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 N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE.

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N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. - Page 3 Vide
Message(#) Sujet: Re: N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. - Page 3 EmptyLun 4 Jan 2010 - 14:59


Cappie écarquilla les yeux, il mange plus tôt comme les anglais ? Pourtant, en tant qu'anglaise de pure souche, Cappie n'avait jamais mangé plus tôt que toute autre civilisation. Non mais.. Quelle idée bizarre, non ? Elle se contenta pourtant d'hausser les épaules un peu interloqué par cette remarque. Les muffins.. toujours les muffins, décidément leurs sujets de conversations seraient bien inexistants sir les muffins de Cappie n'existait pas. Amen. Elle sauve la mise cette jeune demoiselle. « Un régime particulier ? Comme les vampires c'est ça ? Tu es Edward Cullen ? » plaisanta-elle. Le fameux Cullen dont tout le monde parlait, le merveilleux anglais de la saga Twilight - qui n'avait, selon elle, rien de bien intéressant à regarder mais passons. Il n'empêche qu'elle le taquinait grandement, comme s'il s'agissait d'un bon ami de longue date, comme si ce canapé avait déjà abrité une soirée télé ou le jardin un barbecue. Pourtant c'est tout naturellement qu'elle réagissait ainsi, sans chercher à mettre quiconque à l'aise. Peut-être, au final, étaient-ils fais pour bien se comprendre ?
Sa réaction sembla.. suspecte. Oui, il était suspect depuis un petit moment, comme s'il se retenait.. « Tu es bizarres des fois. » lui avoua-t-elle sans rechigner, en se pinçant légèrement les lèvres.

Et elle finit par rire, lui un as de la pelouse ? Ca, elle demandait à le constater de ses yeux noisettes. Un as de la dégustation de muffins, en effet, de la verdure de Sheldon, à voir. Quoi que, il pouvait aisément avoir cette étiquette de jeune américain, celui qu'on voit dans beaucoup de séries et qui est véritablement un pro pour tondre une pelouse. « T'es taré ! » Vrai. Complètement. Diablement. Follement. Taré et d'une innocence folle à l'entendre parler. Aussi taré que Cappie était soit disant violente. Une petite tapote de rien du tout et monsieur se plaignait ? Le bougre ! Les petites mains de Cap' ne pouvaient strictement rien contre lui. Ah ? Il en fut d'accord.. et elle rit encore une fois, mourir avec un de ces muffins ? Ce serait quand même très suspect, non ? « Je promets de laisser un petit panier de muffins dans ta tombe, si jamais. Peut-être que Dieu te renverra sur terre à la manière de George Clooney si jamais tu les lui donnes ? » Accro à la pub, cela se constatait de suite. Elle et ses références mythiques. « Et si en plus tu lui files des pancakes alors là, il va te vouer un culte ! » De quoi traduire cette phrase par : moi, mademoiselle Sheldon, je fais des merveilles dans ma cuisine, des merveilles qui peuvent faire changer le vieux crouton là-haut d'avis. Ne serait-ce pas merveilleux ?
« Bon, je vais en faire, j'ai envie, allez. » se motiva-t-elle toute seule en enfilant son tee-shirt - toujours cachée sous son drap et son bas de pyjama pour se retrouver dans sa grande et spacieuse cuisine, ne sachant pas réellement ce que Landon allait faire ? Attendre dans le salon, s'en aller ou l'aider ? Aucune idée. De ce fait, elle décida de commencer seule cette confection aussi simple qu'une pâte à crêpe et qui se limitait à utiliser farine, oeufs, sucres et compagnie. Simple comme bonjour !
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N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. - Page 3 Vide
Message(#) Sujet: Re: N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. - Page 3 EmptyLun 4 Jan 2010 - 17:21

    Landon vivait beaucoup de clichés. Ainsi, il avait conclu hâtivement que chaque anglais dinait à 6 heures du soir, alors qu’en réalité, les anglais mangeaient souvent une petite collation à six heures avant de remanger à sept heures, et là encore tout dépendait des familles… Il crut d’ailleurs comprendre que cette remarque avait pas mal choqué l’anglaise, qui partit dans un délire quelque peu loufoque, voire même totalement ridicule, burlesque. Il n’en trouvait pas les mots tant il riait aux éclats. « Ne me compares pas à cette merde ambulante, je crois que c’est la première fois que je considère une insulte comme un affront ! » Puis reprenant son calme, cessant de rire, il reprit : « Non je joue au baseball le soir, et parfois aussi au football, ainsi que d’autres sports, donc pour être en forme je mange des pâtes tous les soirs ! » Conscient que ça pouvait paraitre anodin, il se reprit : « Enfin, c’est pas important. » Il commençait à raconter sa vie, or, deux amants ne savaient techniquement rien l’un de l’autre, et il ne voulait toujours pas éveiller le moindre soupçon. Ne savant plus trop où donner de la tête, et ayant remarqué que Cappie se doutait bien que quelque chose se tramait, il haussa les épaules, et il rétorqua tout de suite : « Ah parce que toi tu n’es pas bizarre ? » Il ne l’accusait pas, son ton n’avait rien d’agressif, mais une légère frustration tintait ses paroles, comme s’il voulait qu’on oublie ses réactions. Landon avait aussi ses propres faiblesses.

    Taré, oui il l’était légèrement. Mais c’était bel et bien la première fois qu’il en prenait conscience, lui qui était plutôt calculateur, et qui ne laissait rien au hasard. Etait-ce ce ressenti étrange qui le rendait aussi euphorique, ou même trop paniqué, voire même indéfinissable tant il se comportait différemment avec elle et les autres. Il y avait un immense trou noir entre les deux, comme s’il venait d’une autre planète, et qu’il avait pris l’apparence physique du cadet Newbury. Sa satisfaction résidait en revanche dans sa capacité à la faire rire. Ca faisait déjà plusieurs fois, mais toujours était-il qu’il ne la ferait probablement pas rire s’il se comportait comme d’habitude, de façon normale, et donc par conséquent désagréable. « Et après tu dis que c’est moi le taré ? Je te savais pas croyante…On en apprend tous les jours. » Oui il en apprenait des belles, surtout qu’elle était à bloc sur la télévision. Elle devait y passer les trois quarts de son temps libre. Aussi, il se laissa divaguer à une petite plaisanterie : « Je comprends mieux pourquoi tu as quand même un peu de graisse sur le ventre…Tu t’empâtes en regardant la télé trop souvent… » Oh… il avait été un brin méchant. Même si ça n’était qu’une plaisanterie, parce qu’elle était fausse, il pouvait la vexer en parlant ainsi. Là on retrouvait presque le véritable Landon.

