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 fuis moi je te suis, suis moi je te fuis (pryce)

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Message(#) Sujet: fuis moi je te suis, suis moi je te fuis (pryce) fuis moi je te suis, suis moi je te fuis (pryce) EmptyMer 21 Déc 2011 - 20:57



fuis moi je te suis, suis moi je te fuis




Décembre 2012..., le soleil se lève à nouveau sur le quartier huppé d'Ocean Grove. Si certain rêvait d'un noël enneigé, la douce température extérieur était pour ravir Lee Lancaster, qui détestait le froid. Enroulé dans ses draps, le jeune homme s'étira avant de sauter hors de son lit. Il n'était pas du genre à s'attarder, étant de ceux qui pensait que le monde appartenait à ceux qui se lève tôt. Il dévala rapidement les escaliers en prenant garde de pas réveillé sa colocataire pour ne pas s'attirer ses foudres. Il sortit une tasse après avoir appuyer sur le bouton de la cafetière. Il jeta un regard dans la rue vide et endormi. Il but lentement son expresso en lisant les nouvelles du matin. Après un bâillement il posa sa tasse sur la table de la cuisine avant de monter à l'étage prendre une douche bien chaude. Il enfila une chemise blanche, un jean et son matériel de service. Il regarda sa montre et se hâta remarquant un léger retard à son emplois du temps. Il grimpa dans sa voiture et partie en direction du centre ville. Aujourd'hui était une journée spécial et attendu pour lui. Depuis quelques temps déjà il poursuivait une jeune femme du nom de Pryce Crowley. Le jeune homme était sur ses traces et elle ne cessait de lui filer entre les doigts. Pourtant, c'était loin d'être un mauvais agent, mais son attirance, au delà du physique, qu'il éprouvait pour la jeune femme m'était des bâtons dans les roues quant à son arrestation. Il avait repérer sa trace il y a quelques jours. En effet la jeune femme était descendu à l'hôtel du centre ville ou elle s'affichait, non sans gêne, au bras d'un certain Reese. Lee était bien trop fier pour l'avouer mais cela l’énervait au plus au point.

Pris dans les embouteillages, le beau jeune homme mit pas moins d'une demi heure pour se rendre dans le centre. Il se gara plutôt mal pour aller se chercher deux cafés aux starbucks le plus proche. Il fila en suite se poster devant le grand hôtel ou séjournait la belle Pryce. Caché derrière le volant de sa voiture, Lancaster attendait patiemment la sortie de Reese. 10 heures... un jeune homme suivit d'une escorte grimpa dans une limousine. Sa voiture disparut dans la foule environnante. Lee sortit alors de sa voiture l'air de rien, et marcha d'un pas assurée jusqu'à l'entrée du bâtiment. Arrivée à l’accueille, il sortit sa plaque et demanda sans aucune hésitation : « La chambre de Pryce Crowley. » La jeune femme, intimidée, agita ses doigts sur la clavier de son ordinateur avant d'annoncer un numéro de chambre. Préférant l'escalier à l'ascenseur, le beau brun gravit les marches unes à unes, se rapprochant peu à peu de sa cible...

Lee Lancaster ne frappa pas, il gravit la porte de la chambre de l'hôtel tel un voleur. Il se retrouva alors face à la jeune femme. « J'ai cru que ton petit ami ne partirait jamais. » La main sur son revolver le jeune homme balaya la chambre d'un regard avant de le replongé dans les yeux bruns de la jeune femme.



Dernière édition par Noah Hudson le Mar 24 Avr 2012 - 19:45, édité 2 fois
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Message(#) Sujet: Re: fuis moi je te suis, suis moi je te fuis (pryce) fuis moi je te suis, suis moi je te fuis (pryce) EmptyMar 27 Déc 2011 - 20:38

