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 N°1608, Apple Road ♣ « strange meet »

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Message(#) Sujet: N°1608, Apple Road ♣ « strange meet » N°1608, Apple Road ♣ « strange meet » EmptyMer 12 Mai 2010 - 13:35

strange meetN°1608, Apple Road ♣ « strange meet » 2upzkzs
ethan j. cooper feat lauren huttinger


Une journée de tranquillité. Lauren Huttinger, mère d’une petite fille âgée de deux ans, vit dans la maison de sa tante avec une chienne nommée Dina. Cette jeune femme avait eu la chance de vivre dans l’habitation de sa tante adorée. Cette dernière voyageait énormément due à son travail. La maison paraissait seule et elle n’avait aucunement l’envie de la vendre. Lors d’une visite de sa nièce accompagnée de la petite Jennie, elle annonçait à Lauren, avec un grand sourire aux lèvres, qu’elle pouvait vivre ici durant tout le temps qu’elle le souhaiterait. C’était sa nouvelle maison à présent. Cette nouvelle avait fait le bonheur de plus d’un.

Ce jour là, Lauren était seule à la maison. Jennie et Dina étaient en séjour d’une semaine chez l’ex mari de miss Huttinger. Il avait tenu à garder la petite encore une semaine afin que Lauren puisse se reposer. Son boulot d’assistante sociale lui prenait énormément d’énergie. En pleine consultation de dossier, elle se revoyait presque en train de crier à la petite d’arrêter de faire des bêtises et de jouer tranquillement. L’assistante sociale détestait plus que tout ramener sa fille à l’ordre mais par moment cela explosait et elle en payait le prix.

Devant son ordinateur portable, elle consultait des articles traitant des enfants qui changeaient d’attitude aussi brusquement du jour au lendemain. Elle n’était pas de ses assistantes sociales qui posent milles et une question à leurs patients pour les faire souffrir intentionnellement ou non. Elle s’intéressait à leur vie. Elle cherche à tout prix à les guérir de ce qui leur fait mal.

Dring, dring… Le téléphone se mit à sonner. Etrange, elle n’attendait aucun coup de fil. Elle retira son attention de sa consultation par internet afin de prendre le combiné du téléphone et de décrocher.
« Allô ? Qui est à l’appareil ? »
« Voyons Lauren, tu ne reconnais pas la voix de ta petite brownie ? »
Lauren se creusait les méninges puis elle fit de gros yeux, étonné de l’entendre.
« Christina ? Je suis tellement heureuse de te voir, non de t’entendre. Comment vas-tu depuis tout ce temps ? »

Christina et Lauren s’étaient connues lors d’un entretien d’embauche. Elles étaient assises l’une à coté de l’autre. Voyant l’heure défilé lentement sous leurs yeux, elles ont commencé à discuter puis à sympathiser… C’était le bon vieux temps…

« Je vais bien. J’ai eu ton numéro de téléphone grâce à ta tante. Je ne l’ai croisé que quelques fois, c’était rare. On parlait de toi et hop j’ai eu ton numéro. Quoiqu’il en soit, cela te dirait de faire une virée entre filles ce soir ? Faire un petit tour dans un bar, rencontrer de jolis garçons et pourquoi ne pas passer le reste de la nuit avec eux… » Pour avoir des idées derrière la tête, elle en avait. Lauren était restée perplexe. Après tout, elle pouvait se donner un petit plaisir. Cela la détendrait certainement. Avec une réponse positive, elle raccrocha le combiné de téléphone.

Elle sautait du canapé pour atteindre rapidement l’étage pour accéder à sa chambre. Elle devait bien se préparer et se pouponner, peut être allait elle rencontrer un homme qui raffole des enfants et qui n’allait pas s’enfuir en apprenant qu’elle avait un enfant alors que l’alchimie passait entre eux.

Lauren avait passé énormément devant sa garde robe, à choisir ce qu’elle allait porter. Elle finit, enfin, par opter pour une robe courte noire accompagné d'une sandale en chevreau velours et d'un ruban gros grain se laçant autour de la cheville. Il ne lui manquait plus qu’un sac pour accompagné le tout et d’un maquillage léger mais sexy. Elle partit dans la salle de bain se maquillant très légèrement. Elle revint vers sa garde robe, sortant un sac à main noir.

