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 N°1523, Apple Road. STOP THANKING ME, IT'S YOUR HOME NOW. (fabien)

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Georgie Keily
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Georgie Keily

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Message(#) Sujet: N°1523, Apple Road. STOP THANKING ME, IT'S YOUR HOME NOW. (fabien) N°1523, Apple Road. STOP THANKING ME, IT'S YOUR HOME NOW. (fabien) EmptyMar 10 Aoû 2010 - 15:33

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fabien lefèvre and presley clyde


Assise sur l’un de ses tabourets derrière le comptoir de sa propre cuisine, Presley attendait sagement, tentant de taquiner le jeune homme qui s’activait aux fourneaux. Ce soir là, et bien qu’elle demeurait chez elle, elle n’était présente qu’en tant que convive. Elle s’apprêtait à gouter à la gastronomie française et ce, sans bouger de chez elle. Le miracle avait pour prénom Fabien et résidait depuis quelques semaines chez la jeune femme. C’était un peu sur un coup de tête, que la jeune femme lui avait lancé l’idée de l’héberger s’il le souhaitait. Elle lui avait fait part -bien malgré lui- de tout ses tourments, il avait enduré ce supplice sans sourciller. Alors, lorsqu’il avait avoué vivre dans un petit cabanon au fond d’un jardin, Presley y trouva là, le moyen de se montrer reconnaissante. Et le moins que l’on puisse en dire, c’est qu’elle ne regrettait pas du tout son geste. Pour plusieurs raisons. D’abord, parce que Fabien était un colocataire exemplaire, en plus lui-même maniaque, il permettait à la jeune fille de garder les bonnes habitudes qu’elle avait prise cette année. Il rangeait derrière elle, ne se privait pas pour faire le ménage et les courses, c’était une perle, qui en plus n’était vraiment pas dérangeant. Pas d’invités étranges, pas de bruits à des heures impossibles. Le colocataire de rêve en somme. Seconde raison, la compagnie. Bien que français, parlant de la langue de Shakespeare de manière approximative, ils arrivaient à se comprendre. Ils se surprenaient parfois à ne pas avoir l’utilité des mots. Elle était ravie de pouvoir faire la conversation à une personne réelle, plutôt qu’à son chien. Et enfin, la troisième raison, restait la sécurité. Bien qu’elle n’avait jamais pensé de cette façon, vivre seule dans une grande maison comme la sienne, n’était pas forcement d’une grande prudence. A l’époque où Analee vivait encore avec elle, elle se souvient qu’elles oubliaient même régulièrement de fermer la porte d’entrée. Et lorsqu’elle était avec Sloan, elle se sentait en parfaite sécurité avec un homme comme lui. Mais une suite d’événement inattendue, l’avait rendue beaucoup plus méfiante. Être la victime de menaces, n’était pas l’idéale pour se sentir pleinement en sécurité. Alors Fabien pourrait avoir la force d’une huitre lobotomisée, et les techniques de combat d’un écureuil unijambiste, qu’il restait tout de même rassurant uniquement par sa présence. Donc oui, lorsqu’elle voyait le jeune homme rentrer, c’était pour de nombreuses raisons, qu’elle se sentait beaucoup mieux. De plus, la solitude restait pesante, d’autant qu’elle enchainait les emmerdes, elle avait parfois -même souvent- besoin de décompresser. Profitant ainsi du cercle sociale réduit du jeune français, pour le garder pour elle toute seule. Egoïstement ou pas, il ne semblait pas être tout le temps gêner, bien sûr elle n’était pas non plus collante, et aimer toujours autant se retrouver seule sur la plage par exemple, une activité dont elle n’avait prit l’habitude que récemment. Ainsi ce soir, Fabien avait décidé de remercier son hôte pour son hospitalité -comme s’il ne le faisait pas assez au quotidien- en lui offrant des plats typiquement français, qu’il avait soigneusement préparé lui-même. « Tu es sûr que c’est mangeable ? Non pas que je remette tes talents de cuisinier en doute mais en faite si un peu .. » Le taquinait-elle avec le sourire, alors qu’il se contenta d’un « chut » pour la faire taire, comme s’il avait besoin d’un silence de plomb pour se concentrer. Laissant son regard parcourir, la pièce, elle constata immédiatement les conneries que pouvait envisager son chien. « Robinet !! N’y pense même pas! » aussi vite, le chien reculait de quelques mètres avant de s’affaler lamentablement près du canapé. Presley reporta son attention vers son colocataire, qui la fixait d’un regard perplexe. « Robinet ? Tu n’aimes pas ce chien ou quoi ? » Il faisait sans doute référence aux nombreux surnoms idiots dont il était affublé. S’appeller Robert devait être suffisamment difficile, mais ce n’était pas vraiment de sa faute, c’était le premier propriétaire qui s’était montré aussi original. « C’est affectueux, tout comme Roblochon, rob … Bébert ! » lui répondit-elle avec un grand sourire venant illuminer son visage. « On mange bientôt, ou je vais devoir devenir cannibale et t’attaquer pour avoir du français au menu ? » Au moins, elle était en forme ce soir. La thérapie française était peut être la bonne finalement.

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Message(#) Sujet: Re: N°1523, Apple Road. STOP THANKING ME, IT'S YOUR HOME NOW. (fabien) N°1523, Apple Road. STOP THANKING ME, IT'S YOUR HOME NOW. (fabien) EmptyMar 10 Aoû 2010 - 16:37