Depuis quelques temps, Pryce se plaisait à s’afficher au bras de Reese, l’un de ses meilleurs amis de longue date. Il était l’une des rares personnes au courant de son histoire tordu avec un certain Lee Lancaster et c’était comme un service qu’il se plaisait à rendre à son amie, en sortant officiellement avec elle devant les médias. Plus que de vouloir rendre jaloux le policier, Pryce se devait d’acquérir un semblant de normalité pour ne pas se voir passer les menottes par le charmant Lancaster qui en savait beaucoup trop selon elle. Même si Reese ne lui avait rien dit de particulier concernant ce dernier point, il était probable qu’il tienne aussi à ce que son amie n’aille pas en prison. Il laissait donc croire aux médias qui le suivaient partout à cause de son métier de directeur d’une chaîne télévision qu’il était possible qu’il ait une relation avec Pryce. Bien sûr, Reese s’affichait avec beaucoup de femmes différentes, il avait toujours été un séducteur invertébré, mais les journalistes se plaisaient à parier qu’il finirait avec la belle brune que représentait Pryce. Cette dernière jouait le jeu avec merveille et l’appréciait même réellement. Se faire reconnaître dans la rue par des personnes qui lui était à elle totalement inconnue, lui plaisait, et elle s’amusait à penser qu’un statut de célébrité aurait pu lui plaire. Bien sûr, sa petite vie de maman célibataire lui convenait parfaitement et pour rien au monde elle n’aurait souhaité la changer, mais cela apparaissait comme une sorte de divertissement pour elle. Un moyen de rendre sa vie un peu plus amusante tout en brouillant les pistes des agents de police. Ce soir-là encore, Pryce l’avait passé en compagnie de son ami Reese. Après quelques heures dans un chic restaurant du centre où ils s’étaient fait photographiés à volonté, le faux-couple avait rejoint la chambre d’un hôtel pour laisser croire à tout le monde qu’ils passaient la nuit ensemble, dans le même lit. Au lieu de cela, Reese en tant qu’homme galant avait dormi sur le canapé, laissant le grand lit somptueux à la jeune femme. Il avait passé la soirée à jouer à des jeux de société comme de vieux enfants, tout en dégustant une ou deux bouteilles de bons vins. Pryce ne s’ennuyait jamais avec son ami Reese avec qui elle arrivait à faire toute sorte d’activité qui les rendait toujours ivres de rires au final et souvent, ivres d’alcool également. Il était probable que si Reese n’avait pas été un de ses amis depuis longtemps, quelque chose aurait réellement pu se passer entre eux, plus que des faux-semblants, mais ils restaient de simples amis qui appréciaient de passer du temps ensemble.
Le lendemain matin, le réveil se fit aux alentours de neuf heures et quart. Reese était déjà réveillé depuis quelques temps et l’attendait assis à une petite table avec le petit-déjeuner commandé. Ravie de cette délicate attention, la jeune femme le rejoignit pour prendre le repas qui se termina par quelques rapides bises et le départ du jeune homme. Elle savait qu’il avait beaucoup à faire et elle appréciait le fait de traîner dans sa chambre d’hôtel pendant des heures. Alors qu’elle cherchait la motivation pour se diriger vers la douche, une silhouette apparut dans la chambre. Assise sur le lit, Pryce releva la tête pour observer l’intrus. « J'ai cru que ton petit ami ne partirait jamais. » Un large sourire se dessina sur les lèvres de la brune alors qu’apparaissait l’objet de ses désirs. Celui pour lequel elle se donnait tant de peine pour faire croire à cette idylle avec Reese. Cela pour deux raisons particulières : la première étant de se protéger de son enquête, la deuxième d’essayer de rendre jaloux le beau brun. Sans prendre la peine de se cacher, ne portant qu’un simple ensemble de sous-vêtements sexy, Pryce se leva pour chercher une cigarette sur un paquet laissé. Elle ne fumait plus depuis plusieurs années, mais il lui arrivait encore de s’en griller une de temps en temps. Plus particulièrement en soirée lorsqu’elle avait un peu trop bu ou le lendemain d’une nuit de sexe. C’est ce qu’elle prit la peine de préciser avec un petit clin d’œil à l’agent. « J’espère que la fumée ne te dérange pas, j’aime bien fumer après une nuit de plaisir comme celle-ci. » Taquine et cherchant à aiguiser la jalousie du jeune homme, elle se prenait à ce petit jeu avec un grand plaisir. Alors qu’elle regagnait ensuite le lit pour s’y asseoir, elle reporta son regard sur Lee tout en haussant un sourcil, quelque peu surprise par l’intrusion de l’homme. « Je suppose que tu es venu pour une raison en particulier, mais pourquoi avoir attendu le départ de mon fiancé ? » Laissant peser le doute de quelconques fiançailles, elle s’amusait à le raconter. Puis, se mordant la lèvre inférieur, elle ajouta : « Et pourquoi m’espionner alors que tu pourrais tout simplement me le demander ? »


