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 N°1598 | If you need help...

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Message(#) Sujet: N°1598 | If you need help... N°1598 | If you need help... EmptyLun 25 Avr 2011 - 0:23

3 mois et Laurence avait l’impression que ça faisait un an. Rachel grandissait à un rythme effrayant, exaspérant Laurence qui avait du mal à répondre à tous les besoins de sa fille toute seule. Elle souffrait énormément de l’absence de Jovan, et était déchiré à chaque seconde qu’elle était séparée de Rachel pour que Jovan puisse passé du temps avec elle. Et à chacun de ses moments où elle se retrouvait seule, elle se demandait quand elle aurait la force de savoir qui était le père. Et sans compter des conséquences que tout ça pouvait avoir sur sa vie. Elle amenait Jovan à s’attacher à Rachel et elle n’osait même pas penser à Tray. Elle ne lui avait pas redonné de nouvelles, sa vie était assez catastrophique pour qu’elle n’en rajoute pas une couche. Laurence voulait vraiment faire le test de paternité, mais elle avait trop peur. Donc elle attendait, remettant toujours à la semaine prochaine de se rentre à l’hôpital. Il y avait toujours une bonne raison, des courses, son travail, sa fille, ses plans pour ravoir Jovan… Ainsi, elle continuait de vivre la vie qu’elle avait toujours espérée ne pas avoir à vivre… Être mère célibataire n’était pas du tout ce qu’elle avait prévu aux premières semaines de sa grossesse. Donc elle n’avait pas eu le choix. Elle avait donc dut dresser le lave-vaisselle ainsi que la laveuse pour pouvoir se débrouiller par elle-même. Et même si certains essais n’avaient pas été très concluants, Laurence était fière de pouvoir faire quelques petites choses dans la maison par elle même. Mais ça ne rendait pas plus facile la garde de Rachel.

Le mois d’avril était finalement arrivé, avec le soleil et c’est empressé de rentrer chez elle, que Laurence stationna sa voiture dans l’entrée de sa maison nouvellement rénovée en se dépêchant de couper le contact pour sortir sa fille de la voiture. Rachel semblait être assez fatiguée pour avoir décider de ne pas lui donner de répits dans les deux dernières heures que Laurence avait passé au centre commercial du coin pour remplir les garde-manger de nourriture et se munir de tout ce qu’elle avait besoin pour sa petite fille. Couches, poudre pour bébé, huile… etc. Et il était inutile qu’elle demande de l’aide à Jovan. Non seulement elle aurait été incapable de lui avouer qu’elle avait besoin d’aide… mais elle n’avait pas envie de lui demander de l’aide maintenant qu’il avait décidé de rompre. Elle voulait lui prouver qu’elle pouvait s’occuper toute seule de sa fille, qu’elle n’était pas aussi incompétente qu’il la pensait être. C’est dans cette philosophie de vie, nouvellement acquise que Laurence referma la portière de la voiture pour empoigner les paquets de nourriture d’une main et de l’autre elle souleva le berceau portatif de Rachel pour tout amener d’un seul coup dans la maison. On ne sait par quelle force herculéenne qu’elle fit preuve à cet instant, mais elle réussit à grimper les 4 marches de l’entrée les mains complètement pleines. « Chuutt…Chuttt… Maman est arrivée à la maison…je sais que tu as faim ma puce... mais attends quelques secondes… » Soupira-t-elle en déposa doucement le berceau sur le sol pour essayer de retrouver ses clés dans son sac à main. Stressée et surtout fatiguée, Laurence se mit à fouiller frénétiquement dans sa sacoche et alors qu’elle sentit les objets métalliques sur le bout des doigts l’un des paquets s’écroula au sol alors que sous la surprise Laurence se penchait pour retenir la chute. Mais le résultat fut catastrophique. La moitié des choses se répandit sur le balcon alors que certains s’aventureraient à débouler fièrement les petites marches du perron. Laurence se retena de toutes ses forces pour ne pas lâcher un juron digne de se nom alors que les pleures de Rachel redoublaient d’intensités puisque la petite n’avait plus aucune patiente. Elle voulait que Laurence lui donne le sein. Et à cet âge, c’était les enfants qui décidaient. « Oh bon sang... ce n’est vraiment pas ma journée » grogna-t-elle en enfonçant finalement la clé dans la serrure de sa maison qu’elle déverrouilla. Rangeant les clés dans ses poches puis ouvrant la porte toute grande, Laurence posa les yeux sur les aliments répandus et eu presque les larmes au yeux en apercevant le flacon de Nutella qui dans la chute s’était fracasser au sol. « Pas de doutes, quelqu’un me puni... » Murmura-t-elle en replaçant une mèche de ses cheveux derrière ses oreilles en évaluant la situation. Allait-elle rentrer Rachel dans la maison en premier, ou elle allait ramasser les aliments avant que des animaux aillent la brillante idée de s’aventurer jusqu’à sa porte?
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Message(#) Sujet: Re: N°1598 | If you need help... N°1598 | If you need help... EmptyLun 2 Mai 2011 - 2:16