    Elle se leva soudainement, direction sa cuisine. Elle comptait vraiment faire des pancakes, aucun sous entendu là-dessous, dommage… Quand elle se leva, il se surprit une nouvelle fois à se mordiller la lèvre, n’arrivant toujours pas à réaliser ce qui venait de se passer. Que faire à présent ? Bonne question. Pourquoi rester sur le canapé à rien faire ? Il attrapa son t-shirt qu’il revêtit rapidement, avant de se lever en direction du poisson pour lui dire discrètement : « Espèce de pervers… » Oui il aimait bien le poisson apparemment…. Puis il rejoignit Cappie dans la cuisine, et il s’accouda au plan de travail, la regardant faire, comme s’il allait lui dire quelque chose… Il sourit avant de reprendre son sérieux, contemplant la ravissante anglaise à l’œuvre. Et il finit par briser le silence : « T’as besoin d’aide ? »
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Message(#) Sujet: Re: N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. - Page 3 EmptyLun 4 Jan 2010 - 19:45


Edward Cullen n'avait pas la côte chez monsieur Newburry. Intéressant, très intéressant, de quoi ravir la jeune demoiselle. Enfin un point ou il était capable de prendre la mouche. Parfait, parfait, elle s'en servirait aisément si jamais il la taquinait un peu, histoire que les rôles soient échangés de temps en temps. Bien que depuis un petit moment, Cappie semblait avoir le dessus sur lui. Une aubaine, une première, un miracle presque, dont elle profitait quelque peu en se mettant un peu plus à l'aise chez elle, tout de même. « Landon Cullen. » continua-t-elle en souriant, avant de reprendre directement : « Ah je vois, un grand sportif ! » Futur star ? C'était - en général - le rêve de tous les petits américains mâles, devenir une star du football américain ou du baseball, équivalent en Europe du Foot tout court. Cappie l'imaginait parfaitement dans ce rôle du superstar de la balle, allez savoir pourquoi. « Oh, ça me permet de savoir des trucs sur toi.. » En gros, ça leur permettait surtout de faire connaissance avant tout. Hormis qu'il était et son voisin et qu'il n'habitait pas loin, la jeune anglaise ne connaissait rien du tout de lui, absolument rien. « Moi ? Bizarre ? Je suis parfaitement normale, monsieur ! » Non mais oh.

Croyante ? Cappie Sheldon croyante ? A la bonne heure. La blague de la journée, excellente même, à se tordre de rire. Non mais vous l'imaginez aller à l'église tous les dimanches ? Prier tous les soirs le Seigneur ? De plus, elle était une pècheresse la jeune enfant. Elle venait de commettre le pêcher de chair avec un parfait inconnu, avec qui elle n'était même pas mariée, premièrement. Ensuite, en plein divorce, là aussi il s'agissait d'un pêcher. La bougresse. Définitivement, il était impossible pour elle d'être une fervente croyante et heureusement pour lui. « Amen mon cher, amen. » se contenta-t-elle de répondre simplement.
Mais lui, commis le pire pêcher aux yeux d'une femme : le poids ! Se rendait-il seulement compte sur quel chemin il s'aventurait ? Les yeux de Cappie s'écarquillèrent brusquement. « QUOI !? » pause. « Comment oses-tu, espèce d'ingrat ! » nouvelle pause. « De toute manière je préfère avoir un peu de graisse comme tu le dis que de n'être plate comme une planche de pain. » Et toc. Vrai en plus. Ou est l'intérêt de vénérer ces choses dans les magazines n'ayant aucunes formes ? Poubelle !

La confection des muffins se passa bien, presque, tripotant ses ingrédients et sa pâte lisse, Landon fit finalement irruption dans la pièce, lui demandant poliment si elle avait besoin d'aide. « De l'aide ? » Elle fit mine de réfléchir, saisit son paquet de farine et lui envoya une flopée en pleine gueule avant de reposer le tout doucement. « Oui, tu peux laver ce bordel, merci. » Avait-elle signer son arrêt de mort ? Eh bien, c'était fort possible. Mais en demoiselle courageuse elle ne bougea pas et continua de mélanger sa pâte, prête à connaître les foudres de son interlocuteur.
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Message(#) Sujet: Re: N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. - Page 3 EmptyLun 4 Jan 2010 - 21:22

    Edward Cullen. Etre associé à un personnage d’un bouquin. Tout mais sauf ça ! Il était si peu intéressant alors ? Evidemment, si on l’associait à un personnage fictif, bien que rendu célèbre par un acteur inconnu au bataillon et maintenant aussi célèbre que Brad Pitt, c’était bien qu’il était inintéressant. On préférait la compagnie du livre, à la sienne. Très bien, il prenait note. Il ne regarderait pas Twilight pour autant, mais il notait ça dans un coin de sa tête, histoire de paraitre la prochaine fois, plus intéressant qu’Edward Cullen. Elle continuait d’ailleurs à l’ennuyer avec ça. Il avança son visage vers elle avant de rétorquer comme un malpropre : « Je doute qu’Edward Cullen soit capable de te faire l’amour comme je viens si justement de le faire. » ( Arrow )Grand sportif oui, et dans tous les sens du terme. Mais non il ne ferait pas comme tous ces jeunes qui n’aspiraient qu’à ça pour la reconnaissance des autres. Non lui il voulait être un grand manitou des affaires, celui qui serait capable d’envoyer Bill Gates aux oubliettes, et qui rivaliserait avec tous les milliardaires du monde. Personne ne lui résisterait. Et on se souviendrait de lui comme avoir été l’une des figures de ce siècle, et pas un sportif qui arrêterait sa carrière au bout de 15 ans. « Oui peut être, mais je ne pense pas que ce soit ce dont tu aies envie. » Direct Landon ? Oui, mais c’était dans un souci de faire oublier ce que lui avait en tête, car ses fantasmes ne s’arrêtaient pas à coucher sur un canapé, et n’étaient pas tous liés au sexe. Vous me direz, en commençant comme ça, on ne peut pas construire quelque chose de sérieux derrière, sauf si dans les deux têtes, ce penchant était réciproque, ce qui pour Landon n’avait pas l’air d’être le cas. Normale elle ? Un rictus vint de nouveau sur les lèvres du jeune Newbury, il se moquait même ouvertement d’elle : « Toi, normale ? Laisses-moi rire ! Tu laisses ta fenêtre ouverte alors que tu as pas fini de prendre ta douche, tu descends en petite tenue pour poursuivre un inconnu, et tu…fais comme si de rien n’était, comme si tout était parfaitement normal. » Sa phrase laissée en suspend, il avait gagné en sérieux petit à petit.

