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 I ASK YOU IF YOU NEED S*X

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I ASK YOU IF YOU NEED S*X Vide
Message(#) Sujet: I ASK YOU IF YOU NEED S*X I ASK YOU IF YOU NEED S*X EmptyJeu 11 Fév 2010 - 19:05

C’était un regard dans la rue. Un regard parmi tant d’autre, elle lui avait trouvé un charme fou et un sourire ravageur. Ils avaient partagé un regard et déjà elle savait que quelque chose allait se passer. Elle ne connaissait pas son nom, et un jour, ils discutèrent, sans trop d’intérêt, mais elle avait aimait cette discutions. Ils étaient sur un banc, elle avait fumé et avait engagé la conversation, c’était aussi simple que cela. Dans tous les cas, sa présence avait été bonne, et peut-être le verrait-elle un jour (..) Elle l’avait revu, et plusieurs fois même, à présent ils étaient tous les deux des connaissances… ou copains, c’était encore à voir.

Descendant à toute vitesse les escaliers de sa maison, Jazz manqua de trébucher sur un caleçon, juste avant de crier le prénom de son frère, Andrew, folle de rage. « Putain Andy là, j’ai failli me casser une jambe à cause de toi, tu peux pas ranger tes affaires ? » - « Parles pour toi… », lui avait-il répondu avant de montrer du doigt le salon rempli d’affaire de Jazz. La demoiselle poussa un soupire et le bouscula avant de se rendre vers la cuisine et de prendre son petit déjeuné. Bien qu’elle avait vingt ans, et qu’elle vivait toujours chez sa mère - de même que son grand frère -, Jazz déjeunait toujours des céréales, dans un grand bol, devant la télévision. C’était sûrement le seul moment mythique, qu’elle pratiquait depuis toute petite: le petit déjeuné. Elle s’installa face à l’écran plat et zappa pour tomber sur MTV. C’était une émission débile qui avait pour but de changer de petit ami. Les parents faisaient un casting pour leur fils ou leur fille, et ils sélectionnaient ceux qui pouvaient remplacer le vilain petit copain/petite copine de leur enfant. Bref. Son bol terminé, Jazz prit son téléphone, fouilla dans son répertoire en quête d’ami. Son répertoire était quasi remplie, mais beaucoup de faux amis y étaient. Elle devait faire un tri, mais trop flemmarde pour cela. Elle appuya sur le téléphone vert sur le prénom d’une amie, Tabitha, mais celle-ci tomba sur sa messagerie. La brunette lui laissa un message, puis monta pour se préparer. Un short, avec un leggins en dessous, et un haut trèèèè(..)ès décolté, voilà ce qu’était sa tenue du jour. Jazz attacha ses cheveux en queue de cheval , et alla se maquiller.

Enfin prête, Jazz prit son sac à main, sa veste, cria à son frère qu’elle partait et monta dans son audi. En réalité, comme tout le monde aurait pu le croire, ce n’était pas samedi, ni dimanche mais mardi. Vous l’aurez compris, Jazz n’aimait pas les cours et ne s’y rendait que rarement, elle préférait s’amuser, faire du shopping etc. La jeune femme se gara au parking face d’un café. A peine avait-elle mangé ses céréales et déjà voulait-elle boire quelque chose. Elle quitta sa voiture pour franchir le seuil du café. Elle balaya la salle du regard, et ses yeux s’arrêtèrent sur ce visage, celui qu’elle trouvait charmeur. Un sourire se dessina, et lorsqu’elle commanda son café au bar, la demoiselle s’invita, en s’asseyant à sa table.

    « Salut toi. Ca fait longtemps pas vrai ? » dit-elle en posant son sac à main sur ses genoux et en remettant sa mèche qui tombait devant ses yeux en arrière, à l’aide de ses mains. « T’as vu ça, le destin, toi, moi, je crois que…on est fait pour être ensemble. », ce n’était pas ironique, mais exagéré. Elle ne pensait pas qu’ils étaient fait pour être ensemble mais, elle pensait qu’il sera un bon coup, voilà-tout.


Ses yeux se posèrent, ensuite, sur la fumée de son frappuccino. Elle le prit entre ses deux mains et but quelques gorgées avant de le reposer.
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I ASK YOU IF YOU NEED S*X Vide
Message(#) Sujet: Re: I ASK YOU IF YOU NEED S*X I ASK YOU IF YOU NEED S*X EmptySam 13 Fév 2010 - 0:37


I ASK IF YOU NEED SEX

jazz morgan-ellis & aiden lancaster
I ASK YOU IF YOU NEED S*X Bfkz21 I ASK YOU IF YOU NEED S*X Rupm45
lifeisacircus & b_edshaped @ LJ

