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 NO ONE SHOULD UNDERESTIMATE THE VALUE OF LOVE (pv)

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Message(#) Sujet: NO ONE SHOULD UNDERESTIMATE THE VALUE OF LOVE (pv) NO ONE SHOULD UNDERESTIMATE THE VALUE OF LOVE (pv) EmptyMar 2 Nov 2010 - 4:20



no one should underestimate

the value of love

    JANE BLODWEN & TRAY RANNIGAN


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    lellamd & ch_photoshopped @LJ





Une peau pâlie par une crème lourde et désagréable, des cernes violacés accentués par une autre crème, les cheveux en bataille, le regard lugubre. Voilà ce qu’il restait du séduisant Tray Rannigan, qui avait troqué son apparence de tombeur contre son déguisement le plus effrayant. Peu adepte des costumes en tous genres, le jeune homme avait préféré à ceux-ci une tenue sobre et un visage effrayant. L’air de revenir de l’Autre monde, Tray ne perdait cependant rien de son charme, bien que celui-ci fût plus morbide qu’à l’accoutumée. Et c’était tant mieux, car ce soir, le jeune homme s’était fixé une mission à accomplir, un objectif à atteindre. Ce soir, mort-vivant ou non, il se devait de reconquérir Jane Blodwen. Sa Jane, celle qui hantait ses pensées, de jour comme de nuit. Ce n’était en aucun cas un sentiment comme l’amour qui animait la volonté du jeune homme, seulement un puissant désir et une envie de la sentir près de lui – de la sentir à lui. Il l’avait convaincue à grand-peine de l’accompagner à la fête des Morecci qui aurait lieu le soir de Halloween. Le rendez-vous avait été fixé à huit heures et demie, et Tray arriva pile à l’heure au 1612, Lemon Street. Des souvenirs plus ou moins anciens lui revinrent à l'esprit, et Tray repensa avec mélancolie à tous les moments qu’il avait passés ici avec Jane, à l’époque où elle ne l’avait pas encore rayé de sa vie et qu’il pouvait, au prix d’efforts plus ou moins grands, entrer dans la jolie maison de son amie pour y faire des choses que l’on ne pourrait que difficilement qualifier d’amicales – à moins d’avoir une conception étrange et pour le moins érotique de l’amitié. Tous ces moments de plaisir pur et intense avaient invariablement été suivis de hurlements stridents et de pétages de plombs de Jane, qui n’assumait que moyennement l’attirance qui régnait entre elle et Tray. Elle avait fini par imposer sa décision. Depuis, il n’avait plus mis les pieds ici. Mais ce soir, tout changerait, Tray l’avait décidé et il ne comptait pas déroger à cette promesse. Gravissant avec souplesse et rapidité les marches qui menaient au porche de Jane, il patienta quelques secondes avant de sonner. Lorsqu’elle lui ouvrit, prête jusque dans les moindres détails, Tray fut momentanément à court de mots, chose pour le moins rare chez lui. Bien que parfaitement en phase avec le thème effrayant de la soirée, Jane avait, elle aussi, opté pour plus de subtilité côté vestimentaire et malgré le malaise qu’elle pouvait provoquer, elle restait toujours aussi belle. Lorsqu’il fut de nouveau à même de réagir, Tray sourit à son amie. Il décida de troquer ses habituelles remarques taquines et sarcastiques contre un ton exagérément pompeux mais absolument pas sérieux. « Miss Blodwen, votre beauté ne cessera jamais de m’éblouir. » Sur ces paroles, il s’empara de la main de Jane pour y poser un délicat baiser. Puis, se redressant, il adressa un clin d’œil à la jeune femme et l’invita à le suivre. « Votre carrosse vous attend, Milady. » C’était la deuxième fois qu’il employait ce surnom à l’intention de Jane, conscient que c’était le genre de choses qui pouvait agacer la jeune femme lorsqu’elles étaient employées avec sarcasme. C’est pourquoi, malgré le manque de sérieux dont il faisait clairement preuve derrière sa façade pompeuse et grandiloquente, Tray s’efforça d’avoir l’air sincère et, en aucun cas, arrogant. Se saisissant avec douceur de la main de Jane, il guida celle-ci jusqu’à sa BMW noire – le trajet était ridicule, les Morecci habitaient à une rue d’ici, mais il était sans doute plus confortable de faire le voyage en voiture pour Jane, dont les talons ne permettaient pas de grandes randonnées.