Comme Fabien l'avait promis à Presley le soir même où elle l'avait invité, il allait lui préparer un repas typiquement français. C'est ainsi qu'il en eut l'occasion ce soir là, Presley avait accepté et avait promis d'être présente, même si elle ne sortait pas beaucoup en ce moment. Fabien était bien content de pouvoir faire découvrir à Presley quelque chose qui venait de chez lui, en signe de reconnaissance pour lui avoir proposé de s'installer avec elle. La colocation se déroulait extrêmement bien pour les deux jeunes gens: les matins, ils déjeunaient ensembles, la plupart du temps, tous les deux regardaient des émissions de télé-réalité en savourant leur petit-déjeuner, tout en commentant les aventures des Kardashian ou de Snooki et The Situation. Le midi, ils prenaient leur repas sur la terrasse de la maison de Presley. Le temps était magnifique et malgré les fortes températures, il y avait toujours une brise rafraichissante toutes les dix minutes. Le soir, ils mangeait, soit devant la télévision lorsqu'ils avaient décidés de commander une pizza ou chinois, ou bien ils grignotaient dans la cuisine avant de s'installer devant la télévision, une fois encore. Les journées se passaient vraiment bien et Fabien était très heureux de cette colocation. Presley était une jeune femme agréable, souriante, de bonne humeur et très drôle. Fabien passait de très bons moments en sa compagnie et il était content de voir qu'elle n'était plus aussi triste que le soir de leur rencontre. Bien qu'ils ne se connaissent que depuis un mois, Fabien la considérait un peu comme sa soeur. C'était du rapide, mais il s'était beaucoup attaché à la jeune femme. Cet attachement n'avait cependant rien d'un coup de foudre amoureux, loin de là, mais Fabien tenait beaucoup à elle et comptait bien tout faire pour ne pas décevoir Presley. Tous les deux s'amusaient vraiment bien ensembles et la complicité qu'il avait maintenant avec la brune lui était chère. « Tu es sûr que c’est mangeable ? Non pas que je remette tes talents de cuisinier en doute mais en faite si un peu .. » dit-elle en levant la tête pour apercevoir ce que Fabien cuisinait. Ce dernier sourit, appréciant qu'elle le taquine bien qu'il tenait tant bien que mal de lui faire la surprise. « Chut! » lâcha Fabien, dont la concentration était impressionnante.
Le français savait cuisiner. Il avait dût très vite se débrouiller tout seul enfant, si bien que maintenant, il était plus souvent derrière les fourneaux que du genre à s'assoir et à attendre. Ce qu'il préparé à Presley n'était pas une première et pourtant, il voulait réussir et surprendre la jeune femme. Oh ça oui, Presley allait être surprise lorsqu'elle verrait la tête du plat: Fabien avait eut l'idée de lui cuisiner un plat français: des cuisses de grenouilles sautées. Il adorait ça et n'avait pas honte d'être le cliché du français dévoreur de grenouilles. « Robinet !! N’y pense même pas! » dit-elle. Fabien tourna la tête pour observer le chien. Obéissant, ce dernier recula pour se coucher un peu plus loin. Le français rigola alors avant de s'adresser à Presley: « Robinet ? Tu n’aimes pas ce chien ou quoi ? ». Quelle idée d'appeler son chien Robert pensa t-il. Mais après tout, pourquoi pas. Certains appelaientien leurs chiens Pookie ou Rex ou Tyson. Fabien tourna à nouveau la tête pour observer le chien. « C’est affectueux, tout comme Roblochon, rob … Bébert ! » Fabien rigola de bon coeur avant de reporter son attention sur la poêle contenant leur repas. Il ajouta un peu de sel et de poivre puis remua doucement les cuisses de grenouilles. « On mange bientôt, ou je vais devoir devenir cannibale et t’attaquer pour avoir du français au menu ? ! ». Encore une fois, Fabien rigola puis secoua la tête. Il se tourna vers Presley pour découvrir le sourire qu'elle avait. « Je doute que j'ai bon goût. » lâcha t-il. « Mais non, nous n'allons pas tarder à manger. » finit-il par dire avant de reposer la cuillère en bois sur le plan de travail. Il s'avança vers un placard pour sortir les assiettes, ainsi que deux verres. Il déposa le tout non loin de Presley et s'occupa de chercher les couverts. « Non, ne fait rien. Je vais m'occuper de mettre la table. Toi, tu restes ici. Et tu ne bouges pas. Comme Roblochon. » ajouta t-il en hochant la tête en direction du chien qui remua la queue. Fabien sourit et se dirigea vers la table, puis, commença à préparer la table. Il revient quelques secondes plus tard vers Presley: « Je compte sur toi pour me dire ce que tu en penses. Je suis presque sûr que tu aimeras. Tout le monde aime! » dit-il avec beaucoup d'enthousiasme dans la voix. Presley allait aimer, c'était obligé. Qui ne pouvait pas aimer les cuisses de grenouilles? C'était vraiment quelque chose de super bon. Fabien n'avait absolument aucuns doutes. Elle allait se régaler.

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Message(#) Sujet: Re: N°1523, Apple Road. STOP THANKING ME, IT'S YOUR HOME NOW. (fabien) N°1523, Apple Road. STOP THANKING ME, IT'S YOUR HOME NOW. (fabien) EmptyMer 11 Aoû 2010 - 18:04



Presley n’avait pas la moindre espèce d’idée de ce qu’elle aurait dans son assiette ce soir. Elle faisait pleinement confiance à Fabien et ses talents culinaires. En colocataire de marque, il avait déjà plusieurs fois préparer à manger. Il se montrait serviable et plutôt attentionné, ce qui contentait parfaitement la jeune femme qui au bout d’un temps, commençait quand même à culpabiliser un peu. Se sentant gênée de le voir se démener autant, alors qu’elle avait dut lui répéter déjà plusieurs fois qu’il n’avait pas à se plier en quatre, il était chez lui et n’avait pas à la remercier perpétuellement. Bien que de se lever et sentir la bonne odeur de croissant et de café, était une chose qui lui avait incontestablement manqué. Presley avait la sensation d’avoir retrouvé une famille, un équilibre stable. Ils ne se connaissaient pas depuis longtemps c’était une certitude, mais, il y avait comme une connexion entre ces deux jeunes gens. Être seul dans un pays inconnu, avait peut être poussé le jeune homme à se rapprocher de Presley qui se montrait avenante et rassurante. Quant à lui, il avait débarqué dans sa vie pile au bon moment. Alors qu’elle était en pleine nostalgie de son enfance, qu’elle ressentait le besoin de retrouver sa famille, elle croisa la route de Fabien. Et c’était peut être un peu tôt pour ça, mais elle n’avait pas l’impression d’avoir un colocataire « étranger » à la maison, mais un frère, avec qui la complicité s’était développé très rapidement. Donc bien qu’elle ne sortait pas bien souvent dernièrement, elle n’allait de toute façon pas refuser de passer la soirée avec le jeune homme, d’autant qu’il lui avait promis un menu typiquement français soigneusement concocté par ses soins. Très curieuse, elle avait plusieurs fois essayé de savoir ce qu’elle pourrait bien avoir à manger ce soir. Bien qu’elle connaisse dans les grandes lignes, les bases de la gastronomie française, elle était allée jusqu’à se renseigner. Fouinant sur internet, elle avait une liste de plats potentielles. Elle avait bien sûr tentée d’observer aussi les différents paquets avec lesquels il était rentré, mais il avait été formel et l’avait presque consigné dans sa chambre avec ironie. Bien qu’elle restait derrière le comptoir dans l’espoir de trouver le moindre indice, ce qu’elle voyait ne ressemblait à rien de ce qu’elle avait imaginé. Pourtant ça lui semblait familier sans l’être pour autant complètement. « Non, ne fait rien. Je vais m'occuper de mettre la table. Toi, tu restes ici. Et tu ne bouges pas. Comme Roblochon. » Lui avait-il dit alors qu’il s’apprêtait à mettre la table. Elle avait bien sûr mit un pied au sol dans le but de se lever et l’aider, mais obéissante -ou presque- elle n’avait pas bougé, un sourire en coin néanmoins, amusé qu’il ait intégrer le surnom idiot du chien. « Bien monsieur » avait-elle répondu dans un français parfait tinté de son accent Américain. « Je compte sur toi pour me dire ce que tu en penses. Je suis presque sûr que tu aimeras. Tout le monde aime! » S’il était aussi sur de lui, il n’y avait aucune raison pour qu’elle n’aime pas, d’autant qu’il était véritablement doué en cuisine, Presley n’avait pas le moindre doute, elle allait adorer, et surement envisager de s’installer en France prochainement. Rejoignant finalement la table sous les recommandations du jeune homme qui finissait de dresser les assiettes, il revint quelques secondes plus tard, servant ainsi son plat un grand sourire aux lèvres. « Qu’est-ce que c’est ? » Le questionna-t-elle rapidement alors qu’elle regardait son assiette perplexe, mais néanmoins pétillante de curiosité. Ceci dit, il ne répondit que par un bon appétit, lui intimant l’ordre implicite de gouter au préalable. Se saisissant de ses couverts, elle s’apprêtait à en prendre un morceau consciente qu’il s’agissait d’une cuisse dont ne sait pas trop quoi, elle était loin d’imaginer qu’elle avait des batraciens dans son assiette. Portant la fourchette à ses lèvres, c’était presque aussi vite qu’elle sentit un écœurement l’assaillir, mais face au grand sourire de Fabien, elle n’avait pas le cœur à le décevoir. Tentant, tant bien que mal, de mâcher sa bouchée sans rien laisser entrevoir et même d’afficher un petit sourire, elle finit enfin par avaler le tout. « C’est délicieux! » s’empressa-t-elle de mentir, se surprenant elle-même de ses talents de comédienne. Pourtant elle fixait le plat, avec l’anxiété de devoir le terminer, le dévorer, comme elle l’aurait fait avec tout autre plat, qu’elle aurait réellement trouvé délicieux.

