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 « bad boys, bad boys (...) »

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«  bad boys, bad boys (...) » Vide
Message(#) Sujet: « bad boys, bad boys (...) » «  bad boys, bad boys (...) » EmptySam 2 Mai 2009 - 2:33


AUSTIN & CALEB
BAD BOYS, BAD BOYS !
what you gonna do, what you gonna do when they come for you ?


    C'était un Samedi comme tous les autres, Bonnie avait décidé d'aller rendre visite à une amie avant d'aller travailler pendant que Caleb était allé en ville pour renouveler ce qu'on pourrait appeler sa « garde robe ». Il ne faisait pas souvent les magasins – ce n'était pas du tout son genre, mais il fallait bien changer un peu, surtout quand il salissait toujours ses jeans avec de la graisse de voitures. Les tâches noires ne partaient pas au lavage et il était obligé de jeter ses vêtements. Évidemment, vous vous demanderez pourquoi il ne garde pas des vêtements spécifiques pour aller travailler – surtout quand il a aussi un bleu de travail, et bien la réponse serait facile : c'est un homme. Il n'est pas très logique pour ce genre de chose, il préfère gaspiller et même quand il était au Canada il n'aimait pas garder des vêtements trop longtemps. Pourtant, il n'aimait pas non plus rester des heures dans les magasins, c'était pour ça qu'il se dépêchait à faire ce qu'il avait à faire afin de s'en aller rapidement. Ce jour-là il avait appelé Tim pour savoir s'il serait libre afin de l'accompagner, il ne voulait pas vraiment y aller seul et cela serait tellement ennuyant ! Lorsque Timothy lui répondit qu'il avait déjà quelque chose à faire, Caleb s'était dit qu'il devrait sûrement passer son après-midi à la maison, à regarder le match de Basket de la NBA qui l'attendait et qui lui faisait des avances. Il irait sûrement un autre jour accompagné de Bonnie c'était déjà moins triste. Le match avait beau l'appeler et le tenter, il avait décidé ce matin de sortir et il devrait sûrement y aller. De plus, le frigo avait besoin d'être rempli et il ne laisserait pas Bonnie, qui revenait dans les alentours de minuit aller faire les courses. Il s'était donc décidé à se lever du canapé pour s'en aller pour la ville.

    Ses courses avaient prit peu de temps, il n'avait pas l'habitude de les faire et donc il n'avait acheter que ce qu'il pensait qu'il fallait. Il n'était pas doué pour ça mais il essayait d'aider un maximum Bonnie pour pas qu'elle ne fasse tout le boulot. Avant il avait toujours pensé qu'il serait celui qui s'occuperait de tout lorsqu'il serait installé mais il ne savait pas que ça arriverait aussi vite. Qu'est-ce que dirait son frère s'il le voyait ainsi, en train de faire des courses pour sa maison. Il trouverait ça bien évidemment pathétique et l'aurait ramener avec lui de gré ou de force. Il s'était aussi acheté quelques habilles, ça avait été quand même le but de cette sortie, quelques tee-shirts et des jeans c'était ce dont il avait le plus besoin, il s'était arrêté devant une paire de baskets aussi mais n'avait pas cédé à la tentation. Il avait finit à présent et était sur le chemin du retour, il y avait énormément de monde dehors sachant qu'on était Samedi après-midi et que c'était le jour où Bayside Street était la plus bondée. Caleb essayait tant bien que mal de se frayer un passage dans cette foule de personnes et de voitures et c'était assez difficile. Il avait voulu plusieurs fois eu envie de klaxonner par-ci et par-là mais ça n'aurait fait qu'augmenter ses nerfs. Il détestait les embouteillages, il détestait ne pas être libre et c'était un peu ce qu'il était ici : enfermé. Que ce soit ici, en plein milieu d'une meute d'américains ou bien chez lui à Ocean Grove, il n'était pas totalement libre. Lorsqu'il essaya d'effacer cette pensée de sa tête, il vit dans son champ de vision quelque chose entrer bien trop dangereusement et automatiquement son pied appuya sur la pédale de frein. Un bruit menaçant retentit et il avait directement compris : il était rentré quand quelqu'un ou quelque chose. Il tourna la tête vers la voiture qui était sur sa droite, à l'intersection et il fronça les sourcils. Il était bien sur dans ses pensées quand il était rentré dans cette voiture mais était sûr et certain d'avoir bien regardé à droite et à gauche. Ses nerfs qui étaient déjà à bloc, montaient de plus en plus... Il imaginait sa voiture avec un énorme trou ou quelque chose dans ce genre là, il prit du temps pour sortir de sa voiture mais lorsqu'il aperçu la silhouette qui était le conducteur de l'autre voiture sortir de celle-ci, automatiquement il poussa portière pour sortir à son tour. Il claqua la porte un peu trop bruyamment qu'il l'aurait fallu et s'approcha du point d'impact. On voyait bien que les deux voitures étaient assez amochés mais ça n'était rien de bien méchant pensa Caleb, il savait très bien ce que c'était étant donné qu'il travaillait en tant que garagiste. Il leva enfin la tête vers l'autre conducteur pour essayer de sortir une formule de politesse – il aurait bien voulu lui gueuler dessus mais il y avait trop de monde et déclencher une dispute alors que beaucoup de gens vous connaissait n'était effectivement pas une bonne idée. Mais avant même qu'il puisse ouvrir la bouche pour sortir un son, l'homme s'était déjà exclamé.