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LAURENCE FERDISON, TRAY RANNIGAN

N°1598 | If you need help... Tumblr_lini038Ktc1qindazo1_500






Depuis sa visite en prison qui avait pris un tournant assez particulier, Tray n’avait plus revu Laurence. Et pourtant, ce n’était pas faute de penser à elle. Régulièrement, le visage meurtri et fatigué de la jeune femme lui revenait à l’esprit, dans un flash qu’il ne parvenait à réprimer. Ses pensées s’aventuraient souvent du côté de la jolie avocate, mais depuis quelques temps, les sentiments que ces pensées évoquaient chez Tray avaient changé de nature. D’abord proches de l’obscénité tant il était attiré par elle, ils eurent tôt fait de passer à une haine et une rancœur qu’il avait rarement éprouvées auparavant à l’égard de quelqu’un, de surcroît quelqu’un avec qui il s’était toujours bien entendu, voire plus que bien. Jamais les querelles qui avaient toujours animé leur relation n’avait pris une importance suffisante que pour assombrir leurs rapports, au contraire, ces disputes futiles s’étaient rapidement transformées en petits jeux de provocation et de taquinerie. Pourtant, il avait suffi d’une révélation, lâchée à la manière d’une bombe comme Laurence savait si bien le faire, pour que les sentiments de Tray à l’égard de la jeune femme changent du tout au tout. Alors que leur relation était déjà tendue, étant donné que Laurence évitait Tray après leur sulfureuse aventure dans le bureau de celui-ci, elle s’était comportée de façon infecte avec lui, et il n’en avait pas fallu plus à Tray pour qu’il développe une vive rancœur et un irrépressible ressentiment à l’égard de celle qui avait autrefois été son avocate préférée. Tout au long de la période qui avait été marquée par ces sentiments négatifs, Tray n’avait jamais regretté quoi que ce soit. Il n’était pas du genre à regarder derrière lui et à vivre dans ses souvenirs, au contraire, il avait toujours été de ceux qui prenaient des décisions sans jamais se demander par après comment auraient été les choses s’il avait fait un choix différent. Était-ce par principe ou par arrogance ? Difficile de le savoir, car les deux solutions s’appliquaient parfaitement à Tray. Mais quoi qu’il en soit, on aurait pu croire qu’étant donné l’intensité de sa relation avec Laurence avant la dispute qui leur avait couté leur amitié, faute d’un meilleur terme, il aurait au moins ressentiment un pincement au cœur ou un élan de mélancolie en repensant à elle. Mais il n’en fut rien : au contraire, Tray avait senti tous ces sentiments négatifs accroître à chaque fois que le visage familier de Laurence lui était venu à l’esprit. Et pourtant, malgré cette haine et cette colère qui semblaient inaliénables et immuables à tout jamais, il avait suffi qu’il la voie pendant quelques minutes pour que tout s’envole. Après-coup, lorsqu’il avait repensé à leur entretien en prison, il avait eu du mal à y croire. Tray était connu pour sa rancune et pour sa mémoire prodigieuse – même lorsqu’il pardonnait, il n’oubliait pas, aussi fallait-il se méfier de lui et éviter de lui faire la moindre crasse, car cela pouvait