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Message(#) Sujet: Re: N°1523, Apple Road. STOP THANKING ME, IT'S YOUR HOME NOW. (fabien) N°1523, Apple Road. STOP THANKING ME, IT'S YOUR HOME NOW. (fabien) EmptyDim 22 Aoû 2010 - 16:59



Fabien mit rapidement la table, et poussa Presley hors de la cuisine pour qu'elle s'installe. Il retourna dans la cuisine pour pouvoir terminer la cuisson des cuisses de grenouilles et lorsque ce fut terminé, il s'avança dans la salle à manger pour pouvoir servir leur dîner. Il sourit, fier de lui. Bien qu'il n'était pas un excellent cuisiner, Fabien se débrouillait plutôt bien. Il aimait aussi bien faire la cuisine que de manger un bon repas: tout comme faire le ménage, il avait tendance à se vider la tête en se concentrant sur une tâche unique, qu'il en venait à oublier tout ce qui se passait autour. Ce soir-là, Presley n'avait pas arrêter de le questionner, si bien qu'il avait cette appréhension d'avoir complétement raté le repas. Pourtant, lorsqu'il goûta, il sourit, fier de lui. Parce qu'il avait réussit et qu'il était très heureux de faire partager un peu de sa culture avec la jeune femme, qui, il en était sûr, allait apprécié. C'était obligé, puisque toutes les personnes qu'il connaissait manger des cuisses de grenouille. Presley n'allait sûrement pas être la première personne à lui dire qu'elle trouvait ça dégueulasse. Elle fonctionnait de la même manière que lui, elle avait donc probablement les mêmes goûts. Il s'approcha dans la salle à manger tout sourire, puis, avança le plat vers Presley pour la servir. Fabien se servit ensuite avant de reposer le plat au milieu de la table et s'assoir en face de la brune, tout en continuant d'afficher un sourire. « Qu’est-ce que c’est ? » dit-elle, tout en jouant avec sa fourchette avec la nourriture. Sa voix était remplie rempli de curiosité et Fabien était content qu'elle s'intéresse autant à ce qu'il y avait dans son assiette, bien qu'il ne comptait pas lui dire qu'elle était en train de manger une grenouille. Pour unique réponse, Fabien releva la tête de son assiette, et dit, toujours avec son sourire malicieux sur le visage: « Bon appétit. ». Il planta sa fourchette dans son assiette puis, la porte à sa bouche et se mit à manger, tout en lançant de temps en temps des regards à Presley pour voir ce qu'elle était en train de faire. Il l'observa jouer un moment avec sa nourriture puis, elle planta enfin sa fourchette dans le plat pour mettre en bouche ce qu'elle venait d'attraper. Fabien observa discrètement, curieux de voir sa réaction. Il l'a vit mastiquer pendant quelques secondes puis, elle afficha un sourire sur son visage. « C’est délicieux! » dit-elle. Fabien releva la tête vers elle, le visage très enthousiasme, heureux qu'elle apprécie ce qu'il avait fait pour elle. Il finit cependant par pousser sa chaise et se relever. « Je vais prendre le vine. C'est encore bon meilleur avec du vine! » lâcha t-il avant de se précipiter en trottinant dans la cuisine de la maison. « N'hésites pas à te remettre! Je referais! » finit-il par ajouter avant de disparaître pour chercher une bouteille de vin blanc qu'il avait acheté et rangé il ne savait trop où. Il grimpa donc les escaliers, tout en chantonnant, complétement ignorant des vraies pensées de Presley vis à vis de sa cuisine. Il fouilla dans sa chambre, bien qu'il pensa que ça faisait un peu alcoolique d'avoir une bouteille dans sa chambre. Au bout de quelques minutes de fouille, il trouva enfin ce qu'il cherchait et lâcha un petit: « Victoire! » sur le même ton enthousiaste qu'il employait quotidiennement avec Presley. Rien ne pouvait entacher sa bonne humeur et le fait de partager un excellent repas avec Presley, qui devenait de jour en jour une très bonne amie. Il était loin d'imaginer qu'en réalité, elle venait de lui mentir. Fabien était assez naïf par moment. La plupart du temps, il croyait tout ce qu'on lui disait et cela lui portait souvent défaut. Il assumait parfaitement sa naïveté, mais le problème, c'est que beaucoup s'en servait pour se moquer de lui. Il descendit les escaliers tout en sifflotant un air de musique, puis, passa par la cuisine pour attraper deux verres. Il en déposa un devant Presley, puis, il posa la bouteille sur la table pour pouvoir l'ouvrir. Quelques instants plus tard, il servit du vin à Presley, et s'en servit un verre aussi, avant de s'assoir à nouveau. « Vas-y » lâcha t-il sur un ton encourageant, pour que Presley continue de se nourrir et de boire le vin. Fabien continuait de croire naïvement que la jeune femme trouvait son repas très bon, et il était réellement content. « Tu pourras remettre dans ton assiette. » dit-il. Cela ne voulait pas dire grand chose mais il n'en avait pas conscience: en réalité, il voulait faire comprendre à Presley, qui serait ravie de l'apprendre, qu'elle pouvait se resservir autant de fois qu'elle voulait, et qu'il n'hésiterait pas à recommencer de lui ce petit plat pour son plus grand plaisir! « J'ai fais même, euh … » ajouta-il en fronçant les sourcils. Comment dire, qu'il avait fait un tupperware contenant encore assez pour un ou deux repas pour la jeune femme. Il se gratta le menton tout en cherchant ses mots, et finalement, ne trouvant absolument pas ce qu'il voulait dire, il changea de sujet. « Comment était ton journée? ». Il porta sa fourchette à ses lèvres.

