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→ samedi 09 décembre 2011Plus d’une semaine qu’un Ouragan avait ravagé Miami et surtout le quartier résidentiel d’Ocean Grove, qui fut très loin d’être épargné. Heureusement pour Presley, elle n’avait qu’un bras cassé et une maison presque intact. Elle dut attendre quelques jours que les ouvriers acceptent de remplacer ses fenêtres, et il fallut faire du ménage, mais elle n’était pas la plus à plaindre bien au contraire. Pourtant les premiers jours elle n’eut pas vraiment la tête à ça, préoccupée par l’état de santé de son petit-ami, elle passait le plus clair de son temps à espérer qu’il sorte du coma. Trois jours plus tard, il ouvrait enfin les yeux, trois jours qui parurent infiniment long pour la jeune femme, mais elle oublia vite les nombreuses heures d’angoisse. Parce que très vite elle eut une occasion de passer de la joie (très courte) à une colère qu’elle parvenait très peu à refouler. Pour plusieurs raisons que Presley n’avait pas eut envie de retenir, la parfaite petite garce de Goldie Stewart allait s’installer chez Sloan en compagnie de leur fils, que demander de mieux ? Nerveuse et sujette à de nombreuses sautes d’humeurs, Fabien voulu lui changer les idées. Il lança alors l’idée d’une soirée entre amis, soit simplement entre eux, devant des dvds, le thème de la soirée, étant les films d’horreurs. Il jugeait également qu’ils n’eurent pas un Halloween digne de ce qu’il avait pu voir dans différents films américains. Débarquant avec enthousiasme avec une pile de dvd interminable, des pops cornes et du soda qu’il déposa sur la table, il prit place sur le canapé à côté de la jeune femme à la mine bougonne. Fouinant parmi les films, elle repéra « Saw » et ne put s’empêcher un commentaire. « Oh génial, comment apprendre à devenir psychopathe ! Ça va m’aider pour orchestrer le meurtre de cette pouffiasse blonde. » Fabien devait commencer à trouver le refrain lassant, après tout, il avait entendu les mêmes mots lors de leur rencontre, excepté qu’il ne s’agissait pas de la même blonde. En prenant conscience de cette information, Presley commença sérieusement à se remettre à douter de son petit-ami, chassant très vite ses pensées qui pourraient très vite être accompagné de diverses crises de tout ordre différents, après tout elle était passée maitre dans l’art de la surprise. Elle se saisit d’un autre dvd, avec un grand sourire, malheureusement pas encore sincère, mais si elle était sûre d’une chose, c’était bien de la capacité de Fabien à lui changer les idées, il semblait être le seul à y parvenir. « Shinning, c’est parfait ça ! » S’ils avaient souhaité se faire une petite frayeur pour la soirée, ils laissèrent tout de même une lumière allumée, juste histoire de se rassurer un peu. Plus le film avançait plus les deux amis commençaient à angoisser, cherchant surement à impressionner l’autre par une grande maitrise des émotions, ils se contentèrent de mordre dans des oreillers pour éviter de hurler, ce qui n’était pas gagné. Ils se trahissaient bien assez par leurs sursauts à répétition. Mais au bout d’une petite demi-heure, très concentrés bien que complètement flippés devant leur télévision, tout s’éteignit subitement. Plongés dans le noir, Presley se jeta tout de même sur la lampe pour tenter de la rallumer -on peut toujours rêver- mais rien. Mais voyant par la fenêtre que dans la maison voisine il y avait de la lumière elle comprit très vite que ça n’était pas une énième panne généralisée. « C’est vraiment pas le moment hein. Et arrête de me regarder de cet air bizarre tu m’fais peur ! » L’ennuie de ne pas être capable de voir dans le noir, c’était au moment où vos yeux commençaient à s’habituer à la pénombre, vous commencez à discerner des formes mais rien de précis, alors le visage angélique (et surement terrorisé) de Fabien, prenait des allures de psychopathe. Tentant de se lever pour chercher une lampe de poche ou une bougie ou n’importe quoi pouvant les éclairer, elle renversa dans la foulé un bibelot inutile qui trônait sur la table. Le bruit fit sursauter bruyamment le jeune français, entendons par là qu’il ne put s’empêcher de manifester son inquiétude. « C’est moi j’ai du renverser un truc, faut trouver une lampe ou n’importe quoi, ça doit être les fusibles. » Dit-elle comme si elle maitrisait parfaitement la situation alors que non seulement elle n’y connaissait rien, mais qu’en plus elle