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 Défiez-vous de ceux qui vous font de (...) | pv

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Défiez-vous de ceux qui vous font de (...) | pv Vide
Message(#) Sujet: Défiez-vous de ceux qui vous font de (...) | pv Défiez-vous de ceux qui vous font de (...) | pv EmptyJeu 4 Fév 2010 - 19:19

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Défiez-vous de ceux qui vous font de (...) | pv Taylor08 Défiez-vous de ceux qui vous font de (...) | pv Wb5p1l


        Défiez-vous de ceux qui vous font de petites confidences, c'est pour vous en tirer de plus grandes !


    Il existe parfois des personnes qui ne s‘attachent pas vraiment aux autres habitants, ou de manière à proprement dit. Il nous arrive alors de cacher ce qu‘on ressent par peur d‘être découvert. Cela ne nous empêche pas de rire avec ses personnes, de leur montrer un penchant de séduction et une pointe de sarcasme. Mais cela ne va jamais plus loin qu‘un regard provoquant et des mots dénudés de sens. Neal Rowlands était le parfait gentleman que chaque femmes, à coup sur voulait. Il avait un don pour toujours sous entendre certaines choses sans aller plus loin. On pourrait le qualifier donc de lâche ou encore qu‘il n‘était pas ‘cap’. Néanmoins, détrompez-vous sur ce dernier point, et il suffisait qu’on le lui en fasse part pour qu’il ose l’infranchissable. C’était tel qu’il fallait voir sa relation avec Muse Hannigan. Elle était plus vieille que Neal - tout juste âgé de bientôt vingt et un. Un point commun entre les deux c’est bien le mannequinât. Même si Neal a arrêté depuis deux mille huit, il était l’une des vedettes des magazines de défilés, et tout autre dérivés de parfums et de sous vêtements pour hommes. Un visage bien connu quand on connaît l’ampleur de la société de son père et que Neal était prévu pour prendre la suite. C’était avec joie que les employés ont su qu’il y renonçait. Très certainement qu’ils ne tenaient pas à voir pour patron, un homme largement plus jeune qu’eux, et qui ne se prenait pas pour n’importe qui. Neal Rowlands est l’exemple même du type arrogant et prétentieux. Cette tête à claque qu’on avait envie d’envoyé valdinguer dès que sa supériorité faisait surface. Probablement même que son grand frère, Andreï, est un homme largement plus chaleureux et moins manipulateur que Neal. Et probablement qu’il le préférait à lui. Mais qu’importe cela ne le dérangeait pas tant que ça. Bien au contraire, être craint était à ses yeux, jouissif. Depuis peu il travaillait au cinéma du quartier. Vendre des billets de représentation au cinéma n’était pas un rêve. Non lui il voulait évoluer. Et il aimerait prochainement projeter lui-même le film. Mais en attendant, il devait se contenter de distribuer des places. Enfin le calme était revenu depuis un peu moins d‘une heure, et un des autres employés était venu le retrouver pour éviter l‘ennuie de faire surface, quand une voix féminine retentit. « Bonjour jeune homme… Je ne voudrais pas vous dérangez, mais j‘aimerais savoir où est passé mon beau brun… » Muse se présenta devant lui avec un sourire au coin des lèvres tout en le fixant. Il lui avait donné rendez-vous la veille pour la revoir. Même si il avait reconnue la voix de sa jeune amie, Neal releva son regard pour se mettre à la fixer un court instant. Détournant sa tête, il lui répondit, « je ne suis pas certain de faire l‘affaire mais… Je ne voudrais pas laisser une si jolie jeune femme seule, dans un monde de brute. » Conclut-il ironique à souhait, en fourrant ses deux mains dans ses poches. Avant de prendre sa veste et de laisser sa place à une de ses collègues qu’il ne calcula malgré lui, absolument pas. Avant de passer sa main autour du cou de la jeune Hannigan, jouant de cette alchimie toujours trop, ce qui lui valait comme à chaque fois quelques chuchotements de ses autres employés envers ses deux grands adolescents. Mais Neal, n’y attacha aucune importance et sorti avec Muse de son nouveau travail. « Qu‘est-ce que dirait Victoria en te sachant seul ici… Avec moi ? » Demanda-t-elle, un air innocent sur son visage. Ils étaient finalement sortis du cinéma pour rejoindre le restaurant. Avant qu’ils ne détournent vers la rue commerçante. C’est