Lorsqu’ils arrivèrent à destination, Tray dut admettre qu’il était impressionné par le goût de la décoration. Il ne s’était plus rendu à une soirée de Halloween depuis plusieurs années, plus précisément depuis qu’il avait quitté Ocean Grove pour le Kansas, et cette reconversion était pour le moins réussie. L’environnement était glauque et inquiétant : les Morecci avaient réussi à créer une ambiance de Halloween digne de ce nom. Tray aida Jane à sortir de sa voiture et l’escorta jusqu’à l’entrée, où ils purent admirer un charmant cadavre quelque peu agité dans son cercueil. Très peu pour Tray, qui se contenta d’un léger sourire avant de s’engouffrer avec Jane dans la maison déjà noire de monde. Tout naturellement, il se dirigea vers le bar et demanda aussitôt à son amie : « Qu’est-ce qui te ferait plaisir, Janie ? » Bien qu’il se fût promis de ne plus recourir à ce surnom ridicule qui avait pour seule fonction d’énerver la principale intéressée, c’est-à-dire Jane, Tray n’avait pu s’empêcher de l’utiliser, plus dans une marque d’affection que pour énerver son amie. Ce serait une mauvaise idée de la contrarier dès le début de la soirée, alors qu’il aurait besoin de patience et de persévérance pour lui prouver qu’elle pouvait lui faire confiance et lui accorder une nouvelle chance.

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Message(#) Sujet: Re: NO ONE SHOULD UNDERESTIMATE THE VALUE OF LOVE (pv) NO ONE SHOULD UNDERESTIMATE THE VALUE OF LOVE (pv) EmptyMer 3 Nov 2010 - 10:38




Avec aisément une heure d’avance, Jane s’était préparée minutieusement pour la fête d’Halloween. Elle n’avait pas opté pour un déguisement extrêmement recherché comme le faisait certains, qui allaient jusqu’à dépenser des centaines de dollars pour des accessoires ridicules qui ne servent qu’un soir. Ce n’était pas pour autant qu’elle avait bâclé la préparation. Elle avait pris un soin fou pour se maquiller, ses vêtements n’ayant rien de très extraordinaire. Vêtue de noir, son haut était en soie et pourvu d’un particulièrement imposant col qui tombait jusque sous les épaules. Sa mère avait pensé lui offrir le plus beau des cadeaux de départ avant de quitter Chicago mais Jane avait préféré le ranger soigneusement dans la partie « inutile » de sa penderie. Elle l’avait accordé avec une jupe simple et des talons (très) hauts dans la même couleur. Parfaitement prête à se rendre à la soirée des Morecci, Jane s’était ensuite mise à nettoyer la salle de bain de fond en comble, de peur qu’une particule de ‘noir à lèvre’ n’ait échappée à son contrôle. Etrangement, elle n’avait aucun mal à récurer et laver les recoins de la pièce malgré ses faux ongles excessivement longs qui allaient très bien avec sa tenue. Jane avait développé des pouvoirs spéciaux en ce qui concernait ses deux spécialités : le ménage et la cuisine. Elle pouvait en effet faire ses deux choses les yeux bandés tant elle les avait fait souvent au long de sa courte vie.
Elle était en train de passer du produit sur la table du salon pour la troisième fois de la journée lorsque la porte sonna. Elle s’empressa d’aller ranger ses armes de nettoyage, ses pas pressés provoquant des petits bruits de marteau contre le plancher. Elle jeta un dernier coup d’œil au miroir avant d’aller ouvrir. Elle n’aurait pas su donner de nom à son déguisement, mais elle avait un côté effrayant et classe, telle une veuve ayant tué son mari. Tiens, c’était une bonne idée à retenir si un lourdingue se jetait sur elle avec l’habituelle question : « Et toi, t’es en quoi ? » Elle s’aplatit les cheveux avec les mains bien que ce soit inutile, la laque avait fait le boulot pour elle. Elle attrapa son petit sac à main, prête à partir immédiatement. Jane n’avait absolument pas envie de laisser Tray entrer chez elle, Dieu savait ce qu’il pouvait se passer… Après la soirée, peut-être. Mais pas maintenant. Après tout, ce n’était pas comme si ils étaient déjà redevenus amis, comme avant. Ils s’étaient à peine adressé la parole depuis la fois où Tray l’avait invité, devant le Grocer’s Shop, ne serait-ce pour se fixer une heure de rendez-vous. Occupée par ses taches ménagères, elle n’avait pas fait attention aux aiguilles qui tournaient et ne pouvait donc pas dire si il était en retard ou pas. Le principal, c’est qu’il était là, maintenant. Jane vérifia rapidement une dernière fois si elle n’avait pas de noir sur les dents puis sortit de la maison. Elle claqua la porte derrière elle pour que Tray comprenne qu’il n’y avait pas à s’attarder ici. Néanmoins, elle s’arrêta un moment sur le pas de porte afin qu’elle puisse l’analyser. Elle le laissa aussi la jauger et se satisfit de l’air émerveillé de son compagnon de soirée lorsqu’il la détailla sans gêne du regard. De la même manière, elle fût soulagée de voir qu’il avait un costume sobre mais réussi. Vu certaines exubérances de Tray, elle avait eut peur qu’il puisse débarquer en Winnie l’ourson ou en Tarzan (elle aurait trouvé la blague de très mauvais goût car elle en avait fait l’expérience tout au long de l’enfance). Elle le remercia en quelque sorte avec un sourire puis s’avança vers lui. Elle avait prévu de ne pas l’embrasser en guise de bonsoir, afin de ne pas étaler la poudre blanche de ses joues, mais constata que Tray avait la même. Elle lui fit donc une rapide bise volontairement assez proche de la commissure des lèvres. Bien qu’obligatoires en vue la situation, les compliments de son hôte lui fit plaisir mais elle s’abstint de tout commentaire le concernant – elle n’avait pas besoin de lui lécher les bottes !