Dernière édition par Pryce Crowley le Mer 28 Mar 2012 - 15:52, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: fuis moi je te suis, suis moi je te fuis (pryce) fuis moi je te suis, suis moi je te fuis (pryce) EmptyJeu 15 Mar 2012 - 12:51


(avant la mis à pied de Noah) « J’espère que la fumée ne te dérange pas, j’aime bien fumer après une nuit de plaisir comme celle-ci. » Pryce est taquine. Elle se joue du jeune homme. Elle sait qu’il est attaché à elle. Elle sait qu’il aurait pu l’arrêter depuis bien longtemps, mais il ne l’avait jamais fait. Il la regarde, les bras le long du corps. Il ne dit rien, il l’écoute. En lui, il sait que la jalousie le brûle. Il voudrait que ce soit lui qui est passé cette nuit avec elle, et pas ce Reese avec qui elle s’affichait. C’était des sentiments nouveau pour lui. Jamais il n’avait été réellement attaché à une femme. Il était plus de ceux qui profite de la vie et de la douceur de la gente féminine. Mais cette femme, son odeur caramel, son regard de velours, sa voix délicate… elle faisait tourner la tête du jeune homme. « Je suppose que tu es venu pour une raison en particulier, mais pourquoi avoir attendu le départ de mon fiancé ? » Elle sourit. Elle prend plaisir à le torturer. Il soupire et fait le tour de la pièce. Il regarde le lit défait, les volets fermés. Il met ses mains dans les poches. Il repose son regard bleu sur cette belle jeune femme face à lui. Il inhale la fumée qui se dégage sans y prendre plaisir. Il s’approche de Pryce. Il saisit la cigarette. Il n’est plus qu’à quelques centimètre de son visage. Les battements de son cœur s’accélèrent, il la sent proche d’elle. Et puis il éteint le mégot, et s’éloigne de l’objet de son désir. « Je ne voulais pas te mettre mal à l’aise devant ton prétendu fiancé. D’ailleurs, vous n’allez pas du tout ensemble. » Il le pense, mais met un ton humoristique à ses déclarations. Noah pense qu’il devrait l’arrêter. Il sait qu’il le devrait. Mais il n’y arrive pas. Après tout, il aime ce jeu qui s’est installer entre eux deux. Il aime lui courir après, mais il voudrait tant l’attraper. Son visage lui apparaît dès qu’il ferme les yeux. Il ne comprend pas. Peut être elle est indifférente. Peut être qu’il croit éprouver des choses qui n’existe pas. Il n’en sait rien, il n’a jamais été attaché à une femme de cette façon. Il n’est pourtant pas insensible. Il aime bien Jackie par exemple. Il est attaché à elle, mais plus comme une bonne copine avec qui il s’envoie en l’air, pas comme à une femme à qui il pourrait tout donner. On s’imagine toujours comment sera sa vie. On pour la plupart des personnes, on s’imagine marié, avec des enfants, une bonne situation. Hudson n’échappe pas à la règle. Sous ses airs de beaux parleurs et de séducteur, il rêve de tomber amoureux. A ce qu’on dit c’est quel que chose qui change un homme. Rentrer chez soit et ne pas être seul, savoir que quelqu’un l’attend, voile ce qu’il aimerait. Pourtant il n’a jamais rien fait pour qu’une relation marche. Il a pourtant déjà eu des copines, autres que des plans culs. Il a déjà essayé de s’engager, mais il ne l’a jamais pu. Et puis il a rencontrer Pryce. C’est comme si il avait eu le coup de foudre, comme une révélation. Son regard avait croisé le siens et son cœur fit un bon dans sa poitrine. Ses pulsations s’accélérait quand il était en sa présence. Il la désirait plus que tout et ne passait pas une journée sans que l’image de la jeune femme vienne le hanté. Il y pensait en se couchant, autant qu’en se levant le matin. Il n’irait pas jusqu’à dire qu’il était amoureux, non, mais il sait qu’il y avait un truc, un truc que les autres n’avaient pas. Un truc qui le fait craquer, mais qui lui fait peur en même temps. Serait-il prêt à être amoureux ? Il sait que c’est une chose qui peut détruire. Il a déjà vu des crimes passionnel, une preuve que l’amour n’est jamais une chose facile, c’est une chose que l’on ne contrôle pas. Mais il sait qu’il n’en ai pas là, il ne sait même pas si un jour il pourra être avec elle. Elle n’est qu’une mission pour lui, et elle se joue de ce garçon pour échapper à sa sentence. Noah secoue la tête et revient à la réalité. Il s’assoie sur le lit et s’appuie sur ses mains pour se pencher. Il passe une main dans ses cheveux et fait un sourire séducteur à la jeune femme. Il se sait séduisant, et lui aussi peut en jouer. « J’espère que je serais au moins invité au mariage. Ce serait une excellente occasion de te passer les menottes je trouve. »
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Message(#) Sujet: Re: fuis moi je te suis, suis moi je te fuis (pryce) fuis moi je te suis, suis moi je te fuis (pryce) EmptyMer 28 Mar 2012 - 16:33

