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 N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED]

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N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] Vide
Message(#) Sujet: N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] EmptyMar 7 Déc 2010 - 18:55

N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] Ouraganban01

IF THE SKY CAN CRACK...

Le pire était passé. Ou du moins c'est ce que j'avais cru jusqu'à ce que les bourrasques de vent s'estompèrent. En effet, je n'avais pas encore imaginé le bordel que cet évènement créerait. Je n'avais pas imaginé les dégâts que cet ouragan causerait. J'avais été réquisitionnée de force par mon supérieur afin d'empêcher les futurs pillages dans la ville. Alors que tous les effectifs se préparaient et que chaque policier se répartissaient les différents quartiers de Miami. Je n'avais pas encore d'affectation lorsque la tempête déferla sur l'état de Floride et en particuluer sur le centre ville. « Tous aux abris ! Descendons dans les sous-sols ! » Hurla notre chef de brigade tandis que chaque personne se dirigeait déjà dans cette direction. Les précautions d'usage nous avaient été donné dès notre arrivée. Il était temps maintenant de les mettre à l'œuvre.

Après des cris, des hurlements et autres exclamations que la situation permettaient, l'environnement revient à peu près à la normale dans le commissariat. Maintenant que l'évènement majeur de la journée était passé, il ne restait plus qu'à voir et résoudre les dommages collatéraux car, pour nous, les autorités et autres professions médicales , le travail ne faisait que commencer. Je n'avais pas encore vu les dégâts mais je ne m'imaginais pas la ville autrement que de la façon dont je l'avais toujours connu. J'arrivais dans la hall. Notre chef nous donnait à chacun un quartier lorsque soudain une nouvelle information arriva. Ocean Grove avait été gravement touché. Je levais alors la main et prit la parole sans tarder. « Je prends Ocean Grove ! » Hurlai-je à moitié dans ce chahut bahut. Je partis de suite dans le parking où mon pick up noir était garé. Heureusement pour moi, mon véhicule n'avait rien. Je montais donc rapidement à l'intérieur, démarrais et sortit pour me rendre dans mon quartier résidentiel. Dehors, je voyais pour la première fois ce que l'ouragan nous avait laissé. J'attrapais la sirène et la posais sur le toit de mon véhicule avant d'accélérer pour arriver le plus rapidement possible sur le terrain. Une fois sur Apple Road, je fus horrifié de constater le nombre de toitures envolées, les quelques maisons détruites partiellement ou totalement. C'était l'enfer sur Terre. Bienvenue à Ocean Grove !

FLASH BACK

Quelques heures avant l'ouragan
« Je peux savoir ce que tu fait là ? T’écoutes jamais la radio ? » Me demanda Léo alors qu'il venait à peine d'ouvrir sa porte d'entrée.
« Tu veux vraiment savoir ce que je fais là ! Tiens regarde moi ça ! » Lui dis-je en lui balançant une lettre que j'avais reçu aujourd'hui même. « Tu comprends mieux maintenant pourquoi je suis là ? Ton chantage ne fonctionnera pas ! Tu n'auras rien de mon argent ! Et tu peux te mettre cette lettre où je pense ! Cela fait un mois que t'es arrivé et j'ai déjà des problèmes à cause de toi ! Franchement, retournes d'où tu viens ! Ta place n'est pas ici ! C'est chez moi alors fou le camp et emporte ta foutu lettre avec toi ! » J'étais énervé, très énervé. Il osait venir à Miami et me menacer alors qu'il ne ferait même pas le poids face à ma colère et ma vengeance. C'était stupide de sa part car jamais je ne paierais une telle somme alors que je pourrais tout aussi bien le massacrer avec mes deux mains. Je n'attendais aucune réponse de sa part car je pensais avoir raison...

Je parcourais les rues d'Ocean Grove pour finalement passé devant le n° 1818. Ma maison n'avait rien eut de bien méchant. Quelques tuiles avait volé, une fenêtre était fracassée et d'autres dommages aussi minimes les uns que les autres avaient été repérés. Cependant, mon soudain soulagement retourna rapidement dans son coin lorsque je vis la demeure de mon ex petit-ami, Léonard W. MacNamara. Une des pièces de la maison était complètement détruite : une chambre apparemment, une chambre d'enfant. Inquiet, je m'arrêtais devant chez lui et parcourut les quelques mètres séparant la route de son porche. La porte était ouverte. A l'intérieur, le désordre était de mise. Des feuilles, des branches, des verres, assiettes et autres services de tables prônaient dans le salon. Certains était fracassés et recouvraient le sol tandis que d'autres étaient intacts. « Léo ! Jolan ! » Hurlais-je dans toute la maison sans réponse. L'inquiétude me gagnait de plus en plus jusqu'à ce qu'une certaine peur surgisse. « Merde... » J'avançais sur les décombres, essayant tant bien que mal de me frayer un chemin dans cette maison qui avait lourdement souffert comparé à la mienne. « Léo ! » J'entendis un bruit. Je me retournais brusquement et fit demi-tour pour m'arrêter devant une porte bloqué par une poutre de la chambre qui s'était effondrée. En quelques secondes, je compris où cette porte menait : la cave. Le propriétaire et son enfant avaient dû descendre pour se protéger. Je frappais violemment sur la porte tout en prononçant leur prénom. Un autre bruit retentit. C'était eux. Ils étaient en vie ! Je criais encore plus fort. « Léo, c'est Tyler ! Ne t'inquiète pas, je vais vous sortir de là ! Vous allez bien ?! »



Dernière édition par Tyler C. Wendel le Lun 13 Déc 2010 - 23:32, édité 6 fois
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N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] Vide
Message(#) Sujet: Re: N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] EmptyMer 8 Déc 2010 - 21:58

N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] Ouraganban01

IF THE SKY CAN CRACK...

