AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Coffret dresseur d’élite ETB ...
Voir le deal
56.90 €

Partagez | 
 

 I lose control, and you don't understand me any more.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité




I lose control, and you don't understand me any more. Vide
Message(#) Sujet: I lose control, and you don't understand me any more. I lose control, and you don't understand me any more. EmptyDim 14 Mar 2010 - 22:34

I lose control, and you don't understand me any more. Jhwxu8 I lose control, and you don't understand me any more. Sc6qm8
♣️ I LOSE CONTROL AND YOU
DON'T UNDERSTAND
ME ANY MORE.
STARRING
♣️ perry parker and.
alabama-lëeloo callahan






La maternité avait ses bons côtés, comme ses mauvais. Une mère se refuserait à en exposer les désagréments, se sentant ainsi comme une mauvaise mère, dégradant son rôle, sa position. Seulement c’était un fait, il n’y avait pas que des joies dans la maternité, Alabama ne le cachait pas, elle n’aimait pas cette hypocrisie qui entourait tout ça, comme si c’était devenu un secret. Être mère n’avait rien de facile, si c’était le plus beau métier du monde, il n’était pas sans difficulté pour autant. Il y avait les plus simples, celles qui surviennent au quotidien, plus ou moins facile à gérer. Pénurie de couche, par exemple, ça ne lui était en revanche jamais arrivé, ayant un véritable stock, il y avait véritablement peu de chance pour que cela se produise. Ce qui l’angoissait le plus était sans nulle doute, lorsqu’Aaron tombait malade, si elle savait toujours réagir avec rapidité, si elle n’hésitait pas à ne pas fermer l’œil de la nuit, pour rester près de lui aussi longtemps qu’il le faudrait. Elle ne cachait pas son stress lors de poussé de fièvre, lorsqu’il pleurait sans se calmer, sans savoir ce qu’il pouvait bien avoir. Cela lui était déjà arrivé deux fois, elle avait fini par réaliser que l’inquiétude allait avec le boulot de mère, que c’était indissociable, et qu’elle vivrait continuellement avec ce poids là. Un poids qu’elle était prête à affronter, elle avait peser le pour et le contre avant de se lancer, elle n’avait pas fait ça inconsciemment.
Ce n’était pas toujours simple d’élever seule un enfant, mais elle faisait de son mieux, et jusqu’à présent, elle était assez fière de la mère qu’elle était, même si bien sur, les choses iraient en se compliquant.
Aujourd’hui elle avait du faire face à l’un de ses soucis dis « techniques » et oui en tant que mère, il était bien courant d’avoir ce que l’on appel des remontés de lait. Seulement à son travail, elle ne pouvait clairement pas allaiter Aaron qui était avec sa nounou. Elle avait bien sur tout ce dont elle avait besoin dans son bureau, et avait du se résigner à s’éclipser pour tirer son lait, ce qui n’avait évidement rien de glamour. Elle s’était bien souvent comparée à une vache laitière en ce genre de situation qui lui déplaisait beaucoup. Une fois, fait, elle entreprit de se changer, ce genre de débordement était prévisible, elle avait toujours de quoi se changer au cas où. Si elle devait se plaindre d’une galère de ce « boulot » ce serait sans doute celle-ci, elle n’était pas de nature très confiante, ou particulièrement à l’aise en société alors il fallait admettre que cette situation ne l’aidait pas à se sentir plus sûr d’elle. Heureusement à son travail, elle avait cette faculté à jouer la comédie, à se montrer plus confiante, elle gérait sa galerie avec beaucoup de talent et de caractère, ce qui était parfois étonnant pour cette jeune femme si timide.

L’heure du déjeuner arrivait, et elle ne voulait pas rester à son travail, elle voulait prendre un peu l’air. Profiter d’une pause n’était pas dans ses habitudes, mais elle commençait à s’écouter un peu plus, le paraître commençait à vraiment lui prendre la tête. Elle en avait marre de sourire en toute circonstance, de faire bonne figure, ou de prendre cet air détaché sans raison. Peut être que la disparition de sa meilleure amie n’était pas étrangère à cette volonté de changer mais elle n’en dirait rien, elle ne parlait pas de l‘incidence que le suicide de la jeune femme avait eu sur sa vie. Déçu par son amitié qu’elle avait peut être trop facilement accordée, elle préférait agir comme si elle n‘avait jamais fait partit de sa vie. Sans doute que ses amis qu‘elle avait lâchement abandonné, aurait du agir ainsi, ça aurait été finalement beaucoup plus compréhensible. Quoiqu’il en soit, elle avait eut le temps de se pauser un million de fois la question tandis qu’elle avançait dans les rues de Miami vers ce petit café qu’elle affectionnait particulièrement. Elle avait également perdue l’appétit, seul l’appel de la caféine subsistait. Alors qu’elle venait de s’attabler à l’intérieur de l’établissement, elle reconnu un visage qui lui était familier. Perry Parker, le jeune homme était de ceux qu’elle pouvait compter dans ses amis, même si cette notion c’était quelque peu perdu pour elle ces derniers jours. Mais alors qu’elle lui adressait un sourire polie alors qu’il se dirigeait vers sa table, cette « joie » ne semblait pas être parfaitement partagée. Perry était quelqu’un de plutôt difficile, un caractère difficile à cerner et maitriser, mais Aly en avait l’habitude, cependant il avait l’air un peu contrarié, sans doute qu’elle n’allait pas tarder à en savoir la raison. « Salut, ça ne va pas ?! » dit-elle tout calmement, espérant qu’elle n’avait rien fait de mal, sans en avoir conscience, comme cela semblait lui arriver si souvent.




Revenir en haut Aller en bas
 

I lose control, and you don't understand me any more.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
F I L T H Y S E C R E T :: Miami - Centre ville :: Fairway Place-