, histoire de ne pas se prendre un meuble quoi. Et là, ce fut la panique. Derrière elle, il n'y avait rien d'autre qu'un mur. Elle reposa précipitamment son regard sur Max qui semblait tout à fait ravi de cette situation. Comprenant qu'elle était piégée, son regard s'agita, cherchant un moyen quelconque de filer. Mais c'était déjà trop tard. Max s'était avancé vers elle et lui avait brutalement attrapé le poignet avant de la plaquer contre le mur. Elle lâcha un petit cri de surprise et se contracta. Il serrait son poignet d'une force qui ne lui était plus inconnue depuis le temps. Elle grimaça légèrement sous la douleur. Elle tenta en vain de se dégager de son emprise. Son visage alors tout près du sien, elle ne put échapper à son regard. Un regard dur, agressif, malsain. Courageusement elle soutint son regard, se montrant elle accusatrice, désapprobatrice. On pouvait voir combien elle le haïssait à cet instant. C'est là qu'il lui glissa : « Si tu crois que tu as le choix, Cléo, il est tant que tu te réveilles. » Elle souffla nerveusement, ayant parfaitement conscience qu'elle n'avait plus le choix depuis longtemps. Il rapprocha alors son corps du sien, la bloquant d'avantage. Elle détourna subitement la tête, échappant à son regard. Elle se mordit la lèvre inférieure avec rage. Puis, elle répondit : « Un jour tu payeras pour tout ça Max, crois moi. Tu n'auras pas toujours le dessus... » Par "un jour" elle entendait surtout le jour où elle ne ferait plus ce métier. Ce qui malheureusement, n'était pas près d'arriver encore. Mais le fait de le dire l'aidait à supporter tout ça, comme un espoir en fait. Et puis, il laissa glisser ses mains le long de son corps. Cléo ferma les yeux, les traits de son visage se crispèrent exprimant leur désapprobation. Mais elle ne put retenir un léger frisson. Le contact de ses mains sur elle ne la laissait malgré tout pas indifférente. Puis, il vint effleurer son cou de ses lèvres. Elle rouvrit les yeux, comme à bout de souffle. Le sentir si près d'elle la déstabilisait complètement. Sa première réaction fut de se détendre complètement, comme si elle lui cédait déjà. Et puis, elle reprit ses esprits. Non, hors de question de lui faciliter la tâche ! Ses bras étant bloqués c'est avec ses jambes qu'elle tenta de le repousser. Elle lui infligea un violent coup de genoux au niveau de la cuisse -il avait eu de la chance, elle aurait pu viser ailleurs. Puis elle tenta alors de se dégager de son emprise et de le repousser loin d'elle. Elle lâcha en même temps, avec une rage certaine : « Lâche-moi ! Ne me touche pas tu entends ? Je te l'interdit ! » Sa colère lui faisait frôler la naïveté. A quoi bon lui dire tout ça ? De toute façon, c'était lui qui gagnerait.

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N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) Vide
Message(#) Sujet: Re: N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) EmptyVen 10 Déc 2010 - 23:28

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Do you want to play a game?

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Cléo était la seule victime de chantage de Max, du moins la première ,mais, était-ce la dernière ? Une fois que le piège c'était refermé sur le piégeur, pouvait-on se passer de ce jeu ? Max le pensait, il savait au fond de lui qu'il n'accepterait pas de jouer à ce jeu avec une autre personne que Cléo. Ce chantage c'était leurs plaisirs violents à tous les deux, du moins, si l'on pouvait formuler ainsi. Pourquoi avait-il choisit Cléo ? Peut-être parce qu'il avait vu en elle une femme sublime, qui le faisait rêver, une femme intéressante, secrète et malheureusement pour elle, inoffensive face à lui. Certainement, qu'au moment où la partie avait commencé, il avait des envies de violences enfouies mais, il n'était toujours pas près à laisser la douce Cléo en paix.

Max n'observa pas le sourire de Cléo, durant un instant, trop concentré sur le regard de la brune, il ne voyait plus que ses magnifiques pupilles -ou presque que ça-. Il aurait peut-être dû observer le sourire narquois de la demoiselle, il aurait certainement compris qu'il devait se méfier de la demoiselle plus qu'il ne l'imaginait. Même sans savoir ce qu'elle avait en tête, il serait près. Mais, il n'observa pas le sourire de la brunette, à tord.

La demoiselle avait peut-être surpris mais, elle n'avait pas prévu un seul instant que Max lui tombe dessus ainsi et pour preuve, elle lâcha un cri de surprise et ses muscles c'étaient contractés, elle n'avait pas encore compris qu'avec Max il fallait se méfier de chaque détail aussi futile soit-il, elle aurait dû prêter attention à sa trajectoire en s'éloignant. Max lui tenait le poignet avec force et sans aucun doute, la jeune femme souffrait et Max y prenait plaisir, même si dans le fond, s'il n'avait pas été le bourreau de Cléo, cette situation lui aurait fait un mal fou pour elle mais, hélas Cléo n'avait pas le bonheur d'avoir la place d'une personne à protéger, pas comme Gabby et encore moins comme Elina -personne ne passait avant elle-. Elle pouvait tenter de se dégager tant qu'elle voulait mais, c'était peine perdue, elle gaspillait son énergie pour rien. Son visage près de celui de Max, Cléo ne pouvait pas échapper au regard si particulier de Max, Pour autant, le jeune femme garder la tête haute, Cléo était fière et courageuse. Tenir tête à Max pouvait s'avérer être une activité dangereuse. Son regard était très accusateur envers Max, elle le haïssait, depuis le temps c'était une certitude mais, l'inverse de l'amour n'est-il pas l'indifférence, aucun des deux n'étaient indifférents à l'autre. Elle pouvait souffler tant qu'elle voulait, la situation ne changerait en aucun cas. Elle n'avait jamais vraiment eut le choix et ce n'était pas près de changer.