FLASH BACK

Quelques heures avant l'ouragan
« Tu veux vraiment savoir ce que je fais là ! Tiens regarde moi ça ! » Tyler... Tyler... Dans son style j’aurais pu comprendre qu’il était en colère très en colère! Il sortit une lettre de sa veste, j’avais pu voir l’écriture du destinataire, cela me rappelait quelque chose. il me l’envoya sur mon torse, je la récupéra. C’était une lettre qui a était plié dans tous les sens on pouvait voir l’énervement des gestes. Elle était déchiré par le coter je la sortais et je vis des lettres sortit de magazine comme une lettre anonyme. Je l’ouvrir doucement et je vis ‘ TA VIDEO PERDU EST ENTRE MES MAINS! SI TU NE ME VERSES PAS 100 000$ DANS LES TROIS PROCHAINS JOURS, JE LA DIFFUSE SUR INTERNET! ’ Et la ce fut le flash, j’allais vers ma console à l’entré sortant du tiroir la même enveloppe... Tant dis que je l’écoutais déblatterais des inepties que je m’en foutais mais carrémént en trouvant la lettre je m’approcha de lui et je l’ouvrir sortant la lettre mettant les deux lettres faces à lui! Et je lui répondis. « Je suis si taré? Même de m’en envoyer une moi même! La mienne aussi a disparu quelques jours après mon emménagement et je t’emmerde Tyler Calvin Wendel... Ce n’est pas toi qui décide de celui qui vis ici ou non! Je suis là pas pour ta pomme ! Je suis la pour le boulot ! j’ai une occasion en Or de faire ma carrière dans le journalisme... Alors soit tu rentres et tu m’aides à évacuer la ville avec Jolan soit tu te barre! C’est au Choix, mais je ne reste pas ici pendant l’ouragan! » J’étais assez en panique, mais j’étais si têtu que j’en voulait à Tyler de venir aujourd’hui même me venir me rendre des comptes.
Les heures défilait longuement dans cette cave... quand nous sommes entré dans la cave, Jolan avait peur. Il tremblait et je dois dire que je me suis trouvait héroique, certain certe pas le moment de faire le pitre devant son fils qui était jeune et innocent. Je me mettait assis contre le mur, une bouteille d’eau a coté de nous. Jolan se mit entre mes jambes et je nous formait un petit cocon de sécurité. Je le rassura, lui chantant une berceuse en francais sur le vent : «Vent frais... Vent du matin... Vent qui souffle aux sommets des grands pins... Joie du vent qui souffle, allons dans le grand... Vent frais...» Je répétait c’est phrases les chuchotant à son oreilles. Doucement il se mit à s’endormir contre le moi... je fus soulager car je pouvais enfin exprimer ma peur... J’étais effrayé d’entendre ce vent qui brisa mes fenêtre fit envoler toutes mes affaires et déchira le toit dans un grand fracas... Les tremblements se fit ressentir dans le sous-sol... Et la ce fut le pire, j’entendi un énorme boum qui fit sursauter Jolan, quelque chose obstruer la sortit et bloquer l’ouverture de la porte... Je carressa la tête de jolan d’une main et sa jambes de L’autre chantonnant de nouveau la berceuse, englissant des mots rassurant à son oreille... Je fermais les yeux sentant le coeur de mon fils se ralentir à chaque paroles et j’entendis : « Pikachu.... zzZZ... Grotadmorv.... zzZZz... Papilusion... zzZZ...» Mon fils quand il à peur il rêve de Pokémon, et surtout c’est qu’il sort les noms de ses pokémons préféré... C’était un peu sa berceuse mémotéchnique... Les heures défilèrent et l’ouragan fut enfin passé... Par chances nous avions rien eux! Jolan resta dormir quand j’entendis une voix... Je leva la tête, « Léo! Jolan!» Je connaissais cette voix... Je me détacha de Jolan l’allongeant sur un vieux lit de camp et je m’approcha de la porte me demandant si j’étais devenu fou! Quand j’entendis des pas s’approché de la porte mais fit aussitôt demi tour et un «Merde!» qui s’échappa des lèvres de mon valeureux justicier inconnu... Enfin lui me connaissait je me demandais qui cela pouvait être.Je me demandait si il était crétin ou si il avait pas vu la porte de la cave, je me mit a imaginer une barrière d’un monde parralèles qui se trouver juste entre la porte et la sortie u_u’... nan mais moi et mon imagination de science fiction... Je me mit a tambouriner à la porte... Et la j’entendis encore mon prénom retentir, je n’osais pas crier peur de m’éclater les tympans vut l’excitation qui me montait à la gorge: « Léo, c'est Tyler ! Ne t'inquiète pas, je vais vous sortir de là ! Vous allez bien ?! » Tyler? Encore lui! Il me demanda de pas m’inquieter, j’étais déjà INQUIET!!! Je me retourna quand il me demanda si on allait bien, Jolan dormait encore même pas reveiller par les hurlement de mon ex. Je me retourna faisant face à la porte et en gueulant: « TYLER OUVRE MOI SI JE MEURS ICI JE T’ASSURE QUE JE VAIS TE MAUDIR JUSQU’A LA FIN DE TES JOURS !!! et puisque tu le demande on vas bien...» Je venais de reveiller Jolan à force de gueuler, je me retourna et j’alla vers lui le prenant dans mes bras et en lui disant: «Jolan... C’est finit, Tyler est venu nous sortir de là... Ta bien dormit?» il hocha la tête completement assomé par le reveil je le laissa la entendant l’objet qui nous coincer ici se liberer et la porte commença à s’ouvrir une lumière vive se mit à m’aveugler, j’étais pas habituer avec les néons de la cav. Je le vit inquiet comme moi je ne sais pas ce qui ma prit à se moment la, mais je courut vers lui sautant à son coup et je l’embrassa d’un baiser comme si ca aurait pu être le dernier et aussi pour le remercier d’être reven, j’aurais pas crut à quel point les lèvres de mon cher ami m’avait manqué, je me sentais rassuré tout à coup, mais en ouvrant les yeux je fit... Ce qui resté d’un maison... j’arreta le baiser en marchant dudebris de verre je me retourna voyant Jolan sortir... je ne savais pas quoi dire... Ma maison... ma maison était vraiment méconnaisable, je venait à peine de finir de déballer les cartons... Je pris Jolan dans mes bras en jetant à coup d’oeil aux salons... puis je sentis un vent frais me transpercer les os qui venait de l’escalier je me retourna montant les marches avec prudence... Voyant le ciel et surtout je vis une porte fermer avec des petites lettres en bois marquer Jolan dessus... En m’approchant je toucha la clanche sentant que j’allais encore être choquer... Mais la porte avait perdu ses gong et tomba en avant, je vis le lit de Jolan des morceaux de vitre... mais... plus de mur, il n’y avait que les murs porteur mais la facade avait était arracher... Jolan enfouis sa tête dans ma nuque et doucement je lui dit: «Je suis désolé Jolan... Tout a était devaster par l’ouragan...» Tous les souvenirs de mon fils avait êté envoler... il ne restait ce que moi j’avais conserver à la cave, ses cahiers d’école maternelle et quelques vielles affaires dont il ne voulait plus... Comment la vie d’un enfant de Sept ans se fait capturé par une catastrophe naturelle.

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N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] Vide
Message(#) Sujet: Re: N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] EmptyJeu 9 Déc 2010 - 18:53


« TYLER, OUVRE-MOI SI JE MEURS ICI JE T’ASSURE QUE JE VAIS TE MAUDIRE JUSQU'À LA FIN DE TES JOURS !!! Et puisque tu le demandes, on va bien... » Ils étaient en vie... Ce fut un énorme soulagement lorsque j'entendis la voix de mon ex compagnon au travers de la porte bloquée par cette poutre. Je ne savais pas encore comment j'allais les sortir de là mais je promettais d'y arriver quoi qu'il puisse se produire. J'observais la situation. Une partie de cette poutre bloquée donc la porte tandis que l'autre côté était toujours accroché au plafond. Je la bougeais et le plafond s'écroulait sur moi. J'étudiais mes chances et les conséquences de ce sauvetage. Après quelques secondes de réflexion, je sortis de la maison afin de demander de l'aide aux pompiers. Malheureusement, ils étaient déjà occupé dans ce que j'aurais appelé habituellement une maison. Mais elle n'existait plus et ses occupants devaient être ensevelis sous les débris. Je pris donc mon courage à deux mains et retournais devant cette poutre. Je retirais mon blouson que je jetais près de l'entrée. Je m'approchais de l'obstacle et commençais à le pousser. Le plafond craquait. Ce n'était vraiment pas bon signe mais je continuais de toutes mes forces jusqu'à ce que la porte soit débloqué et que le plafond s'écroule à mes pieds. J'échappais de justesse à cette nouvelle déferlante pour ensuite ouvrir et libérer les prisonniers de cet ouragan. A peine Léonard fut-il sorti qu'il me sauta au cou et m'embrassa. Surpris, je ne pus que subir ce baiser venu de nulle part et l'apprécier à sa juste valeur même si je ne savais pas encore comment le prendre. C'était si soudain, si surprenant et totalement imprévu que j'en restais sur ma fin. Je n'arrivais pas à savoir si j'en désirais encore ou non.