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Message(#) Sujet: Re: N°1523, Apple Road. STOP THANKING ME, IT'S YOUR HOME NOW. (fabien) N°1523, Apple Road. STOP THANKING ME, IT'S YOUR HOME NOW. (fabien) EmptyMar 31 Aoû 2010 - 21:41



C’était totalement idiot, elle pouvait tout simplement lui dire qu’elle n’appréciait pas ce plat, cela n’avait aucun rapport avec ses talents de cuisinier ou non. Malgré son talent, il avait été incapable de lui faire avaler du saumon, un poisson fin et apprécié, qui n’était jamais passé pour elle allons savoir pourquoi. Et ce plat, dont elle ignorait encore tout les secrets -autrement dit sur lequel elle n’avait pas encore mit de nom- était pour elle immangeable. Le tout aurait put être délicieux pourtant, mais la texture de ces choses, peut être leurs allures également, bloquaient la jeune femme, qui était incapable d’apprécier à sa juste valeur, le repas français qui lui était aussi gentiment offert. Mais l’idée même de confier à Fabien qu’elle n’aimait pas, qu’il avait passé tout ce temps en cuisine pour rien, forcé de constater que Presley n’était pas amatrice de ce plat, lui déchirait le cœur. Elle n’était pas du genre blessante ou gratuitement méchante d’ordinaire, mais elle restait franche et intègre. Pourtant face au sourire enjoué de son nouvel ami, elle ne pouvait clairement pas se résoudre à opter pour la franchise. Ce n’était pas un si mauvais mensonge après tout, s’il n’était formulé que dans le but d’être gentille ? Malheureusement pour elle, en allant jusqu’à lui dire que c’était : « délicieux » elle s’engageait implicitement à finir la totalité de son assiette, à se resservir -ou éviter soigneusement cette partie- mais mieux encore, à apprécier avec le sourire si l’occasion se représentait d’en manger une nouvelle fois. Elle n’avait pas réellement prit conscience de ça, finissant par se demander ce qui pouvait bien lui passer par la tête pour dire une chose pareille. Qu’à cela ne tienne, elle finirait son assiette, mais pas sans l’aide de Robert. Il bouffait à tout les râtelier, il pouvait bien faire l’effort de soutenir Presley dans cette épreuve. « Je vais prendre le vine. C'est encore bon meilleur avec du vine! » Occasion idéale, la jeune femme esquissa un sourire, aussi sincère que crispée, tentant, tant bien que mal de dissiper la gène qu’elle ressentait à ce moment précis. « N'hésites pas à te remettre! Je referais! » Le regard plein de désespoir qu’elle affichait aurait put être lourd de sens si Fabien l’avait vu, mais elle avait prit grand soin de le lui cacher évidement. Cherchant son chien du regard, c’était le moment à saisir. Le jeune français venait de s’éclipser à l’étage à la recherche d’une bouteille de vin, il fallait seulement espérer qu’il était aussi tête en l’air qu’elle, et que ses fouilles archéologiques mettraient assez de temps, pour lui donner l’opportunité d’amadouer Robert. « Viens ici ! » chuchota-t-elle avec autorité en joignant le geste à la parole, pour ameuter Robert, qui ne daigna pas broncher. A peine avait-il relevé la tête vers elle, qu’il l’avait reposé sur ses pattes, feignant une flemme dont il n’était pourtant jamais atteint. Fronçant les sourcils, il n’allait pas lui faire ce coup là maintenant. « T’as intérêt à te ramener tout de suite mon vieux. BOUGE TOI! » bien qu’à voix basse, elle restait autoritaire, ce qui finit par payer. L’animal trainait la patte comme pour la narguer. D’un air mauvais, sa maitresse l’observait se dandiner de manière ridicule. A croire qu’il ne cautionnait pas la scène qui se déroulait sous ses yeux. Finalement une fois à la hauteur de Presley, il avait put faire le malin, l’odeur se dégageant de son assiette titilla son odorat et sa curiosité. Presley lui refila rapidement ce qu’elle put, Robert lui avait au moins l’air d’adorer, ou presque. Elle n’avait pas vu qu’il en avait gardé une partie pour s’amuser. Nonchalamment et avec un peu plus d’assurance alors que son assiette était à moitié vide, elle consentit à avaler une deuxième bouchée en entendant le cri de victoire de son ami, qui ne tarda pas à se faire entendre dans l’escalier. Lui servant très vite un verre de vin, il l’encouragea même à reprendre de plus belle. Souriant, espérant qu’il aurait de nouveau l’occasion de s’éclipser. Elle ne percuta pas que Robert était entrain de jouer avec une cuisse de grenouille à ses pieds. Remettant une autre bouchée -non sans appréhension- dans sa bouche, elle s’employa à lui répondre alors qu’elle retenait vainement sa respiration. Elle ne faisait plus grand-chose de ses journées en réalité elle se trainait telle une âme en peine ça en devenait ridicule. L’ambiance positive que Fabien amenait à la maison, ensoleillait les journées de la jeune femme, fatiguée de ne pas parvenir à obtenir un moment de répits. « Oh plutôt ennuyeuse. J’ai plus envie de travailler en ce moment, je sors juste pour prendre l’air et la ballade de Robert. » Dit-elle d’un sourire gênée, alors qu’elle n’assumait pas son oisiveté. Profitant pourtant de cet échange de paroles pour resservir Fabien, espérant qu’il ne voyait pas qu’elle ne mettait rien dans son assiette. « Et toi alors tu t’habitue au coin ? Tu sais que je peux toujours t’aider hein, tu peux compter sur moi si tu veux. » Elle lui avait proposé son aide plusieurs fois, et bien qu’il acceptait souvent, la dernière fois qu’il avait refusé avait donné à Presley la sensation d’être inutile. Comme une mère qui voyait son enfant prendre son envol. C’était ridicule mais en un sens ça l’amusait, elle ne pensait pas qu’elle se serait attachée si vite au jeune homme, qui avait très vite pris une grande place dans sa vie. Au point où elle continuait -péniblement- d’avaler ses cuisses de grenouilles, qu’elle n’aimait absolument pas.

