Je me dis qu’elle n’aurait jamais dût quitter ce monde. En réalité je ne suis rien sans elle, je me sens perdu. Je crois que je suis incapable d’aimer une autre femme qu’elle et que la vie, en me l’enlevant a voulu me le prouver. Merci, il me reste ma fille, elle lui ressemble tellement que par moment, en me noyant dans son regard j’y retrouve bien des expressions commune a sa mère. Je ne doute pas que ma fille sera la plus jolie femme au monde et que je détesterais toute les petites racailles qui oseront poser les yeux sur elle.
Depuis que j’ai rompu avec Hope, il y a trois jours, je ne fais que repenser a Vanina. Parce que c’est vrai, si je n’ai réussi avec Hope, c’est simplement parce que je n’ai jamais autant désiré, aimé une femme autant qu’elle. Ma petite Lili a très mal pris ma rupture avec Hope, elle aimait tellement Hope et je crois qu’elle a conscience que je lui fais du mal. Elle apprécié vraiment Hope et elle m’en veut d’autant plus qu’elle n’est pas du genre a laissé une femme rentré dans ma vie comme ça. Enfin, après une journée a boudé son père elle est revenu dans mes bras mais elle me parle encore d’Hope, elle lui manque. Je sais que ma fille a besoin d’une présence féminine, mais une présence féminine qu’elle apprécié, elle ne veut pas voir n’importe qui dans les bras de son père j’en ai conscience.
Enfin cela fait trois jour que je remets ma décision en question et qu’à part le boulot je ne fais pas grand-chose, trop occupé a pensé. J’aurais dû laisser une chance à Hope et je ne l’ai pas fait. Allongé sur le canapé, j’y repense. Parfois, même la voie du cœur est confuse.
Soudain, je sens un poids plume sur mon ventre, j’ouvre les yeux et souris. J’aime la voir tout sourire ma petite fille, je commence à la chatouiller. Elle rigole, ces cheveux partent en bataille quand elle essaye de se défendre. Je lui cour après, elle crie, elle rigole, et je me régale de ce moment. Elle sa cache sous un des canapés, j’attrape son pied et la sort avec délicatesse de sa cachette. Ma petite puce rigole et moi je lui fais des tas de bisous partout, elle rit aux éclats, elle est si belle quand le bonheur rayonne sur son visage.
La sonnerie retentit, ma fille cour ouvrir avant même que je ne puisse dire quoique se soit. Elle ouvre la porte, je la vois froncé les sourcils, faire un regard suspect a la personne, et partir en courant laissant la porte grande ouverte. Je souffle, fait un non de la tête et m’avance vers la prote sans avoir compris la réaction de ma fille.
Une fois devant la porte, je souris en voyant la demoiselle qui se trouve devant la prote. Une jeune demoiselle que je ne désire que protéger. Je l’apprécie beaucoup, Médaöw. Ma fille un peu moins, j’ai cru comprendre qu’elle a peur que Médaöw prenne la place de Hope, ou pire encore, de sa mère.
« Entre je t’en prie, tu ne va pas rester là, voyons. » Je laisse demoiselle rentré avant de fermé délicatement la porte, je lui fais signe de s’assoir sur le canapé.
« Tu veux boire quelque chose ? » Je souri, la politesse avant tous surtout en vers les dame, c’est ce que ma mère m’a toujours appris et que j’ai toujours respecté. Je ne sais pas ce quia guidé Médaöw chez moi, mais qu’importe ça me fait plaisir de la voir, et d’un certain côté je penserais a autre chose.