Sonnant à la porte dans les alentours de 20h, Lauren descendit les escaliers, arrivant devant la porte d’entrée. Elle l’ouvrit et découvrit Christina. Des retrouvailles chaleureuses se firent. Elles montèrent ensuite à bord d’une voiture. La soirée allait commencer.

Le temps avait vite passé. On retrouvait, dans la discothèque, une Lauren Huttinger complètement bourrée. Elle rigolait sans cesse, elle était méconnaissable. Il était temps de la ramener en voiture.
Le chauffeur ne savait plus où se trouvait très exactement la maison de Lauren. Cette dernière l’en excusait, sortant de la voiture en titubant presque. Elle se trouvait à Apple Road, longeant les maisons et appartements.

Stop. Elle s’arrêta devant une maison qui lui était familière, du moins, c’est ce qu’elle croyait. Riant à tue tête, elle marchait avec une démarche pas très féminine vers la porte de la maison qu’elle ouvrit. Porte ouverte ? Qui pouvait bien laisser une porte ouverte sans la fermer à clé ? Elle ne se posait pas la question, pensant être chez elle.

Marchant dans le couloir de cette demeure, elle arrivait dans le salon. Elle levait les yeux et eut presque un haut le cœur. Un homme s’y trouvait, torse nu. Balbutiant presque : « Qu’est ce… qu’est ce que… vous… faites … chez moi ? » Bonjour à l’alcoolique.
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Message(#) Sujet: Re: N°1608, Apple Road ♣ « strange meet » N°1608, Apple Road ♣ « strange meet » EmptyMer 12 Mai 2010 - 16:51




. L’intimité est une chose que l’on désire et que l’on craint en même temps. Il est difficile de vivre avec, mais impossible de vivre sans. On désire gardez une part de mystère, avant son « jardin secret » mais si on ne se confie pas, nous n’avons personne ! Un ami, c’est quelqu’un à qui on peut confier un secret… Je ne faisais, quant à a moi, confiance à personne, c’était peut être mon tord. J’enchaînais les aventures sans lendemain, je ne prenais pas le temps de m’attacher car je savais qu’ouvrir son cœur c’était prendre le risque de souffrir. C’était comme ça, les choses étaient ainsi faite. Peut être que souffrir était le risque à courir ? Peut être que chaque je passais à côté de choses incroyable car je refusais d’avoir une quelconque marque d’affection pour quelqu’un. J’avais des amis, une petite protégé et certes, tous avaient de l’importance dans ma vie, mais personne ne savait réellement l’homme que j’étais, personne ne connaissait mon passé et mes secrets. C’était peut être mieux ainsi même si parfois, dans un ultime moment de solitude, je rêvais d’avoir une personne connaissant tout de moi, capable de me comprendre et de me remontrer le morale. Mais c’était un luxe qui m’était interdit, par ma faute certes, mais c’était un choix que j’assumais. J’avais souffert par le passé, j’avais vu des gens souffrir, des gens mourir de chagrin, des gens désarmée par la colère… j’étais à l’abris de tout ça, étais-ce une bonne chose ? Sans doute que non, car sans souffrance, jamais je ne connaitrais le bonheur, car l’un ne va pas sans l’autre… du moins c’est ce que je pensais.

Souvent en charmante compagnie, je me trouvais ce soir, seul ! Chose très rare pour moi. J’étais chez moi, j’avais passé la journée à chercher des contrats pour mes clients. Certaines rencontres furent fructueuses, d’autre moins. Fatigué, je n’avais qu’une seule envie : être tranquille chez moi ! J’avais téléphoné à Jazz pour être sur qu’elle ne passerais pas. Jazz, c’était une étudiante avec qui j’entretenais une sorte de lien fraternel, c’était la seule femme à avoir les clés de ma maison car c’était la seule femme que je ne voulais pas mettre dans mon lit.