signifier qu’il était capable de se venger n’importe quand, n’importe comment, car Rannigan était loin d’être l’homme le plus scrupuleux sur cette planète. Malgré tout, face aux excuses plus sincères que jamais de Laurence et son air effondré, qui constituait la preuve qu’elle regrettait réellement ses actions, il n’avait pas vu l’intérêt de continuer à lui en vouloir. Certes, il n’oublierait jamais ce qu’elle lui avait fait, et une partie de lui continuait à s’insurger contre l’injustice dont elle avait fait preuve en lui annonçant sans préambule qu’il était peut-être père de sa fille, mais qu’il n’avait en aucun cas sa place dans la vie de famille de Laurence. Mais il ne voulait plus dépenser son énergie à en vouloir à Laurence, alors qu’il y avait d’autres choses bien plus importantes sur Terre. Quelques minutes avaient suffi pour tout effacer, ou du moins, pour tout arranger. Tout aurait pu être simple, remis à zéro. Mais il avait fallu que les choses finissent par se compliquer, et cette fois-ci, ce fut à cause de Tray. Il ne comprenait toujours pas pourquoi il avait agi de la sorte, et ne savait absolument pas ce qui l’avait poussé à adopter le comportement qu’il avait eu ce jour-là. Tout d’abord, lorsqu’il accepta ses excuses, il s’était exprimé comme s’il s’agissait d’adieux, comme s’il s’écartait définitivement de la vie de Laurence pour laisser derrière lui la place qu’il y avait jusqu’à présent occupée. Mais lorsqu’était arrivé le moment de se dire au revoir, il lui avait couru après pour l’embrasser, dans un baiser confus et au sens difficilement définissable. Lorsque Tray se remémorait ce baiser, il se sentait mal à l’aise, car il ne savait ce qu’il signifiait – et surtout, parce qu’il savait que les sentiments amoureux venaient en dernière place, car il savait qu’il n’éprouvait rien de la sorte pour Laurence, et c’était sans doute cela qui était le plus incompréhensible dans cette histoire, car bon nombre de gestes et d’attitudes qu’il avait eu envers la jeune femme auraient, normalement, dû traduire ces sentiments. Mias il n’en était rien, et Tray le savait. Pas étonnant, donc, que cette histoire lui hante régulièrement les pensées – d’autant plus qu’il n’avait pas cherché à reprendre contact, depuis, craignant sans doute de voir quelle serait la prochaine étape de sa relation avec Laurence.

Ce jour-là, le jeune homme rentra plus tôt que prévu du bureau, et c’est avec une satisfaction qu’il n’avait depuis longtemps plus ressentie qu’il rentra chez lui à bord de sa fameuse BMW noire. Cependant, à quelques centaines de mètres de sa coquette maison, l’attention du jeune homme fut attirée par quelque chose de peu commun, d’autant plus que le hasard avait voulu qu’il croisât aujourd’hui le chemin de Laurence. Celle-ci venait de renverser bon nombre de sacs de courses devant sa porte d’entrée, et semblait désemparée. Tray remarqua une petite silhouette trapue entre les bras de Laurence, et son estomac se serra imperceptiblement. Pour la millième fois, la question qui avait été à l’origine de sa dispute avec Laurence se posa dans son esprit : qui était donc le père de Rachel ?