Max l’avait bloqué encore un peu plus et cette fois, Cléo avait fui son regard certainement trop déstabilisant et dérangeant. « Un jour tu payeras pour tout ça Max, crois moi. Tu n'auras pas toujours le dessus... » Il le savait mais, pour le moment, la partie était toujours en cours, il était joueur tant qu’il pouvait jouer de Cléo, il jouerait de –et avec- la jolie et sexy brunette. Les mains du brun sur son corps descendaient doucement, la jeune femme ne pouvant pas retenir un frison, on ne peut pas toujours contrôler son corps, malheureusement pour elle.Puis, il effleura son coup et là, la jeune brune ne lui résistait plus –du moins pour le moment, il n’était guère à l’abris d’un retournement.- elle semblait lui céder.

Un violent coup de pied arriva au niveau de sa cuisse, autant dire que comme un mécanisme, la colère c’était déclenché –par chance elle n’avait pas eut ses parties intimes-. La jeune femme tentait de se dégager du beau brun qui ne lâchait nullement son poignet. « Lâche-moi ! Ne me touche pas tu entends ? Je te l'interdit ! » Crachant sa colère, elle donna à Max l’occasion d’affichait un sourire moqueur, malsain et méprisant face à cette phrase sotte et naïve, elle n’était dans un monde tout beau tout rose avec Max.

Énervé il ramena Cléo à-lui, ayant plus de force qu'elle, il n'eut pas tant de mal. Elle était à nouveau à quelque centimètre de lui, le sang ne devait plus circuler dans son poignet tant il serrait. Avec sa main libre, Max gifla alors le doux visage de la brune, de façon très violente, laissa sa colère sortir par ce geste, il ne pouvait pas toujours se contrôler. Contraignant la demoiselle à avoir son visage à quelque centimètre du sien, il murmura, d'un ton méprisant. « On paye tous un jour mais, pour ma part ce n'est pas aujourd'hui. Que tu le désires ou non Cléo, c'est moi qui mène la danse. ». Avec fougue, il embrassa son cou et ébouriffa les cheveux de la demoiselle, il y avait tellement de fougue dans ses gestes -mieux valait cela plutôt qu'il ne laisse sa violence explosait.- qu'il doutait fortement que la brunette ait pu s'attendre à ça. « Je ne respecte jamais les interdictions, tu es bien naïve de croire que tes paroles vont changer quoique se soit. » il lui avait murmuré à l'oreille, laissant une main se poser sur son postérieur. Mieux valait pour Cléo qu'elle soit un peu plus docile, Max commençait à devenir violent, il commençait par une gifle, qui sait par quoi il était capable de finir.
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Message(#) Sujet: Re: N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) EmptyMar 14 Déc 2010 - 19:55



Do you want

to play a game ?.


    MAX BLACKROSS & CLEO OFERSEN

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Cléo en avait rencontré des mecs pas nets au cours de sa vie. Avec tous les clients qu'elle voyait défiler, elle avait pensé avoir déjà tout vu. Les vicieux, les pervers, les timides, les sadomasochistes, les hommes aux fantasmes répugnants ou dingues. Elle s'était déjà faite menacée, insultée, humiliée. Elle avait même déjà eu une demande en mariage une fois. Oui, elle pensait vraiment avoir tout vu. Jusqu'à ce qu'elle rencontre Max. Au départ, rien qu'un client comme un autre. Très impulsif certes, mais rien d'inquiétant en somme. Jusqu'à ce qu'elle le voit devant chez elle. Là, elle comprit rapidement ce qui risquait de se passer. Enfin, plus ou moins. Elle avait juste cru qu'il n'avait pas été satisfait ou quelque chose dans le genre et qu'il allait faire exploser son secret. Mais ce ne fut pas exactement ça. Il l'a menaça en effet de révéler son métier à tout le quartier... Mais uniquement si elle ne faisait pas ce qu'il voulait. Du chantage, c'était du chantage. Cléo n'en revenait toujours pas de ce qu'il osait faire. S'offrir ses services, son corps, son temps gratuitement et sous la force. C'était dingue, impensable. Cléo n'aurait jamais imaginé qu'un homme puisse se servir de quelqu'un ainsi. Sûrement était-elle parfois trop naïve, gardant l'espoir vain d'un monde meilleur, avec des gens meilleurs. Enfin, qu'importe. Cette relation avait prit une tournure étrange et inattendue. C'était devenu fort, plus intime. C'était leur relation. Ce n'était pas juste un chantage comme ça, non. Et même si Cléo avait envie de l'étrangler à chaque fois qu'elle le croisait, qu'elle le haïssait de toutes ses forces une chose était sûre : elle ne pourrait pas supporter ça si ça venait de quelqu'un d'autre. Elle n'aurait pas su dire ce qu'il y avait en max pour qu'elle "accepte" ça. Mais c'était un fait.