FLASH BACK

Quelques heures avant l'ouragan
Dieu qu'il m'énervait ! Il avait beau avoir reçu la même lettre avec la même menace que je lui en voulais toujours. Pourquoi ? Là était la question. Je n'avais plus aucune raison de lui en vouloir. Mais je n'arrivais pas à m'arrêter comme si je n'avais que ce sentiment envers lui, comme si ce que j'avais pu ressentir pour lui et ce qu'il s'était passé entre nous avait totalement disparu. Cependant, notre passé revenait à la charge et je ne pouvais l'oublier. On ne pouvait pas dire que tout s'était bien terminé entre nous. Mais je gardais un bon souvenir de la relation que j'avais pu avoir avec Léo et son fils bien que je ne me voyais pas encore avec un gamin. J'avais espéré en revenant sur Miami que ce qu'il s'était passé à Dallas resterait à Dallas mais c'était bien trop demandé. Maintenant que je n'étais plus cette loque suite à la mort de Scott, je me retrouvais avec un chantage sur le dos. « Ok, d'accord. On nous fait chanter. Et alors ? Je ne suis pas près de céder face à ces menaces. Il ne me fait pas peur ce maître chanteur. Qu'il se montre et je lui referais le visage à ce connard. » Je repris mes esprits et me calmais. Mon téléphone sonna. Je décrochais. « Inspecteur Wendel. Ok, j'arrive tout de suite. » Puis je raccrochais. « J'ai du boulot. J'ai été réquisitionné à cause de cet ouragan. Je dois y aller. Mais on en reparlera. Tu peux compter là-dessus. » Je quittais alors le proche de cette maison pour monter dans mon pick up et partir en direction du commissariat.

Alors que Jolan était dans les bras de son père et que tous les deux regardaient les dégâts causé par cet ouragan, je repris mon blouson en cuir que j'avais déposé dans l'escalier. Léo et son fils montèrent alors à l'étage pendant que je téléphonais et donnais un rapport rapide à ma chef. Cependant, Jolan était déjà redescendu et se dirigeait à toute vitesse vers moi avant de m'enlacer les jambes. Je raccrochais. « Merci de m'avoir sauvé avec papa. » Me dit-il alors que sa petite bouille me fixait avec admiration. Je m'accroupis face à lui.
« C'est mon travail de sauver les gens. » Lui répondis-je alors que je le prenais dans mes bras. Il ne devait pas marcher où il ne le fallait pas.
« T'es sûr que c'est pour ton travail ou c'est parce que tu aimes mon papa que tu as fait tout ça ? » Je n'en revenais pas. Ce petit être de 7 ans avait réussi en une phrase à me surprendre et à me déstabiliser. Il ferait un bon flic. J'en étais certain.
« Heu... Je... C'est que... Va avec ton père. » Je le reposais à terre et mon regard le suivit jusqu'à Léo. Je luis souris et m'approchais à mon tour de lui. « Ça va aller ? Plus de peur que de mal, n'est-ce pas ? »



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Message(#) Sujet: Re: N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] EmptyVen 10 Déc 2010 - 23:37


FLASH BACK

Quelques heures avant l'ouragan
« Ok, d'accord. On nous fait chanter. Et alors ? Je ne suis pas près de céder face à ces menaces. Il ne me fait pas peur ce maître chanteur. Qu'il se montre et je lui referais le visage à ce connard. » J’étais assez d’accord avec lui... Rien que le faite d’être en accord avec Tyler pouvait me donner la nausée, mais voir ses veines gonflés et ses muscles crispé me donnait une envie de lui sauter dessus et de passer un très bon... mais très bon moment en sa compagnie.Je me resaisissais et je lui répondis: « Tu crois cas moi il me fait peur? Pff il en fait ce qu’il veut de cette vidéo... Ca date que j’en aurait pas honte. J’en suis même très fièr de cette vidéo...» Je me mit à sourire même si c’étais pas l’heure ni l’endroit pour ça mais je me sentais heureux en une seconde tous disparu... Il s’excusa et me menaca, j’arqua un sourcil de stupeur et je lui dit: « Attrape moi si tu le peut Tyler...» Il fut partis dans sa Jeep, je me retourna un peu vexée qu’il me proposa pas son aide pour quitter la ville. « Nan mais quel abruti! JOLAN!!!!! Bouge toi on y vas!» Oui bah je cris si je veux -o- c’est mon fils je fais ce que je veux... Jolan descendit des escaliers avec un sac remplit d’affaire. Sa console de jeu et tous ses jeux. Ses peluches qui debordait du sac et ses cahier de dessin. je me mettais à rire : « Et tes cahier de cours?» Il me regarda comme si il avait fait une bétises, les yeux aussi triste que ceux d’un cocker: «Papa... On vas plus avoir de maison... j’ai pas besoin de mes cahiers!» Je soupirais... Il était intelligent, mais j’étais pas né de la dernière pluie, je laissa passer je n’avais pas envie de me prendre encore la tête avec Jolan. Je prenais deux sac, un qui contenait tous ce qui concernait Jolan, Moi et mon heritage français... Faut pas oublier que je suis un Richard! Dans l’autre il y avait tous ce qu’il me fallait pour travailler, mon Macbook Air. Mon Reflex et quelque papiers important et divers sujets déjà étudier. Je les jeta dans le coffre de ma voiture en laissant Jolan s’installer à l’arrière... Je demarra au quart de tour afin de faire vite, j’étais en mode Automatique, le mode séquentiel pouvait me saoule surtout que la c’était pas le temps de jouer avec le levier de vitesse... marche arrière, derrapage à en faire crisper les pneus et je prit la route... Mais je ne put quitter le quartier quand un barrage de mes amis les flics m’interdisa l’accés à l’autoroute. « Monsieur... Veuillez retourner dans votre maison et cachez vous dans la cave!» Je le regarda d’un air niais en baillant: «Ecouter... Je n’ai vraiment pas que ça a faire, je suis journaliste et on m’attend pour un reportage devant les docks de Miami! Je veut mettre mon fils dans un endroit sur!» Le Flic me regarda intentiné énérvé. Peut être que mon culot le rendait morose: «Monsieur Retournez chez vous...» Je soupirais et hop re-marche arrière et repartit pour ma maison qui aller être sans dessous dessus.


Jolan Andrews Léopold MacNamara savait compter deux par deux et lassais ses chaussures, mais ce que faisait Jolan était Exemplaire! Tenir tête à Tyler, faut le voir pour croire, même moi je n’en croyais pas mes yeux quand je vis Tyler destabilisé par un enfant de sept ans. Je descendit les marches de l’escalier le voyant répondre :« Heu... Je... C'est que... Va avec ton père. » Jolan se mit à courir vers moi et je l’attrapa au vol pour le porter et je m’approcha de Tyler qui me regardait... J’esquissa un sourire, soulagé que j’anais rien et que mon fils n’avait rien non plus... Je m’approcha de tyler assez près cela dit. Jolan n’osait se retourner et Tyler me posa une question: « Ça va aller ? Plus de peur que de mal, n'est-ce pas ? » Je me mis à sourire en hochant la tête et je lui répondais d’un français plus clair que jamais : «Tyler, je te remercie...» Je m’approcha de lui levant ma mains sur sa joue. Le bougre était plus grand que moi et ca m’enervait depuis des années. Je leva doucement mes pieds pour l’embrasser, mais c’était un baiser de tous ce qui l’y a de normal, je fis glisser ma mains retombant et j’arreta le baiser... Je m’approcha de la cave en disant à Jolan: «Faut qu’on y aille, Vas chercher les sacs dans la cave...» Je me retourna vers Tyler et je gratta ma nuque ayant lacher mon fils qui descendit dans la cave, je pris se pretexte pour parler avec Tyler seul à seul... je devais surement m’excuser pour les deux baisers que je lui ai donné dans les cinq dernières minutes. Mais il était affaiblit par mon fils et c’était une occasion en or pour retrouver ses lêvres rien qu’une dernière fois. Cela me faisait assez de mal de me rappeler de ceci. J’étais surement maso. Il est parti si brusquement il y a un an... Je n’avais plus de nouvelle, je l’aimais tellement. Rien que c’est pensées me redonnait la nausée, je lui dit: « Excuse moi pour tout à l’heure... Ce n’était pas voulu, je l’aurais fait surement à n’importe qui. Qui m’aurait sauvé» MENSONGES MENSONGES!!! Je ne savais pas si à ce moment je savais bien mentir, peur être le faites de balancer ce nombre de mensonges à la fois pouvait me faire mentir à moi-même. Jolan revenu avec deux sacs, c’étais les siens et il s’approcha de moi susurrant: «Les tiens sont trop lourds papa!» Je me mis à sourire et je fis demi-tour prenant mes deux sacs en bas de l’escalier et les mettant par dessus mon épaule je demanda à Tyler: «Tu peut nous déposer à l’hôtel des quatres saisons? Je pense que moi et Jolan on vas passer quelque temps làbas le temps qu’ils reparent la maison...»
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Message(#) Sujet: Re: N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] EmptySam 11 Déc 2010 - 23:17