alors qu’en s’arrêtant devant une vitrine d’un magasin de parfumerie, Muse avait posé cette question, d’un semblant innocent. Mais Neal n’était pas dupe, il connaissait trop la réputation de sa petite amie, et avait très certainement le même qu’elle, pour que cette question soit si innocente que ça. Néanmoins il ne releva rien et finit par sourire face à la mine presque embêtée de son amie, qui haussait les épaules mais qui attendait sûrement une réponse. Et pour être honnête, Neal ne lui avait même pas parlé qu’il allait déjeuner avec une autre femme. Peut-être parce que pour lui, ce n’était pas un geste calculé. Victoria Blythe - sa petite amie - savait que le jeune Rowlands s’entendait très bien avec Muse, alors qu’ils se voient pour se faire un restaurant où était le problème. Sans grande conviction, il avait fourré ses mains dans ses poches, en haussant les épaules avant de lui répondre. « Pas grand-chose… Elle est trop occupée à se morfondre et à allé s‘excuser pour des gens n‘en valant pas la peine ! » On pouvait voir des traits fatigué sur son visage, voir même irrité par la situation. Et ses vacances de juillets prolongés jusqu’en janvier était entièrement de sa faute. Il avait obligé sans en être conscient, Victoria à rester. Aujourd’hui et avec le recul, il s’en rendait compte. Et sa jeune copine s’en voulait terriblement, il ne la comprenait donc pas. C’était pas de sa faute à elle, alors elle devrait se relaxée. Mais contrairement à ça, il avait l’impression qu’elle prenait tout au sérieux… Ce qui l’exaspérait, et il avait arrêté de le lui répéter comme fatigué de se répéter. Fatigué de cette situation, où il recommençait à peine physiquement à reprendre du service. Il avait d’ailleurs maigri, terriblement maigri physiquement. Et son caractère y jouait forcément, il souriait beaucoup moins qu’avant de partir en vacances - en juillet 2010. Mais qu’importe, il ne voulait plus y penser et personne à part Victoria était au courant de ce qui s’était passé. Et pour rien au monde, il ne le dira… Mais voila Muse venait d’actionner instinctivement l’alarme en lui permettant de se remémorer cette scène. Continuant le pas, ils arrivèrent finalement devant la porte du lieu où ils se rendaient, il ajouta alors en sa direction, mais d‘un air totalement absent. « Elle n‘avait qu‘à leur dire que je l‘ai kidnappée et retenue. Ils entretiendront tout simplement leur haine ! » Dit-il dans un sourire radieux tout en ouvrant la porte du restaurant. Laissant passer la jeune femme devant lui, Neal lui emboîtait le pas avant de se rendre près du réceptionniste, où Muse déposa sa veste sur le porte manteau. Et elle suivit le garçon qui l’emmena à la table réservée la veille par Neal, avant que ce dernier n’en fasse de même. Ce n’était certainement pas pour paraître méchant ou prétentieux mais Neal est connu pour avoir mauvaise réputation. Et avec le temps, il en avait pris un certain plaisir. Cette image ne l’éloignait donc pas de ses ennemis, mais au contraire, lui prouver que pour eux, il avait une importance capitale. Neal se laissa tomber sur la chaise après s’être retiré sa veste. Pendant que Muse s’asseyait à son tour, ‘aidé’ par un des serveurs. « Tu as une idée du repas ? » Se contenta-t-il de dire tout en se frottant les mains, dans une jubilation certaine alors que le serveur venait de leur remettre en main les différents menus du restaurant. Le jeune homme se faufila entre les grandes lignes, cherchant son bonheur. Il était évident, et tout le monde pourrait le savoir, la nourriture chez lui - comme chez la plupart des autres hommes - est une chose essentielle. D’une nature assez calme et solitaire, il pourra tuer père et mère pour être nourri et manger comme un goinfre. Muse le savait, et c’était pourquoi elle paraissait assez à l’aise dans le restaurant. Il était sur que si dehors, on évitait d’embêter Neal et les personnes restant avec lui, avec à côté de lui de la nourriture mieux valait être à l’opposé de la pièce. « Tu veux peut-être un petit apéritif pour commencer ? » Osa-t-il demander à Muse en interpellant d‘un signe de tête le serveur pour qu‘il vienne. Un petit apéritif, c‘est assez drôle venant de sa part et en le connaissant, mais pourquoi pas ‘petit’ ?