La force de Max sur son poignet était de pire en pire. Cléo grimaçait, cherchant désespérément à se défaire de lui sans y parvenir. Elle avait parlé dans le vide, Max s'en fichait royalement, ne lâchant pas prise. Il allait lui casser le poignet à force de serrer ainsi. Sa peau commençait à la brûler et elle était toute rouge. Et malheureusement pour elle, ça n'allait pas s'arranger. Alors qu'elle lui infligea un coup de genoux, les choses empirèrent. Elle le foudroya du regard, lui montrant qu'elle n'en avait pas terminé avec lui. Mais elle aurait peut-être mieux fait de s'abstenir. Alors qu'elle avait réussit à le faire quelque peu reculer, il brisa rapidement cet espace qu'elle avait perçut comme une chance de lui échapper. Il n'avait toujours pas lâché son poignet et dans un geste rapide il l'a tira contre lui, la bloquant et resserrant son emprise. Elle posa sa main sur son torse et tenta de le pousser. Mais son geste fut violemment interrompu. La main de Max se leva et elle n'eut pas le temps de réagir que déjà elle s'écrasait sur son visage avec une force effrayante. La tête de Cléo vola sur le côté et elle lâcha un nouveau un cri. Mais plus discret, plus étouffé. Elle manqua de tomber et c'est le fait qu'il la tienne qui lui évita ça. Elle se redressa et retourna se coller contre le mur, posant sa main sur sa joue douloureuse. La bouche entrouverte, elle le fixait avec stupéfaction. Ce n'était pourtant pas la première fois qu'il l'a frappait, mais à chaque fois elle n'en revenait pas. Sa joue piquait et avait recouvert une teinte rosée. Cléo ferma alors les yeux et se mordit la lèvre inférieure, Max s'était mit à serrer encore plus fort son poignet, ça devenait insupportable. Elle glissa sa main libre sur la main de Max et tenta de la repousser, le suppliant du regard. Son cœur battait à toute allure et son souffle se faisait saccadé. Quand il l'a regardait comme ça, Cléo ne pouvait s'empêcher de ressentir une pointe de peur. Elle se demandait souvent jusqu'où il serait capable d'aller lorsqu'il était dans cet état. Elle déglutit, se faisant plus calme.

« On paye tous un jour mais, pour ma part ce n'est pas aujourd'hui. Que tu le désires ou non Cléo, c'est moi qui mène la danse. » La jeune femme ne le lâchait pas des yeux, méfiante. Oui, c'était lui qui menait la danse et c'était bien ça le problème. Mais contre toute attente, ce n'est pas un autre acte de violence qu'elle subit. Il glissa sa main dans ses cheveux et ses lèvres dans son cou avec une fougue surprenante. Prise par surprise elle ne put contenir un nouveau frisson et se laissant emporter, elle passa sa main sur la nuque de Max, oubliant quelques instants la douleur. Si proche de lui, le parfum du jeune homme l'envahit et elle en arriva à l'apprécier, le laissant la dévorer de baisers plus brûlants les uns que les autres. Mais cet instant se brisa vite alors qu'il reprenait la parole. « Je ne respecte jamais les interdictions, tu es bien naïve de croire que tes paroles vont changer quoique se soit. » Naïve... Était-ce vraiment le mot ? Est-ce qu'elle croyait vraiment que ses paroles allaient pouvoir changer quoi que ce soit ? Au fond d'elle, elle savait bien que non. Mais garder espoir l'aidait à supporter tout ça. Il glissa à nouveau ses mains sur son corps, allant cette fois jusque sur ses fesses. Elle se crispa mais ne dit rien et n'opposa aucune résistance. Pour le moment, il fallait mieux qu'elle le laisse se calmer un peu. Enfin, si c'était possible... Laissant sa main sur sa nuque, elle croisa son regard, reprenant doucement son souffle. Toujours coincée contre le mur, elle gardait le silence, ne sachant plus quoi dire. De toute façon, quoi qu'elle dise il s'en fichait et la rabaissait. Et alors qu'elle pensait se résigner, elle se reprit en main. Non, c'était trop facile ! Elle ne laissa cependant rien paraître de ses intentions. Elle exerça une légère pression sur sa nuque pour approcher son visage du sien et puis, laissant glisser sa main jusqu'à sa joue elle finit par poser ses lèvres sur les siennes. Se lançant dans un baiser endiablé la jeune femme semblait réellement accepter sa condition. Et puis, au dernier moment, elle attrapa sa lèvre inférieure entre ses dents et la mordit violemment. Puis elle la relâcha et lança : « Idiot ! » Puis, craignant le pire pour elle, elle plaça sa main devant elle en signe de protection. Mais elle savait très bien qu'elle allait encore avoir mal, l'appréhension la saisit, la faisant trembler discrètement.