Ce soir avait pour thème la détente. Je fis quelques longueurs dans ma piscine après avoir fait un jogging de deux heures environ, et oui, un corps comme ça, ça s’entretient Cool.
Une fois rafraîchit et après avoir pris une bonne douche, je descendis à la cuisine, avec pour seul vêtement un pantalon. Pourquoi me serais-je habillé autrement ? Je n’étais pas sensé savoir qu’une charmante personne se tromperait de domicile. Moi qui d’ordinaire me présentait toujours très classe à ces dames, cela risquait d’entacher ma réputation ^^.
C’est avec une bière à la main que je me dirigeai vers le salon dans l’espoir de me regarder un match de football sur mon écran plasma. Imaginez ma surprise quand je vis une femme, très belle en passant, affalée sur mon canapé. « Qu’est ce… qu’est ce que… vous… faites … chez moi ? » Je regarda cette personne interloquer, ne savant pas vraiment comment réagir sur le moment. Je la regarda, regarda autour de moi, constatant que j’étais bien chez moi, non ce n’était pas une erreur. « Je peux vous posez la même question ! » La femme était bourré, ça se voyais à sa frimousse et aussi à l’odeur qu’elle dégageait. Je resta à ma place, ignorant comment je devais réagir. Mettre cette femme dehors ou essayer d’en savoir plus ? Je n’allais quand même pas la laisser partir dans l’était ou elle était ! Tant pis pour ma soirée foot.





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Message(#) Sujet: Re: N°1608, Apple Road ♣ « strange meet » N°1608, Apple Road ♣ « strange meet » EmptyMer 12 Mai 2010 - 19:56




Une soirée déjantée. Cet anniversaire avait été riche en émotions, riche en alcool surtout. Lauren buvait de l'alcool dans de rares occasions. Elle n'avait pas encore compris la raison de cette prise d'alcool quoiqu'il en soit cela faisait énormément de bien. Le stress s'était accumulé depuis son installation à Ocean Grove. Elle adorait son travail, elle faisait tout pour que ses « patients » soient meilleurs, qu’ils puissent vivre une meilleure vie. Malgré tout, parfois on se devait de se lâcher. Elle ne montrait pas le bon exemple qu’une mère doit montrer mais ce soir là, elle eut mit de coté son devoir de mère et d’assistante sociale afin de laisser place à son devoir de femme. Par moment, quand on est mère de famille, on oublie la femme que l’on est, se préoccupant de l’avenir de ses petits bouts de chou. Même les pères de familles passent par ce cap. C’est inévitable.

Cette folle soirée devait se terminer avec un bon petit somme dans son lit et avoir un mal de tête énorme au lendemain. Elle va s’en rappeler pour toute sa vie. Si sa tante saurait ça, soit elle se moquerait d’elle et elles en rieraient, soit sa tante lui passerait un savon avant d’en rire un peu plus tard.

Sa seule vraie relation amoureuse était aux cotés du père de Jennie. A chaque fois qu’elle se trouvait auprès de lui, qu’elle croisait son regard : elle se sentait revivre. A chaque approche à son égard, elle ressentait des petits papillons au niveau de son ventre. Cette sensation s’était échappée le jour où ils ont divorcés, pour leur propre bien. Ils font leur vie de leur côté, ce n’est pas plus mal. Dans sa relation, elle n’avait pas raconté tous ses secrets à son mari. Elle avait son petit jardin secret. La seule personne qui savait absolument tout de sa vie était certainement sa mère. Elle est tout pour Lauren. Si elle venait à s’éteindre, la jeune demoiselle ne pourrait jamais totalement s’en remettre. Quoiqu’il en soit… Revenons à l’embarras qui allait entrer en ligne de compte chez notre très chère Huttinger.

Effectivement, elle n’était pas chez elle mais à l’intérieur du domicile d’un homme qu’elle ne pensait pas connaître. Pour elle, c’était sa maison, donc la question ne se posait pas mais en le voyant, elle saurait si elle avait ramené un bel homme chez elle. « Je peux vous poser la même question ! » Mais qu’est-ce qu’il racontait celui là ? Lauren ne savait plus quoi penser. Sa main posée sur sa tête, elle fermait les yeux : elle avait un mal de crâne. Ré-ouvrant ses yeux, elle posait son regard autour d’elle. Sa vision devenait plus claire. Elle commençait à sentir une sensation de gêne l’envahir. Elle n’osait plus regarder cette personne. « Excusez-moi… Je… je vais vous laisser… C’est mieux. » Elle se raclait la gorge, émanant un petit sourire sur ses lèvres. « Joli le torse. » Elle n’avait plus les idées en place. Son envie de rire était toujours là, pour une raison inconnue. Elle se tenait contre le mur, cherchant la sortie. « Monsieur l’éclaireur… j’ai besoin de vous. » Hop, elle se mit à rire. Le pauvre jeune homme, il va se mordre les doigts avec elle.






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