Dernière édition par Neal Rowlands le Mar 23 Fév 2010 - 20:49, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: Défiez-vous de ceux qui vous font de (...) | pv Défiez-vous de ceux qui vous font de (...) | pv EmptyMar 23 Fév 2010 - 19:54

Muse n’était pas une fille qui ressentait le besoin de se lier aux autres. Bien sûr, comme n’importe qui, elle n’aimait pas se retrouver trop longtemps seule. Mais contrairement à d’autres, elle n’avait pas le besoin d’entretenir des relations amicales à tout bout de champs. Elle se savait assez forte pour vivre seule. En réalité, c’était une jeune femme poussée par l’ambition. Elle voulait réussir, et était prête à tout pour cela. Ainsi, elle n’avait aucun mal à écraser les autres, à se servir d’eux. C’est sans doute pour cette raison, que la demoiselle a toujours eu plus d’ennemis que d’amis. Cela ne lui pose pas de problème. Elle aime qu’on lui porte attention, et elle sait que la haine est un sentiment fort. Ce qu’elle craint à l’inverse, c’est de laisser quelqu’un indifférent. C’est en effet quelque chose qu’elle a beaucoup de mal à digérer. Mais ne vous méprenez pas. Ce n’est pas parce qu’elle ne se lie pas d’amitié avec tout le monde, qu’elle n’a pas d’amis. Elle a juste beaucoup de mal à donner sa confiance. C’est aussi à cause de cette peur, celle de se livrer à l’autre, qu’elle n’a pas de petit ami, aucune relation amoureuse sérieuse. Après avoir été déçue et blessée une fois, la jeune femme a préféré fermer les portes de son cœur. Mais revenons à l’amitié si vous le voulez bien. La jeune femme s’étant installée récemment à Ocean Grove, elle ne connait pas tout le monde encore. Certes, elle a passé la plupart de ses vacances dans la ville, et dans le quartier, mais tout de même. Etrangement, elle s’est très vite adaptée à sa nouvelle vie, à sa nouvelle ville. Et c’est ainsi qu’elle s’est liée d’amitié avec un jeune homme. Non, non, vous ne rêvez pas. On parle bien ici d’amitié. Muse ne saurait expliquer pourquoi c’est avec Neal Rowlands et pas un autre. Le fait est que c’est de lui qu’elle s’est rapprochée. Il est certes plus jeune qu’elle, mais certaines choses les lient, comme par exemple le mannequinat. La première fois que Muse a croisé le garçon, elle s’est dit que ce n’était pas la première fois qu’elle le voyait, et en effet, elle l’avait déjà croisé sur certains podiums, et avait pu, comme beaucoup d’autres personnes, voir son visage sur de grandes affiches dans les plus grandes villes de New-York. C’est donc naturellement qu’elle lui avait parlé. Et allez savoir pourquoi, allez savoir comment c’est arrivé, le feeling est tout de suite passé entre eux deux. De fil en aiguille, une relation sincère s’est développée. Et aujourd’hui, ils devaient se voir. La jeune femme était très enthousiasme. Ainsi, lorsqu’elle se rendit sur le lieu de travail du bellâtre, c’est un sourire espiègle qu’elle avait accroché à son visage. L’apercevant derrière le comptoir où il vendait des places de cinéma, elle lui dit d’une voix taquine: « Bonjour jeune homme… Je ne voudrais pas vous dérangez, mais j‘aimerais savoir où est passé mon beau brun… » Evidemment il releva la tête, et lorsqu’elle croisa son regard, elle sut rapidement qu’ils allaient comme à leur habitude, passer un