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Message(#) Sujet: Re: N°1523, Apple Road. STOP THANKING ME, IT'S YOUR HOME NOW. (fabien) N°1523, Apple Road. STOP THANKING ME, IT'S YOUR HOME NOW. (fabien) EmptyDim 5 Sep 2010 - 18:37



Pas une seule seconde, Fabien ne se doutait qu'elle n'aimait pas le plat qu'il s'était donné tant de mal à faire. En effet, elle semblait être très heureuse de déguster ce plat typiquement français, dont le jeune homme rafollait. Tout venait à prouver que Presley passait un bon moment; après tout, elle avait un très grand sourire satisfait sur le visage, ce qui faisait croire à Fabien qu'elle était heureuse. Malheureusement, le pauvre français était une personne bien naïve, et une fois de plus, il se faisait des illusions. Presley détestait son plat mais Fabien ne voyait pas du tout la mine dégouté de sa colocataire. C'est ainsi qu'il avait décidé de parler de sa journée, ainsi que de celle qu'il avait passé par la même occasion. Presley mit en bouche une nouvelle bouchée et une fois qu'elle eut finit de manger, elle s'adressa à lui, alors qu'il portait son verre de vin à sa bouche. « Oh plutôt ennuyeuse. J’ai plus envie de travailler en ce moment, je sors juste pour prendre l’air et la ballade de Robert. » Fabien reposa son verre sur la table, laissant Presley le resservir, alors qu'elle se mit à reparler quelques secondes plus tard. « Et toi alors tu t’habitue au coin ? Tu sais que je peux toujours t’aider hein, tu peux compter sur moi si tu veux. » dit-elle. Fabien sourit. Il était tellement chanceux d'avoir rencontré Presley. Tellement chanceux qu'elle décide de lui offrir un toit et tellement heureux qu'elle soit si sympathique. Il avait eut beaucoup de chance de faire sa rencontre lors de la soirée, et il ne regrettait pour rien au monde son arrivée à Miami. Finalement, sa petite cabane en bois qu'il avait squattait n'était qu'un lointain souvenir et d'ailleurs, il se félicitait d'avoir tenu autant de temps pour vivre dans ces conditions. Et maintenant, il était chez Presley: il avait réussit à trouver un toit et se faire une amie et c'était le plus important pour lui. Il était heureux, oui. Et faire à manger à son amie était quelque chose qui le rendait heureux. « Oui, c'est vraiment très sympa. Les gens sont gentils, il fait le soleil, j'apprends à connaître un peu la ville. Tout va bien. » dit-il, très enthousiaste. Il sourit et vit Robert, le chien de Presley machouillait quelque chose. Fabien fronça les sourcils et observa attentivement le chien. De la sauce sur la truffe, comme s'il venait de manger le plat de Fabien. Ce qui était peu probable puisque le plat était en plein milieu de la table. Soit le chien avait tout simplement sauté sur la table et s'était servit, il aurait entendu Presley criait, ou bien, il l'aurait remarqué. Soit... Presley lui avait donné un peu de son assiette. Ce qui pouvait peut être se comprendre parce qu'elle en avait beaucoup dans l'assiette. Fabien continua d'observer le chien et le vit quelques instants plus tard venir près de Presley et repartir plus loin... Une cuisse entière dans la gueule. Fabien fronça un peu plus les sourcils. Quelque chose lui échappait complétement. Comment le chien pouvait trouver une cuisse de grenouille sur le sol? Fabien porta son attention sur le visage de Presley, qui mâchait difficilement ce qu'elle avait en bouche. Est-ce qu'elle lui avait mentit? Est-ce qu'en réalité, elle n'aimait pas le repas et qu'elle lui faisait croire le contraire? Fabien lâcha sa fourchette et son couteau, et croisa les bras. Il releva la tête pour regarder Presley, puis reporta son attention sur le chien qui se demenait avec la cuisse de grenouille. « J'y crois pas! » dit-il en français, avant de regarder Presley. « Est-ce que tu aimes pas la grenouille? » demanda t-il, un sourire sur le visage. Evidemment, c'était une situation assez marrante et il trouvait plutôt drôle que la jeune femme ne lui ait pas dit qu'elle n'était pas fan de la gastronomie française. Il aurait compris, bien sûr et il ne pût s'empêcher de trouver ça triste qu'elle ne lui en ai pas parlé. Si bien qu'il était un peu véxé. Bien décidé à faire comprendre à Presley qu'elle pouvait tout lui dire et qu'il n'était pas pour autant du genre à bouder, même s'il prenait un peu mal le fait qu'elle préfère donner son plat à Robert. « Tu as donné la grenouille à Robert! Tu as osé faire ça?! » lâcha t-il, sur un ton en colère. Il sentit ses yeux lui piquaient et décida qu'il allait faire semblant de pleurer. Juste parce qu'il trouvait ça amusant et qu'il avait bien envie de la faire culpabiliser un peu. Sentant les premières larmes arrivaient, il se laissa tomber sur la table, mettant ses mains devant son visage et se mit à faire semblant de pleurer. « Pourquoi tu as fais ça Presley? Pourquoi? » continua t-il, tout en laissant des larmes de rire coulaient et en faisant son possible pour ne pas rire. Puisque Presley voulait jouer aussi, Fabien avait prit la décision de s'amuser un peu d'elle.