Voyant que Laurence ne semblait pas près de s’en sortir avec tous ses paquets, Tray gara sa voiture à proximité de la maison de la jeune femme et se rendit vers le porche de celle-ci, afin de lui venir en aide. Il arriva calmement, d’une démarche posée qui lui était propre. Cependant, lorsqu’il vit Laurence de plus près, il sentit son cœur se serrer légèrement. Pourquoi ? Nul n’aurait su le dire. Cependant, le jeune homme ne laissa rien paraître de son trouble intérieur, se contentant d’un sourire en coin des plus sincères. Laurence ne l’avait visiblement pas encore remarqué, et il attendit d’être à quelques centimètres d’elle pour parler, avec une douceur qui l’avait longtemps quitté, au cours des derniers mois : « Besoin d’aide, peut-être ? » Il vit la jeune femme se tourner vers lui, et une nouvelle fois, une faible explosion d’émotions retentit dans ses entrailles. Mais pour quoi dire ?

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Message(#) Sujet: Re: N°1598 | If you need help... N°1598 | If you need help... EmptyLun 9 Mai 2011 - 5:10

Alors qu’une ombre se posait sur elle et que de faibles bruits de pas venait à son oreille – enterrer par les cris incessants du bébé, Laurence se vit figée sur place en reconnaissant la voix. « Besoin d’aide, peut-être ? » Et dire qu’elle se disait que quelqu’un là bas devait la punir, replonger le couteau dans la plaie n’allait pas l’aider à aller de l’avant. Laurence se retourna doucement alors qu’elle se relevait pour regarder son interlocuteur. Tray Rannigan. La gorge soudainement serrée, Laurence n’avait même pas écouté les mots qu’il avait prononcer s’étant fié qu’à la voix qu’elle avait reconnu. Elle avait envie de lui demander ce qu’il faisait là, pourquoi il était descendu de sa voiture pour l’aider, pourquoi à chaque fois qu’ils se voyaient elle se sentait d’autant plus confuse qu’au début? Tray semblait toujours aussi doué pour mener les gens sur de fausses pistes et leur dernière rencontre en avait été une belle. Fausse, dénuée de légende à suivre et parsemée de chemins contradictoires. Secouant la tête brusquement pour analyser la question, la situation et ce qu’elle devait faire, Laurence posa finalement ses yeux sur sa fille qui logeait dans le berceau portatif. Désemparée par l’étrangeté de la situation, et pour l’aide bienveillante, malgré que jamais Laurence n’aurait pu s’imaginer de voir Tray apparaître devant sa maison pour l’aider, elle hésita quelques secondes. Elle aurait cru qu’en sachant Jovan chez elle, il l’aurait fuit comme la peste. N’avait-il donc pas prétendu qu’ils ne se reverraient sans doute plus? C’était ce qu’elle avait cru comprendre lorsqu’ils s’étaient quittés. Et ce baiser, elle avait choisi de l’interpréter comme un baiser d’adieu et rien d’autre. Un sourire gêné se dessina sur ses lèvres alors que Laurence en avait vraiment marre qu’il la voit dans des moments où elle était aussi pathétique. La prison et puis elle qui s’acharnait maladroitement pour être une mère parfaite pour Rachel malgré les difficultés qu’elle rencontrait. « Ça se voit tant que ça, hein? » murmura-t-elle en abandonnant ses doutes pour laisser Tray l’aider. L’orgueil aurait du lui dicter de s’arranger toute seule pour montrer qu’elle était bien capable, mais avec les dégâts et les pleures de sa fille dans ses oreilles elle était sur le bord de perdre patience. La jeune mère se mordilla les lèvres avant de relever lentement le berceau et de le tendre vers Tray. Quelque part elle se demandait si c’était une mauvaise idée, si à son tour elle n’était pas entrain de planter le couteau dans la plaie. « Est-ce que tu pourrais t’occuper d’elle, pendant que je ramasse tout ça? » Les yeux guettant la moindre réaction négative de Tray, Laurence délia lentement ses mains de l’emprise du berceau pour le laisser sous la charge de Rannigan pendant qu’elle allait tout ramasser. Elle voulait faire le plus vite possible sachant que Rachel voulait sans doute boire et que Tray serait peut-être mal à l’aise dans l’optique où il y avait 50 % des chances qu’il soit le géniteur de cette petite princesse. De l’autre main elle tendit ses clés qu’elle lui remit dans l’idée qu’elle voulait qu’il fasse comme chez lui et qu’il ouvre la porte d’entrée pendant qu’elle sauvait le maximum de ses achats.

