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 Une collision dans la joie et la bonne humeur [PV]

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Une collision dans la joie et la bonne humeur [PV] Vide
Message(#) Sujet: Une collision dans la joie et la bonne humeur [PV] Une collision dans la joie et la bonne humeur [PV] EmptyMer 6 Oct 2010 - 15:40



Une collision dans la joie et la bonne humeur [PV] 2258231
UNE COLLISION DANS LA BONNE HUMEUR
" PRIDE S. BERRINGTON
& HELENA STONE "






    FLASH BACK ON



      -Tu veux faire quoi plus tard?
      -Je veux être archéologue ou chanteuse ou peintre.
      -En gros, tu n'es pas capable de te décider comme d'habitude.


    Helena n'avait que sept ans et des rêves d'enfants plein la tête. Elle qui adorait les civilisations de toute sorte mais surtout l'histoire se voyait déjà archéologue. Un peu à la Harrison Ford dans Indiana Jones. Elle se voyait découvrir un trésor ancien et être connue dans tous les magasines pour avoir fait une découverte inimaginable. Cependant, elle adorait aussi à cette époque chanter, ayant une voix bien particulière et chantant juste sans même avoir prit de cours. Helena se voyait par moment comme la future rock star interplanétaire avant de se rendre compte qu'elle préférait chanter non pas pour être une star interplanétaire mais donner de la lumière à des personnes dans le noir. Et puis elle voulait aussi être peintre parce qu'elle s'est toujours amusée avec la peinture bien qu'en réalité, elle soit plus douée pour le dessin et la photographie.


    FLASH BACK OFF




    Jamais Helena n'aurait pensé devenir un jour stripteaseuse. Pas qu'elle trouve que ce soit un métier non recommandable contrairement à d'autres. Ces derniers pensent qu'il n'est pas normal qu'une femme puisse danser à moitié nue devant des hommes pas toujours très en très bon état ni avec des idées très catholique. En même temps, si ils allaient dans un club de striptease sans avoir de penser déplacer, se serait étrange. Helena elle, voyait son métier différemment. C'était un moyen comme un autre de gagner sa vie et parfois plus rapidement que certains. De plus, elle aimait danser et ce, depuis l'âge de deux ans. Alors même si ce n'est pas vraiment la danse à laquelle elle est habituée, elle aime ça. Danser la rend plus heureuse, plus vivante et au fond, elle est bien contente de son travail bien qu'elle ne pense pas l'exercer toute sa vie. Pour le moment, ne sachant pas quoi faire d'autre, elle s'en contente et laisse le cours des évènements passer. En tout cas, elle ne l'a pas avoué à son père. Surement penserait-il qu'elle mérite mieux et que ce métier n'est pas très sain. Ne désirant pas entendre ce genre de propos de la part de la personne qu'elle chérit le plus dans le monde, elle s'était abstenue de tout commentaire sur le sujet.

    Helena venait de regarder sa montre. Le temps passait rapidement ce jour ci et elle avait encore de nombreuses choses à faire. Elle avait envie de se couper les cheveux ou plutôt de faire une couleur mais pas trop voyante, plus du violet foncé. Helena n'est pas le genre de fille à aimer se faire remarquer. C'était même tout le contraire. On pourrait se dire que vu sa beauté et vu la fortune de son père, elle aurait prit la grosse tête. Serait devenue une fille ignoble qui se croit meilleure que tout le monde mais la danseuse ne ressemble en rien à cela. C'est une femme timide, généreuse, naïve et maladroite. Elle ne pense nullement être supérieure à autrui et est du genre à se croire inférieur alors qu'elle n'a rien à envier à personne. Si seulement elle s'en rendait compte, se serait bien plus pratique et une fille surtout plus épanouie bien qu'elle ne se plaigne pas de son sort.

    Hésitant donc à aller chez le coiffeur à la vue du temps qui passait, elle décida quand même d'y aller. Après tout, ce n'est pas le genre de fille à aller chez le coiffeur tous les mois. Elle n'y va que lorsque c'est nécessaire et qu'elle a envie de changer de tête. Dans ces moments là, c'était impossible que de la faire changer d'avis et si elle ne le faisait pas aujourd'hui, elle le ferrait le lendemain. Les mains pleines de paquets, elle rentra chez le coiffeur pour ressortir deux heures plus tard avec une nouvelle couleur et des cheveux raccourcit de dix centimètres. Il ne fallait pas trop en demander non plus, les cheveux d'Helena sont sacrés. Sortant contente et un peu plus sure d'elle que d'habitude, elle ne fit pas attention à la présence éventuelle d'une personne passant près de la boutique et entra donc en collision.

    La demoiselle s'était excusée au moins cinq fois avant de relever la tête pour s'apercevoir que la personne qu'elle avait percutée n'était autre que son patron. Elle qui le considérait comme un héros du fait qu'il l'avait aidé plusieurs fois avec des clients trop entreprenant, lui, devait la prendre vraiment pour une fille pas très fute fute. Il faut avouer aussi qu'elle est d'une maladresse légendaire. Elle sourit timidement. « Pride, tu vas bien? Rien de cassé? » Bon ce n'était qu'un petit choc mais on ne sait jamais et bien que pas très forte, Helena avait toujours peur de blesser quelqu'un par maladresse.