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Georgie Keily
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Message(#) Sujet: Re: N°1523, Apple Road. STOP THANKING ME, IT'S YOUR HOME NOW. (fabien) N°1523, Apple Road. STOP THANKING ME, IT'S YOUR HOME NOW. (fabien) EmptySam 2 Oct 2010 - 13:52



« Oui, c'est vraiment très sympa. Les gens sont gentils, il fait le soleil, j'apprends à connaître un peu la ville. Tout va bien. » Pour l’instant tout se passait comme elle le souhaitait, il n’avait rien remarqué fort heureusement, et elle réussissait à merveille à masquer ce qu’elle ressentait réellement à propos de ces grenouilles. Elle qui se faisait une joie de gouter à la gastronomie française, ne pensait pas une seconde que ça se déroulerait de cette façon. Pas un instant elle avait songé qu’elle n’apprécierait pas le plat qu’il comptait lui préparer et pas une seconde elle s’était imaginée réagir de cette façon. Elle se trouvait incroyablement idiote, pourquoi c’était-elle embourbée dans un pareil mensonge ? Regrettant déjà ce qu’elle avait dit et fait, préférant alors se concentrer sur leur conversation, il n’y avait que comme ça qu’elle réussirait à éloigner ces grenouilles et son mensonge de sa tête. Malheureusement pour elle, c’était sans prendre en considération Robert, qui avait décidé de la trahir sans ménagement. Il jouait à ses pieds avec une des cuisses de grenouilles qu’elle lui avait donné, elle n’avait même pas remarqué ce petit manège. En revanche pour Fabien c’était une tout autre paire de manche, le jeune homme avait remarqué, et s’interrogeait déjà, tandis que Presley se débattait avec la nouvelle bouchée qu’elle venait de prendre. Ainsi elle ne comprenait pas ce qui jouait sous ses propres yeux, comme le jeune homme quelques minutes auparavant. Et dire qu’elle avait seulement souhaité être gentille et qu’elle s’était retrouvée à agir avec stupidité, ça lui ressemblait bien ceci-dit. Quiconque la connaissant savait parfaitement qu’elle était du genre à se retrouver dans ce genre de situation grotesque. C’était ainsi qu’était fait le monde de la jeune Clyde, maladroite de naissance, elle ne faisait pas que s’étaler avec le peu de classe possible et à tout moment. Contrairement à la plus part des femmes, elle n’avait pas besoin de se percher sur des talons de quinze centimètres pour perdre l’équilibre. Il suffisait seulement à ses jambes de loupaient la coordination de ses mouvements, et paf, on pouvait facilement la retrouver à terre dans des positions redoublantes d’originalités. Mais ses démarches pouvaient être tout aussi maladroite, comme celle-ci, elle ne voulait pas le blesser et avait choisi le mensonge, ce n’était pas la solution et pourtant, c’était la première qui lui vint en tête. Elle allait très vite le regretter. Retirer de ses pensées par quelques mots en français qu’elle ne reconnut pas vraiment, elle leva la tête vers Fabien. Le regard intrigué et curieux, elle ne comprenait pas le pourquoi du comment d’une telle réaction. « Est-ce que tu aimes pas la grenouille? » Et elle comprit très vite, à peine avait-il articulé ceci avec un petit sourire, que le visage de la jeune femme se décomposa. Regardant partout autour d’elle, ne comprenant pas ce qui aurait pu la trahir, elle finit par poser son regard sur son chien. Levant les yeux au ciel, elle regretta bien plus d’avoir fait confiance à cet idiot de chien. « Tu as donné la grenouille à Robert! Tu as osé faire ça?! » Le ton colérique qu’il employait pour s’adresser à elle, lui fit peur en quelque sorte. La crainte que sa bourde ne brise déjà leur amitié l’avait effleuré. C’était idiot, mais après tout elle ne le connaissait pas tant que ça, peut être n’était-il pas de ceux qui apprécie qu’on critique leur cuisine et pire encore qu’on la donne au chien -mais au moins Robert se régalait. Elle le vit alors s’effondrer sur la table, masquant son visage par ses mains, elle l’entendait pleurer et elle ne s’était pas attendu le moins du monde à cette réaction. Écarquillant les yeux, elle sentit une grande culpabilité l’envahir soudainement alors que le jeune homme qu’elle pensait triste, pleurait face à elle. Se levant brusquement, elle ne savait pas trop ce qu’elle devait faire pour se rattraper. « Oh non non non, pleure pas ! » Se mordant la lèvre, complètement paumée et ne sachant trop quoi faire, elle lança un regard assassin à Robert, avant d’aller près de Fabien. Posant une main sur son épaule avec hésitation, elle s’accroupit à côté de lui, bien décidé à laisser sortir toutes les conneries qu’elle avait à dire. « Je suis désolée, tu cuisines très bien, mais je sais pas c’est les grenouilles, elles me font peur depuis que je suis petite. » AH bon ? Réalisant qu’elle mentait encore dans une vaine tentative de rédemption, elle soupira en signe d’agacement contre elle-même. « Ok non c’est pas vrai, j’ai menti, je dois pas être fan de grenouilles. Je te demande pardon, je suis vraiment, vraiment désolée. Arrête de pleurer s’il te plait! » Dit-elle en supplication, avant de se redresser brusquement, presque persuadée d’avoir eu l’idée du siècle soudainement. « T’as qu’à te venger, je sais pas, fais moi manger des araignées des insectes répugnants tout ce que tu veux! » En réalité, il se vengeait déjà en se moquant d’elle, mais bien sûr, la jeune femme quelque peu crédule n’en avait pas la moindre idée.


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Message(#) Sujet: Re: N°1523, Apple Road. STOP THANKING ME, IT'S YOUR HOME NOW. (fabien) N°1523, Apple Road. STOP THANKING ME, IT'S YOUR HOME NOW. (fabien) EmptyVen 29 Oct 2010 - 18:19