Pryce avait toujours admiré le self-control du jeune homme et d’un côté, elle rêvait de lui faire perdre. Elle aspirait à le faire sortir de son chemin si droit et était plutôt certaine d’y arriver. Après tout, elle se rendait bien compte que même s’il tentait tant bien que mal de ne laisser transparaître aucun sentiment, il n’était pas insensible à la jeune femme. Ou sinon, pourquoi serait-il là ? L’espionner ? Certes, cela faisait partie de son métier puisqu’elle était en quelque sorte son « affaire ». Mais, cela ne lui donnait pas le droit de s’introduire dans sa chambre d’hôtel. D’une façon ou d’une autre, Pryce était persuadée qu’il voulait voir de ses propres yeux, les lieux du crime. Et, rien dans la chambre ne pouvait laisser croire au policier cette supercherie. Alors qu’il écrasait sa cigarette, un large sourire se dessina sur les lèvres malicieuses de la jeune femme. Touché. « Je ne voulais pas te mettre mal à l’aise devant ton prétendu fiancé. D’ailleurs, vous n’allez pas du tout ensemble. » Au final, il n’avouait toujours pas la raison de sa présence ici. Probablement qu’il n’en savait rien, lui-même. Après tout, c’était plutôt risqué pour lui de venir ici. Son statut ne lui donnait pas le droit de pénétrer dans sa chambre et elle pouvait s’en plaindre, si elle le souhaitait. Elle pouvait le mettre en mauvaise posture, trop facilement. Noah avait bien noté l’utilisation du mot fiancé, cependant, il semblerait qu’il n’y croie pas totalement. Ou peut-être qu’il ne voulait pas y croire. Amusée, elle était certaine qu’il était jaloux, au fond d’elle. Et c’était là en partie le but de ce jeu. Haussant les épaules, elle n’était pas réellement touchée par cette critique. De toute manière, elle se souciait peu que ce couple lui plaise ou non. Ou plutôt, il était là pour lui déplaire, tant mieux s’il pensait qu’ils n’allaient pas ensembles. « Oh, et pourquoi penses-tu cela ? Serait-ce de la jalousie, Hudson ? » Un sourire taquin se posait sur ses lèvres alors qu’elle fixait le jeune homme avec une sensualité certaine. C’était étonnant, mais le jeune agent cherchait tout de même à conserver ses distances. Ne jamais rester trop près d’elle. Eviter de la fixer alors qu’elle était presque nue devant lui. Il était réellement fort mentalement, plus qu’elle n’aurait pu le croire. A son tour, il prend place sur le lit alors qu’elle est toujours debout. Ce jeu lui plaisait réellement. En se réveillant ce matin-là, elle n’avait pas imaginé que sa journée commencerait aussi bien, qu’elle connaitrait de tels divertissements, et cela lui plaisait. Réellement. « J’espère que je serais au moins invité au mariage. Ce serait une excellente occasion de te passer les menottes je trouve. » Lui aussi jouait de son charme. Pryce émit un petit gloussement alors qu’il renouvelait sa menace de lui passer les menottes. Il bluffait, elle le savait. Noah n’avait pas assez de preuves pour pouvoir la faire mettre en prison. Auquel cas, il l’aurait déjà arrêté depuis longtemps. De plus, il était plutôt certain que si ce jour devait arriver, elle ne serait déjà plus là. Si elle venait à apprendre qu’il en avait assez sur elle pour la faire boucler, elle s’envolerait rapidement vers un autre état américain, ou ailleurs. Quelque part où il ne la retrouverait pas, en tout cas. « J’essaierais de ne pas t’oublier quand j’enverrais les cartons d’invitations. Mais je ne te promets rien. » A nouveau, elle sourit. Elle s’amuse comme une gosse. Enfin, elle pousse un petit soupir exaspérée et le rejoint sur le lit, se mettant assise à côté de lui. De manière à être vraiment très proche de celui qui l’attire profondément. « Quand est-ce que tu te rendras finalement compte que tu fais fausse route sur moi ? Je ne suis pas celle que tu croies, Noah. »
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Message(#) Sujet: Re: fuis moi je te suis, suis moi je te fuis (pryce) fuis moi je te suis, suis moi je te fuis (pryce) EmptyMar 24 Avr 2012 - 19:44