Bien que sachant parfaitement que tout était faux, Jane ne pouvait s’empêcher d’avoir des soupçons. Ce n’était pas un secret, la jeune femme s’avérait souvent inquiète voire paranoïaque et elle ne put se retenir de se demander si c’était vraiment du faux sang qui coulait du pseudo zombie/momie près de l’entrée. Elle resserra son étreinte autour du bras de Tray, à la fois pour se protéger et pour montrer qu’il était son hôte. Sur ses gardes, elle sursauta plusieurs fois de suite lorsqu’un mini vampire passait près d’elle ou qu’une araignée tombait de nulle part. Bizarrement, elle fût rassurée en pénétrant dans la maison même, où il faisait tout aussi sombre. Mais au moins, les habitants du quartier grouillaient de partout : elle aurait toujours une main à laquelle se rattacher dans les cas les plus cauchemardesques. Elle n’avait pour l’instant échangé que très peu de mots avec Tray et afficha l’espace d’une seconde un air surpris quand il lui demanda ce qu’elle souhaitait. Elle n’osa pas demander de la nourriture malgré le petit creux de son ventre, pour deux raisons. Premièrement, elle ne voulait pas passer pour une grosse bouffe qui avalait tout le buffet à peine arrivé. Deuxièmement, c’était bien l’une des rares fois qu’un évènement du quartier n’était pas fourni par Jannie’s, et ça lui inspirait très peu confiance. Elle opta donc pour une boisson légère que Tray s’empressa d’aller lui chercher en passant entre Batman et autre Pocahontas. Jane avait failli lui dire de faire vite, mais encore une fois, elle serait passée pour la copine lourdingue. En attendant, elle regarda autour d’elle, en proie à une panique légère. Ce n’était décidément pas un environnement fait pour elle. Toutes ses toiles d’araignées, même fausses, lui donnaient le tournis. Qu’est-ce qu’elle ne donnerait pas pour passer un bon coup de balai… Prenant son courage à deux mains, elle s’approcha des petites animations effrayantes où quelques personnes étaient regroupées autour d’un cercueil. Jane engagea la conversation avec une cliente du restaurant. Etait-ce elle où Tray mettait un peu trop longtemps pour lui apporter une simple boisson ?





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Message(#) Sujet: Re: NO ONE SHOULD UNDERESTIMATE THE VALUE OF LOVE (pv) NO ONE SHOULD UNDERESTIMATE THE VALUE OF LOVE (pv) EmptyMer 3 Nov 2010 - 14:56





    AVEC LA PARTICIPATION DE JACKIE SUMMERFIELD

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    lellamd, byjean & ch_photoshopped @LJ