    Il savait bel et bien qu’elle n’avait rien de croyante, elle était trop différente de ses parents, qui eux l’étaient, et bien qu’il fasse style d’approuver leur choix, il n’en était rien, il méprisait la religion, mais il avait été élevé comme un petit sain, il connaissait les prières par cœur, et dans la maison Newbury, on pouvait toujours y trouver la photo de sa première communion, quel souvenir honteux. Il rit à l’emportement de Cappie en ce qui concernait son poids. Elle avait beau avoir un corps de rêve, et beaucoup d’hommes ne diraient pas le contraire, peut être même tous, mais elle faisait quand même un complexe. Les femmes, toujours là pour distraire les hommes… Il répondit sans s’arrêter de rire, en la rassurant : « Mais oui, comme si toi t’avais de la graisse, t’as le corps dont rêvent toutes les jeunes filles j’imagine… Jolie poitrine, joli minois, et ventre plat. » Landon repartait toujours sur le culte du corps. Il était en même temps bien obligé. Elle le soupçonnerait trop sinon. Si ce n’était pas déjà fait.

    Finalement, ce n’était pas lui l’enfant, mais bien elle. A peine fit-il éruption dans la cuisine, qu’elle lui balança de la farine en pleine poire. Superbe aide dites donc. Il leva les yeux au ciel, et se frotta la figure avec un torchon qui passait par là pour arranger sa gueule d’ange. Il ne réagit pourtant pas tout de suite. Non, il se contenta de la regarder encore confectionner ses pancakes, quand il attrapa la bouteille de lait qui se trouvait devant eux. Il se mit à boire au goulot, et passa derrière Cappie, avant de dire, soulevant le décolleté de la jeune femme, qui était occupée à faire sa pate : « La vengeance est un plat qui se mange froid…Profite bien du lait pour allaiter… » Et voilà, il l’avait fait. Il avait déversé tout le contenu de la bouteille de lait, dans le décolleté de la jeune fille. Il ne manquait plus que les œufs et à eux deux, ils feraient un joli gateau.
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N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. - Page 3 Vide
Message(#) Sujet: Re: N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. - Page 3 EmptyMar 5 Jan 2010 - 13:47


Bouche-bée, après ses dires, la jeune Cappie Sheldon ne trouva plus mot à rajouter. Sa phrase, aussi crue soit-elle, fit tout de même sourire la jeune femme, mais timidement. Comme si elle n'en n'avait guère le droit. C'était le cas. Culpabilisée, même si cela ne se voyait pas, Cappie préférait changer de sujet et de situation (chose qu'elle faisait depuis un moment) plutôt que d'affronter la question du "et maintenant que fait-on ?". Car honnêtement elle n'aurait guère su quoi comprendre, bien qu'étant la plus mûre dans cette situation. Elle se sentait perdue, troublée, pas accablée mais presque, comme si elle devait à elle seule porter ce désormais secret. Elle ne savait pas pourquoi, mais au fond d'elle, elle avait réellement peur que Landon ne vende la mèche à ne sait qui. Vous voyez ? Le genre à le dire à ses amis pour plaisanter ou faire son intéressant, même sans penser à mal. On ne faisait pas toujours attention à nos paroles.. Pauve Cappie, criblée de questions sans réponses et en proie à des doutes grandissants. Elle choisit tout de même de répondre sur un ton plutôt sympathique : « Qu'est ce que t'es con quand tu t'y mets ! ». Evidemment, elle plaisantait, quoi qu'être un con ne semblait pas être une insulte suprême, loin de là.
Il marquait un point. Cappie n'avait rien d'une femme normale. L'épisode de la salle de bain en disait long. A Londres, elle le faisait toujours mais n'ayant aucunes fenêtres qui donnaient sur une route, elle n'avait jamais connu ce genre de problème.. jusqu'à ce que Landon ne débarque sous sa fenêtre. D'ailleurs il était encore possible de se demander pourquoi elle l'avait poursuivit en petite tenue ? Allez savoir, tout ne s'explique pas. Peut-être avait-elle dans l'espoir de lui faire avaler sa serviette à ce petit filou ! De toute manière, il fut bien trop rapide pour elle. Ce jour là fut mémorable, pire encore, il fut d'une stupidité profonde qui la fit sourire rien qu'en y pensant. « Mais tout est parfaitement normal. » lui répondit-elle en haussant les épaules, ne cherchant même pas à expliquer ses paroles quelques peu superflues.

Compliments sur compliments, il voulait quoi ? En général les compliments et gentillesse amenaient à demander quelque chose, n'importe quoi, mais dans son cas les demandes étaient limités vu le peu de chose qu'ils avaient ou pouvait faire ensemble (..) Non, stop. Cappie chassa cette idée de sa tête, de peur qu'il n'ait pas pensé à ça et change d'avis, subitement. De ce fait, elle sourie simplement, se grattant la tête, gênée par tant de sympathie de sa part, ne sachant pas comment prendre tout cela. « Hum, merci.. mais pas si parfaite tout de même. » se sentit-elle obligée de préciser, se trouvant pas mal de défaut à première vue : trop grosse cuisse, trop de ventre comme il l'avait dit, mais bien entendu rien de méchant car elle se contentait de ce corps non parfait. La perfection n'avait pas du bon chez elle. Les petites formes par ci par là lui convenait grandement.

La pâte à pancakes était juste sublime, parfaite, rien à redire, lisse comme il le fallait. Mais non, Landon dû se venger de la blague de la jeune femme à ce moment là. Le contenu d'une bouteille de lait vint se loger dans le décolleté de la jeune femme, une partie finit dans la sublime pâte de Cappie et le reste sur le sol. Evidemment, elle lâcha tout, fit un pas en arrière et se mit en hurler en levant les bras au ciel : « Je vais te frapper ! » et elle saisit la première chose qui lui tomba sous la main : un fouet. Un merveilleux fouet qu'elle lança sur Landon pile dans le ventre, ce qu'elle savait viser cette petite..
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N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. - Page 3 Vide
Message(#) Sujet: Re: N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. - Page 3 EmptyMar 5 Jan 2010 - 14:37

    Sa phrase avait pu paraitre mal élevée, mal choisie, ou définitivement hors sujet pour Cappie, mais Landon en était assez fier. Il maitrisait toutes sortes de langage, il pouvait s’exprimer comme un homme de l’aristocratie, ou encore comme le beauf des quartiers, c’était là toute l’intelligence du garçon qui s’adaptait à toutes les situations, et quand il en avait marre qu’on se paye sa tête, il changeait de comportement à tout bout de champ. Il semblait ne se soucier de rien, comme si ce n’était pas ses affaires, il prenait la vie comme elle venait, il n’avait de comptes à rendre à qui que ce soit, pas même à ses parents, même en étant mineur. De toute manière, il ne se trahirait pas lui-même c’était certain. Après ce qu’il venait de se passer, il n’allait pas non plus le crier sur tous les toits. Il savait qui il était, de quelle famille il venait, mais aussi ce qu’il risquait en venant ici par son jeune âge. Il ne manquerait plus que ses parents commencent à le voir comme Kyle, son frère, qui avait tout fait de travers.