bon moment. « Je ne suis pas certain de faire l‘affaire mais… Je ne voudrais pas laisser une si jolie jeune femme seule, dans un monde de brute. » Neal dans toute sa splendeur, taquin, ironique, séducteur. Elle le laissa se rhabiller, puis il se dirigea vers elle, il passa naturellement un bras autour de son cou, comme il le faisait toujours. C’était étrange la relation qu’ils entretenaient. Ils ne se connaissaient que depuis peu de temps, et pourtant leur relation était telle qu’on avait l’impression qu’ils se connaissaient depuis une éternité. Muse savait que les gestes qu’ils échangeaient étaient des plus anodins. Il n’y avait aucune ambiguïté, contrairement à la plupart des relations qu’elle entretenait avec des hommes. Elle savait que leur relation faisait jaser et cela l’amusait profondément. Les gens n’avaient rien à dire sur leur vie trop pathétique et insignifiante, alors forcément, ils profitaient de l’étrange relation qui liait les deux jeunes adultes. En pensait à ces personnes qui chuchotaient souvent sur leur passage, la jeune Hannigan eut une pensée pour Victoria Blythe, la petite amie du garçon. Un sourire moqueur s’afficha malgré elle sur son visage, et avant qu’elle n’ait pu retenir sa question, celle-ci franchit la barrière de ses lèvres: « Qu‘est-ce que dirait Victoria en te sachant seul ici… Avec moi ? » Elle savait que Victoria ne l’aimait pas. Cette dernière n’avait en effet aucune confiance envers Muse. Elle était persuadée qu’elle cherchait à lui voler Neal, à coucher avec. Ce qui était pour une fois, totalement faux. Muse n’était pas comme ça. Et elle ne voulait pas tout gâcher avec Neal. Mais voire Victoria réagir de la sorte, l’amusait énormément. C’est sans doute pour cette raison qu’elle était devenue de plus en plus tactile avec le garçon. Il n’y avait sincèrement aucune arrière pensée salace de la part de la demoiselle, elle prenait juste plaisir à être en compagnie du jeune Rowlands, et si ça pouvait faire jaser, tant mieux, si ça pouvait rendre dingue Victoria, encore mieux ! Elle haussa les épaules, l’air désolé vers le garçon, même si il savait qu’elle s’en fichait royalement de l’avis de sa petite amie. Il répondit d’une façon qui étonna profondément la jeune femme. Elle ne s’attendait pas à ce qu’il parle avec agacement. Il avait l’air épuisé lorsqu’il lui dit: « Pas grand-chose… Elle est trop occupée à se morfondre et à allé s‘excuser pour des gens n‘en valant pas la peine ! » La curiosité brulait la jeune femme de l’intérieur. Elle crevait d’envie de lui demander ce qu’il se passait. Mais devant le regard du garçon, elle comprit que ce n’était pas le moment. Il était là pour se changer les idées, s’il avait envie de lui en parler, il le ferait au cours du repas. Alors qu’ils arrivaient, il lâcha d’une voix sèche: « Elle n‘avait qu‘à leur dire que je l‘ai kidnappée et retenue. Ils entretiendront tout simplement leur haine ! » Muse ne comprenait pas grand-chose à ce qu’il lui disait, et encore moins à ce qu’il s’était passé. Pour réponse, elle laissa glisser sa main dans celle du garçon, et fit une petite pression réconfortante. Finalement ils entrèrent et elle lâcha sa main. Elle posa sa veste et suivit Neal jusqu’à leur table. Elle s’installa en face de lui, réellement ravie