La soirée était bien partie pour Tray, qui sentait que Jane était de bonne humeur, et donc plus encline à une réconciliation certes fragile mais essentielle. Il ne voulait pas gâcher les choses, pas ce soir. Il serait irrépochable, agirait comme le parfait gentleman, l’homme parfait. Il savait que s’il s’appliquait un minimum, ce soir, Jane serait à nouveau sienne. Avec un peu de chance, il pourrait même franchir à nouveau le pas de la porte de la jeune femme qui n’oserait pas lui faire l’affront de refaire tout le trajet jusqu’à sa propre maison. Bien qu’arrogant de nature, Tray n’était pas du genre à s’attribuer la victoire avant que le jeu n’ait commencé. Mais il savait combien Jane était sensible à son charme, et s’il en usait de manière subtile mais efficace, il n’aurait rien à craindre : le succès était assuré. Alors que Jane, visiblement peu rassurée, lui demanda d’aller lui chercher quelque chose de léger, Tray sourit à son amie comme pour la rassurer. Il la vit jeter des œillades craintives aux toiles d’araignées qui pendaient du plafond et aux autres décorations visiblement peu à son goût. Tray repensa à la manie de son amie à toujours tout nettoyer jusque dans les moindres recoins et l’imagina sans peine un balai à la main, en train d’enlever tout ce qu’elle ne jugeait pas digne d’une maison de ce standing. Il l’embrassa rapidement sur le front et lui adressa un nouveau clin d’œil comme pour lui signifier de ne pas s’en faire, que de toute façon les décorations, bien que peu esthétiques, n’étaient en rien une menace. Il fit ensuite volte-face et se rendit au bar, se frayant difficilement un passage parmi les dizaines de silhouettes. La maison grouillait de monde, chacu de ses recoins était rempli par les habitants du quartier, souvent méconnaissables à cause de leur accoutrement. Tray s’amusa à analyser les costumes de quelques-uns d’entre eux et se félicita intérieurement d’avoir renoncé à sortir le grand jeu – bon nombre d’entre les invités avait l’air ridicule. Tray était d’avis que, passé un certain âge, il était plus sage d’évoluer et de passer à autre chose, de laisser dans le placard déguisements grotesques et insolites.

Une fois arrivé au bar, Tray fut consterné de se rendre compte qu’il y avait encore plus de monde qu’ailleurs dans la pièce. Le jeune homme se dit qu’il était parti pour faire la file pendant une bonne dizaine de minutes, et prit son mal en patience – il ne pouvait décemment pas revenir auprès de Jane les mains vides avec pour seule excuse son manque de patience. Ce serait directement jeter l’éponge, ou même se jeter dans la fosse aux lions. Il pourrait dire adieu à tous ses projets. Tray patienta donc, se faisant régulièrement bousculer par un invité qui tentait également de se frayer une place parmi toutes les personnes agglutinées autour du bar. Tray soupira, et commença une nouvelle fois à contempler les alentours, n’ayant rien d’autre à faire. Il ne reconnaissait personne et, même si cela avait été le cas, n’était guère d’humeur à parler avec quiconque : de manière générale, il trouvait les habitants d’Ocean Grove dénués d’intérêt, snobs et riches à souhait – un peu comme lui, en somme. À l’exception près que Tray avait une haute estime de sa personne et ne se considérait donc pas au même niveau que le reste du bas peuple d’Ocean Grove. Taper la discute à un ancien client qu’il avait sauvé des griffes de la justice, ou à un voisin quelconque dont il ignorait jusqu’au nom, très peu pour lui. Il allait se contenter de prendre ses boissons en vitesse et de s’éclipser pour retrouver Jane, si tant est qu’elle ne s’était pas encore enfuie, terrorisée par les araignées en plastique. Tray eut un léger sourire à cette pensée et se rendit ensuite compte avec un immense soulagement qu’il était enfin parvenu à la hauteur du bar. Au milieu de la table, elle aussi décorée pour l’occasion, trônait un énorme bol de sangria qui portait à merveille son nom : étrangement épaisse et d’une couleur écarlate, elle évoquait, sans aucun doute volontairement, la texture du sang. Peu ragoûtant, mais étant donné que le bol était déjà bien entamé, la boisson ne devait pas être si déplaisante au goût. Au moment où Tray s’apprêta à se saisir de la louche pour remplir deux gobelets, il fut bousculé par quelqu’un et, dans son élan, entra en collision, à son tour, avec un inconnue – ou plutôt, une inconnue. La jeune femme, qu’il ne se souvenait pas avoir vue jusqu’à présent, avait une chevelure de feu et un visage pour le moins plaisant. Elle lui rappela quelque peu Ainsley, son ex-femme. Bien que cette comparaison fût un beau compliment, étant donné que l’ex-femme en question était d’une beauté renversante, Tray préféra ne pas y penser, étant donné qu’Ainsley n’évoquait pas un bon souvenir. Ce serait dommage de partir d’une idée négative sans même connaître cette ravissante créature… Non, Tray, concentre-toi. Tu es venu avec Jane, et tu repartiras avec elle.