« Ça va aller ? Plus de peur que de mal, n'est-ce pas ? » Je fixais Léonard et lui souris. Le pire était passé pour lui et son fils. C'était le plus important, n'est-ce pas ?
« Tyler, je te remercie... » Me répondit-il dans un langue que je ne maîtrisais pas : celle de Molière. Je compris simplement mon prénom ce qui n'était pas rien. Il m'embrassa une seconde fois. Je m'habituais de plus en plus à ce genre de remerciement. Je pourrais même en redemander encore si notre relation n'était pas autrement qu'actuellement. Cependant, ce n'était pas le moment de se laisser aller à ses envies ou pulsions. J'étais en pleine service, je me devais de garder tous mes moyens. Et miraculeusement, mon ex et Jolan me rendirent un grand service, m'évitant alors tout débordement inapproprié vu la situation actuelle. Le petit descendit comme un grand à la cave. Je le regardais faire alors que le jeune MacNamara reprit la parole. « Excuses-moi pour tout à l’heure... Ce n’était pas voulu, je l’aurais fait surement à n’importe qui. Qui m’aurait sauvé. »
« Je comprends. T'inquiète pas. C'était surement à cause de tout ce stress qui s'envolait. » Je lui souriais à nouveau. Je ne m'étais pas attendu à ce genre de réaction de la part de Léo mais cela me convenait parfaitement. Le gamin revint assez rapidement avec ses sacs. Je le trouvais mignon comme tout. Apparemment, il tenait cela de son père.
« Les tiens sont trop lourds papa! » Je rigolais légèrement en l'entendant parlé. Cet enfant était vraiment surprenant et unique. Il trouvait toujours les mots pour s'exprimer d'une façon que beaucoup d'enfant comme lui ne pourrait le faire. Il était également d'une franchise exaspérante. J'en étais toujours bouche-bée. Il avait bien changé en un ans. Il n'était plus le petit bébé que j'avais connu mais bel et bien ce petit garçon plein de ressources. L'éducation que Jolan avait reçu y était pour quelque chose. Léonard devait être un excellent père de famille. Je n'en doutais pas.

Alors que le journaliste descendit pour prendre ses cartons, je restais avec son fils que me dévisageait en silence. Que me voulait-il ? pourquoi me regardait-il ainsi ? Je l'observais de haut. Ce gamin me faisait plus de peur que son père ou que ce maître chanteur. En effet, je ne savais pas à quoi m'attendre avec ce genre de petit être contrairement à ces criminels et aux adultes. Je n'avais pas le gêne "papa" dans mes veines et ça je le savais très bien. C'est pourquoi je décidais de me jeter à l'eau malgré mes réticences. « Ca va ? Tu n'as pas eu trop peur pendant l'ouragan ? Papa a bien pris soin de toi ? »
« Oui ! C'est le meilleur papa au monde et je suis sûr qu'il aurait aimé s'occuper de toi comme il l'a fait pour moi. » Intéressant. Jolan était bien différent des autres gamins que je connaissais. Il était plus mature et il comprenait bien plus que ce que chacun pouvait croire. Je m'accroupis une nouvelle devant lui.
« Et qu'est-ce qui te fais dire ça ? »
« Je sais des choses que tu ne sais pas. » Il rigola. J'arquais un sourcil. Après m'avoir surpris, Jolan m'intriguait. Je me relevais en voyant que Léonard revenait avec ses affaires.
« Tu peux nous déposer à l’hôtel des quatre saisons ? Je pense que moi et Jolan, on va passer quelque temps là-bas, le temps qu’ils réparent la maison... »
« Viens à la maison, si tu veux ? J'ai de quoi vous accueillir en attendant que tout ça soit réparer. Tu fais comme tu veux. »



Dernière édition par Tyler C. Wendel le Dim 12 Déc 2010 - 14:04, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] EmptyDim 12 Déc 2010 - 1:35



« Ca va ? Tu n'as pas eu trop peur pendant l'ouragan ? Papa a bien pris soin de toi ? » « Oui ! C'est le meilleur papa au monde et je suis sûr qu'il aurait aimé s'occuper de toi comme il l'a fait pour moi. » Je dois dire que je ne m’attendais pas à cette phrase, j’étais entrain de récuperer mes sacs, mais en entendant mon fils parler il avait pas tord le bougre... J’aurais aimé être dans cette cave avec Tyler pendant l’ouragan, j’avais peur et j’avais besoin de lui. je resta collé contre le mur de la cave en écoutant leurs dialogue... j’esperais une réaction de la part de Tyler mais il déclara: « Et qu'est-ce qui te fais dire ça ? » Je t’aime encore abruti... C’est ce que j’aurais du crier à ce moment là... Mais ma bouche n’osait bouger , mais mon fils parla pour moi: « Je sais des choses que toi tu ne sais pas. » Je me mit à sourire, c’était bien mon fils, je sortis de la cave avec mes deux sacs à la main je m’approcha de Jolan posant les sacs à terre et je regarda Tyler... Et c’est ainsi que je lui demanda: « Tu peux nous déposer à l’hôtel des quatre saisons ? Je pense que moi et Jolan, on va passer quelque temps là-bas, le temps qu’ils réparent la maison... » « Viens à la maison, si tu veux ? J'ai de quoi vous accueillir en attendant que tout ça soit réparer. Tu fais comme tu veux. » « Je ne sais pas...» Jolan me tira la chemise en me disant: «Dis oui Papa!» Je le fusilla du regard en lui disant du regarde ‘Toi occupe toi de tes couches !’ je remonta la tête vers Tyler et je soupira: « J’accepte ta proposition Tyler, mais que pour cette nuit alors... Je ne veux pas t’être encombrant.» Je le regarda en prenant mes sacs et Jolan prenait les siens et on s’approcha de la porte sortant de ce cauchemard. C’est en voyant la rues que je comprenais le desagrement qu’un Ouragan peut faire en se propageant sur la ville de Miami. Je vis la voiture de Tyler en face de la siennes. Mais je ne vis pas la mienne, je me dit à dire assez choquer: «Oh Mon Dieu! Nan mais c’est quoi ce délire?» Mon fils vis la voiture a trois paté de maison d’ici et se mit à dire: «Papa, notre voiture est comme la Doloréane dans Back to the Futur» Je le regardais... Et je me mis à rire...et je vis Tyler sortir de la maison il nous accompagna jusqu’à chez lui, mais je ne me doutais pas qu’il habité si pres de chez moi j’en fut estomaquer: « Non... Ce n’est pas possible tu habite à coter de chez moi! Ca fait un mois que je suis là et je n’en savais rien!» On rentra dans sa maison. Il n’y avais de grand dommages elle était resistante... Je posa mes sacs et je fis: «En tout cas très belle demeure, tu ne manques vraiment pas de goût.»
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Message(#) Sujet: Re: N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] EmptyDim 12 Déc 2010 - 14:57