      Merde ! Vous avez-vu ma voiture ? Vous avez acheté votre permis ou quoi ?!

    Caleb était déjà surpris, il était même outré que celui-ci se plaigne ainsi aussi vite et en plus l'accuse d'être à l'origine de cet accrochage. Il n'avait cherché aucune explication avant de l'accuser directement et c'était en fait sûrement ça qu'il le mettait de plus en plus en colère. Son regard était devenu noir et cela se voyait, il n'avait même pas remarqué qu'il y avait une tonne de témoins qui étaient autour d'eux, malgré cela, il se contenait, histoire de faire le premier pas vers cet homme, évidemment il n'arriverait pas à se contenir bien longtemps.

      Calmez-vous ! Je travaille dans un garage, je pourrais vous arranger ça, il n'est pas nécessaire que qui que ce soit, soit accusé d'être à l'origine de cet accident.

    Il avait bien choisi ses mots et avait essayé d'être éloquent, il avait essayé mais sa voix était plutôt froide, distante et surtout menaçante.


Dernière édition par Caleb Varnham le Sam 16 Mai 2009 - 1:04, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: « bad boys, bad boys (...) » «  bad boys, bad boys (...) » EmptyMer 6 Mai 2009 - 19:30

  • Journée magnifique pour Austin Levingston. Il avait fait beau dès son réveil, et cela avait mis de bonne humeur le jeune homme. Lorsque les rayons du soleil avaient réussi à se faufiler entre ses rideaux, et étaient venus le réveiller, Austin avait su qu’il passerait une journée agréable. Et c’était ce qui c’était passé. Il avait été travailler au bureau la matinée, et avait même trouvé des preuves dans une affaire grâce à Victoria. Cette gamine était vraiment douée, et c’était un véritable atout pour lui qu’elle accepte de l’aider dans certaines de ses affaires. Certes il la payait, mais elle aurait très bien pu lui dire non. Chose qu’elle n’avait pas faite, et tant mieux pour Austin. La matinée était donc passée rapidement, et Austin n’avait pas eu le temps de souffler qu’il était déjà l’heure pour lui d’aller déjeuner en ville avec Lullaby. Il avait dans un premier temps eu envie de lui faire une farce, du genre, lui poser un lapin. Après tout, c’était comme ça entre eux deux, toujours à se taquiner, à se chercher, à se faire des blagues. Cela ne faisait qu’un an qu’il était à Ocean Grove, mais grâce à sa voisine, tout était plus agréable. Elle était souriante, chaleureuse, amicale, et surtout, elle ne lui posait pas de questions trop personnelles, elle ne voulait pas savoir pourquoi il était venu vivre ici, elle ne voulait rien savoir, et c’est pour ça que leur relation fonctionnait si bien. Il avait finalement renoncé à la laisser en plan, c’était beaucoup trop méchant, et elle ne méritait pas ça. Leur repas c’était bien passé, il faisait tellement beau et chaud qu’ils avaient mangé en terrasse au bord de la mer. Il l’avait quittée aux environs de 13H30, et était parti, un sourire radieux accroché aux lèvres. Sans doute vous demandez vous qu’elle était la chose qui rendait si heureux le jeune Levingston. Et bien c’est simple… Il avait rendez-vous vers trois heures et demi avec son concessionnaire. Oui ! Austin allait s’acheter une nouvelle voiture. En réalité il l’avait déjà achetée, et elle devait arriver dans l’après-midi. Bref, il était excité comme un véritable gamin. Il arriva donc au garage, le plus grand et prestigieux de la ville. A peine eut-il mis les pieds dans l’endroit, qu’il l’aperçut. Elle était là, au milieu de toutes, brillait de pleins feux, sa Porsche noire, son bijou. Il en avait rêvé, il l’avait désormais. Il parla quelques instants avec un garagiste qui lui donna quelques conseils pour l’entretien, et une fois les clés en main, Austin partit. Il roula longtemps, au moins une heure. Pour aller où ? Il ne savait pas, il roulait, juste pour sentir le bonheur que la voiture lui procurait, juste pour se sentir libre quelques instants. Au bout d’une heure, il concéda que c’était le moment d’arrêter de jouer. Il décida donc de rentrer chez lui, et passa par Bayside Street. Rue fréquentée, trop fréquentée sans doute… Mais il n’avait pas le choix, il devait rentrer chez lui, et c’était le chemin le plus court. Austin était vigilent, ultra vigilent même. Il ne voulait pas rayer sa voiture, il ne voulait pas une trace, il ne voulait rien ! Et alors qu’il avançait doucement, à cause de la circulation, il vit à la dernière seconde le bout d’un capot de voiture, il freina alors instantanément, mais c’était trop tard. Un Boum retentit dans la rue. Austin perdit rapidement son sourire, les mains crispées de colère sur son volant, il hallucinait. Son bijou, tant attendu, était déjà tout cabossé, la voiture était peut-être même bousillée ! Il avait pourtant fait attention, avait regardé partout, c’était comme si la voiture avait surgit de nulle part ! Austin a cran, vraiment énervé, sortit de sa voiture, il claqua la portière, se fichant bien des gens autour. Il contourna rapidement son véhicule pour arriver vers le point d’impact, ce n’était pas très grave, mais tout de même ! Cela faisait à peine une heure et demie qu’il conduisait sa petite merveille et voilà qu’elle allait directement retourner chez le garagiste. Il fut rapidement sorti de ses pensées lorsqu’il entendit une portière claquer. L’autre venait de descendre. Sûrement une bonne femme, incapable de rouler normalement, et sagement. Austin se tourna, et eut la surprise de voir un homme. Cela ne l’empêcha pas de le foudroyer du regard. Sur un ton sec, il lui dit alors : «Merde ! Vous avez vu ma voiture ? Vous avez acheté votre permis ou quoi ?! » Oui Austin était énervé, oui il allait vraiment se mettre en colère, et d’ailleurs cela commençait à grimper lentement en lui. Lui qui avait passé une superbe journée, voilà que tout venait de s’écrouler en quelques secondes. Austin se tenait le crâne avec ses deux mains. Il n’arrivait décidément pas à y croire, et encore moins à encaisser. Et c’est là que l’autre intervint : « Calmez-vous ! Je travaille dans un garage, je pourrais vous arranger ça, il n'est pas nécessaire que qui que ce soit, soit accusé d'être à l'origine de cet accident. » Austin releva vivement le visage. C’était une blague non ? Le jeune homme commença à rire nerveusement, un rire froid, sournois. Evidemment l’autre cherchait à trouver des excuses, il avait bien trop peur d’Austin, il avait bien trop peur qu’Austin fasse marcher son assurance, cela signifiait donc qu’il se défilait, il savait que c’était de sa faute, mais il tentait de limiter les pots cassés, ce qui ne plaisait pas du tout, mais alors pas du tout à Austin. Il le fixa obstinément dans le blanc des yeux et enchaîna :