La jalousie est bien grand mot. Un sentiment souvent indéfinissable et incontrôlable. Noah Hudson était bien conscient d'entre être la marionnette. Il risquait beaucoup ces derniers temps en agissant ainsi, protégeant une femme qu'il aurait du boucler depuis bien longtemps. Mais il ne pensait pas aux conséquences. C'est souvent comme ça, on prend des décisions et puis on néglige les répercussions que cela peut avoir. Il pouvait perdre son job, ou peut être même pire. Mais cette attirance qu'il éprouvait pour elle lui faisait faire des choses insensées. « Oh, et pourquoi penses-tu cela ? Serait-ce de la jalousie, Hudson ? » Il fit un sourire taquin. Elle savait qu'il l'appréciait, et il savait que ça avait une certaine réciprocité. Mais il ne comprenait pas qu'elle s'affiche avec un homme tel que Reese. Il n'était pas fait pour elle, enfin il l'espérait... Il parle de mariage, mais intiment il souhaite que ça n'arrive pas jusque là. Il ne sait pas comment il réagirait au fond. S'il serait triste, s'il serait en colère ou si il serait tout ça en même temps. « J’essaierais de ne pas t’oublier quand j’enverrais les cartons d’invitations. Mais je ne te promets rien. » Il laissa échapper un rire amusé. Il plonge son regard dans le siens mais le détourne bien vite. Il sent ses joues se rougir et discrètement se pince pour faire descendre le sang qui lui monte rapidement au visage, il ne veut pas lui apparaître comme étant gêner. Il pose ses avants bras le long du haut de ses jambes tout en profitant quelques peu de la présence de la jeune femme. Il est seule avec elle, seule dans une chambre d'hôtel, cela donnerait des idées à certain et il mentirait si il disait qu'il n'avait pas pensé à en profité. Mais il est d'un naturel conservateur, il préfère le jeu à l'action, laisser monter le désir, la tentation, avant de succombé, et d'y cédé. « Quand est-ce que tu te rendras finalement compte que tu fais fausse route sur moi ? Je ne suis pas celle que tu croies, Noah. » Elle sourit, lui fait un regard charmeur. Elle se déplace jusqu'à lui et s'assoie à son tour sur le lit défait. Elle est proche de lui. Les pulsations du cœur de Noah s’accélère. Il le regarde, il l'écoute. Il la trouve encore plus belle, sans maquille ni artifice. Ses lèvres sont d'un rouge incroyable et naturel, ses pommettes rosis. Sa peau est pâle mais sans imperfection. Sa respiration est haletante mais il le cache. Et puis il décide de poser son regard dans le siens. Ses yeux noisettes provoque un frisson chez le jeune homme qui lui parcours tout le dos. Mais il ne laisse rien paraître. « Et qui es tu alors Pryce Crowley ? » Il la charme du regard. Il connaît pas mal de chose à son sujet, du moins ce qu'il a pu en lire dans le dossier qu'il a monter contre elle. Elle était née le vingt et un Novembre 1986 à Miami. Elle a toujours été attiré par les armes et à défaut d'être flic elle est devenue tueuse à gage. Elle a plusieurs tatouages, un piercing... Les informations qu'il avait récolté alors jusqu'à l'obsession. Le fait qu'elle est de quelconque trace d'encre sur le corps était en soit inutile pour la bouclé pour de nombreux meurtres. Il s'approche d'avantage d'elle, approchant son visage du siens, la tester au maximum, faire monter l'adrénaline, le désire. « Et si tu enlevais ton masque, et si tu me montrais qui tu es en réalité. Tu sais que je peux t'arrêter, que j'ai les preuves suffisantes, tu sais que j'ai décider de ne pas la faire... Dit moi qui tu es ! Une femme dont le cœur est pris par un homme important et médiatisé, ou simplement une mère célibataire qui cherche à s'en sortir ? » Il la regarde avec interrogation. Il n'avait jamais réussi à la cerner totalement. Il pensait savoir qui elle était mais il ne pouvait jamais vraiment en être à cent pour cent sur. Elle se jouait peut être de lui, peut être faisait elle mine de s’intéresser au jeune homme alors qu'en réalité il n'en était rien. Peut être était elle réellement avec Reese et que ce que pensait le jeune agent n'était qu'un leurre. Peut être avait il fait fausse route depuis le début. D'une main assurée, il passe la main dans les cheveux de la jolie jeune femme. Ses cheveux sont doux et brillant. Il voudrait l'embrasser, posé ses lèvres et goûter les siennes, mais il se retient. Il freine ses ardeurs, lui caresse doucement la joue en attendant une réponse de sa part...
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Message(#) Sujet: Re: fuis moi je te suis, suis moi je te fuis (pryce) fuis moi je te suis, suis moi je te fuis (pryce) EmptyMar 24 Avr 2012 - 22:06