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Message(#) Sujet: Re: Une collision dans la joie et la bonne humeur [PV] Une collision dans la joie et la bonne humeur [PV] EmptyJeu 21 Oct 2010 - 10:58

Les investisseurs : la race ultime qui n'a pas évolué selon la théorie de Darwin. Eux, sont restés au stade primitif d'un simple besoin vital ; l'argent et rien d'autre. Penser par le dollar, respirer pour Wall Street, parler au nom du CAC 40, ne regarder que les porte-feuilles bien remplis. Bien sûr au vu de la vénalité de Pride, on aurait pu éventuellement le placer dans cette catégorie, à un détail près : l'ardeur du jeu coulait en ses veines. Ainsi, alliant mesquinerie à attrait de l'argent, le jeune homme avait ce don irréfutable de vous manipuler, de vous charmer, de vous endormir votre méfiance par ses dons d'orateur, pour mieux vous mener à ses fins. En d'autres termes, l'investisseur manquait cruellement d'une qualité essentielle : la stratégie par la ruse. C'est ainsi que Berrington sortit du fameux restaurant, un sourire satisfait aux lèvres, époussetant d'un geste sec la veste bien découpée de son costume, avant de se tourner vers son interlocuteur non sans tendre la main. « Vous finirez par tous nous dépouiller Monsieur Berrington. » souffla l'investisseur dans un rictus à la fois crispé et semi-complice, accueillant la poignée de main avec fermeté. « Loin de moi cette idée. » Murmure suave, sourire délicieux, foutage de gueule... Et les deux hommes de se soutenir mutuellement le regard bien que l'affrontement était passé, chacun repartant dans son sens, un attaché-case à la main. Pride descendit l'avenue d'un pas assuré, précédé d'un parfum épicé et envoûtant aux effluves de la victoire : enfin, il avait réussi à débloquer des fonds pour étendre un peu plus son entreprise, ceux là même qui lui étaient passés sous le nez à cause d'une Aubree trop dévergondée aux proies des mains de clients entreprenants... Son regard noisette se posa sur sa montre afin de vérifier l'heure : lui qui aimait souvent se faire désirer, n'avait en tête que d'être ponctuel pour venir récupérer la dame de ses pensées au sortir de son travail. Rien de très habituel en vérité, car la routine ne faisait pas partie de ses thèmes de prédilection ; le jeune brun ténébreux souhaitait au contraire accueillir sa Muse dans la surprise, à la sortie de cette dernière des locaux d'un magazine de mode. Ce fut sans compter le choc brusque qui lui arriva en plein flanc gauche, lui stoppant sa marche et lui faisant relever ses yeux ambrés piqués d'une lueur vorace et agacée. « Quand on est un danger ambulant, on ne sort pas de chez soi. Vérité bien connue et universelle depuis le 11 Septembre. » Sa voix basse avait pris des teintes intransigeantes et fermes, à vous en faire frémir le dos tant autant de venin dans de simples mots, pour un crime qui n'en était pas un, était désappointant. La demoiselle vint se répandre en excuse, tandis que le regard glaçant de Pride la dévisageait ; ne la reconnaissant pas aux premiers abords, il comprit qu'il avait affaire à une de ses 'filles' lorsque la voix gênée de la maladroite s'éleva soudain. Ce fut finalement dans un soupir que le jeune homme, se montrant enfin gentleman, se baissa afin de l'aider à ramasser ses affaires, et alors qu'il lui tendit son sac, la jeune femme eut une réplique qui aux yeux du patron intolérant sonnait comme une idiotie ultime. « Pride, tu vas bien? Rien de cassé? » Rien de cassé ? Parce que la demoiselle, avec son poids plume et son corps frêle, pensait vraiment pouvoir faire du mal à quiconque ? A moins d'enfoncer son talon aiguille dans un tibia bien sûr, cela relevait du domaine de l'impossible... Il allait de soit néanmoins que ce n'était là qu'une formule de politesse, mais cela eut le mérite d'exaspérer d'avantage le brun ténébreux qui arqua les sourcils. « Helena, est-ce que tu as conscience que le jour où tu as signé le contrat pour entrer dans mon club, il était stipulé que tu certifiais être majeure, vaccinée... et non atteinte de la maladie de Parkinson ? » Humour grinçant, quand tu nous tiens. Le jeune homme faisait cyniquement référence à la maladresse de la belle avant de renchérir de nouveau. « Apprends à faire deux pas sans manquer de te fouler une cheville. » Et l'insupportable notoire de soupirer, tirant de sa poche de costume un paquet de cigarettes avant d'en allumer une au coin des lèvres. Conscient qu'il s'était emporté par sa légendaire capacité à être désagréable au possible, il souffla dans un nuage de fumée non sans lever la tête et offrir un sourire charmeur à la danseuse. « Jolie coupe, elle met tes yeux en valeur. » Léger signe de tête en guise de salutation – enfin, mieux valait tard que jamais – et Pride s'apprêta à se remettre en marche. Parler de la pluie et du beau temps, participer à la règle de bonne conduite de la société en feintant s'intéresser à son voisin... tout cela n'était pas pour lui. La preuve en était que l'honnêteté un peu brusque s'échappait bien souvent de ses lèvres.


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