Il reparitirait avec Jane. Peu importent les yeux hypnotisants de l’inconnue, sa silhouette de rêve et ses lèvres pulpeuses. Il ne devait pas se laisser avoir par son amour des jolies femmes. Il pouvat, s’il le désirait, rentrer avec la plus belle d’entre elles. Quoique… rien n’était moins sûr. Jane ne serait, finalement, peut-être pas si clémente qu’il l’espérait et l’enverrait alors dormir seul. Tray fut interrompu dans ses pensées alors que son regard pâle croisait toujours celui de la demoiselle, visiblement en attente d’une réaction. Il lui adressa alors son sourire le plus charmeur et lui lança, de sa voix suave : « Désolé, je ne vous ai pas fait mal, j’espère ? » Il recula de quelques centimètres, tout en veillant à ne pas trop s’écarter de la jeune femme. Ce serait dommage de la laisser filer. À cet instant, ses pensées étaient entièrement captivées par la belle inconnue, et Tray avait oublié toutes ses bonnes résolutions au sujet de Jane. Il était allé jusqu’à oublier Jane elle-même.
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Message(#) Sujet: Re: NO ONE SHOULD UNDERESTIMATE THE VALUE OF LOVE (pv) NO ONE SHOULD UNDERESTIMATE THE VALUE OF LOVE (pv) EmptyVen 5 Nov 2010 - 12:20



Une bonne dizaine de minutes que je poirotais devant ce bar, attendant que tout ces affamés aient finit de s’engloutir la totalité du buffet. Si j’adorais Halloween et les soirées de ce genre, il y avait bien une chose que je haïssais, le risque que je prenais à mourir étouffée pour un misérable verre. Je crus même sentir une main venant nonchalamment se positionner sur mon postérieur, me retournant vivement j’avais pu voir le regard de ce pervers de Fletcher. Je le soupçonnais d’ailleurs de garder dans sa cave des clandestines venues de pays européens. Ou plus simplement de collectionner les films pour adultes en rêvant un jour de pouvoir passer à l’acte. Parce qu’il était évident qu’avec l’ardeur qu’il avait mit en posant sa main sur mon magnifique fessier, qu’il en touchait de réels que trop rarement. Lui adressant un regard assassin, je ne m’aventurais pas dans une crise de nerfs sans précédent après tout je n’avais pas la moindre preuve qu’il s’agissait bien de lui ,et non du Spiderman, qui vu la silhouette avait probablement seize ans et une acné persistante. Prenant alors mon mal en patience, évitant de réagir comme la pire des associables de la planète, je tentais de relativiser. Mon maquillage quelque peu macabre faisant ressortir mon regard, n’était pas vraiment ce qui hypnotisait mes concitoyens. Mais davantage ma robe soulignant parfaitement mes courbes, déchirée par endroit, et ma foi peut être un peu trop courte, laissant ainsi apparaitre mes longues jambes montées sur des escarpins que j’avais payé une véritable fortune. Dans ce cas précis et en prenant ces éléments en considération, je concevais bien plus l’idée que je donne l’envie à ces personnes -dont la vie sociale se résumait à des figurines des héros de comics- de me tripoter. Néanmoins je ne fus pas moins soulagée en voyant la populace s’éloigner progressivement pour profiter de la soirée ailleurs que devant le bar. Je réussis enfin à m’y frayer un chemin, non sans mal vu que les bousculades semblaient être devenu un jeu pour qui voudrait boire ce soir, jouant donc des coudes j’arrivais enfin, prête à faire mon choix et repartir avec une boisson. N’importe laquelle ferait la faire du moment que ça se buvait de toute façon, mais visiblement ce n’était pas encore gagné, une personne venait une nouvelle fois de me bousculer. Pas que je commençais à être agacée m’enfin quand même, on devrait faire un système de file d’attente avec des numéros comme à l’anpe. Mais lorsque j’eus enfin la délicatesse de relever mon regard vers la dîtes personnes, je fus surprise et ce agréablement, de voir un jeune homme des plus charmants face à moi. Me détendant alors presque aussi vite, je le fixais pourtant avec insistance, le jaugeant presque du regard, je m’abstenais de le détailler un peu plus, ça ne serait pas franchement poli. Bien que je n’avais nullement à faire de toutes ces convenances. « Désolé, je ne vous ai pas fait mal, j’espère ? » Même avec la meilleure volonté du monde, il était difficile de faire abstraction de ce sourire renversant. Et puis après tout pourquoi je le devrais, ce n’était pas comme si je faisais une bêtise si ? Minute, il n’y avait pas lieu de penser à quoique ce soit d’aussi catégorique. J’allais simplement me contenter de répondre à ce jeune homme, tout en lui étant agréable, et si je jouais des épaules ou si mon regard s’attardait sur lui de manière équivoque ce ne serait que le fruit du hasard et non une attitude consciente. « Je n’aurais pas dis ça. » parait-il que ma voix grave et rauque avait aussi son charme et pouvait parfaitement envouter, bien plus qu’une voix aiguë fluette et niaise. Même si encore une fois, c’était totalement involontaire bien sur. Malgré tout je notais le recul qu’il avait prit face à moi, ce n’était pas le genre de recul franc délimitant un espace vitale clair et précis à chacun. Lui offrant alors un sourire charmeur à mon tour, je fixais ses prunelles avec toujours autant d’insistance avant de reprendre. « Je crois que j’ai déjà vu pire. » petite remarque teintée d’ironie, comme si l’on pouvait qualifier cette situation comment était moins « pire » qu’une autre. Non mais en toute franchise, c’était bien la première fois ce soir que je n’étais pas furieuse d’avoir été bousculé. « Première fois de la soirée que je ne suis pas mécontente d’avoir été bousculée. » C’était plus fort que moi, bien sur je connaissait ce célèbre conseil, consistant à tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant d’émettre le moindre son et de former des mots puis des phrases. Mais j’étais de nature assez franche, et je ne pouvais me retenir de dire tout ce que je pensais. Enfin, j’avais un minimum de tenu tout de même, je n’allais pas lui faire part de toutes les pensées qui traversaient, à ce moment précis, ma petite tête. J’en aurais presque oublié l’environnement, mon cavalier et ami, ainsi que ce troupeau de voisins qui m’auraient très certainement bouffé pour avoir accès à cette sangria que je n’avais même pas encore vu. Mais une personne s’empressa de me reconnecter à la réalité, me poussant sans ménagement, je fus une fois de plus forcée de constater la proximité équivoque existant entre ce bel inconnu et moi-même. Hypnotisée alors par son regard et bien vite par ses lèvres, je ne m’étais pas un instant reculée, au contraire même, cette proximité me convenait parfaitement. Tentée à l’idée de l’embrasser, ses lèvres dangereusement proches des miennes le laissait parfaitement sous entendre, pourtant au tout dernier instant je me ravisais et reculais prudemment d‘un pas, ne sachant trop pourquoi ceci dit.