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Message(#) Sujet: Re: N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) EmptySam 18 Déc 2010 - 0:07

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Do you want to play a game?

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Max n'était pas un mec bien. Ce n'était pas quelque chose qu'il revendiquait, il se contentait d'être lui-même et bien souvent, ce n'était pas joli joli. C'était même très moche, quand il se mettait à lever la main sur une femme. Pourtant, il n'était pas plus heureux en étant violent envers une demoiselle, il préférait de loin mettre une bonne pêche dans la gueule de l'abruti qui touchait à sa soeur plutôt que de lever la main sur une demoiselle, pour x raison. Mais, il était bien incapable de se contrôler. La violence faisait partie intégrante de sa personnalité, elle l'habitait depuis bien longtemps. Ce soir, comme beaucoup d'autres soirs, Cléo payait les frais de cette violence. Ce n'était pas la première fois qu'il la giflé, mais, la surprise était toujours présente, la brunette étouffant un cri. Max y avait-il prêtait attention ? Non, absolument pas. La tête de la demoiselle avait beau avoir valsé, elle avait manqué de perdre son équilibre suite à cette violente baffe mais, Max n'y prêtait pas attention. Lui il serrait davantage son poignet alors que la brune reculait contre le mur, passant sa main sur sa joue rosée par la douleur. Il était dans sa violence, comme en transe et pour qu'il en sorte, il était dans l'intérêt de Cléo d'être plus docile. Néanmoins, c'était peu probable, la jolie brune ne se laissait jamais marcher sur le pied et même quand la partie semblait être gagnée pour Max, quand il semblait arrivé à ses fins, il pouvait être surpris.
Cléo semblait avoir le poignet endolori, ce n'était pas étonnant Max serrant aussi fort qu'il le pouvait et la main de la sexy demoiselle sur la sienne n'y changeait rien. Son souffle court, Max et son esprit mal tourné ne pouvaient que l'apprécier. C'était peut-être une façon de se sentir supérieur tout ce petit manège, peut-être que Max avait besoin de se sentir supérieur. Son regard rempli de peur et d'incertitude, il l'admirait, il se sentait bien en se plongeant dans un tel regard, il était même apaisé, légèrement. Il y avait quelque chose en lui qui ne tournait pas rond. Il était probablement bon pour l'hôpital psychiatrique, enfin, si un psy était capable d'étudier un cerveau si... dérangé et déréglé.

Même si Max pouvait lire la méfiance dans le regard de sa victime après sa déclaration, il savait pertinemment qu'elle ne c'était pas attendu à ça. A cette fougue, à ces gestes-là. Elle était surprise, il le savait et ça aussi, ça lui plaisait, pouvoir encore la surprendre, à tout moment. Il aimait ce fameux frison qu'elle ne pouvait pas retenir. Elle commençait à ce laisser aller à lui, passant sa main sur la nuque du brunet. Elle se laissait aller sous les baisers brûlant de son bourreau. Elle semblait offrir à Max ce qu'il désirait.

Bien sûr, il fallait que le beau brun en rajoute une couche, qu'il complique les choses, au lieu de laisser Cléo se livrer à lui, il avait reprit la parole, la déstabilisant sûrement un peu plus. Bien sûr, après cela il laissa à nouveau ses mains vagabonder sur le corps de cette femme charmante qu'était Cléo. Il descendait sans la moindre gêne jusqu'aux fesses de la demoiselle. Les muscles de Cléo se crispaient, Max l'avait senti mais, il s'en moquait, il ne s'arrêtait pas pour autant. A l'inverse même, il affichait un petit sourire, pervers évidemment. De toute façon, la demoiselle n’avait pas opposé la moindre résistance, physique ou verbale, il fallait croire qu’elle acceptait –malgré elle- le sort que Max lui réservait, ou peut-être qu’elle laissait la colère de Max s’atténuait, ce qui était loin d’être une mauvaise idée.

La demoiselle semblait ne plus résistait, bien au contraire, c'était elle qui avait lancé ce baiser. Un baiser endiablé que Max appréciait grandement. Il avait plus ou moins laissé tomber sa méfiance, un peu trop d'ailleurs. La jeune femme venait de lui mordre violemment la lèvre inférieure. Le visage de Max changea aussitôt de couleur. N'écoutant même pas le magnifique « Idiot ! ». Qu'elle venait de lui lançait avec rage, sans même prêtait attention au geste de protection de la jeune femme. Max lança sans réfléchir son poing dans le ventre de Cléo

Dans son acte de violence, il avait lâché le poignet de sa victime, ne craignait pas qu'elle s'éloigne puisqu'elle venait d'essuyer les coups violents de Max. En effet, comment pouvait-on s'éloigner de son bourreau quand on avait déjà du mal à se relever ? Dans la logique des choses, c'était quelque peu difficile. Serrant à nouveau, avec poigne, le bras de l'adorable brune, il s'approcha de son visage. « Ça, tu n'aurais jamais dû ! » entre la colère et la perversité, la voix de Max devait être vraiment désagréable. Max avait le dont d'être soit ignoble, soit adorable, le juste milieu n'existant pas chez lui. Sa violence aurait pu s'arrêter là mais, il gifla une nouvelle la sexy brune, plus violemment encore que la fois précédente. Quel jeu dangereux Cléo avait-elle débutait, ce qui était certain c'est qu'elle avait du courage et qu'elle n'avait absolument pas peur des coups.