Alors qu’elle le provoque ouvertement, il ne répond pas. Pryce cherche à savoir s’il est jaloux de sa relation avec Reese et même s’il n’avoue rien, elle en est persuadée. Autrement, pourquoi agirait-il de telle manière ? Pourquoi finirait-il par s’immiscer dans sa chambre alors qu’il n’en est pas en droit ? Il n’y avait pas d’autres solutions envisageables, c’était certain. Pryce sentait une attirance commune entre eux et n’imaginait tout simplement pas qu’elle puisse se tromper. C’était là, elle le voyait, tout comme lui. En vain, Noah essaye de ne rien laisser transparaitre aux yeux de la jeune femme. Aucune émotion, aucune faiblesse, aucune chose dont elle pourrait ensuite se servir pour lui nuire, pour le blesser. Mais, malgré tout, elle sait qu’il n’est pas insensible à ses provocations. Elle sait que tout ce qu’elle fait a un certain impact sur ce jeune flic bien particulier. Pryce le détaille de haut en bas dans sa tenue et avec sa plaque du FBI. Cet homme est réellement charmant. Il est la cause principale de ses troubles et cela sur tous les points. Professionnellement, il peut la faire tomber. Pire, la faire enfermer. Socialement, elle sait que s’il venait à mettre ses menaces à exécution, elle perdrait tout. Sa fille lui serait sûrement enlevée, tout comme elle avait été enlevé à sa propre mère, à la différence qu’elle n’avait pas à le regretter. La majeure partie du quartier la dénigrerait et verrait en elle comme une menace potentielle à faire enfermer. Elle n’aurait plus rien, plus de vie, plus d’amis et peut-être un semblant de famille. Pourtant, elle continuait. Même si elle se rendait compte des risques qu’elle prenait par l’exercice de ce métier, elle ne stoppait pas ses activités. Le pire étant qu’elle ne sache probablement pas pourquoi. Elle ne voulait pas se retrouver avec une vie misérable mais elle n’arrivait tout simplement pas à arrêter. Les flingues, tout ça, c’était l’histoire de sa vie. L’histoire d’une passion qui avait probablement commencé lors de sa crise d’adolescence et à cause du milieu mortuaire qu’elle avait toujours fréquenté par le métier de son paternel. Arrêter, c’était bien plus dur pour elle qu’on ne pouvait l’imaginer. Noah la fixait de nouveau directement dans les yeux et elle appréciait réellement cela. Si l’aspect général du jeune homme ne laissait rien passer, ce n’était pas pareil pour son regard. Plus ou moins, Pryce avait l’impression de pouvoir y lire comme dans un livre ouvert. Mais un livre dont elle n’avait pas encore toutes les clés, qui ouvraient alors chacune une nouvelle page. « Et qui es tu alors Pryce Crowley ? » Pouvait-on croire qu’il posait enfin les bonnes questions ? « Et si tu enlevais ton masque, et si tu me montrais qui tu es en réalité. Tu sais que je peux t'arrêter, que j'ai les preuves suffisantes, tu sais que j'ai décider de ne pas la faire... Dit moi qui tu es ! Une femme dont le cœur est pris par un homme important et médiatisé, ou simplement une mère célibataire qui cherche à s'en sortir ? » D’une certaine manière, Pryce désirait tant avoir pu le rencontrer d’une autre façon auquel cas elle n’aurait pas à se défendre de lui, voire à se battre contre lui. Réellement, elle le désirait. Mais, elle ne pouvait pas le laisser détruire sa vie. Quitte à être égoïste, elle devait sauver sa peau avant d’imaginer toutes sortes de scénarios où ils se retrouvaient l’un et l’autre, alliés, ensembles. Mais, d’un autre côté, elle se devait de rester proche de lui, de n’importe quelle façon qu’il soit. Ne dit-on pas qu’il faut être proche de ses amis mais encore plus de ses ennemis ? Elle ne savait pas réellement où elle devait placer Noah, mais tout ce qu’elle savait était qu’elle avait à se protéger de lui. Il lui caressait à présent le visage, passait sa main dans ses cheveux. Pryce ne savait pas exactement ce qu’il cherchait à faire et se contentait de rester là, à quelques centimètres de lui, à l’observer sans bouger. « Je ne porte aucun masque, il y a seulement celui que tu t’imagines que j’ai. Je ne sais pas pourquoi tu t’obstines à croire que je suis cette femme-là. Pourquoi moi, à vrai dire ? Je suis juste une femme qui essaye d’être heureuse et de vivre sa vie sans que son passé d’adolescente perturbée la rattrape en voulant la faire accuser de quelconques crimes insensés. » Pryce baissait alors la tête, jouant avec perfection la femme incomprise et qui n’y comprenait rien, également. « Je ne sais pas comment te le prouver… »
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Message(#) Sujet: Re: fuis moi je te suis, suis moi je te fuis (pryce) fuis moi je te suis, suis moi je te fuis (pryce) EmptyJeu 24 Mai 2012 - 2:07