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Message(#) Sujet: Re: NO ONE SHOULD UNDERESTIMATE THE VALUE OF LOVE (pv) NO ONE SHOULD UNDERESTIMATE THE VALUE OF LOVE (pv) EmptyDim 7 Nov 2010 - 5:08





« Je n’aurais pas dis ça. » Tray esquissa un sourire, visiblement ravi de la bonne volonté de la jolie inconnue. Eût-elle commencé à hurler qu’il ne s’en serait pas formalisé – superficiel ? À peine. Tray Rannigan avait un faible pour les jolies femmes, ce n’était pas nouveau, et tel un Dom Juan, il se sentait inévitablement attiré par chacune d’entre elles, habité d’un désir de conquête. Si la demoiselle avait commencé à s’égosiller parce qu’il avait eu le malheur de la bousculée, il l’aurait pris comme un challenge et aurait tenté de la séduire malgré tout. Mais là, elle facilitait les choses, et Tray n’allait pas s’en plaindre. Jane était loin, enfouie sous toutes ses pensées habitées par le désir et l’excitation de la conquête. Tray adorait jouer de son charme, même lorsque les personnes sur qui il devait opérer ne l’intéressaient pas plus que ça et seraient oubliées dès lors qu’il aurait tourné les talons. Eh oui, Tray est aussi salaud qu’il est séducteur. Mais ça, c’était un détail dont personne n’était obligé de connaître l’existence avant le moment adéquat. C’est-à-dire, après qu’il fût parvenu à ses fins. « Je crois que j’ai déjà vu pire. » Une nouvelle fois, le jeune homme, dardant le regard de l’inconnue de ses yeux pâles, sourit, dévoilant deux rangées de dents encore plus blanches que son teint cadavérique. Parfois, il ne préférait laisser ses gestes agir pour lui, renonçant à recourir à l’emploi de mots – à quoi cela pouvait-il bien servir, lorsque le langage du corps se suffisait ? Et là, pour le moment, une tension plus qu’agréable régnait entre les deux adultes, qui ne se quittaient plus du regard. Les mots que prononcèrent la belle inconnue parvinrent aux oreilles de Tray dans un murmure mélodieux, tels une chanson qui aurait été composée spécialement pour lui. « Première fois de la soirée que je ne suis pas mécontente d’avoir été bousculée. » Cette fois-ci, Tray éclata de rire, sincèrement amusé par la remarque de l’inconnue. Aussitôt, il répliqua, incapable de garder ses réflexions pour lui : « Dans ce cas, tout le plaisir est pour moi – c’est un réel honneur. » Le jeune homme avait régulièrement recours à ces formules pompeuses, et le ton avec lequel il les prononçait suffisait à faire comprendre qu’il n’était pas sérieux. Malgré son orgueil à toute épreuve et son ego démesuré, Tray Rannigan savait rire de lui-même et était roi dans l’art de l’autodérision. Il savait que c’était ce qui plaisait, et il s’en servait à bon escient, dans le seul but d’amuser, et, par conséquent, de séduire lentement mais sûrement ses interlocuteurs – ou, plutôt, interlocutrices.