    Ah, elle prenait sa phrase sur le ton de la rigolade, tant mieux pour lui, ça lui éviterait de se justifier. Il lui décocha même un sourire, signe qu’il ne le prenait pas mal, de toute façon il n’y avait aucune raison à cela. Il n’avait même pas envie de débattre sur le sujet de la normalité, car lui non plus n’était pas normal. Il se sentait supérieur aux autres. D’ailleurs ce sentiment de domination ne disparaissait pas avec Cappie, il se sentait supérieur à elle, capable de renverser la situation. L’excès de confiance n’est pas bon pour la santé jeune Newbury…Et il devrait l’apprendre bien assez tôt, car il n’avait plus de faiblesse qui ne le pensait.

    Il en avait vu passer des jeunes filles, et toutes les plus ravissantes les unes que les autres, mais jamais il n’était parvenu à s’attacher ainsi, comme si tel un fantôme, il avait un gout d’inachevé. On allait bientôt le surnommer Casper, bien qu’il n’ait rien d’adorable, contrairement à ce petit fantôme. Ce qui le choquait grandement, c’était le manque d’assurance de la jeune anglaise, qui semblait pourtant à première vue très sure d’elle, quoique timbrée. Elle semblait gênée des compliments de Landon, tandis que les autres filles n’avaient jamais agi de la sorte avec lui, elles se prenaient toutes pour des princesses. C’était peut être ça la différence avec une femme un peu plus vieille que lui…Bien qu’il ait déjà tenté l’expérience avec d’autres plus vieilles que lui ? Non, alors c’était autre chose. Qu’est ce qui le retenait ? Qu’est ce qui le poussait à rester là, à vouloir passer du temps avec elle. Il était incapable de trouver la raison. En revanche, il tenta de trouver une explication à son manque terrible d’assurance : « T’es pas obligée d’être complexée à ce point-là, tu sais, ça fera pas de toi une femme plus appréciée au contraire… » Franc, direct. Landon refusait de devoir plaindre une quelconque femme. Après tout, elles étaient maitresses de leur corps, et pouvaient le façonner à leur manière. Le souci résidait dans l’éternel complexe du culte du physique. Les planches à pain, comme elle l’avait dit un peu plus tôt, n’avait rien d’attrayant, même pour un homme qui se souciait du physique de sa maitresse.

    La bouteille de lait, c’était évidemment une très mauvaise idée. Il en avait juste foutu de partout. Pas étonnant qu’elle ait tempêté dans le quart de seconde qui suivait. Elle lui balança même un fouet en plein dans le ventre. Un fouet. Ce n’était pas ce qui faisait de plus mal. Il en rit, et il le ramassa, avant de le contempler un instant : « Quel objet dévastateur… » Il se foutait légèrement de sa gueule, et à la voir pleine de lait, c’était un drôle de spectacle, et pourtant… Landon fit un pas, plus un autre en avant, il s’approcha de Cappie…le cercle vicieux reprenait, il se laissait aller à ses pulsions. Se collant contre elle, il l’embrassa, tant pis pour son t-shirt. Pauvre Rufus le poisson rouge, cette fois-ci, il ne pouvait pas assister à la scène…
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Message(#) Sujet: Re: N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. - Page 3 EmptyJeu 7 Jan 2010 - 13:26


Là était peut-être, tout le problème. L'excés de confiance du jeune Newbury. Cappie le constatait bien : il ne se gênait pas, pour rien, se croyait déjà chez lui et faisait ce que bon lui semblait. Non, cette attitude ne la gênait pas cependant trop de confiance ne tuerait-il pas la confiance ? Elle le voyait là, faire le beau, comme un petit chien, agitant sa queue. Il agitait presque sa fierté sous le nez de la jeune femme. Il possédait un certain charisme et une estime de soi au plus haut point. Mais à faire trop, l'ange ne se brûlerait-il pas les ailes ? Certes c'est ainsi qu'il avait obtenu Cappie dans son propre canapé, et après ? Cette tactique ne fonctionnerait plus. Paroles de la brune. Il devrait peut-être en changer ? Mais en avait-il seulement conscience ? Il continuait dans cette voie sans se soucier du reste, sans se soucier des conséquences.

Il fut franc avec elle, direct dans sa manière de dire les choses. Certains appréciaient, d'autres non. Cappie haussa les épaules et répondit de suite : « Je ne cherche pas à être apprécié. » Tac. Elle était complexée et alors ? C'était là sa nature et elle ne changerait guère cela pour lui, pour sa belle gueule. Certes ses complexes étaient ses problèmes, elle pouvait aisément les changer à coup de régime et compagnie. Cependant, qu'il ne s'imagine rien, elle ne s'attendait pas à ce qu'il fasse le gentleman et lui avouant que non, elle était parfaite. Paraître modeste pour obtenir des compliments n'étaient pas dans le caractère de la jeune Sheldon.

Evidemment, un fouet n'avait rien d'une arme mortel, c'était bien plus ridicule qu'autre chose mais c'était avant tout le seul objet qui lui était tombé sous la main. Qu'il soit heureux qu'il ne s'agissait pas d'un fouet électrique, aïe.. Il se foutait d'elle, en plus. Un petit con arrogant qui arracha un soupir à la jeune femme, qui elle, réfléchissait activement à une vengeance plus.. concrète et moins.. stupide. Mais elle n'eut pas le temps et fut prise au dépourvu par Landon, qui prenait sa confiance en lui à deux mains et finit - presque - par se jeter sur elle, l'embrassant sans retenu. Légèrement étonnée, Cappie laissa passer quelques secondes, ses neurones s'activèrent directement et le seul moyen qu'elle trouva pour se sortir de cette situation sans explications superflus fut la pâte à pancakes dans laquelle elle plongea sa main. Oui.. cette main vint s'écraser directement sur le visage du jeune Newbury, l'obligeant ainsi à se détacher d'elle. Pauvre petit. Elle fit la maligne et sourit, satisfaite. « C'était trop tentant, un petit masque de pancakes, tu en avais besoin. » Evidemment, il se vengerait, elle le savait. Voilà pourquoi elle fit quelques pas sur le côté, sans pour autant prendre la fuite. Il voulait jouer à qui était le plus malin ? Bien. Mais Sheldon avait des arguments en béton de ce côté.