Serrant plus fort le bras de la demoiselle, il s'approcha à nouveau d'elle, sans rien dire cette fois. Il embrassa à nouveau la brune. Comment pouvait-il se montrer aussi violent et l'embrasser par a suite ? Il était comme ça et c'était peut-être son moyen pour dérouter la jeune femme. Enfin, c'était aussi sa façon d'aimer Cléo, du moins d'avoir une relation avec elle, après tout, Max ne tournait pas rond.
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Message(#) Sujet: Re: N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) EmptyLun 3 Jan 2011 - 20:22



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Cléo ne sentait plus sa main. Elle arborait une couleur violette, signe que le sang circulait mal. Elle fixait son poignet avec désespoir, ne supportant plus cette douleur accablante. Pourquoi ne la lâchait-il pas ? Ne serait-ce qu'un peu, elle n'en pouvait plus. Elle déglutit et remonta son regard vers Max, comme pour lui dire : regarde ce que tu me fais, regarde comme tu me fais mal. Elle savait malheureusement que ça ne risquait pas vraiment de le perturber plus que ça. Il savait pertinemment avec quelle force il enfermait son poignet, il savait très bien combien elle souffrait. Et c'était d'ailleurs pour ça qu'il ne la lâchait pas. Parce qu'il éprouvait un plaisir pervers à lui faire mal et elle ne comprenait toujours pas pourquoi. La douleur à sa joue avait finit par s'atténuer, mais maintenant Cléo savait qu'il était arrivé à un point de non retour et que la moindre résistance lui coûterait cher, très cher. Elle aurait presque eu envie de se dire "tant pis, je ne vais quand même pas me laisser faire !" sans remord, mais ce n'était pas le cas. Elle ne savait que trop bien ce qu'il risquait de lui infliger, qu'il allait perdre le contrôle de lui-même et ne s'arrêter que lorsqu'il aurait obtenu ce qu'il désirait, qu'une fois qu'il serait rassasié. Tout ceci était malsain à en mourir, et pourtant, d'une certaine façon Cléo y trouvait son compte. Certes elle ne se l'avouait pas, mais elle avait des solutions pour lui échapper. Il suffisait qu'elle aille parler à Pride, lui expliquant l'odieux chantage qu'il lui faisait et que ceci perturbait ses heures de travail et ce dernier s'en serait très certainement occupé de façon définitive. Mais voilà, elle ne disait rien. Et c'était peut-être ça le plus atroce finalement. Pas Max, pas sa folie, non... Mais le fait qu'elle accepte. Mais elle niait en bloc, feintant de se révolter contre lui car sinon elle savait pertinemment qu'elle ne pourrait plus jamais se regarder dans une glace.

Et d'ailleurs, elle lança de nouveau l'offensive. Jouant la comédie, elle lui offrit un baiser des plus passionnés -qu'elle ne pouvait s'empêcher d'apprécier pour son plus grand malheur- avant de le mordre violemment. A peine eu-t-elle fait ça, que tout son corps se contracta, consciente qu'elle allait se recevoir quelque chose. Elle se protégea donc le visage de façon instinctive. Mais le coup arriva ailleurs. Le poing de Max vint heurter avec une force impensable le ventre de Cléo. Aussitôt elle se plia en avant et entrouvrit la bouche, coupée d'air. Il avait libéré son poignet douloureux et elle vint porter sa main sur son abdomen, cherchant désespérément à reprendre son souffle, mais en vain. Il avait été d'une telle violence que Cléo en avait perdu ses repères. "Heureusement" pour elle, il lui attrapa l'autre bras et ceci l'empêcha de s'écrouler par terre. C'est seulement au bout d'une vingtaine de seconde qu'elle retrouva enfin son souffle. D'abord entrecoupé et par sursauts, puis plus régulièrement. Elle l'entendit alors lui lancer d'un ton à vous glacer le sang : « Ça, tu n'aurais jamais dû ! » Si la jeune femme avait été plus raisonnable elle se serait excusée platement et lui aurait offert ce qu'il désirait. Mais par moment Cléo manquait cruellement de bon sens. Elle se contenta de serrer la mâchoire, cherchant à oublier la douleur qui l'assaillait et surtout de ne pas lui cracher à la figure. Il ne méritait que ça ! Et, comme s'il avait lu dans ses pensées, Max eu de nouveau un geste violent à son égard. Lui infligeant une seconde gifle, plus puissante encore que la première, Cléo se mordit la lèvre inférieure pour ne pas crier. Elle perdit l'équilibre et se retrouva alors pendue au bras de Max. Sa joue brûlante la faisait souffrir et cette fois-ci elle ne pu contenir ses larmes de douleur. La vue embrouillée par ses quelques larmes, elle tenta de se redresser.