    « Sérieusement ? C’est une blague non ? Vous avez tellement peu de clients, que vous foncez dans les gens juste pour pouvoir bosser un peu ? Non mais franchement, vous n’espérez tout de même pas que je vais accepter de vous laisser ma voiture en réparation. »


    Il venait de croiser les bras, sa voix avait été froide, et il avait été sec. Pas une seconde il n’avait détaché son regard du sien, pas une seule seconde il n’avait faibli. Austin, s’approcha un peu plus du jeune homme. Ils devaient avoir le même âge, à peu près du moins. Ils mesuraient sans doute la même taille aussi. Une chose était certaine, Austin n’était pas responsable de l’accident, et l’autre allait vite devoir l’admettre. Austin, vraiment agacé, lâcha d’une voix pleine de sarcasme :

    « Si vous réparez les voitures aussi bien que vous conduisez la votre, je n’ose pas imaginer tous les dégâts que vous commettez ! »

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Message(#) Sujet: Re: « bad boys, bad boys (...) » «  bad boys, bad boys (...) » EmptySam 16 Mai 2009 - 0:53


    Le jeune homme en face de lui se mit à rire devant Caleb qui voulait d'ailleurs arranger les choses, et cela ne fit qu'augmenter la pression qui se cachait tout en fond de Caleb. Il ne voulait pas déclencher une bagarre dans un endroit aussi bondé et surtout si c'est lui qui frappe le premier, cela attirerait d'avantage les regards sur lui. Il prit le rire de l'homme pour un affront, il se foutait de sa gueule et puis c'est tout. De toute manière, il s'en fichait, il n'avait qu'une voiture d'occasion et il pourrait la bricoler en moins de deux, malgré l'argent qu'avaient pu ramener Caleb et Bonnie ici, ils n'avaient prit la peine de s'acheter des choses trop voyantes. Mais lui, le gars qui se trouvait en face de lui, oui lui avait une voiture toute neuve. Le jeune Varnham s'y connaissait bien maintenant en automobile et il avait bien remarqué que cette voiture n'avait aucune égratignures, aucune rayures, rien du tout, elle ne devait même pas avoir plus d'une semaine et encore... Mais Caleb ne savait pas en fait que la voiture venait simplement de sortir du concessionnaire, il n'en serait que plus réjoui à présent.