Il reste de marbre. Il ne veut pas clairement montrer sa jalousie. Il ne sait pas réellement si il s'agit de ça. S'il avouait ce sentiment qu'il ressentait, ce serait avouer qu'il tient à elle, et ça, il n'y était pas encore prêt car il savait que ce n'était pas 'adapté'. Pourtant il aurait voulu lui dire que si elle voulait bien de lui alors il la protégerait, qu'il s'enfuirait avec elle, qu'il s'occuperait de son enfant comme si c'était le siens. Mais les mots ne sortait pas, il n'avait jamais réussit à les sortir. Comme était ce possible de ressentir de telle chose pour une femme alors qu'il ne la connaissait pas tellement en réalité ? Elle n'aurait du être qu'un dossier mais sans savoir pourquoi, il s'était éprit d'elle. Il pensait sans cesse à son sourire, à sa voix, à son regard envoûtant. Qu'avait il bien pu lui faire pour qu'il se sente ainsi dès qu'il s'agissait d'elle ? Il était nerveux quand il était avec elle, quand il pensait à elle... et pourtant il ne laissait rien transparaître, il n'était pas du genre à se dévoiler, non il ne le ferait pas. Pourtant il savait qu'il pourrait la rendre heureuse, bien plus que ce Reese. Jamais il ne l'avait juger, son regard n'était pas différent en sachant qui elle était en réalité, peut être au fond c'était ça qui lui faisait peur, que tout le monde découvre la vérité à son sujet. C'était peut être pour cette raison qu'elle s'affichait avec cette homme politique, pour les apparences. Il aurait voulu que les choses soient différente, il aurait préféré ne pas être agent du FBI, ne jamais avoir été mis sur cette affaire et ne jamais avoir été celui qui devait la coffré. C'était lui ou elle, son travail ou sa liberté. Et ce choix il le faisait chaque jour en n'allant pas au bout des procédures, mais seulement ça, en était elle seulement conscience ?
Une main dans ses cheveux, Pryce reste immobile, elle ne bouge pas et se contente de regarder le jeune homme. « Je ne porte aucun masque, il y a seulement celui que tu t’imagines que j’ai. Je ne sais pas pourquoi tu t’obstines à croire que je suis cette femme-là. Pourquoi moi, à vrai dire ? Je suis juste une femme qui essaye d’être heureuse et de vivre sa vie sans que son passé d’adolescente perturbée la rattrape en voulant la faire accuser de quelconques crimes insensés. » Il voulait la croire, oui il le voulait tellement. Il se moquait tellement de ce qu'elle était ou n'était pas, il aurait juste tellement voulu qu'elle soit honnête avec lui, qu'elle lui montrer que tout ceci n'était pas qu'un jeu de séduction et de manipulation pour elle et qu'elle tenait un tant soit peu à Noah. Mais elle se cachait, encore une fois. Elle mentait, il le savait. Elle avait se petit plissement de nez quand elle ne disait pas la vérité, il avait déjà pu le remarquer au court de leur diverse rencontre. « Je ne sais pas comment te le prouver… » Le regard de Noah s'attendrit. Elle paraît sincère, mais elle ne l'ait pas vraiment. Il le sait, mais il aimerait se tromper. Il la regarde tendrement, mais son regard est triste. Il laisse échappé un soupire et baisse la tête doucement. Il est toujours près de la jeune femme, tellement prêt que son souffle en est presque court. Il enlève sa main encore en contact avec elle et secoue légèrement la tête. Puis il lève les yeux, remplis de tristesse et d'émotion, pour les camper à nouveau dans ceux de la jeune femme. « Je suis agent du FBI Pryce, tu sais très bien que j'ai enquêté sur toi... Je… Je voudrais tellement que tu te sente assez en confiance avec moi pour ne plus me cacher qui tu es, c'est de ta bouche que j'aimerais l'entendre mais tu t'obstines à être quelqu'un d'autre. » Sa gorge se serre et il arrête de parler. Il ne fait que la regarder. Que devrait il rajouter ? La balle est dans son camp, il ne peut pas décider pour elle d'être honnête ou non. Et puis il se penche vers elle, encore et encore, jusqu'à n'être plus qu'à quelques centimètre de son visage. Son souffle est court et son pouls s’accélère. Son regarde transperce le siens. Il pose ses deux mains sur chacune de ses joues. Il la tire d'avantage vers lui. Et dans une ultime pulsion, il pose ses lèvres sur les siennes. Il ferme alors doucement les yeux.
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Message(#) Sujet: Re: fuis moi je te suis, suis moi je te fuis (pryce) fuis moi je te suis, suis moi je te fuis (pryce) EmptyMar 26 Juin 2012 - 19:50