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Message(#) Sujet: Re: N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. - Page 3 EmptyJeu 7 Jan 2010 - 20:44

    L’heure tournait. Landon était toujours là, bien à l’aise chez Cappie Sheldon. Il demeurait certain qu’il y resterait encore longtemps d’ailleurs. Il n’avait pas envie de s’en aller. Pourtant, il ne pouvait exiger plus de la jeune anglaise, elle ne lui offrirait pas plus à part quelques mets délicieux, pour le reste il devrait repasser, à moins qu’il veuille uniquement jouer avec elle, comme c’était le cas dans la cuisine à présent. On aurait dit deux grands enfants, ils faisaient la cuisine à la manière de maternelles, se chamaillant pour avoir le dernier mot, pire qu’un dessin fait à la peinture, ils en avaient déjà de partout. Le lait gisait au sol et sur les vêtements de Cappie, et avait imbibé ceux de Landon puisqu’il s’était collé à elle un peu plus tôt pour continuer dans son petit jeu mesquin, mais appréciable autant pour l’un que pour l’autre. Landon n’avait en fait pas eu d’enfance, donc ces moments étaient rares… Il avait toujours voulu être un adulte, et c’était peut être en ça que c’était regrettable, la famille Newbury ayant un gamin sérieux et mignon, en avait dérobé ses meilleurs moments, pas sur qu’il en soit heureux plus tard. Mais à ce moment-là, il pouvait jouir de moments enfantins, comme s’il était parti faire un tour au pays imaginaire, avec Peter Pan et les enfants perdus, et Cappie était sa Wendy.

    Pourtant, même s’il s’amusait franchement, et il n’aurait pas honte de le dire, son ressenti intérieur, faisait qu’il retournait de nouveau à ses occupations de grand, c'est-à-dire, l’embrasser à pleine bouche, comme si elle était un trophée. Pourtant, même si elle ne le repoussait pas, elle n’avait pas l’air de rechercher la même chose. Mais ce qui venait en tête à Landon à ce moment-là, c’était cette question : Pourquoi s’acharnait-elle à le gâter avec des sucreries en tous genres, pourquoi ne le virait-elle pas de chez elle, alors qu’elle venait de se jeter dans les bras d’un inconnu, et qu’elle ne voulait surement pas aller plus loin ? A moins qu’elle s’y soit attachée à ce grand gaillard, comme si ses paroles n’étaient que des mensonges, pour qu’il arrête de s’acharner, mais qu’en fin de compte elle y trouvait son compte. Si elle savait…Si elle savait que Landon ne voulait pas seulement être son amant d’un jour, mais bien plus, bien que lui-même l’ignorait, ou ne laissait rien transparaitre.


    La riposte de Cappie au baiser de Landon ne se fit pas attendre…Elle arriva plus vite qu’il n’y paraissait, bien que le jeune Newbury la déroute drôlement par son attitude des plus poussives. Il se reçu une bonne tarte de pâte à Pancakes sur le visage. Drôle de sensation. C’était même désagréable, pâteux, il en grimaça vivement, comme s’il était dégouté. Puis, d’un geste vif de la main, il s’enleva le surplus de pâte sur le visage en grommelant : « C’est malin, je vais devoir rendre des comptes en rentrant… » Et il était sérieux, pourri sur l’ensemble de ses vêtements, il allait dire quoi à ses parents ? Qu’il y avait une crêpes party à la bibliothèque ? Ca ne le faisait pas du tout… Il s’arrêta soudainement de jouer, comme si de recevoir de la pâte sur le visage ça l’avait vexé, et il ajouta : « Maintenant que t’as mis ta main dedans, j’en veux plus… » Réaction typique de l’enfant dégouté, qui en plus, s’approcha de l’évier, pour se laver les mains, bien élevé, avant de se frotter énergiquement la joue. Puis il enleva son t-shirt, et le passa à son tour sous l’eau, avant de le nettoyer aux endroits pleins de tâches de pâte à pancakes. Peter Pan avait soudainement grandi. Il leva les yeux au ciel, comme reprochant à Cappie d’être une gamine…Mais soudainement le t-shirt trempé vola à travers la salle, et atterri dans le visage de Cappie. Drôle de sensation non ?
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Message(#) Sujet: Re: N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. - Page 3 EmptyVen 8 Jan 2010 - 16:31

La situation était bizarre. Cappie était bizarre ? Pourquoi Landon était-il toujours chez elle ? Fous le donc dehors à coups de pieds aux fesses - adorables les fesses d'ailleurs - hum bref. A vrai dire, elle même ne savait pas pourquoi elle lui proposait des muffins et pancakes alors que quelques temps plus tôt elle le haïssait plus que tout. Il est peut-être possible de dire que la jeune femme avait trouvé en lui un type plutôt sympathique, assez arrogant et poussif mais dans le caractère semblait bien lui plaire. Après tout un amant d'un temps ne pouvait-il pas se transformer en une personne appréciable ? Dans les films américains, Landon aurait déjà terminé dehors, jaillissant par la fenêtre en caleçon ou nu pour éviter un mari, une amie, une quelconque personne pouvant découvrir le terrible secret les liant désormais.

Et Cappie sourie, légèrement. Rendre des comptes ? Mais à qui ? La jeune femme arqua un sourcil, comme sceptique sur cette réponse. « Des comptes à qui ? » Le pire traversa son esprit : il était peut être marié ? Avec une merveilleuse jeune femme qui se demanderait ce qui lui était arrivé. Ou bien.. ou bien.. non, rien d'autre ne lui vint à l'esprit mais l'espace d'un instant elle prit presque peur, attendant une réponse insolite et décadente. Ou alors, encore une fois, Landon se lançerait dans une réponse floue ou agressive, un truc incompréhensible dont on ne voulait même pas connaître la suite.
Finalement il prit la mouche, pauvre petit. Mais cette fois-ci elle ne s'en amusa pas, loin de là et se contenta de soupirer en haussant les épaules, pensant qu'elle avait mal fait de la laisser rester chez elle finalement. Elle l'observa sans rien dire se débarbouiller et laver son tee-shirt. Et en l'espace de trois secondes, elle reçue cette chose mouillée en pleine poire, tellement humide qu'il glissa tout seul de son visage. La pauvre anglaise était trempée, la bouche ouverte, étonnée qu'il est riposté après ses paroles et son attitude. « Ah c'est comme ça ? » s'enquit-elle en arquant un sourcil, l'air maligne. Sheldon se baissa, ramassant le tee-shirt humide et se dirigea d'un pas tranquille vers la fenêtre de la cuisine, qu'elle ouvrit avant de balancer le dit tee-shirt par la fenêtre. Le pauvre atteris dans les fleurs, de somptueuse pétunias.. on s'en fout. Evidemment elle n'avait pas pensé à la suite des évènements, du genre : qu'allait dire les voisins lorsqu'il verrait cela dans son jardin ? Ou bien, quand Landon devrait rentrer chez lui, il devrait sortir torse nu de chez elle, de quoi se poser un tas de questions, non ? Vu sous cet angle, c'était moyen comme manière de se venger (..)
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Message(#) Sujet: Re: N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. - Page 3 EmptyVen 8 Jan 2010 - 17:54