      « Sérieusement ? C’est une blague non ? Vous avez tellement peu de clients, que vous foncez dans les gens juste pour pouvoir bosser un peu ? Non mais franchement, vous n’espérez tout de même pas que je vais accepter de vous laisser ma voiture en réparation. »

    Cette réflexion faisait enrager le jeune homme, mais il n'en fit rien remarquer, il voulait se la jouer cool comme le faisait l'homme en face de lui, pour qu'il n'en soit que plus déstabilisé. Il eu un léger ricanement dans sa barbe et il garda un petit sourire en coin avant de fixer sauvagement le jeune homme en face de lui.

      « Hmm... ne vous inquiétez pas, les affaires vont très bien sans vous. En même temps, il y a beaucoup de gens comme vous qui viennent me voir, des personnes qui ne savent pas conduire. D'ailleurs... ça fait combien de temps que vous l'avez sorti du concessionnaire ? Deux jours ? Trois jours ? Intéressant... J'espère que vous avez eu le temps d'aller l'assurer. Il y a énormément de témoins ici. »

    Il avait dit ces paroles tout en s'approchant peu à peu du jeune homme à pas lents, pour ne montrer aucune violence, même s'il aurait bien voulu lui coller un pain en pleine face. Il se surprit lorsqu'il remarqua que lui aussi avait avancé tout comme lui et que d'ailleurs les deux jeunes hommes donnaient l'impression d'avoir le même âge, la même carrure, la même expression hautaine... Il finit par montrer les personnes autour d'eux puis se reporta sur son visage. Il avait tout comme lui prit un ton froid et menaçant, en effet s'il n'avait pas eu le temps de s'assurer et que la faute serait rejeté sur lui, il paierait de sa poche les réparations de sa voiture, et de celle de Caleb.

      « Si vous réparez les voitures aussi bien que vous conduisez la votre, je n’ose pas imaginer tous les dégâts que vous commettez ! »

    Il écouta tous les mots que prononça le jeune homme sans cervelle, il disait évidemment n'importe quoi et Caleb éclata de rire, un rire jaune qui visait à énerver son adversaire et surtout pour qu'il sente à quel point il était ridicule, les gens autour d'eux se rassembler de plus en plus voyant que le ton de Caleb montait considérablement.

      « Haha ! Vous êtes un marrant ! Vraiment... vous avez votre style quoi ! Mais rassurez-vous, je ne ferai rien à votre voiture, en tout cas pas plus que ce que vous lui avait fait pour l'instant. Enfin bref... avec tout le respect que je vous dois Monsieur, je vais chercher la feuille de constat, sauf si vous avez une objection, peut-être voulez-vous reconnaître quelques faits ? »

    Caleb entendit quelques ricanements derrière son dos et vit que le regard du jeune homme devenait de plus en plus noir. Il ne s'en réjouit que davantage. Caleb avait gardé son calme, mais il gardait cette rage en lui sur ce que le jeune homme avait pu dire et surtout ce qu'il s'était passé ces jours ci dans sa vie, mais surtout il était fier d'avoir parlé aussi bien pour ne pas que les choses s'enveniment. En même temps, parler bien faisait beaucoup plus de mal que le contraire et c'est lorsqu'il se rendit compte que l'homme en face de lui ne voulait pas répondre, qu'il fit volte face pour rejoindre sa voiture, il avait toujours une feuille de constat entre ses mains. Il n'avait même pas eu le temps de faire un pas que derrière, il entendit la goûte d'eau qui fit déborder le vase. Il se figea.

      « Pauvre con ! »

    Il fit à nouveau volte face, il était à quelques centimètres de son adversaire. Il aurait pu ne rien faire et tracer son chemin, ça n'était pas vraiment une insulte mais c'était toute la pression qui remontait davantage de seconde en seconde. Sans vraiment contrôler son geste, Caleb souleva son bras, serra le point, il dirigea celui-ci avec rapidité et force et le point percuta enfin le nez de son adversaire. Il vit celui-ci reculer de quelques pas à cause du choc, quand à Caleb il secoua un peu sa main car sur le coup il n'avait pas pensé à bien serrer son poing. Il entendit tout autour de lui des cris de stuppeur, des femmes pour la plupart, mais il s'en fichait amplement. Il espérer avoir fait le plus de dégât possible sur le visage de ce pauvre gosse en mal d'aventures, mais il se préparait quand même à une réponse de la part de son adversaire. Il reprit un sourire arrogant et fixa l'homme en face de lui.

      « Aaah... ça fait du bien ! »
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