Après avoir proposé mon aide les deux MacNamara sortirent. Occupé avec mon portable et ma supérieur qui me demandait des nouvelles toutes les cinq minutes par textos, j'étais resté à l'intérieur ne me préoccupant plus des deux rescapés et du choc que cela pourrait leur faire en constatant les dégâts causés par cet ouragan. Ce n'est qu'en attendant un cri de la part de Léo que je décidais à mon tour de sortir et de rembarrer ma chef par sms. Je devais faire mon travail en étant à fond de dans et non pas à fond sur mon portable. Je les accompagnais alors à pied jusqu'à ma maison qui n'avait été que très peu touchée. En une minute nous y étions arrivés. En effet, seulement sept demeures me séparaient de celle du journaliste. Je l'avais bien remarqué contrairement à lui qui semblait surpris. « Non... Ce n’est pas possible, tu habites à côté de chez moi ! Ça fait un mois que je suis là et je n’en savais rien ! » Je le regardais et avec un grand sourire, je lui répondis avec une certaine ironie.
« C'est ça de rester chez soi et de ne pas faire le tour du quartier pour connaître ses nouveaux voisins. » J'attrapais mes clefs et ouvris la porte d'entrée avant de les laisser entrer et de refermer la porte derrière eux. Je constatais alors le peu de dégâts. En arrivant, je n'avais vu que des tuiles qui s'étaient envolé. A l'intérieur tout était en place. Je leur fis signe de prendre leurs aises pendant que je faisais un tour dans la cuisine. Seul le garage à l'arrière de la maison avait souffert. Sinon, le reste était en parfait état. Je revenais vers mes invités.
« En tout cas très belle demeure, tu ne manques vraiment pas de goût. » Si justement, je manquais cruellement de goût car ce n'était pas le fruit de mon travail que Léonard observait. Ce n'était que celui de mon meilleur ami et premier amour décédé, Scott Matthews. Rien n'avait changé. Tous les meubles étaient restés comme il les avaient installés. Il m'avait donné sa maison en partant s'installer chez Maât et depuis je n'avais rien bougé, rien touché pour me persuader qu'il n'était pas parti avec un autre. Aujourd'hui, il était simplement parti et je m'en remettais toujours difficilement surtout lorsque l'on me le rappelait.
« Merci. Mais la déco n'est pas de moi. C'est Scott qui a tout fait avant... Avant de partir. » Je me redressais pour ne montrer aucune faiblesse et enchaina avec un tout autre sujet. « Je vais vous montrer votre chambre. » Je montais alors les escaliers en premier. Le premier étage n'avait rien non plus. Finalement, j'avais eu beaucoup de chance. Je passais devant ma chambre puis celle de Scott pour enfin arriver devant celle que j'allais confié pour la nuit à Léo et son fils. « Voilà. J'espère que ça vous ira. » Mon téléphone sonna à nouveau. Je le sortis et soupirais. « Je dois y aller. Je suis encore en service normalement. On aura plus de temps ce soir. A tout à l'heure. » Je fis un signe de la main à mon ex et passais cette dernière dans le cheveux de son fils avant de quitter leur chambre puis la maison.


QUELQUES HEURES PLUS TARD
« Je suis rentré. » Hurlais-je à moitié dans la maison afin de montrer que j'étais de retour. Personne. Je me demandais bien s'il y avait quelqu'un dans la maison car je n'entendais aucune bruit. Étaient-ils partis ? J'étais bien trop fatigué pour aller vérifier. Je m'écroulais alors dans mon canapé sans prendre la peine de retirer mes chaussures et mon blouson. Ce fut une journée exténuante, une journée comme je les aimais. Je sentis alors une présence dans mon dos. Je ne me retournais pas pour autant. Je n'en avais pas la force. Un ouragan donnait vraiment de boulot. J'étais épuisé mais ravi du travail que j'avais fourni aujourd'hui. « Vous vous êtes bien installés ? » Demandais-je sans savoir si Léo ou Jolan se trouvaient derrière moi.

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Message(#) Sujet: Re: N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] EmptyDim 12 Déc 2010 - 15:56

« Merci. Mais la déco n'est pas de moi. C'est Scott qui a tout fait avant... Avant de partir. » Scott par ci, Scott par là. Je commençais à en avoir marre d’entendre le prénom de l’homme qui ma fait perdre le mien. Je regardais Tyler, je comprenais ce qu’il voulait dire par avant de partir... Je me retourna constatent des petits dégats il evitait de montrer ses faiblesses et je l’avais remarqué c’est quand il me dit: « Je vais vous montrer votre chambre. » Je souriais et on il nous accompagna à l’étage, je regardais les diverses pièce, une chambre aux regard de tyler qui semblait un regard familier c’était sans doute sa chambre, quand nous avancions à la suivante je vis un regard triste, c’étais surement celle de Scott. Puis la suivant qu’il ouvrit, une grand chambre a peu près la même taille que celle que j’ai dans mon pavillon, je posa les sacs à l’intérieur et Jolan fit de même. Quand le téléphone de Tyler se mit à sonner, surement son supérieur hierarchique: « Je dois y aller. Je suis encore en service normalement. On aura plus de temps ce soir. A tout à l'heure. » Je souria et je lui dit: « Pas de soucis, Pour te remercier on vas te préparer un dîner quand tu rentreras.» Tyler s’en alla et je soupirais, le revoir me faisais bizarre. Comme si j’étais nostalgique, le simple fait de revoir se visage me faisait remonter tous mes sentiments à son égard, comme si rien ne c’était passer depuis un an. Je me retourna faceà Jolan et je lui: «Bon tu déballe des affaires pour cette nuit et ne déballe pas tout, on ira à l’hotel demain. Je vais aller voir ce que je peut faire pour la maison de Tyler.» Jolan fit la moue et me dit: « Pourquoi on peut pas rester plus longtemps?» Je m’agenouilla et je posa ma main sur sa tête et je lui dit: «Je ne peut pas rester, tu sais ce que j’ai vécu quand on était encore à Dallas. On vas se poser à l’Hôtel tout les deux, t’auras ta chambre pour toi.. Bon» je me releva dire tout ça à Jolan à dù le faire comprendre que c’était dur pour moi. Je le laissa seul et je descendit au rez de chaussé pour contacter un entrepreneur et prendre une reservation aux Four Seasons. Jolan quand à lui sortis un pyjama et un change pour le lendemain, je l’avait bien éduquer il était autonome pour son âge. J’ai peur qu’il grandisse trop. Après avoir fait ce que je lui avait demander et il se mit à se balader dans le premier étages, quand il ouvrit la porte de la chambre de Tyler... Il ouvrit les placard, il adorait fouiller c’était plus fort que lui. Quand il trouva quelque chose d’intéressant, Il m’apella. Moi je venais d’appeler un entrepreneur il passera tout à l’heure faire un devis et je monta dans sa chambre. Et je vis la porte de la chambre de Tyler ouverte et sur le lit je vis un costume, très bien fait cela dit. Ca me rappelait quelque chose... Quand Jolan me dit: «Tyler a un costume de Captain America.» J’en fut estomaquer depuis quand Tyler à des gouts aussi fetishiste, puis je l’imagina dans ce costume... Ca me faisait fremir rien que de savoir qu’il la porter... Je me resaisissa et je dit à Jolan: «Range moi ça et vas te laver!» Jolan se mit à soupirer puis il rangea le costume et se dirigea vers la salle de bain. Je le laissa faire et me remis à la tâche...

Quelques heures plus tard!