A bout de souffle, elle le laissa la plaquer contre le mur et l'embrasser à nouveau. Se faire frapper était épuisant et il lui fallait quelques minutes pour récupérer avant de se défendre à nouveau. S'offrant un sursit elle en oublia même avec qu'elle force il s'était mit à lui serrer le bras. Ne montrant tout d'abord pas une grande conviction face à son baiser, se laisser embrasser avec nonchalance, au fur et à mesure que les secondes s'écoulaient elle se montrait de plus en plus impliquée et entreprenante. Quand ses jambes cessèrent définitivement de trembler, qu'elle recouvrit tout son souffle et qu'à nouveau les baisers de Max la mettait dans un état second, elle plaça sa main libre sur le torse de son "partenaire". Faisant glisser cette dernière sur le tee-shirt de Max, elle la descendit pour la faire passer dessous et se retrouver à même du corps du jeune homme. Elle commença alors à vouloir lui retirer son tee-shirt, mais il fallait avouer que d'une main ce n'était pas vraiment pratique. Elle détacha alors ses lèvres des siennes quelques secondes, le temps de murmurer d'une voix chaude et calme : « Lâche-moi... » Elle n'avait pas besoin d'en dire plus, la raison pour laquelle elle voulait récupérer son bras était suffisamment explicite. Elle déposa à nouveau ses lèvres sur les siennes, puis les fit glisser doucement vers sa joue, puis au creux de son cou. Elle vint blottir son corps contre le sien, n'ayant -pour le moment- pas l'intention de lui jouer un sale tour, encore.



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Message(#) Sujet: Re: N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) EmptyDim 9 Jan 2011 - 1:40

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Do you want to play a game?

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Max savait pertinemment le mal qu'il faisait à la jolie brune. En commençant par son poignet, il savait avec quelle force il serrait et il voyait le regard de la jeune femme celui qui lui disait de lâcher, de laisser le sang circuler à nouveau. Il en avait conscience pourtant, il s'entêtait à serrer. Peut-être parce que c'était son esprit pervers qui prenait du plaisir à ça, peut-être simplement parce qu'il était un être malsain. Il ne lâcherait pas ce poignet, il observerait la jeune femme qui à cette heure était sa victime. Ils étaient arrivés au moment où Max ne laisserait rien passer, il répondrait par la violence, Cléo l'avait compris, elle le savait aussi bien que Max lui-même. Le problème, Max n'avait pas de limite, la jolie brune était bien incapable de savoir jusqu'où il pouvait aller, tout comme lui. Il ignorait les limites de sa violence, peut-être n'en avait-il tout simplement pas. Bien sûr que la demoiselle savait comment arrêter tout cela, comment calmer les nerfs du jeune Blackross mais, cela revenait à lui céder, ce qu'elle ne ferait pas sans s'être défendu avant ça.

C'est d'ailleurs ce qu'elle avait fait, tenté de se défendre. Elle avait voulu jouer la comédie, Max l'avait forcément mal pris. C'est ainsi qu'elle essuya un douloureux coup dans son ventre, sa pliant sous le poids de cette violence, couper d'air. Est-ce Max culpabilisait ? Non, il était bien incapable d'avoir une conscience dans un moment tel que celui là, il se contentait de regarder sa victime, le regard sévère. Il avait libéré son poignet, celui-ci qu'elle amena jusqu'à son ventre, à l'endroit précis où Max avait porté son coup. Elle tentait tant bien que mal de reprendre son souffle et il lui il la regardait. Tout ceci était vraiment sadique. Il attrapa aussitôt son autre bras ce qui empêcha probablement Cléo de s'effondrait sur le sol de la demeure Blackross. La jeune femme reprit son souffle avant de serrer la mâchoire face aux paroles du jeune homme. Il aurait été plus sage de s'excuser et de lui offrir ce qu'il voulait mais, Max savait que Cléo n'était pas comme ça, quitte à souffrir, elle se battait avec lui jusqu'au bout. Sans aucun doute, ceci plaisait à Max et satisfaisait son esprit pervers. Il voyait son énervement, sa colère envers lui mais, elle n'eut pas le temps de tenter quoique ce soit. Une violente gifle heurta le visage de la demoiselle qui se retrouvait pendu au bras de son agresseur, les yeux embrumaient par les larmes de douleur. Il y avait été beaucoup trop fort, il le savait, évidemment, il ne montrait pas qu'il culpabilisait mais, il n'avait jamais aimé voir une femme pleurer. Pourtant, dans cette situation, avec Cléo, c'était toujours son côté malsain et fou à lier qui prenait le dessus, pour le plus grand malheur de Cléo.