« Je suis agent du FBI Pryce, tu sais très bien que j'ai enquêté sur toi... Je… Je voudrais tellement que tu te sentes assez en confiance avec moi pour ne plus me cacher qui tu es, c'est de ta bouche que j'aimerais l'entendre mais tu t'obstines à être quelqu'un d'autre. » Pryce ne peut s’empêcher de soupirer alors qu’elle ne sait que croire. Il a l’air sincère mais, après tout, comment savoir s’il l’est vraiment ? Elle ne le connait pas réellement, du moins pas assez pour pouvoir dire s’il est assez doué pour le mensonge, tout comme elle. Tout simplement, elle ne peut pas se permettre de se donner aussi facilement. Elle luttera jusqu’au bout, même si cela doit lui causer des tords, même si cela doit l’empêcher d’aimer cet homme. Pryce le fixe droit dans les yeux et un long silence s’installe entre eux. Elle ne tombera pas dans ses pièges, elle se l’est promis. Noah s’approche d’elle avec une certaine lenteur jusqu’à n’être plus qu’à quelques millimètres de son visage. Son cœur bat à tout rompre alors qu’elle se demande ce qu’il est en train de faire. Va-t-il oser ? Elle aimerait tellement qu’il franchisse le pas. Uniquement pour avoir ce plaisir de gouter à ses lèvres quelques courts instants. Uniquement pour se sentir lié à l’homme qu’elle aime, le temps d’un baiser. Mais, elle se contentait de rester là, immobile devant lui comme s’ils jouaient à un combat de regard. Soudain, il dépose ses mains sur ses joues et la tire vers lui, dépose ses lèvres sur les siennes. Pendant quelques secondes, elle profite du moment alors qu’elle a l’impression que son cœur va exploser de joie. Impossible d’imaginer à quel point elle a envie de prolonger ce baiser, de se donner tout entière à lui. Mais pourtant, elle n’a pas le choix. C’est bien trop dangereux. Brusquement, elle se retire et se lève du lit. S’éloignant alors du jeune homme avec regret, elle lui lance un regard noir. « Mais t’es complètement malade ou quoi ? » Elle se retourne et part dans la salle de bain pour se rhabiller et pour sourire, sans qu’il ne puisse le voir. Alors qu’elle revient dans la pièce, il est toujours là. Pryce soupire et se rapproche de la porte d’entrée qu’elle ouvre grand pour lui faire comprendre qu’il doit partir. « T’as de la chance que j’ai un minimum de pitié envers toi, je pourrais porter plainte pour harcèlement. » Elle est cruelle, elle le sait bien. Mais, au fond, il n’est pas le seul à souffrir de cette situation.
~ sujet terminé ~

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