Dakota avait perdu l’amour tellement de fois qu’il avait décidé de faire une pause dans les relations amoureuses et de voir les choses autrement. Garçon ou fille peut importe, ils iraient maintenant au feeling et ne se ferait plus avoir par des sentiments futiles, il devait perdre ce sentiment de faiblesse qu’était l’amour, il devait se fermer à tous sentiment pour éviter de souffrir. C’était ce qu’il était entrain de se dire à chaque fois qu’il était entrain de rassurer Basil sur son couple. Ce n’était pas vrai, il n’y avait rien de plus tragique que ce sentiment car c’est le plus destructeur. Dakota n’avait plus de sentiment pour Aaron c’était devenu clair, simple, il se demandait même si il y avait vraiment eu de l’amour pour lui. Ce demandant presque si il n’avait pas espéré depuis le début de voir Aaron dans le lit de quelqu’un d’autre pour se débarrasser et être enfin seul. Le véritable monstre c’était Dakota, lui, qui désirait quelqu’un qui ne pouvait pas avoir. Et de vilaine penser venait en tête et plus les sourires de ce dernier apparaissait sur le visage, plus les idées en tête devenait sombre et malsaine.

« Méfie toi d’Aaron… Je ne devrais peut être pas te le dire, mais il à toujours eu envie de récupérer Parfaite d’une certaine façon… Prouve-lui que tu l’aimes. »

Dakota sortis cette phrase cependant, prévenant son ami qu’il devait faire attention à Aaron. A moins qu’il ne disait indirectement ce que parfaite venait de lui déclarer et que Aaron Waterson pouvait devenir une menace sérieuse, ou simplement pour mettre un peu plus de doute dans la tête de l’écrivain anglais ? On ne pouvait savoir, Dakota était un garçon tellement sage et gentil. Il est important de préciser que vous ne connaissez pas l’une des facettes de Dakota. Il a bien réussi à cacher pendant plusieurs années le fait qu’il était abusé sexuellement par son « professeur ». D’ailleurs pourquoi ne sait-il jamais rebeller avec Victoria ? Pourquoi non t’il pas tenter de le dénoncer à la police ? Et si les déclarations n’étaient que mensonge, et si Jack n’était pas réellement son fils ? Une chose est sur c’est qu’il faut toujours se méfier des apparences, les personnes les plus attentionnées et les plus sympathiques sont celles qui on le plus de chose à cacher.