Il voyait bien qu'elle était à bout de souffle, il savait aussi qu'elle se sentait probablement trop faible pour tenter quelque chose d'efficace contre lui. Il se permettait de l'embrasser, encore et encore. Au début, la jolie brune ne montrait pas grand enthousiasme, même pas du tout et quoi de plus normal après les coups qu'elle venait d'essuyer malgré elle ? Pourtant, plus les secondes passées et plus la magnifique brunette qu'était Cléo s'impliquer dans les baisers, elle devenait même entreprenante. Évidemment, Max savourait ce moment avec son petit sourire en coin, tenant toujours le bras prisonnier de sa belle victime. Il laissa la jeune femme plaçait sa main libre sur son torse d'abord au-dessus du t-shirt pour ensuite se retrouvait en dessous. Il fallait croire que la demoiselle avait fini par accepter de « s'offrir » à Max. Ce dernier laissait lui-même sa main parcourir le corps de Cléo, allant sous son pull, dans son dos, sur ses hanches ainsi que ses fesses - malheureusement, il y avait toujours la robe entre sa main et la peau de la jeune femme- et tout cela dans un baiser fougueux et passionné.

La demoiselle tentait avec son unique main de retirer le t-shirt de Max, il devait bien admettre, qu'il serrait bien plus simple de lui rendre sa main. La jolie brune interrompit leur envoûtant baiser pour laisser place à un murmure chaud et doux, un murmure plus qu'agréable et le ton exact pour obtenir les faveurs de son bourreau. « Lâche-moi... » même si Max était toujours méfiant, il lâcha doucement son bras, la raison pour laquelle elle voulait reprendre ce dernier était plus qu'acceptable. Plongeait dans son regard, la main vagabonde, il laissa les lèvres de Cléo se poser sur les siennes avant de dériver sur sa joue puis sur son cou. Le jeune homme accueillit le corps de la jeune femme contre le sien, apaiser et un peu moins méfiant, il retira l'immonde pull de sport qu'elle portait -envoyant celui-ci à l'autre bout de la pièce- pour découvrir une magnifique robe bustier, dorée, qui lui allait à la perfection. Il n'était pas du genre à s'attardait sur les vêtements - bien au contraire- mais, il devait admettre - et ce, même s'il ne faisait que deviner la tenue puisqu'il n'avait pas encore retiré le jogging de la belle- que cette tenue lui allait à ravir.

Bouillonnant de désir pour Cléo, il ne pouvait pas tenir plus longtemps sans contact avec plus physique avec elle, si bien qu'il couvrit le corps de la demoiselle de baisers fougueux et envoûtant. On pouvait dire, qu'il était largement moins méfiant, il se laissait aller lui aussi, même s'il ne quitterait jamais cette méfiance totalement -où du moins pas avant d'être sûr et certain que Cléo lui « appartienne totalement »-. Dans cette fougue, il retira son jogging, sans la moindre difficulté - en même temps, cette chose immonde était tellement ample que même avec trois grammes, il était facile de l'enlever-. Le jogging avait rejoint le pull, à l'autre bout de la pièce. Il pouvait maintenant, admirer entièrement la robe de la demoiselle dont il aurait pu deviner la couleur par son ombre à paupière. Avec son petit sourire, il ne put s'empêcher une petite remarque. « Je te préfère dans cette tenue. » Vraiment ? Comme si elle ne le savait pas déjà tiens ! N'importe quel homme aurait préféré cette si belle demoiselle dans une tenue pareille à celui-ci plutôt qu'avec son jogging et son pull trop large.
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Message(#) Sujet: Re: N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) EmptyLun 17 Jan 2011 - 17:38



Do you want

to play a game ?.


    MAX BLACKROSS & CLEO OFERSEN

    N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) Vyqvr7 N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) 15ebosw N°8001, Do you want to play a game ? (Cléo) 29nwlsn
    @ Dragon claws ; Bedshaped





Le pire en fait, c'était son regard. Il la perturbait et elle ne comprenait pas. Pourquoi aimait-il tant toute cette violence ? Elle savait que certaines personnes aimaient avoir du pouvoir sur les autres, mais à quel prix ? Comment pouvait-il être satisfait de la voir privé d'air, les joues brûlantes et les yeux inondés de larmes face à la douleur assaillante ? Non vraiment, elle ne parvenait pas à comprendre. Les questions se bousculaient dans son esprit, malgré que ce ne soit pas franchement le moment de réfléchir à tout ça. Mais c'était plus fort qu'elle. Avait-il toujours été ainsi ? Ou y avait-il un élément déclencheur dans son passé ? Peut-être était-ce tout simplement une dégénérescence de son cerveau, lui empêchant de faire la part entre ce qu'il se fait et ce qu'il ne se fait pas... Elle n'en savait rien mais la seule chose dont elle était sûre, c'était que ce regard l'effrayait. Elle craignait moins ces coups que ses yeux, si sombres, si sévères. Elle frissonna, mal à l'aise d'être fixée ainsi. Et pourtant, aussi paradoxal que cela puisse paraître, elle avait tant l'habitude de le voir avec ce regard que si un jour cela changeait, elle en serait d'autant plus perturbée et perdue. Elle avait besoin qu'il la regarde ainsi pour avoir des repères, pour savoir où elle en était, pour être sûre que tout était comme d'habitude. Cette sensation étrange la troublait et l'agaçait également. Comment pouvait-elle penser "avoir besoin" de ça pour s'y retrouver ? C'était absurde ! Mais c'était ainsi. Incapable de dire ce qui la rattachait à ce monstre, plus les jours passaient plus il lui était impossible de nier le lien spécial qui les unissait. Mais voilà, ils étaient liés l'un à l'autre, qu'ils le veuillent ou non. Et cette idée l'effrayait...

