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 « When the past does again surface. »

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Message(#) Sujet: « When the past does again surface. » «  When the past does again surface.  » EmptyDim 8 Nov 2009 - 23:00

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    _CHAPTER VI:

    Des retrouvailles innatendues


Un peu avant la fête d'halloween, je me disais que je n'allais pas y aller, ça ne me plaisait pas, mais comme je changeais d'avis comme de chemises comme l'ont dit souvent, on mais pas moi. Bref, je déteste halloween, mais peut-être qu'au dernier moment j'allais me décidais à y aller, sait-on jamais... Bref, ce jour-ci on était à deux jours de cette fête, un jeudi plus exactement, je n'avais pas hâte que ce soit halloween, ça me donne des boutons rien que d'y penser, je ne vois pas ce qu'il y a de bien là dedans à vrai dire, sauf les enfants sont centents de pouvoir se déguiser en demandant des bonbons. Enfin, je ne préférais pas penser à cette ridicule fête. Je me contentais en ce moment-même de me plonger dans ce verre, j'étais assise au bar où j'allais souvent ces temps-ci, j'avais pris un verre de cocktail alcoolisé. Je regardais le beau serveur qui se présentait devant moi, il avait ce joli sourire délicieux, j'en faisais autant lorsqu'il me regardais et je sus qu'il craquait, j'avais ce don de faire craquer les hommes comme les femmes. Mais je savais qu'il me manquait quelque chose cependant, mais je vivais avec ou plutôt sans cette chose, qu'est l'amour. J'en donne peu autour de moi mais j'aimerais tellement avoir quelqu'un à mes côtés qui me comprend et m'aime pour ce que je suis, une bitch comme certains disent et je l'avoue et l'assume plainement. Je ressentais à ce moment là une peine que je n'aurais jamais cru ressentir un jour, j'avais ce manque que je voulais comblé mais pourtant qu'il m'en étais impossible. Je gardais espoir et faisais comme si tout allait bien comme je le fais chaque jour. Je soupirais d'agacement mais le serveur ne s'en aperçut pas et s'en fichait bien il me semble, il était trop occupé à servir d'autres personnes, mais je m'en fichais après tout moi aussi. Je finissais ma dernière gorgée de ce verre puis reposa le verre sur le bar et laissa la monnaie pour le payer, je partis avec toujours ce sourire. Dire que j'en étais venu à là, tout ça pour ça. C'était si desespérant de combler sa peine et sa douleur dans un verre de cocktail alcoolisé, sans pour autant que je sois alcoolisé comme d'autres le sont à cause de douleurs atroces qu'ils subissent dans leur vie. Ma vie n'est pas palpitante mais j'en convient à dire que je ne l'échangerais pas même si je le pourrais. Il y a pire, je tiens à le penser en essayant peut-être de me rassurer.

Enfin, je cessais de penser à toute cette nervosité que j'avais en moment. Je voulais voir ma seconde et dernière tante qui habitait non loin d'ici, alors je prenais ma voiture pour aller jusqu'à chez elle. Elle n'avais pas les même moyens que nous autres, hors elle habitais dans un appartement, je sonnais à son interphone et elle m'ouvrit en sachant que c'était moi. J'appelais l'ascenseur et en attendant, je regardais le hall, il était petit et il faisait peur, il était à peine décorer, à peine beau. Les immeubles me rendent tellement folle, je ne me sentais pas à l'aise, mais je me sentais belle sans m'en vanter biensûr, quoique. L'ascenseur était venue et s'ouvrait tout seul, j'entrais en appuyant sur le bouton 8, j'avais et j'ai toujours très peur qu'il se bloque et de rester coincé dedans, mais cette peur se transformait en amusement maintenant. J'arrivais à l'étage que je voulais et frappais à la porte de chez ma tante, elle m'ouvrait la porte et je la semblait bizarre, comme fatiguée, elle me souriais et m'invitais à entrer, je rentrais et fermait la porte. Elle me regardais.

« Alors qu'est-ce qui t'ammènes là ma grande?
Ca fait un bail que je ne t'ai plus vue. »

« Je ne suis pas venue te rendre une visite
de courtoisie, ma mère m'a appris ce que tu faisais. »

« Ah géniale, alors tout le monde sait que tante Naomi est une
pute alcoolique, magnifique. Tu sais pourquoi? Parce que depuis la mort d'Ava ta tante
fétiche, tout le monde m'oublie et je ne vis plus de rien. J'ai dû faire adopter ma fille
elle vis maintenant chez sa nounou, tu te rends compte, Shirley? Pourquoi? Pourquoi
tout le monde m'ignore? »

« Tu le sais pourquoi. C'est dingue, tu ne sais pas le mal que tu as
causé en refusant d'arrêter l'alcool depuis sa mort. Tu es devenue méchante,
pire , ou presque que je le suis. Le problème c'est que je l'ai toujours était
et toi tu as changé. C'est toi qui nous ignorais. Alors voilà où tu en es maintenant. »

« Pourquoi es-tu revenue? Pour me faire la morale? »
« Non, pour te donner ce roman écrit par Georgina (en effet, je l'appelais rarement maman) , elle m'a dit
que tu savais de quoi elle parlait dedans. »

« C'est-à-dire ? Je n'ai plus la tête à lire.
Shirley, reste avec moi. S'il te plaît. Je me sens seule. »


Sur ces mots, je posais sur sa table le livre de maman et regardais une dernière fois ma tante qui avais complétement déjantée depuis la mort de sa soeur. Elle n'était plus cette femme bonne vivante qu'on aimait tous. Je la regardais à présent avec dégoût et peine. Elle me suppliait à présent et j'en souriais amusée, moi aussi je me sentais seule mais pas au point de vouloir la revoir, elle n'a pas changée depuis ce temps. Je levais les yeux au ciel et claquait la porte, j'appelais l'ascenseur et il était là , je rentrais et appuyer sur le bouton zéro. Je descendais et reprenais ma voiture maintenant en direction du parc. Je voulais respirer l'air un peu au lieu de m'y sentir étouffée. Arrivée au parc, je marchais librement en regardant le monde qu'il y avait, il y avait peu de monde, je me sentais à présent libre de faire ce que je voulais et de repousser les limites, que je n'avais d'ailleurs pas. En voyant un petit garçon ramassais son ballon devant moi, je le voyais me regarder avec un grand sourire, il était tout mignon et ça me donnait l'air nostalgique. Il était rester un bon moment devant moi à me regarder grand sourire béa à la bouche puis sa maman l'avait appelé et il l'a rejoint, une grande femme blonde pas commode. Je continuais de marcher paisiblement et sans stresse comme d'autres en avaient autant.
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