L’échange de regards qui s’ensuivit sembla s’éterniser, et le monde, autour d’eux, s’arrêter de tourner. Cependant, ils furent arrachés à leur contemplation lorsqu’une nouvelle fois, leurs corps entrèrent en collision – cette fois-ci, ce fut la jeune femme qui vint heurter Tray, et celui-ci, dans un réflexe, la rattrapa. Cette fois-ci, il ne s’écarta pas d’elle, et leurs visages étaient, par conséquent, dangereusement proches. Le nouveau regard qu’ils échangèrent en disait long sur leurs intentions à tous les deux, et, bien que celles-ci ne furent en aucun cas une surprise, aucun des deux ne sembla vouloir être le premier à amorcer le mouvement. Au lieu de cela, ils se contentaient de s’observer, leur regard brillant d’une lueur joueuse et teintée de désir. Tray voulait la conquérir, il voulait la savoir sienne pendant quelques minutes, goûter à ces lèvres couleur cerise… Cependant, il ne s’approcha pas davantage. Pas encore. Il ne voulait pas accélérer inutilement les choses – après tout, ils n’étaient pas pressés, ce n’était pas comme si quelques secondes allaient changer quelque chose. Le jeune homme remarquait néanmoins que cette envie soudaine de sceller leurs lèvres en un baiser était partagée par la jeune femme, dont le regard ne cessait de se poser sur ses lèvres. Il n’en fut nullement gêné – au contraire. Chacune des fibres de son corps semblait tendre vers l’inconnue, dans l’attente de ce baiser qui tardait tant à venir. Et pourtant, au dernier moment, la jeune femme se ravisa et établit, une nouvelle fois, une distance entre eux. Dire que Tray était surpris par le comportement de la jeune femme serait un doux euphémisme – il mit quelques secondes à réagir, stupéfait de se réaliser que leurs lèvres n’étaient plus aussi proches. Vint ensuite l’incompréhension liée à une telle observation : pourquoi avait-elle reculé alors que, visiblement, elle n’était pas de celles à se formaliser pour un simple baiser ? Tray l’ignorait. Et pourtant, il avait un pressentiment qui lui signifiait clairement qu’il n’allait pas tarder à le découvrir. C’est alors qu’il tourna la tête vers la salle, instinctivement. Et il sentit son cœur s’arrêter de battre en la voyant. Jane. Etait-ce la présence de Jane qui avait empêché la jeune inconnue de l’embrasser ? Tray se permettait d’en douter – la fureur et le tempérament pour le moins dangereux de Jane ne se lisaient pas sur son doux visage. Réalisant dans quelle situation il s’était fourré – et affolé à cette idée –, Tray recula, lui aussi, d’un pas, mettant ainsi entre lui et l’inconnu une distance normale pour deux personnes qui tenaient une discussion ordinaire. Cependant, Jane en avait sûrement déjà trop vu pour pouvoir croire à une simple conversation. Et, pire que tout, elle connaissait Tray et son amour de la séduction. Le jeune homme se sentait stupide, rattrapé par les promesses qu’il avait faites à Jane et qu’il n’avait pas tenues. Tout ça parce qu’il avait été stupide et qu’il avait perdu contrôle de ses actes à cause d’une fille. Tray eut envie de se coller une gifle, mais il resta immobile, littéralement tétanisé. Cette fois-ci, comme tant de fois auparavant, il avait dépassé les bornes. Et quelque chose lui disait que, cette fois-ci, il ne pourrait sans doute pas récupérer Jane, ni sa confiance.

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Message(#) Sujet: Re: NO ONE SHOULD UNDERESTIMATE THE VALUE OF LOVE (pv) NO ONE SHOULD UNDERESTIMATE THE VALUE OF LOVE (pv) EmptyMar 30 Nov 2010 - 17:56