Fabien n'avait jamais pensé à être comédien, non pas qu'il soit trop timide pour monter sur scène lors des pièces de théâtre organisées mais tout simplement parce qu'être sous le feu des projecteurs ne l'intéressait pas. Fabien était un jeune homme dès plus simple et la célébrité n'était pas le but qu'il se fixait dans la vie, bien au contraire. Cependant, il fallait avouer que le jeune homme trouvait ça très amusant de rendre la monnaie de sa pièce à Presley. Il ne lui en voulait absolument pas: après tout, la gastronomie française possédait certaines spécialités qui pouvait bien évidemment ne pas être apprécié par tous. Les cuisses de grenouilles en faisaient partie, et bon nombre de français ne mangeaient même pas ce plat national. Presley n'était donc pas un cas à part, Fabien ne lui reprochait pas le fait qu'elle n'aime pas le plat. Il aurait simplement souhaité qu'elle lui en parle directement, et en bon cuisinier qu'il était, le français lui aurait rapidement préparé autre chose à manger. Après tout, il possédait un talent de cordon bleu, et la moindre des choses était d'en faire partager Presley qui était beaucoup trop maigre selon Fabien. Il regrettait d'ailleurs de ne pas avoir demandé à Presley ce qu'elle pensait du plat qu'il préparait, au lieu de lui faire la surprise et d'en arriver là. Ce n'était pas la fin du monde, bien évidemment puisqu'au moins, Robert, lui, appréciait le plat. C'était tout aussi amusant de voir que la jeune femme paniquait totalement et ne savait pas réellement comment gérer la situation. Sans aucuns doutes, Fabien passait probablement pour un cinglé, mais il le vivait assez bien. « Oh non non non, pleure pas ! » finit par dire Presley, après s'être levée. Fabien sentit bientôt la présence de son amie, qui s'agenouilla à ses côtés pour le réconforter, et pour s'excuser. « Je suis désolée, tu cuisines très bien, mais je sais pas c’est les grenouilles, elles me font peur depuis que je suis petite. » dit Presley. Un sourire se dessina sur le visage de Fabien, toujours enfouit dans ses bras. Comment pouvait-on avoir peur des grenouilles? Certes, elles n'avaient pas une très belle apparence et étaient un peu visqueuses, mais elles n'étaient pas si effrayantes que ça. Mais pourquoi pas? Après tout, certaines personnes ne supportaient pas la vue d'un clown, qui n'était rien d'autre qu'un personnage comique. Certains avaient aussi peur des oiseaux. Fabien haussa les épaules, alors que Presley reprit la parole: « Ok non c’est pas vrai, j’ai menti, je dois pas être fan de grenouilles. Je te demande pardon, je suis vraiment, vraiment désolée. Arrête de pleurer s’il te plait! ». Fabien ouvrit grand les yeux. Mais elle mentait une nouvelle fois? Il secoua la tête, avant de la sentir se redresser. Fabien allait finalement prendre la parole, mais Presley le devança: « T’as qu’à te venger, je sais pas, fais moi manger des araignées des insectes répugnants tout ce que tu veux! ». N'en pouvant plus, Fabien releva la tête pour montrer son visage à Presley, avant d'exploser de rire. Bien que c'était une idée de vengeance tout à fait envisageable, Fabien préférait en rire plutôt que de réellement se montrer capable faire manger à Presley tout et n'importe quoi, comme si elle se trouvait dans une émission culinaire la Master Chief ou bien un style de Fear Factor. Fabien finit par attraper son verre d'eau, en espérant se calmer tellement il rigolait, puis, tenta tant bien que mal de boire une gorgée. Il ne pensait pas que Presley allait plonger dans le "piège" qu'il lui avait tendu, et pourtant, la jeune femme s'était précipité dedans. Tout comme Fabien, elle semblait quelque peu naïve et maladroite, et cela devait la mettre dans de drôles de situations, comme c'était le cas à ce moment même. Souriant, il se tourna vers elle, alors qu'elle le dévisageait. Conscient qu'il avait probablement l'air d'être fou, il arrêta de rire et se calma brusquement. « C'était pour rire. » dit-il en anglais, avant de sourire timidement. « Tu ne m'en veux pas j'espère? » demanda t-il précipitamment, de peur que la jeune femme soit vexée par la blague de Fabien. Alors qu'il tenait toujours son verre d'eau en main, Robert ne trouva rien de mieux à faire que de courir autour de Presley et Fabien, ce qui déstabilisa légèrement Fabien, qui se renversa son verre d'eau sur lui. « Et mince. C'est vraiment le boulet ton Robert. » lâcha le Français, tout en reportant son attention sur Presley.
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Message(#) Sujet: Re: N°1523, Apple Road. STOP THANKING ME, IT'S YOUR HOME NOW. (fabien) N°1523, Apple Road. STOP THANKING ME, IT'S YOUR HOME NOW. (fabien) EmptyMar 2 Nov 2010 - 13:26



Presley était littéralement entrain de paniquer, si elle demeurait une maladroite invétérée, quoiqu’elle fasse la ramenait à des situations des plus cocasses, elle s’obstinait à vouloir tout contrôler. Naïvement, elle avait pensé qu’agir pour préserver Fabien de son avis quelque peu négatif sur le plat qu’il venait de lui servir, était la bonne solution. Mais évidement, elle n’était pas à l’abri d’un revirement de situation, ainsi sa mâchoire se crispa, ses mains se mirent légèrement à trembler, tandis que son cœur battait à tout rompre dans sa poitrine sous l’expression de colère qu’il avait manifesté. Robert l’avait trahit, comment aurait-il pu en être autrement, il ne savait que la pousser dans des situations idiotes. Comme la fois où il s’était agité comme un fou, et avait attaché les jambes de la jeune femme avec sa laisse, la faisant incontestablement chuter dans la pelouse alors que l’arrosage automatique venait de se déclencher. Heureusement que sa présence avait aussi de bons côtés, et qu’elle était on ne peut plus habituée à se rendre ridicule depuis le temps. En revanche, lorsqu’elle s’était précipitée pour réconforter Fabien, elle n’avait pas pensé un seul instant qu’il agissait par vengeance. Plongeant à pied joint, sans même imaginer qu’il était déjà entrain de s’occuper de son cas. Continuant de se confondre en excuses, demeurant maladroite, hésitant entre les vérités à dire et celles à préserver, avant de finalement tout balancer. Ce fut alors avec surprise qu’elle vit le Français relever la tête, les yeux pétillants de larmes et un sourire qu’il retenait, avant d’exploser de rire face à elle. Dépitée et perdue, était-il entrain de se payer sa tête ? De quoi riait-il ? De sa manière lamentable de s’excuser, ou de la situation en générale ? Probablement les deux .. Elle se sentait à peine moins folle lorsqu’elle était prêt de lui, il était le seul dans son entourage à lui apporter un sentiment de normalité. Il réagissait presque toujours comme elle, toujours plus surprenant et imprévisible. Se cassant la figure aussi souvent qu’elle. Elle avait enfin trouvé un autre digne représentant de la famille des boulets. Néanmoins elle continuait de le regarder avec insistance, sa jambe s’agitant nerveusement dans l’attente d’une explication face à cette réaction des plus étonnante. Explication qui ne tarda pas à venir, mais en était-elle satisfaite ? Rien n’était moins sûre. Peut être ainsi allait-il oublier l’idée de lui faire bouffer des cafards pour se venger, vu qu’il se payait sa tête depuis quelques minutes déjà. Comment pouvait-elle s’en formaliser alors qu’elle avait donné ses grenouilles, qu’il avait passé des heures à préparer, à son chien ? Qu’elle en avait rajouté en mentant, sans s’arrêter durant son monologue visant à obtenir son pardon ? Non c’était ridicule, il avait eut raison, et elle aurait très certainement agit de manière similaire. Pourtant elle s’obstinait à le dévisager sans trop savoir si son regard exprimait une certaine indifférence, de la colère ou même de l’amusement. Un regard des plus ordinaires pouvant très bien s’associer à un « Oh nous sommes lundi! » Pourtant, lorsque Robert se mit à tourner autours d’eux, poussant Fabien à un geste maladroit, un sourire fit son apparition sur le visage de la jeune femme. Amusée certes, mais avec une idée derrière la tête. Soufflant pourtant comme si elle revenait à un sentiment de susceptibilité refoulée, elle se versa un verre d’eau, le regard tristement posé sur la carafe. Lorsqu’enfin elle eut son verre en main, elle se retourna doucement vers Fabien. « Je pense que nous sommes à égalité maintenant non ? » Demanda-t-elle timidement, donnant l’impression d’être toujours quelque peu vexée par sa réaction. Pourtant une fraction de seconde plus tard, elle lui balançait le contenue de son verre en pleine tronche, un sourire en coin et le regard plein de malice. « Tu ne m’en veux pas j’espère ? » Lui dit-elle pour reprendre ses propres mots. Ne cherchant ni à se moquer ni à se venger, mais d’avantage à taquiner le jeune homme qui semblait joueur en vue du manège qu’il avait monté pour sa petite vengeance.