    Tout de suite, les comptes à rendre l’avait surprise. Il ne s’en était même pas rendu compte à vrai dire, et il se mettait dans une situation pas possible tout seul. Mais Landon avait encore toute sa tête, et connaissait déjà la réponse – fausse certes, mais Landon était un garçon qui maniait aussi bien le mensonge que la vérité. Elle s’attendait à quoi ? Qu’il dise qu’il vivait chez ses parents ? De toute manière, elle devait penser qu’il n’était pas majeur, puisqu’elle le lui avait dit plus tôt dans la matinée. Il ne l’avait pas confirmé, mais il pouvait toujours dire qu’il était bien plus jeune, peu importait ce qu’elle pensait, il avait déjà eu ce qu’il voulait. Enfin, ce qu’elle pensait. Arquant un sourcil, il haussa ensuite les épaules par désinvolture : « Eh bien à Aurora. » Ce qu’elle ne savait pas, c’était qu’Aurora était la bonne de la maison, une vieille dame qui avait vu Landon grandir, qui lui changeait même les couches quand il était petit. Il était sur qu’elle allait commencer à en faire toute une histoire, et c’était ça qui s’avérait intéressant, Landon poussait toujours le vice un peu plus loin…

    Pourquoi diable lui avait-il balancé son t-shirt en pleine poire ? Aucune idée, il s’essoufflait peut être en créativité. Et pourtant comme un adolescent débile, ça le faisait rire. Oui ça aurait fait rire beaucoup de gens, mais pas la personne qui se le prend en pleine poire, il faut le dire, un t-shirt trempé, lancé à pleine vitesse dans la figure de quelqu’un, ça fait mal. Pourtant il ne riait pas ouvertement, il se vengeait juste cette expression de malice sur le visage, comme s’il attendait de pied ferme qu’elle le punisse. Masochiste. Il s’attendait à ce qu’elle perde patience, ou qu’elle riposte de façon telle qu’il n’aurait plus d’autre choix que de se rendre, comme les indiens se rendant aux cowboys… Mais non, sa réaction l’étonnait. Elle saisit le t-shirt qui ressemblait plus à une serpillère à ce moment, et elle le jeta littéralement dans ses fleurs. Intriguant. Mais le jeune Newbury ne cilla même pas. Il ne broncha pas, se contentant de regarder Cappie dans les yeux, et de dire : « Et ? » Il n’avait rien d’autre à dire, il était dans l’attente de quelque chose, après tout, s’il sortait torse nu, c’était elle qui allait en subir les conséquences, pas lui. Mais il perdit très vite son sérieux, mimant presque un rire : « Oh je vois ! En fait tu le trouves tellement peu utile que tu t’en débarrasse, comme ça tu peux mater tranquille, vieille perverse ! » A sa place, je déguerpirais vite. Vieille et perverse pour Cappie, ça n’allait pas faire bon ménage… Et pourtant Landon persistait à rester dans cette cuisine – ce champ de bataille – qui l’amusait, bien qu’il soit inutile de vous démontrer par a+b qu’il préférait bel et bien autre chose. Ce n’était pas forcément Cappie la perverse, mais bien ce jeune homme au caractère bien trempé – dont le t-shirt s’avérait l’être aussi, gisant dans les pétunias.
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Message(#) Sujet: Re: N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. - Page 3 EmptyVen 8 Jan 2010 - 20:25


Aurora ? Le faisait-il exprès de la laisser ainsi dans le flou ? Nan mais, quel sale gosse. D'accord, après tout, elle n'avait pas à tout connaître de lui, là n'était pas - apparemment - le but de leur relation. Pourtant, la jeune Cappie ne pouvait s'empêcher d'être curieuse à l'égard de cette fameuse Aurora. Qui était-elle ? Une soeur ? Une mère ? Non, elle n'aurait pas précise le prénom à première vue. Une femme ? De même. Alors, sans réellement pouvoir s'en empêcher, elle se sentit obligé de lui poser directement la question : « Et qui est Aurora ? » Evidemment, elle sentait bien qu'il allait la remballer encore une fois, lui lançant une bonne phrase de son cru, changeant de sujet comme il le faisait si bien, bref, n'importe quoi pour ne pas lui répondre. Eh bien ? Eh bien cette fois, la jeune femme insisterait, bien décidé à connaître le fin mot sur cette mystérieuse Aurora.

Et ? Et rien, sur le coup, elle ne sut guère quoi dire, que faire ? A quoi s'attendait-il après tout. De ce fait, elle passa une main dans ses cheveux, légèrement intriguée. Heureusement, il changea d'attitude, sourit, rit presque et reprit la parole. Et elle ne put s'empêcher de rire en secouant la tête de droite à gauche, l'air de dire " nan mais tu racontes n'importe quoi " sur le ton de la rigolade. Vieille ? Oh le bougre. Décidément, il appréciait pas mal de la taquiner un peu. Heureusement qu'elle ne prenait pas la mouche pour si peu. Une main sur sa taille, l'autre sur une armoire, elle prit à son tour la parole : « Mater ? Mais mater quoi ? Y-a-t-il quelque chose à mater ici ? Ou ça ? » Lui qui s'intéressait énormément au physique - d'après ce qu'elle avait pu en voir - devait-il mal prendre cette petite phrase ? Non, elle plaisantait. D'ailleurs son immense sourire en témoignait. Landon n'avait aucun problème de ce côté là. On le croirait directement sortit de la série Alerte à Malibu, ne manquait plus que le petit short rouge et la bouet. D'ailleurs, à cette seule pensée, Cappie ne put s'empêcher de sourire encore plus, se moquant d'elle même et de ses pensées quelques peu hors sujets. La pauvre.
« Bon, tu veux toujours des pancakes ? » se lança-t-elle finalement, déplorant l'état de la pâte qui ne ressemblait plus à grand chose après le choc Cappie/Landon. Pire qu'un match de foot OM/PSG, pire que.. oh stop. Ce champs de bataille grandeur nature était digne d'une scène de film avec Drew Barrymore. Il y en avait partout : de la farine, des oeufs, de l'eau (..) Et qui allait nettoyer ? Toujours les mêmes. Ou pas : « Landon, tu veux bien nettoyer » L'aguicher en même temps pour qu'il le fasse ? Non, elle n'oserait pas ? Eh bien si, elle le fit.
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Message(#) Sujet: Re: N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. - Page 3 EmptyVen 8 Jan 2010 - 21:03