« Je suis rentré. » Enfin je dois dire! J’étais seul dans la cuisine à garder le repas de Tyler et le miens aux chaud. J’avais concocter un plat français pour l’occasion. je l’entendis s’affaler sur le canapé. Jolan était en train de dormir dans mon lit et je sortis de la cuisine, le regardant au loin. Je retomba un an en arrière quand il travailla pour la police de Dallas, j’étais encore étudiant et nous vivions dans un petit appartement dans le centre ville à quelques minutes. On était si proches... Si intime... Je m’en perdait dans mes souvenir qu’il me coupa dans mes souvenir « Vous vous êtes bien installés ? » Je me mis à rire et je lui dit: «Oui... Mais ne compte pas voir Jolan, il est déjà couché...» Je m’approcha de lui posant mes bras sur le dossier du canapé me retrouvant à sa droite je le regardait et je lui dit d’un ton assez doux: « J’ai préparer le dîner... Tu veux manger? Ca te fera du bien...» Eh voila que je me remet dans le cocooning de Tyler facheuse habitude que j’avais d’être aussi tendre avec lui. je le regarda dans les yeux... ses yeux azur qui était toujours autant si triste... Il semblait exténué je me redressa et j’alla dans la cuisine chercher les deux assiettes et en me rapprochant du salon je l’ai posa sur la table de la salle à manger et je dit: «Poulet Basquaise mon cher...» Je lui fit un geste pour qu’il vienne s’asseoir.
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Message(#) Sujet: Re: N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] EmptyDim 12 Déc 2010 - 17:26


« Vous vous êtes bien installés ? » Demandais-je sans savoir si Léo ou Jolan se trouvaient derrière moi.
« Oui... Mais ne compte pas voir Jolan, il est déjà couché... » Je tournais légèrement ma tête dans la direction de mon interlocuteur. Je lui souris. Je comprenais parfaitement. Il ne voulait pas que je le réveille. « J’ai préparé le dîner... Tu veux manger? Ça te fera du bien... » Mon regard le fixait et l'observait repartir dans la cuisine. Apparemment, il n'avait pas perdu son temps durant mon absence. Je ne savais même pas l'heure qu'il était et pour tout vous dire, je m'en foutais royalement. Léo revint dans le salon avec son plat et me fit signe de venir à table. J'obéis et m'installais en face de mon assiette et surtout de lui. « Poulet Basquaise mon cher... » J'humais la douce odeur de ce plat qui m'emmenait déjà très loin. Cela sentait divinement bon. Mes yeux bleus se jetèrent sur le journaliste alors qu'il me servait.
« Tu m'as l'air d'être toujours un aussi bon cuisinier. » Lui dis-je en ne cessant de fixer ces gestes. Je repris mon assiette avant d'attraper ma fourchette et de goûter son fameux dîner. « C'est très bon. Tu remercieras le chef pour moi. » Continuai-je avec un petit sourire au coin des lèvres.

Un silence s'installa alors entre nous. Jolan n'était pas là pour combler les vides, Léo et moi mangions donc en silence. C'était étrange. Nous avions vécu pendant quelques mois ensemble et nous n'avions plus rien à nous dire aujourd'hui. C'était pathétique, n'est-ce pas ? Je le sauvais, je l'invitais chez moi et je ne trouvais pas quoi lui dire pour entamer une conversation. Tout avait changé. La complicité que nous avions n'était surement plus celle que j'aurais cru qu'elle était. Nous étions presque comme deux inconnus dînant en tête à tête sans savoir pourquoi nous étions de nouveau réuni. Cependant, j'avais bien l'attention de ne pas laisser ce silence devenir trop pesant. Nous avions partagé un petit moment de notre vie ensemble et je ne regrettais en rien ces instants passés aux côté de Léonard et son fils. Je redressais mon visage après avoir mis un morceau de ce poulet basquaise dans ma bouche. Je l'avalais. « Il a bien changé... » Lui dis-je d'un calme olympien. « Jolan. Je parle de Jolan. » Rajoutais-je rapidement pour qu'il n'y ait pas de quiproquo. « La dernière fois que je l'ai vu, il n'était pas aussi... Surprenant. » Je rigolais, toujours déstabilisé par ce qu'il m'avait avoué plus tôt dans la journée. « En tout cas, son père doit y être pour quelque chose. »

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Message(#) Sujet: Re: N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] EmptyDim 12 Déc 2010 - 18:14


« Tu m'as l'air d'être toujours un aussi bon cuisinier. » Voilà qui me flattait! j’en rougissait, mais j’étais un fin cuisinier de ma nature. Je m’approcha doucement de son oreille pour lui susurrer: «D’où je viens ne pas savoir cuisiner c’est comme mal faire l’amour!» Je me mettais à rire à ma bétise avant de m’asseoir en face de lui. Quand j’y pense aux quelques heures que je venais de passer dans cette cuisine immense, cela ne m’étonnait pas d’un cuisinier comme Scott. J’étais en extase, j’aurait adoré devenir cuisinier, mais je préfére garder pour un hobbie qu’un métier. Tant dis qu’il me demanda de remercier le chef avec un sourire qui m’aurait fait sombrer dans les méandres mélancolique que je lui dit: « Le chef apprécie ces mots...» Lui dis-je en tirant légérement la langue d’un air amusé, avant de reprendre une autre bouché. Les secondes parurent une étérnité. C’était si bizarre, on avait tellement vécu... C’était peut être court, mais pour moi les secondes passer avec lui était si doux comme si j’était toujours en contact avec un nuage. Mais la c’est différent j’ai l’impression d’être à mon dernier repas... Une tension était présente et Tyler la remarqué aussi c’est pour ça que :« Il a bien changé... » dit-il en voulant trouver un sujet de conversation, mais je ne comprenais de quoi il parlé? J’avais peur de ne pas comprendre j’arqua un sourcil d’un air interrogateur « Jolan. Je parle de Jolan. » Il ne me laissa pas en placer une, mais le faite qu’il parlait de Jolan me soulagais. Quand il continua: « La dernière fois que je l'ai vu, il n'était pas aussi... Surprenant. » il rigola, je me mis à sourire, j’étais content qu’il fut aussi interessé par mon fils. C’est pas tous les jours qu’un homme s’interesse à moi et aussi à mon fils... Quand il continua en me complimentant: « En tout cas, son père doit y être pour quelque chose. » je repris une bouché que j’avala, je laissa un silence avant de dire : «Hélas, je n’y suis pour rien... J’ai fait ce que j’ai pu pour l’éduquer. Mais tu sais, depuis que tu est partit, j’ai eu du mal à m’en remettre» j’étais un peu plus sérieux et je continuais: «Jolan a du se débrouiller seul, c’est pour ça qu’il a si bien muri pour son âge...» Je n’osais continuer, si je continuais j’allais parler de sa mère et je n’aimais pas parler de ce sujet sensible pour moi... Car c’est une parcelle d’ombre de ma vie, et c’est ainsi que je changea de conversation: « Toi aussi... tu as beaucoup changé depuis la dernière fois à Dallas...» Et je savais pourquoi ce changement, Scott Matthews encore lui... Je ne le connaissais pas personnelement, mais Kristen ma vieille amie m’en parla souvent quand on était jeune et Tyler me parla très peu de lui. Mais je sais qu’il sait passer quelque chose entre eux, je pouvais le sentir dans la voix de Tyler quand il parlais du défunt. Je finissais mon assiette sans oublié un grain de riz et je le contempla... Finissant aussi son assiéte j’étais heureux de le revoir,heureux d’être là, heureux de dormir sous son toit... Mais quelque chose me manquer.

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Message(#) Sujet: Re: N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] EmptyLun 13 Déc 2010 - 19:46


« En tout cas, son père doit y être pour quelque chose. » Finis-je par conclure face à la nouvelle attitude de Jolan.
« Hélas, je n’y suis pour rien... J’ai fait ce que j’ai pu pour l’éduquer. Mais tu sais, depuis que tu es parti, j’ai eu du mal à m'en remettre. » Je m'étouffais à moitié en buvant une gorgée d'eau. J'étais surpris par ce que j'entendais. Je toussotais pendant que mon invité continuer à s'expliquer. « Jolan a dû se débrouiller seul, c’est pour ça qu’il a si bien muri pour son âge... » Je m'essuyais la bouche avec ma serviette. Mon regard dévia ensuite sur Léo et j'avalai une bouche de son plat français. Apparemment, un sujet sensible avait été ouvert et je n'arrivais pas à savoir où était le mal que j'avais entamé. Jamais, je n'aurais pensé que notre séparation l'aurait autant atteint. Je me souvenais encore de notre dernier échange et ce n'était pas le plus glorieux ni le plus amical.