Aiden aurait été prêt à tout pour pouvoir dormir tranquillement ce jour-là, étant donné qu’on lui avait dit qu’on n’aurait pas besoin de lui aux urgences aujourd’hui. Ce fut donc avec un soulagement et une volonté de fer qu’Aiden se cala plus confortablement au fond de son lit, profitant du bonheur que constituait un radio-réveil silencieux. Mais tout cela aurait été trop beau pour être vrai, n’est-ce pas ? Apparemment, les horaires de chaque employé de l’hôpital devaient être affichés quelque part dans le Baptist Hospital car peu après huit heures, Aiden fut réveillé par la sonnerie stridente de son bipeur qu’il laissait toujours allumé au cas où on aurait quand même besoin de lui pour une quelconque urgence. L’urgentiste reconnut le numéro de Panamee, lui demanda d’une voix grincheuse ce qu’elle lui voulait. Elle ne semblait nullement concernée par la fatigue flagrante du jeune urgentiste et lui intima l’ordre de la rejoindre chez elle au plus vite pour un jogging matinal. Il n’eut même pas le temps de protester – elle avait déjà raccroché. Ronchonnant, Aiden sortit de sous sa couette pour filer sous la douche et s’habiller, se rendant ensuite chez Panamee qui l’attendait déjà devant sa maison sur Apple Road. Des fois, Aiden était heureux d’habiter de l’autre bout de la rue de la jeune femme – bien qu’habiter dans la même rue fût pratique, il se doutait que si leurs maisons avaient été plus proches, ce ne serait pas seulement pendant ses jours de congés qu’elle le tirerait du lit à une heure indécente, mais tous les jours de la semaine.

Le jogging fut finalement loin d’être désagréable, même si Panamee s’arrêtait beaucoup trop souvent pour saluer la moitié du voisinage. Elle relâcha Aiden aux alentours de dix heures alors qu’il lui promit de la tirer de son lit à l’aube à son prochain jour de congé, et ils se quittèrent sur un sourire. Rentré chez lui, Aiden se rendit bien vite à l’évidence que cela ne servirait à rien d’essayer de se rendormir – il était parfaitement éveillé et ne pourrait plus dormir avant la fin de la journée, comme toujours. Il se changea donc et se rendit dans le centre-ville de Miami, après avoir traîné un peu dans sa maison et discuté avec Carter, sa colocataire. La matinée était donc presque terminée lorsqu’il franchit la porte du Starbucks Coffee sur Fairway Place. Bizarrement, l’endroit était déjà bondé, comme si Panamee avait réservé le même traitement à tout le voisinage – mais Aiden ne connaissait aucun de ces visages, et il dut donc reconnaître que son amie neurologue n’était peut-être pas la responsable de cette foule. Il sentit quelques regards se braquer sur lui et tenta d’y rester indifférent – y avait-il des patientes à lui dans cette foule ? Il y avait fort à parier que oui, à en juger par les chuchotements frénétiques qu’il crut percevoir à plusieurs reprises sur son passage. Commandant un frappuccino au caramel au comptoir, Aiden repéra une table qui se libérait au même moment et fonça presque dessus pour s’assurer que personne ne le devancerait. S’installant, il sortit son portable de sa poche pour consulter les messages qu’il avait reçus depuis la veille. Ils étaient au nombre de quatorze, la majorité provenant de l’hôpital. Il parcourut rapidement la totalité des messages puis rangea son portable, au moment même où il entendit une voix chantante s’élever à quelques centimètres de lui. Surpris, il releva la tête et vit Jazz Morgan-Ellis, une jeune femme dont les exploits sexuels alimentaient bon nombre de ragots à Ocean Grove. « Salut toi. Ca fait longtemps pas vrai ? » Un sourire amusé s’étira sur les lèvres du jeune homme lorsqu’elle poursuivit : « T’as vu ça, le destin, toi, moi, je crois que…on est fait pour être ensemble. » Aiden laissa échapper un petit rire. Il n’était pas dupe et, à en juger par ce qu’il connaissait de Jazz, cette phrase comportait des allusions loin d’être catholiques… Loin d’être gêné ou choqué, il répliqua d’un ton amusé :

- Jazz… Je suis surpris que tu n’aies pas encore arraché ma chemise comme tu as essayé de le faire l’autre soir. Il lui adressa un clin d’œil comme pour lui faire comprendre qu’elle ne devait pas mal le prendre, il jouait tout simplement le jeu. Il ne connaissait pas très bien la jeune femme, l’avait aperçue aux rares soirées qu’il avait fréquentées lorsqu’il n’était pas de garde à l’hôpital. Il connaissait aussi, malgré l’aversion qu’il avait pour les potins, sa réputation de « bitch », de fille facile. Il n’aimait pas juger les personnes sur leur réputation et n’avait donc pas voulu partir de cette idée au sujet de Jazz, mais il avait bien rapidement dû admettre que cette réputation était véridique. Il ne la jugeait pas pour autant – avoir une vie sexuelle très épanouie ne fait pas de vous une mauvaise personne, ou une personne qui vaut moins qu’une autre. Au contraire, discuter avec Jazz tout en restant habillé s’était révélé être très agréable. Aiden poursuivit, toujours avec son sourire aux lèvres, sans lâcher la jeune femme du regard. Tu sais, je vais finir par croire que tu me suis… On t’a défié de me faire craquer avant la fin du mois, c’est ça ?
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