    Le mystère Aurora l’intriguait. Bien sur ça marchait. Alors Landon n’était pas qu’un coup d’une journée ? C’était ce qu’il venait à se demander. Savoir qui était Aurora l’intéressait oui, mais pourquoi ? Parce qu’elle était jalouse ? Honnêtement, il aurait bien voulu que cette possibilité s’avère vraie, mais il était loin de le croire. Non pour lui, c’était plutôt qu’elle cherchait à le coincer, ou à en savoir plus sur sa vie. Il était convaincu qu’elle cherchait toujours à savoir s’il avait réellement plus de 20 ans ou non. Le petit sourire du grand blond s’élargit. Elle voulait vraiment savoir ? Très bien, elle allait le savoir… Il prit un air passionné et se mit à dire : « Aurora est…une femme charmante…même ravissante…On en voit plus beaucoup de nos jours des femmes comme ça, elle est tout simplement géniale, elle sourit tout le temps, elle est adorable, elle est passionnante, elle…Si tu savais… J’en ai de la chance…» Et il se laissa rêveur, histoire d’embobiner Cappie toujours plus. Puis se retournant vers elle comme s’il venait de comprendre qu’un truc clochait, il reprit : « Pourquoi, t’es jalouse ? A moins que tu t’inquiètes…Ne t’en fais pas je ne lui dirais rien… » Ses phrases évasives pouvaient faire mouche, mais en même temps, il aurait pu aisément remplacer le prénom Aurora par celui de la jeune femme avec qu’il passait une matinée plus que parfaite.

    Il appréciait qu’elle ait de l’humour, finalement, elle n’avait pas l’air si taré, quand elle riait. Et puis ce sourire qu’elle arborait emmena un instant Landon ailleurs, figé sur son sourire, il divaguait à d’autres pensées. S’approchant d’elle vivement, en riant, il rétorqua à sa moquerie : « Rien à voir ? Rien à voir ? Je te montre de plus près si tu veux ! » Il voulut en faire plus en la chatouillant ou autres, mais il se retint, allez savoir pourquoi. Elle lui demanda ensuite s’il voulait des pancakes, non, il pensait d’ailleurs que ça serait clair vu l’état de la pâte à pancakes. La pauvre, elle l’avait faite avec amour, et elle était dévastée par le bon petit diable qui était venu manger des muffins chez elle. « Je crois qu’on peut oublier les pancakes… » Aucune arrière pensée, il lui signifiait juste qu’elle l’avait finalement assez engraissé. Pouvait-elle le manger à présent ? Puis Cappie s’avéra différente…elle voulait qu’il fasse le ménage, mais il se sentait pressé, comme si elle voulait absolument qui le fasse à sa place pour ses beaux yeux. Bien essayé, mais Landon ne l’entendait pas de cette oreille, et il en rigolait, l’adolescent : « Dis faudrait arrêter de boire du lait, ça te monte à la tête ! Je ne fais pas le ménage, c’est la tâche de la femme, et puis c’est toi qui sais pas cuisiner t’en as foutu de partout ! » Il plaisantait, évidemment, mais il ne voulait surtout pas se laisser avoir par Cappie, il avait horreur du ménage, peut être plus que le reste, elle avait qu’à engager Aurora si elle le voulait vraiment.
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Message(#) Sujet: Re: N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. - Page 3 EmptySam 9 Jan 2010 - 10:49


Rêveur, partie dans la description d'une jeune femme jugée parfaite, Cappie en resta quelque peu.. suspecte. Femme parfaite, femme parfaite, ce genre de chose n'existait guère et Cappie ne se sentit même pas menacée par cette Aurora - et pourquoi l'être au final ? Après tout, la jalousie ne pouvait s'installer alors que Landon n'était qu'un simple amant et voisin. De plus, le fin mot sur cette femme ne serait jamais connu : Aurora existait-elle vraiment ou était-elle pur invention de l'esprit de Landon pour titiller Cappie et constater une quelconque réaction ? Après tout, c'est ce qu'il faisait depuis la début : l'embêter, gentiment ou de manière plus poussée et l'anglaise voyait en ces quelques paroles un test. Un test auquel elle répondit simplement et prenant appuis sur sa table de travail : « Oh, on dirait la description d'une fille de joie. » lâcha-t-elle en souriant grandement, cherchant elle aussi à l'embêter, ne réfléchissant même pas en conséquence - et si Aurora existait vraiment ? Elle venait de l'insulter, là, non ? « Jalouse ? Moi ? Et pourquoi donc ? Si tu avais tant de chance, ne serais tu pas avec elle à l'heure qu'il est ? Vu la description que tu m'en fais, ce n'est certainement pas le genre de jeune femme qu'on laisse seule.. Landon, mon pauvre. » Et toc. En espérant qu'il en ait le bec cloué.. ou pas.

Elle avait déjà tout vu de plus prés mais ce n'était pas déplaisant, loin de là. Landon était bien fait, même très bien, il ne devait avoir aucun problème pour faire tomber comme des mouches toutes les filles du quartier. Intérieurement, Cappie se demandait même s'il n'avait pas une liste par ordre alphabétique de ses conquêtes et à la lettre C, on retrouvait une certaine Sheldon, dans la catégorie " femme d'âge mûre ". Bien, elle divaguait quelque peu là, pourtant cette pensée la fit presque sourire, elle en était comme persuadé qu'il était de ce genre vu toute l'arrogance dont il faisait preuve. C'était mignon. Et par mignon elle entendait peu mature. Mais malgré tout, elle restait persuadé qu'il s'il arrivait à mettre une bonne partie des femmes dans son lit c'est qu'il était capable de s'adapter à chacune d'entre elles, or ça, c'était faire preuve d'intelligence.. de manipulation, certes, mais d'intelligence.
Il avait raison, les pancakes étaient morts, bien morts, les pauvres, amen. Cappie prit d'ailleurs le saladier remplit de pâte et finit par tout jeter à la poubelle, une bonne chose de faites concernant le pseudo ménage. « Adieu. » leur lança-t-elle en refermant le couvercle telle une gamine triste. Mais elle se reprit, écoutant avec attention Landon qui débitait un flot de paroles digne d'un macho. « Petit con, tu n'es pas un invité modèle toi ! " La tâche de la femme " ? Mais t'as quel âge toi ? Tu vis dans quel monde ? » lui lança-t-elle sans pour autant être méchante ou outrée à propos de ses paroles, non. C'était une simple question en l'air qui voulait avoir sa réponse, point.
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Message(#) Sujet: Re: N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. - Page 3 EmptySam 9 Jan 2010 - 12:08