Elle lui avait demandé de lui lâcher la main, afin de pouvoir lui retirer son tee-shirt. Elle l'avait sentit hésiter, il se méfiait encore. Et il avait raison de se méfier, Cléo n'avait pas encore dit son dernier mot. Mais pas tout de suite, elle avait besoin de souffler, d'oublier les coups qu'elle venait déjà d'essuyer. Mais finalement, il lui lâcha le poignet et doucement elle porta sa main enfin libre en bas de son tee-shirt, non loin de l'autre et le retira rapidement, dévoilant alors le torse de Max. Et elle ne pu rester insensible face à ce corps bouillonnant qu'elle avait déjà sentit de nombreuses fois contre le sien. Son souffle s'accéléra alors que ses mains se baladaient sur Max. Quant à lui, il avait reprit ses folles embrassades, augmentant sensiblement l'excitation de la jeune femme. Frémissante, elle le laissait faire, bloquant son corps contre le sien. Elle leva les bras lorsqu'il retira son pull afin de dévoiler le haut de sa robe bustier. Il posa son regard sur elle et elle n'eut aucun mal à comprendre combien il appréciait le spectacle. Et ce fut plus fort qu'elle, mais elle apprécia de le voir la regarder ainsi. Néanmoins, à peine quelques secondes plus tard, elle secoua légèrement la tête afin de se sortir ça de l'esprit. Non, Max était un enfoiré et elle ne devait rien apprécier venant de lui. Rien. Et pourtant, il avait suffit qu'il se remette à parcourir son corps de baisers pour qu'elle oublie déjà ses "résolutions", échappant un soupire de plaisir. Elle glissa ses mains derrière sa nuque et remonta sa main droite jusque dans ses cheveux, maintenant sa tête contre elle, pour ne pas qu'il s'arrête. Elle ne voulait pas qu'il s'arrête. Et elle se détestait de désirer une telle chose.

En quelques secondes, il retira ensuite son jogging et l'envoya plus loin dans le salon, ne se souciant pas une seconde de là où il pourrait tomber. Encore une fois, il prit le temps de la regarder et elle se mordilla la lèvre, cherchant calmer les pulsions qui agitaient son corps à présent peu recouvert. « Je te préfère dans cette tenue. » Tu m'étonnes ! Cléo échappa rapidement un petit sourire amusé. Elle leva son regard sur lui, parcourant les traits de son visage. Pourquoi avait-il fallut qu'il soit ainsi ? En d'autres circonstances, Cléo aurait très bien pu s'enticher de lui. Son visage si parfait correspondait au genre d'hommes qui pouvaient lui plaire en temps normal. Et malgré la folie qui semblait habiter son regard et son esprit, elle le trouvait beau. C'était plus fort qu'elle. Elle avait beau vouloir le détester de toute ses forces, il lui plaisait d'une certaine manière. Elle prit une grande inspiration, il était temps qu'elle se reprenne ! Elle était en train de se laisser submerger par ses émotions et ses envies, ce n'était pas bon. Elle se hissa sur la pointe des pieds pour venir l'embrasser à nouveau, tandis que ses mains s'attaquaient à sa ceinture de pantalon pour la lui défaire. Mais au dernier moment, sans que personne ne s'y attende, elle leva brutalement son genoux et vint lui infliger un violent coup entre les jambes, bien placés. Aussitôt, elle sentit l'emprise de Max sur elle disparaitre alors qu'il reculait légèrement, plié en deux, se tenant les parties douloureuses. Cléo resta d'abord quelques secondes immobile, inquiète. Et puis, elle s'activa. Elle lâcha : « Au moins, ça prouve que tu as quelque chose entre les jambes ! » Puis elle fila, s'éloignant en courant de lui sachant pertinemment que quand il serait en état de la rattraper elle allait morfler, plus que jamais !

Mais là, elle avait largement le temps de quitter sa maison. Elle empoigna son sac sur le canapé et attrapa au vol ses affaires qui trainaient par terre. Ne prenant même pas la peine de se rhabiller -et tant pis si on la voyait dans une telle tenue dans la rue- elle fonça vers la porte d'entrée et actionna la poignée pour se sauver. Mais la poignée résista. La porte avait été refermée à clé, et les clés ne se trouvaient pas dans la serrure. Paniquée, elle déglutit et chercha dans l'entrée un endroit où ils auraient pu les poser. Malheureusement, elle ne vit rien. « Merde... merde ! » La panique grandissait en elle. Elle lâcha son sac et se mit à fouiller le meuble de l'entrée. Mais elle ne trouva rien. Et soudain, elle entendit alors des pas lourds venir du salon. Max arrivait et il n'était visiblement pas content du tout. Le cœur de la jeune femme s'emballa, ratant des battements. Ses mains tremblaient et elle ne voyait même plus ce qu'elle regardait. Il arriva alors dans l'entrée et aussitôt Cléo alla se blottir contre la porte d'entrée, s'accroupissant et protégeant son visage de ses mains, tétanisée et attendant son heure. Mais bordel, pourquoi avait-elle fait ça ?


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