FLASH BACK

Dallas ▬ Avril 2010
« Il faut que je parte. Il faut que je retourne sur Miami ! » Dis-je à Léo qui venait de rentrée de l'université. Jolan était à l'école et je faisais mes valises. « J'ai reçu un appel et il faut vraiment que je rentre chez moi aujourd'hui ! » Je me dépêchais de prendre tous mes vêtements et babioles que j'avais amené avec moi.
« Qu'est-ce qu'il se passe ? Pourquoi pars-tu ? » Me demanda mon compagnon avec qui j'habitais depuis quelques mois. Il m'attrapa le bras pour me retenir. Je forçais le passage et Léonard me lâcha. « J'y comprends rien ! Expliques-moi, bordel ! » Le jeune MacNamara commençait à s'énerver. Je le regardais tout en continuant à prendre mes affaires à toute vitesse.
« C'est Scott. On lui a tiré dessus ! Il est dans le coma depuis janvier et je viens juste de l'apprendre par son putain de frère ainé ! Il lui en a fallu un temps à celui-là ! Je pars pour Miami. J'ai déjà réservé un billet pour la Floride. J'ai un avion dans trois quart d'heure. » Je terminais mes valises et les emmena près de la porte d'entrée.
« Donc tu me laisses ici tout seul parce que ton meilleur ami a des problèmes ? Je croyais que t'étais parti de Miami pour prendre de la distance avec Scott ! A ce que je vois, Dallas n'était pas assez loin ! Fais ce que tu veux. Mais sache que si tu pars, ça sera fini entre nous ! » Je relevais la tête en direction de Léo.
« D'accord. » J'avais mon diplôme en main. Plus rien ne me retenait sur Dallas à part Léonard mais puisqu'il n'acceptait pas mon départ soudain pour ma ville natal, je n'avais plus le choix. « Je m'en vais. »
« C'est tout ? Tu me dis juste que tu t'en vas ? Eh bien dans ce cas, CASSES-TOI ! » Je pris mes valises en main et quittais l'appartement sans me retourner. J'en avais fini avec le Texas. Je quittais donc cet état sans regret et avec la certitude que j'arrêterais le salaud qui tira sur Scott et lui provoqua son coma.

Je retrouvais mes pensées. J'avais eu un léger flash de notre dernière "conversation" à Dallas. Aujourd'hui, la tension était retombée. C'était surement mieux ainsi car au fond de moi-même, j'avais été heureux avec lui. J'avais passé d'incroyable moment avec Léo et son fils. « Toi aussi... tu as beaucoup changé depuis la dernière fois à Dallas... » Je finissais mon assiette lorsque j'entendis les paroles de mon cuisinier personnel. J'avalais ma dernière bouchée. Le journaliste me fixait. Je n'osais relever le regard. C'est pourquoi, je me levais de ma chaise pour prendre les deux assiettes et les emmenais dans la cuisine. En voulant retourner dans le salon, je m'arrêtais sous le pas de la porte, je regardais Léo qui était toujours assis autour de la table à manger. Je soupirais.
« En quoi, ai-je changé ? » Lui demandais-je en m'approchant de lui.

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Message(#) Sujet: Re: N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] EmptyLun 13 Déc 2010 - 20:22


FLASH BACK

Dallas ▬ Avril 2010

Voila... il est partit, Jolan était encore à l’école, j’appella une amie pour aller le récupérer j’étais pas en état de conduire, peur de me foutre la gueule en l’air pour la gueule d’ange qui venait de traverser le palier. Scott... Scott... Depuis que j’ai rencontré Tyler je n’entend parler que de lui... Je connaissais une Matthews, Kristen. Je la connaissais depuis que je suis arrivé aux États-Unis, Elle me parla souvent de son jeune frère Scott, je savais à qui je devais en parler de savoir ce qui c’est passé. J’écrivais une lettre pour Kristen... Lui présenter mes respect à sa famille et avoir de ses nouvelles, et lui parler de Tyler.


Je n’ai jamais eu de nouvelle de Kristen, c’est en regardant la revu nécrologique du journal Locale de Miami que je vis le nom de Scott Matthews. A la suite je lui écrivais un dernier messages avec quelques mots ‘ Mes Sincères Condoléances et toute mes amitié Léo.' Je le regardais s'étouffer, je savais que j’arborais un sujet sensible, et que ca allait être détourner comme à chaque fois... Il se leva prenant nos assiettes les amenant dans la cuisine je me servis un dernier verre d’eau puis je commença à le boire, me remémorant les derniers mots que j’ai pu dire à Tyler quand nous étions à Dallas. C’est quand je l’entendis revenir il se posa sur le pas de porte en me disant: «En quoi, ai-je changé?» Je le vis s’approcher de moi, je me leva m’approchant de lui et en disant: « Tu es devenu plus calme, moins au quart de tour comme quand je t’ai connu. Mais tu ma l’air seul... Ton regard est plus triste...» je le regardais posant ma mains sur sa joue, mais en comprenant mon geste je la retira. Mon cœur s'emballait et je me retourna remettant ma chaise en place et en faisant diversion: « En tout cas je me surpasse... C’était très bon.» Je me retourna me parlant à moi même dans ma tête ‘Sourit! et hop l’affaire et dans le sac... je m'exécuta en souriant assez gêné, je ne savais plus quoi faire... Tyler était devant moi il y a plus d’un an... Et voilà que je me retrouve de nouveau face à lui. J’ai l’impression d’avoir les même sentiments... De n’avoir rien perdu... Je suis totalement perdu. Je sortis de la salle à manger pour me poser sur le canapé et je regardais Tyler et je dis doucement: « Écoute, je... Quand tu es parti c’est vrai que ma vie a été chamboulé, tu as été mon pilier. J’ai réussit a vivre entre mes études et l’éducation de mon fils grâce à toi... Quand j’ai finit mes études, j’ai rencontré à la remise des diplôme le directeur de la Fox de Miami... Il ma proposé un poste de Journaliste sur sa chaîne... Au début je n’avais pas fait le rapprochement. J’avais passer des semaines a essayé de t’oublier, à oublier Miami. J’ai réussi... J’ai oublié où tu étais, mais je ne t’avais pas oublié... C’est quand je suis venu à Miami il y a trois mois de ça pour l’entretien que je t’ai vu... Tu était bien habillé... Je pensais aller voir Kristen pour lui passer le bonjour et voir comment elle aller après l’histoire de Scott, mais je t’ai vu... Tu étais dans ta voiture de fonction je n’ai même pas pu aller voir Kristen, j’ai fui... je suis reparti à Dallas. Après quelque jours de réflexion j’ai décidé d’acheter la maison. Je me suis dit que Miami c’était grand! Qu’il aurait fallu une chance sur 1 000 000 pour que je te croise dans les rues de Miami. Mais on sait revu, pour mon premier sujet à la fox sur une enquête d'homicide dans les rues malfamée de Miami, tu étais l’inspecteur chargé de l’enquête... Eh maintenant me voilà... Là sur ton canapé, après plus d’un an que je n’ai plus eu de nouvelle...» je me disais tout bas: «après tout c’était normal.» et je continuais: « Je ne sais pas pourquoi je te dit tout ça Tyler, mes mots sortent sans que je le veuille, je voulais que tu sache surement ce que j’ai ressenti...» J’essayais de reprendre ma respiration je n’osais plus le regarder... je me leva me disant qu’il fallait que j’affronte mes démons, mes démons que je cache depuis un an... J’aimais cet homme qui était en face de moi... j’avais du mal à me l’admette, mais c'était la vérité. J’aurais voulu lui dire et de reprendre à zéro et à ses coter... Mais c’était impossible je ne sais pas si j’y arriverais... Et surtout lui y arriverait, il a souffert de la mort de Scott... j’en ai payé le prix. Je m’approchais le porte l’ouvrant pour aller me diriger vers les escalier pour remonter dans la chambre où mon fils dormait à point fermer je laissa quelque instant à Tyler m’imaginant des scènes incongrues ou bien fantasque et je lui dit: « Je monte...»