Ayant totalement confiance en Tray, surtout si elle évaluait à quel point elle lui devait beaucoup, Laurence se pencha à genoux sur le sol en posant la main sur le sac qui s’était renversé. Elle put analyser que la moitié de ses choses avaient été épargnées malgré la chute et que la seule chose de réellement regrettable était le pot de Nutella qui s’était fracassé au sol. Soupirant, elle s’afféra à remettre les aliments dans le sac puis de l’autre main elle récupéra le plus gros des morceaux de verre qui était rependu un peu partout sur le sol. Elle espérait ainsi tout régler rapidement et surtout ramasser se verre avant de l’oublier jusqu’à ce que quelqu’un d’autre se blesse. Parée à rentrer à l’intérieur avec un poids de moins dans les bras – Laurence monta prudemment les petites marches du perron pour entrer à la suite de Tray dans sa maison. Elle le dépassa pour aller déposer les paquets sur le comptoir de la cuisine et les morceaux de verre à la poubelle. Pour la première fois depuis quelques jours elle se sentait un peu plus soulagée d’avoir enfin de l’aide, même si ce n’était que pour quelques minutes. Les mains libérées des paquets et des morceaux de verres, elle jeta un coup d’œil à ses doigts et fut soulagée de ne pas s’être blessée avec le verre. Sachant qu’elle était peut-être entrain de torturer Tray, Laurence plongea ses mains dans un des deux paquets en sortant rapidement les aliments qui devaient être au réfrigérateur sous peine d’être perdus. « Je me dépêche… » Lança-t-elle à son intention la voix un peu nerveuse. Trahie par sa propre voix, Laurence se fut quelques instants laissant la petite Rachel s’époumonée devant Tray n’attendant qu’une seule chose que sa mère daigne s’occuper correctement d’elle. 2 minutes s’étaient écoulées et Laurence avait tout rangé dans un énervement certain ayant hâte que ce tourbillon perde un peu de son effervescence. Quittant la cuisine pour sauver Tray, Laurence jeta un œil au comportement de son invité face à sa petite princesse. Leur princesse, peut-être. Nostalgique, elle se surprit à le comparer à Jovan. Une comparaison qu’elle fit disparaître d’un hochement de tête. « Viens ici, ma puce… Maman est là. Oui… chut..» Gaga comme toutes les mamans, Laurence prit délicatement sa fille du berceau qu’elle colla doucement à elle en invitant Tray d’un coup de tête à s’asseoir s’il le voulait bien sur le canapé du salon. S’installant sur le fauteuil, elle arrêta son geste en jetant un coup d’œil à Tray. « Ça te dérange pas si, je….? » Demanda-t-elle alors que les mots lui manquait mais les gestes étaient plutôt évident, à savoir s’il était mal à l’aise si elle donnait le sein à Rachel devant lui. Dans ce cas là, elle prendrait la peine d’utiliser une couverture simplement pour ne pas le déranger. Alors qu’elle le voyait là devant elle, elle prit peur qu’il disparaisse d’un seul coup maintenant qu’il l’avait aidé. Après tout, c’était exactement l’idée qu’elle s’était faite de lui face à la paternité. Un jugement fait rapidement et infondé, mais face à Tray tout ce qu’elle s’imaginait était toujours à des kilomètres de la réalité. « Merci, Tray. » soupira-t-elle soulagée que ce moment pénible se soit passé plus facilement grâce à sa proposition.

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