L’ambiance se réchauffait et la soirée avançait. Jane voulait profiter de ce moment avec Tray, mais celui-ci ne se montrait pas. Avait-il osé s’éclipser pour échapper à la compagnie de cette folle dame en noir ? Pour une fois, Jane en doutait fortement. Il avait finalement réussi à la convaincre, et elle avait réussi à lui faire confiance un tant soit peu. Se voir accorder la confiance de la jeune femme n’était pas une mince affaire. Rannigan n’était pas le seul à en avoir fait l’expérience. Après des mois et des mois de persuasion, il n’était parvenu qu’à l’autoriser à passer une soirée en sa compagnie sans qu’elle ait le moindre doute… A Ocean Grove, il y avait aussi Damon, son meilleur ami, qu’elle connaissait mieux qu’un frère, et dont la relation de confiance s’était installée naturellement, après tout ce qu’ils avaient traversé ensemble. Puis il y avait cette personne qu’elle avait l’impression de connaître depuis toujours, Riley. C’était à peu près tout. Elle n’incluait même pas ses parents dans la liste, bien que les aimant, elle ne pourrait leur confier n’importe quoi. Certes, elle avait développé d’autres amitiés auxquelles elle tenait profondément. Néanmoins elle se montrait toujours incapable de n’éprouver aucune méfiance envers elles.
Jane Blodwen était loin de se douter à quel point elle allait tomber de haut.
Oui, les minutes défilaient vite, sans que Jane ne s’en rende vraiment compte. Elle était prise dans une conversation animée avec une fidèle cliente de Jannie’s et quelqu’un – à défaut de Tray- lui avait finalement offert un verre dont la substance lui était monté au cerveau. Elle éclatait de son rire démesuré à chaque pseudo blague dont on lui faisait part, serrait la main de tout habitant du quartier qu’elle ne connaissait pas. Tout se déroulait pour le mieux lorsque Jane réalisa qu’il manquait quelqu’un qui ferait totalement son bonheur à ce moment précis. Elle s’excusa poliment puis s’éclipsa du groupe qui bavardait si joyeusement qu’ils ne remarquèrent pas son absence. Fatiguée par l’agitation des gens autour d’elle, Jane mit un certain temps à retrouver Tray. Elle se rendit compte qu’elle avait posé son regard sur lui plusieurs fois avant de réaliser que c’était lui qu’elle cherchait. Certes, il était toujours reconnaissable bien que son costume lui donnait plus l’allure de Frankenstein que du bel homme qu’elle connaissait. Mais sans trop savoir pourquoi, son cerveau avait d’abord refusé que la personne qu’elle recherchait fût la même qui flirtait ouvertement avec cette belle rousse près du buffet. Jane resta un moment sur place, regardant sans la voir la scène qui se déroulait sous ses yeux. Le visage de Tray et celui de la belle jeune femme étaient devenus dangereusement proches, assez pour qu’il n’y ait plus de doute possible. Toujours sans s’en rendre compte, les yeux bleus de Jane s’humidifièrent et elle tourna les talons à l’instant même où Tray remarqua sa présence, quelques mètres plus loin. Elle quitta la maison précipitamment, accéléra l’allure. Pour une fois dans sa vie, elle n’avait pas la force de courir ou de se jeter dans un buisson pour disparaître. Elle savait très bien que Tray finirait par la rattraper et lui balancerait à la figure le fameux « Ce n’est pas ce que tu crois. » Bien que sa dernière volonté à cet instant précis soit de le voir, comme elle l’avait prévu, Tray l’avait rejoint, haletant. Avant qu’il ne puisse dire quoi que ce soit, elle lui parla d’un ton calme, mais glacial. Elle savait que sa voix à ce moment là avait cent fois plus d’impact que tous les cris qu’elle avait pu pousser dans sa vie.
- Ne m’approche plus.
Tray semblait avoir reçu cette phrase de plein fouet. Jane en profita pour s’en aller, d’un pas lent, toujours trop hébétée pour pouvoir se dépêcher. Mais elle savait que Tray ne la suivrait plus. Elle traversa la rue sans se retourner.
Quelques minutes plus tard, alors que ses jambes ne lui avaient permis de dépasser que deux maisons, des sirènes retentirent et des voitures de police apparurent devant la maison des Morecci, provoquant une vague de panique. Jane stoppa sur place, abasourdie. Elle assista à la scène de l’extérieur, choquée et clouée sur place par les événements atroces qui s’enchaînèrent en si peu de temps. Elle eu une première vision d’horreur en voyant Mr Morecci apparaître sur le perron de la maison puis s’effondrer, mort, la seconde d’après. Jane put apercevoir également sa femme, qui elle aussi, tomba à terre suite à plusieurs coups de feu. Elle avait tout vu, sans rien comprendre, mais son cerveau était incapable de réagir, elle était stupéfiée. Puis des larmes chaudes se mirent à couler le long de ses joues, et elle ne pouvait dire si c’était à cause des deux corps morts allongés à terre ou bien de son cœur qui était brisé en mille morceaux.




FIN.
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