    Oui de la chance il en avait, car au final cette femme avait été méritante pour s’occuper aussi bien des enfants Newbury qui avaient été des plus différents. Et Landon disait toujours que puisqu’elle avait vu le pire avec Kyle, elle n’avait pu qu’apprécier s’occuper de sa petite personne quand il avait pointé le bout de son nez. Dire qu’elle était une fille de joie, c’était peut être pas faux, après tout il ne connaissait pas le passé d’Aurora, qui avant d’être leur bonne à tout faire avait très bien pu l’être, il n’y avait pas de sot métier, mais dit comme ça Landon ne put que réprimer un rire : « Manque de chance je parlais de toi. » Voilà comment s’amuser encore plus de la situation, mais finalement il ajouta : « Plus sérieusement ! Je crois que si tu lui disais ça en face, ta tête ferait un tour complet sur tes épaules ! » Ca par contre c’était plutôt vrai. Aurora avait vite recours à la violence quand elle était agacée, il le savait car elle lui avait raconté plusieurs fois quand il était petit, comment au Brésil, la femme devait s’en sortir. Marche ou crève. Elle venait cependant de marquer un point. Heureusement qu’il ne s’agissait que de bonnes boutades et pas réellement d’une fille qu’il trouvait fascinante et tout le bordel, sinon elle aurait pu le prendre pour un infidèle, ce qu’il était peut être en fin de compte, il ne connaissait pas vraiment la fidélité, vu qu’il s’amusait avec la gente féminine… Il s’approcha un peu plus de Cappie en disant d’une façon séduisante : « J’ai trouvé mieux…. » Quelque part, c’était une révélation pour lui comme pour elle, à moins qu’elle ne le prenne pas dans ce sens, et quelque part il espérait qu’elle ne ferait pas de conclusions hâtives, ou il s’en irait, honteux.

    Si Landon était un coureur de jupons, il n’était en revanche pas le genre de garçon à étaler sa vie pour en faire un phénomène de foire. Non, ses amis n’étaient pas vraiment au courant de ce qu’il se passait dans son lit et autres. S’il agissait de la sorte, s’amusant avec les filles, c’était par satisfaction personnelle, pour se sentir supérieur et important. Pas pour amuser les autres. Même si en fin de compte étant tout de même encore un adolescent, il lui arrivait de rendre les choses publiques pour rendre la fille en question encore plus honteuse. Mais en ce qui concernait Cappie, elle n’avait pas à s’inquiéter, elle faisait partie des privilégiées, ou était la seule et unique privilégiée. Elle jetait les pancakes – enfin la pâte aux pancakes – sans état d’âme, il en fut choqué et dit : « T’aurais pu la conserver pour une autre fois non…Enfin c’est fait, c’est fait. » Il avait été habitué à tout conserver et à réutiliser, pourtant, il n’avait rien d’écolo le petit Newbury. Il avait un peu abusé sur le machisme par la suite, mais le garçon l’était, et il ne le cachait pas, d’ailleurs c’était pour ça qu’être amoureux ne pouvait être possible pour le garçon, car la femme était pour lui une distraction. « Ah parce que tu crois être une hôte modèle toi ? T’as balancé mon t-shirt dehors et tu l’as pourri, et tu veux que je fasse le ménage alors que je suis ton invité ! » Vrai. Bien joué Landon. Ne pas se laisser abattre même pour les beaux yeux de Cappie Sheldon. Il ne voulait pas faire le ménage, il ne le ferait pas. C’est alors qu’il avoua : « Aurora se ferait un plaisir de te le faire… »
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Message(#) Sujet: Re: N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. - Page 3 EmptyDim 10 Jan 2010 - 11:20


Evidemment, il faisait le malin : " je parlais de toi ". Cappie, peut contente de faire face à cette réflexion, haussa un sourcil, se questionnant sur la manière dont elle devait lui répondre : la manière douce ou la manière faible. Bien qu'il en rit, elle se retint quelque peu pour ne pas partir dans le même sens que lui, histoire de. Mais finalement, repensant à ce qu'il avait dit sur Aurora, la jeune femme se mit à sourire sans vraiment pouvoir s'en empêcher. Il avait fait une description plus qu'intéressante, voir trop idéaliste. Mais non, Aurora ce n'était pas elle, loin de là. « J'ai à peine pas peur de toute manière. Tu serais surpris de voir les dégâts qu'une poêle à frire peut faire sur autrui ! » Vrai. Vous seriez surpris, vous aussi, de voir que Cappie pouvait être d'une parfaite violence lorsqu'on la cherchait. Exit la demoiselle d'une gentillesse accablante, souriante à souhait et compréhensible. Un peu de violence dans sa vie ça ne faisait jamais de mal ? Tout ceci lui rappelait des souvenirs de son Angleterre natale.. Mais le voilà déjà tout prêt d'elle, lui avouant ces quelques paroles.. Troublée, elle ne put que rajouter, sans grandes convictions : « Oh et elle s'appelle comment, hein ? » Intérieurement, elle pensait qu'il faisait allusion à elle mais préféra chasser cette idée folle de sa tête. D'ailleurs elle s'attendait à ce qu'il lui sorte un prénom quelconque d'une fille quelconque, la routine.

Une hôte modèle ? Bien sûr, Cappie était une hôte modèle, il n'y avait même pas de quoi en douter. Premièrement, et malgré le fait qu'il lui tape sur les nerfs au début, elle l'avait invité chez elle pour discuter. Elle lui avait également offert des muffins et autres conneries pour être polie, n'était-ce pas ceci une hôte modèle ? De quoi se plaignait-il donc ? Il aurait pu tomber sur bien pire ! De plus, il avait obtenu ce qu'il voulait, sur son propre canapé, si là elle n'obtenait pas le prix de femme de l'année il y avait un gros problème ! « Je t'emmerde. T'as foutu du lait partout et des miettes de muffins aussi, alors hein ! Niveau invité bien gentil tu casses pas des briques ! » lui rétorqua-t-elle aussitôt. Vrai. Si elle n'était pas un modèle, lui non plus. Non mais. On aurait dit une scène de ménage entre un couple marié ou deux adolescents ne partageant pas le même point de vue. De grands enfants, simplement. Mais le sujet Aurora revint sur le tapis et la jeune anglaise ne put s'empêcher de soupirer grandement cette fois ci. Il lui vouait un culte à cette femme ou quoi ? De quoi commencer à exaspérer Cappie qui lui aurait bien (re)pourris son tee-shirt sur le coup.. « Bon, c'est qui Aurora ? Si tu ne me réponds pas j'te pourris le reste de tes fringues et j'te fous ta tête dans une poubelle. » Tant de hargne et de violence pour une simple femme, eh bien Cappie avait envie de savoir qui était la pseudo femme parfaite du quartier.
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Message(#) Sujet: Re: N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. N°1024. RUN BABY RUN (Landon) TERMINE. - Page 3 Empty

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