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Message(#) Sujet: Re: N°1523, Apple Road. STOP THANKING ME, IT'S YOUR HOME NOW. (fabien) N°1523, Apple Road. STOP THANKING ME, IT'S YOUR HOME NOW. (fabien) EmptySam 27 Nov 2010 - 21:03


La complicité qu'il y avait entre Fabien et Presley était vraiment très précieuse pour le français. Ce n'était pas de l'amour, et bien que Presley était une très belle femme, Sloan n'avait rien à craindre de la part de Fabien, beaucoup trop maladroit pour pouvoir vivre une relation sentimentale. Il considérait Presley comme la soeur qu'il n'avait jamais eut et était très proche d'elle, tout simplement. Une relation d'amour entre elle et lui n'était pas envisageable puisque pour Fabien, cela serait de l'inceste. Et si c'était le délire de certaines personnes, ce n'était pas le sien. Loin de là, pusique Fabien ne pouvait comprendre comment on pouvait tomber amoureux et désirer son frère, sa soeur, sa mère, son père. Fabien ne pourrait jamais tomber amoureux de Presley et même si cela arrivait un jour, il serait plus probable qu'il n'évoque jamais et à personne ses sentiments. Presley était faite pour être avec Sloan pour le restant de leurs jours et tous les deux, d'après ce que la brune lui avait raconté, avec connu assez de galères pour être tranquille jusqu'à leur lit de mort. Et Fabien était bien décidé à ne pas laisser quelqu'un venir se mettre entre le couple puisque ce qu'il voulait plus que tout au monde que Presley soit heureuse, comme il l'était en ce moment même. Fabien vivait avec Presley, l'une des personnes qu'il appréciait le plus au monde puisqu'il était beaucoup plus proche d'elle qu'il ne l'avait été de n'importe lequel de ses amis auparavent. Il vivait aux Etats-Unis et dans une maison dès plus magnifique, digne des grandes séries américaines. N'importe qui serait jaloux de son existence et il fallait l'avouer, le jeune homme aimait beaucoup se vanter auprès de ses amis français et dire à quel point il avait la belle vie ici. Il n'avait rien fait d'extraordinaire pour mériter de vivre dans une maison aussi grande et en compagnie de Presley mais pourtant, il ne pouvait s'empêcher de se dire que c'était sa destinée, qu'une fée ou une autre bestiole magique s'était penché sur son berceau à la naissance et lui avait accordé une vie de rêve, comme c'était le cas en ce moment même. Bien qu'il n'avait toujours pas d'emploi et que son compte en banque flirtait avec presque plus rien, Fabien respirait la joie de vivre, et le voir au quotidien avec un sourire jusqu'aux oreilles devait probablement être très dur à vivre.
Alors qu'il essayait d'essuyer l'eau qu'il s'était renversé sur lui à cause du chien de Presley, tout en se concentrant pour ne pas se renverser le reste de son verre d'eau sur lui, il tenta de pousser du pied Robert qui avait décidé que le reste de l'eau finirait sur le tee-shirt de Fabien. « Ce chien a vraiment un problème avec moi! » dit-il, agacé, sans imaginer une seule seconde l'idée de Presley, qui se remplissait un verre d'eau le plus innocement du monde. Cela ne vint pas du tout à l'esprit de Fabien qu'il cherchait à se venger mais qu'elle voulait simplement s'hydrater, boire un litre d'eau par jour comme c'était conseillé pour la santé. « Je pense que nous sommes à égalité maintenant non ? » dit-elle en se tournant vers lui, alors que Fabien posait son verre d'eau sur la table. « Hum hum.. » dit-il en hochant la tête, pour confirmer ce qu'elle venait de dire. Fabien releva la tête ensuite pour lui sourire et il reçu le verre d'eau de Presley en pleine figure. Fabien ferma juste à temps les yeux mais garda la bouche ouverte, si bien qu'il reçu de l'eau en bouche et manqua de s'étrangler. « Tu ne m’en veux pas j’espère ? » dit finalement Presley, alors que Fabien toussait brusquement, essayant de ne pas recracher l'eau et éviter de dégouter Presley et qu'elle ne le jette pas dehors. Il finit par relever la tête, les yeux brillant de malice, avant de dire sur un ton faussement en colère: « A partir de maintenant, Melle Presley Clyde, c'est la guerre! Tu m'entends? Je vais te faire vivre un enfer! » dit-il, avant d'éclater de rire. Bien évidemment, il n'allait pas lui faire vivre un enfer, mais il était bien décidé de s'amuser aussi et de faire quelques blagues à Presley. Peut être pas aujourd'hui, ni dans les quelques jours à venir, mais il le ferait, dès qu'elle n'aurait plus cette histoire en tête. Histoire de bien la surprendre le moment venu. « Bien sûr que je ne t'en veux pas. Du moins, un peu. Je suis très très très déçu que tu ne manges pas les grenouilles cependant! » dit-il, en mélangeant l'anglais et le français, espérant qu'elle comprenne malgré tout. « M'inviter ici alors que tu étais saoule, après m'avoir embrassé, supporter mes maladresses au quotidien... Ca doit pas être facile. Tu mérites une médaille! » ajouta t-il en français, n'étant pas sûr que la jeune femme comprenne tout ce qu'il venait de dire. L'essentiel était là, et pour faire comprendre à Presley qu'il l'aimait beaucoup, Fabien la serra dans ses bras, lui promettant de lui refaire un repas une fois. Et pas des cuisses de grenouilles... Non, il ferait mieux: les escargots.


SUJET TERMINÉ
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