de se retrouver là avec lui. « Tu as une idée du repas? » Elle jeta un coup d’œil aux menus. Et avec un sourire elle lui répondit: « Ca dépend, si tu paies, je mangerai ce qu’il y a de plus cher, si c’est moi qui paie, je prendrai un steak frites! » Elle le regarda, et se mit à rire aux éclats. Elle se fichait que l’on puisse l’entendre. Elle avait envie de plaisanter, et se retrouver avec Neal était le meilleur moyen pour elle, d’être naturelle. Elle haussa les épaules et lui dit: « Je plaisante, je vais jeter un coup d’œil. » Alors qu’elle parcourait les lignes des menus, elle l’entendit lui demander: « Tu veux peut-être un petit apéritif pour commencer ? » Elle releva son visage dans sa direction, un petit sourire au coin des lèvres. Un apéritif? Pourquoi pas? Le serveur s’approcha, et elle commanda un whisky pur. Neal passa sa commande à son tour, et Muse reposa son regard sur le menu. Elle ne savait vraiment pas quoi choisir. Cela l’agaçait d’ailleurs un peu. Elle soupira doucement, puis une idée lui vint: « Je te propose un marché, tu choisis mon plat, et je choisis le tien! » C’était risqué, après tout, ils ne connaissaient pas les gouts de l’autre. Mais cela pouvait être amusant, et puis Muse allait choisir un plat qu’elle aimait, comme ça, si Neal n’aimait vraiment pas, ils n’auraient qu’à échanger leurs assiettes. Il acquiesa alors à sa proposition et elle ajouta: « Bien sûr il faut passer la commande à l’écrit, pas question que l’autre sache à l’avance ce qui l’attend. » Elle jeta donc un coup d’œil aux menus, sortit deux feuilles et deux stylos de son sac, et en tendit un de chaque à Neal. Comme entrée elle nota sur le papier: « Œufs moletts. » Pour le plat principal elle inscrivit sur sa feuille: « Noix de saint Jacques à la crème au curry. » Et pour le dessert elle inscrivit: « Crumble à la cerise. » Elle ne savait pas du tout si cela allait lui plaire ou non. S’il aimait le poisson ou si au contraire il détestait tout cela, mais c’était le charme de leur petit jeu. Au bout de quelques minutes, Neal avait fini à son tour. Lorsque le serveur leur apporta leurs apéritifs, ils lui remirent leurs commandes. Et alors qu’elle buvait une première gorgée du whisky qui agréablement lui brûla la gorge, elle osa lui demander: « Neal qu’est-ce qu’il se passe? Tu m’as l’air véritablement épuisé. » Pour la première fois depuis qu’ils étaient ensemble aujourd’hui, elle afficha un air sérieux. Sans doute qu’elle s’en rendit compte, car elle se sentit presque obligée de rajouter une ânerie pour détendre l’atmosphère: « Je sais que la nuit je peux me montrer épuisante, mais il faut me le dire si ça ne va pas. Je pourrai très bien jouer à l’étoile de mer. A toi de voir, mon Neal Chéri. » Un sourire taquin, était sur son visage, tandis qu’elle avait attrapé une main du garçon qu’il avait laissé trainer sur la table. Elle savait qu’elle avait parlé plutôt fort, d’ailleurs une grand-mère la regardait de façon choquée, ce qui amusa un peu plus la jeune Hannigan. Elle lança un regard encourageant à Neal, tout en lui faisant comprendre qu’il n’était pas obligé de lui répondre. Elle ne lui en voudrait pas. Il était son ami. Oui, Neal Rowlands était définitivement son ami.
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