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Message(#) Sujet: Re: N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] EmptyLun 13 Déc 2010 - 22:51


« Tu es devenu plus calme, moins au quart de tour comme quand je t’ai connu. Mais tu m'as l’air seul... Ton regard est plus triste... » Sa main se posa sur ma joue mais il la retira presque instantanément. Déçu, je le suivis du regard lorsqu'il remit sa chaise en place. J'aurais aimé beaucoup plus. Cependant, la façon dont nous nous étions quittés me bloquer dans mon envie d'aller plus loin. D'après lui, je paraissais triste, moins enjoué, plus passif de la vie. Et Léo avait bien raison. Comment aurait-il réagi si son premier amour s'était fait descendre à quelques maisons de la sienne ? « En tout cas je me surpasse... C’était très bon. » Je ne rétorquais rien. Le souvenir de Scott m'était revenu en pleine face et je n'arrivais pas à me l'enlever. Aucun sourire ne se manifestait sur ma bouche. Aucune expression ne sortait de moi. J'étais là, indifférent, tentant d'inhiber Scott Matthews de mes pensées.

Alors que mon invité s'installait dans le canapé, je me posais sur l'un des deux fauteuils du salon. C'est alors que Léonard partit dans un monologue sur notre histoire, notre séparation, nos retrouvailles, etc. Bref, il décrivait tout ce que nous avions vécu depuis mon fameux départ à Dallas. Je l'écoutais sans le regarder et je retirais les chaussures que j'avais portais toute la journée. Cela faisait tellement de bien de les enlever que j'en gémissais de bonheur alors que mon ex petit copain finissait son petit discours commémoratif. Mes yeux se jetèrent sur Léo. Il semblait perdu dans ses pensées quand, tout d'un coup, il se leva pour quitter le salon. Mais avant, il me précisa ses intentions. « Je monte... » J'acquiesçais d'un signe de tête. Que pouvais-je bien faire d'autre ? Je n'allais pas le retenir alors que Léo et Jolan venaient de passer une difficile journée enfermer dans leur cave.

Je me levais pour me rendre dans la cuisine. Pieds nus, j'allais faire la vaisselle pour décompresser. Oui, il n'y avait rien de mieux pour oublier ce foutu ouragan et le fait que son ex couchait à une chambre de la mienne. Je déboutonnais de quelques boutons ma chemise avant de me mettre à la tâche. Et c'est ainsi, qu'après une dizaine de minute, le travail se termina. J'étais exténué mais je n'avais pas envie d'aller me coucher. Je montais simplement dans ma chambre en passant premièrement par la salle de bain au fond du couloir et côté de la chambre de Jolan et Léo. Je me brossais les dents. Je me passais un coup sur le visage et ressortis torse nu. Je retournais vers ma chambre. Cependant, je m'arrêtais au niveau d'une certaine chambre avec une certaine personne à l'intérieur. Je me posais sur le mur, hésitant. Je faisais le geste avec ma main mais en aucun cas je ne frappais à la porte. Une force inconnue me retenait. Je décidais alors de continuer ma route et de le laisser tranquille pour la soirée.
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Message(#) Sujet: Re: N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] N°1825 PUIS N°1818 « If the sky can crack. There must be some way back. » (Après l'ouragan) [ENDED] EmptyLun 13 Déc 2010 - 23:22


J’étais complétement démoralisé, je ne savais plus quoi pensé de moi. c’était la première fois de ma vie que je me sentais si stupide et y’en a eu des moment stupide. J’avais qu’une envt instant de la réalité. Quand je lui annonça que je montais me coucher, il ne dit pas un mot... j’en étais sur je m’en serais doutais il ne m’aurait pas retenu, je connais Tyler comme si je l’avais fait j’aurait fait pareil que lui. Je monta un à un les marches de l’éscalier en l’entendant faire la vaisselle dans la cuisine je soupirais enlevant mon t-shirt, j’alla dans la salle de bain me regardant devant la glace, j’avais les yeux rouges... Aurais-je pleurer en montant les escalier? Je ne sentais rien, ni les larmes coulant sur mon visage ni cette expression de tristesse que j’aurais pu ressentir, je passa un coup d’eau sur mon visage et mes bras, je prit le trousse de toilette sur le rebord de lr me brosser les dent voyant celle de Jolan sur le rebord du lavabo je la rangea tant dis que je frottais. Puis je retourna dans la chambre, j’ouvrit doucement la porte voyant une masser recroqueviller sur elle même sur le lit, je me mit à sourire... Mon enfant dormait là paisiblement, j’auras aimé retourné à l’âge de Jolan, j’étais en pleine découverte de la vie je quittais la France pour le rêve Américain. J’enleva mon jeans et je m’allonga sous la couette mon fils était dos à moi et je glissa mes bras autour de lui et le plaque doucement contre mon torse, je pouvais sentir son battement de coeur qui était lent tel un enfant entrain de dormir, repliant mes jambes je me retourna dans une position foetale et j’humais l’odeur shampoing de mon fils qui ma harcelait pour que je l’achete comme quoi ca piquer pas les yeux! j’étais très protecteur envers Jolan et j’aurait du mal à le lacher quand il sera plus grand... C’est mon soleil depuis qu’il est né et doucement je commençais à m’endormir.... Mais j’entendis quelqu’un monté, je l’entendis monté il passa devant ma chambre et alla dans la salle de bain je l’entendis se brosser les dents je l’imaginait essayant de me visualiser la scène, j’étais un crétin de masociste pour imaginer ça... Quand il sortis je tourna ma tête vers la porte de la chambre voyant la lumière sous la porte et je vis son ombre passait devant, il était resté là... Pendant quelques seconde, il était contre la porte... Nan mais si je n’étais pas moi je me serais engueuler! j’abandonna me plongeant dans le sommeil, me refugiant dans les bras de Morphée. La journée fut longue...

Le lendemain, mon portable sonna, le reveil que je met pour Jolan. Jolan se reveilla et moi aussi et on remarqua qu’on était pied de bêche, Jolan avait tendance a gigoter comme un asticot la nuit, le nombre de fois quand il était petit et qu’il se reveillait en pleurant parce qu’il était tomber de son lit. Le soleil n’étais pas encore lévé et il était dans les environ de 6h30 du matin, je me leva et Jolan se rendormit... Je le bougea pour le reveiller sans trop faire de bruit, je comptais quitter cette maison au plus vite, je ne sais pas si je serais capable de regarder Tyler de nouveau dans les yeux... Je susurra quelque mots à l’oreille de Jolan, comme quoi nous devons y aller et qu’il finira de dormir dans le taxi. je prenais mon téléphone appelant l’agence de Taxi du coin et ils m’ont répondu qu’ils serait surement en retard à cause de l’ouragan. Je rangea les affaires que nous avions sortit et Jolan descenda seul en premier, moi je resta sur le palier le regard fixant sur la porte de Tyler... J’hésitais... j’hésitais à rentrer et lgarder dormir... Il était comme un ange, un si bel ange quand il dormait comme si tout ses soucis s’en alla avec le sommeil. Je posa mes sacs j’étais décidait, il dormait surement. Je glissa ma main sur la poignet l’ouvrant légérement. J’étais assez discret quand je le voulais... En ouvrant je vis dans la pénombre le lit de Tyler avec une masse sous la couette... Je rentra dans la chambre a pas de chat je m’approcha de lui, mon corps ugeait tout seul ma tête me crier de sortir, comme ce stupide jeu de Boyard. Je le vis j’étais en face de lui, je m’accroupissais voyant son visage, il était aussi fatiguer que moi et j’approcha doucement mes lèvres les posant sur son front laissant une vive caresse sur sa tête et je susurra: «Je...» mais je me résigna à finir cette phrase. Je me releva faisant le chemin inverse sans faire trop de bruit et je refermit la porte et je descendais j’entendis le Taxi klaxonner... Rapide le bougre! me dis-je dans ma tête je laissa un mot sur la table du salon avec marquer un simple 'Merci.’ c’est ainsi que Jolan et moi nous quittions la maison n°1818 pour rejoindre notre destiné...
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