flippait considérablement dans le noir, au moins elle n’était pas seule, encore que là elle n’était pas sûre que Fabien lui vienne en aide. Alors qu’elle s’apprêtait à contourner le canapé les mains en avant pour être sûre de ne rien briser une fois encore, elle entendit un craquement provenant des escaliers. Se stoppant net, le cœur battant la chamade, ils entendirent un craquement supplémentaire puis un grand fracas. « La c’était pas moi ! » dit-elle dans la précipitation alors qu’elle avait seulement envie d’hurler et de sortir de la maison en courant, mais bien évidemment ce n’est pas ce qu’elle fit. Retournant sur ses pas, elle attrapa vivement le bras de Fabien ce qui le fit sursauter et crier. Elle s‘empressa de le calmer sans pour autant hausser la voix, chuchoter pour rester discrète « Chut .. chut ! Tu crois qu’il y a quelqu’un dans la maison ? » toute personne rationnelle aurait pensé au vent, ou au chien, qui en faite ronflait comme un gros tas non loin du canapé. Mais non, se montrer paranoïaque était nettement plus dans leurs habitudes. Repensant à l’épisode des cambriolages dans le quartier, Presley ne put s’empêcher de songer à une récidive, du moins à un petit abruti qui s’en serait inspiré et en aurait aussi apprit les erreurs pour mieux faire quand son tours viendrait. Elle s’imaginait déjà attachée à son escalier, le visage complètement tuméfié et les organes explosés, encore et toujours de l’exagération. « Tu crois que c’est un cambrioleur ? »
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The world is a very scary place, my dear It's hurled and it's twirled...
Fabien était un trouillard et il ne savait pas vraiment pourquoi, mais il avait accepté la proposition de Presley de regarder un film d'horreur. Peut être pour tenter de passer une soirée qui rattraperait le Halloween désastreux que tout le quartier avait vécu, bien que si on y réfléchissait bien, tout cela aurait pût très mal finir et devenir une histoire que l'on raconterait entre amis pour se faire peur. Et parce que le destin semblait prendre Ocean Grove comme un lieu privilégié pour les catastrophes, un puissant ouragan avait ravagé Miami il y a quelques jours. Fabien avait de plus en plus envie de quitter Ocean Grove pour revenir en France. Il se passait beaucoup trop de choses ici. « Oh génial, comment apprendre à devenir psychopathe ! Ça va m’aider pour orchestrer le meurtre de cette pouffiasse blonde. » dit Presley, faisant ainsi sortir Fabien de ses pensées. Il se concentra un instant pour pouvoir comprendre de quoi son amie parlait. Lorsque toutes les connections furent faites, Fabien hocha la tête, ne souhaitant pas s'exprimer sur l'histoire compliqué de la jeune femme avec son petit ami Sloan. Histoire qui lui échappait d'ailleurs un peu. Comment pouvait-elle se montrer si conciliante et accepter le comportement plus que douteux de Sloan? C'était la seconde fois qu'il semblait vraiment faire mal à Presley et Fabien avait du mal à la supporter. Le jeune homme ne se voyait cependant pas intervenir: ce n'était pas ses affaires et il ne ferait probablement pas le poids face à Sloan s'ils en venaient aux mains. « Shinning, c’est parfait ça ! » ajouta Presley. Et Fabien se décida qu'il allait tout faire pour amuser un peu Presley et la faire sourire. Le film d'horreur n'était peut être pas un bon moyen mais le jeune français en était sûr: les têtes qu'il ferait tout au long du film suffirait à sa colocataire à se changer les idées. Parce qu'à vrai dire, Fabien en avait assez d'entendre parler de Sloan toute la journée, mais il était beaucoup trop poli pour le dire. Les premières images du film apparurent sur l'écran de télévision et ce fut avec une boule d'angoisse dans le ventre que Fabien tenta de se contrôler et de fixer l'écran, ne souhaitant pas donner l'opportunité à Presley de se moquer de lui une nouvelle fois. Malheureusement, le film était très angoissant, trop pour Fabien qui ne pouvait s'empêcher de sursauter et de se plaindre (dans sa tête) que jamais, il ne pourrait fermer l'oeil de la nuit. Quelle idée il avait eut d'accepter de regarder ce film d'horreur alors qu'il aurait été tellement mieux devant une pauvre comédie américaine ringarde? Alors qu'il tentait de se persuader que ce n'était qu'un film et que rien n'allait lui arriver ce soir, la seule lumière allumée dans le salon s'éteignit brusquement, tout comme la télé! « OUAIS!!!! » s'exclama t-il, enthousiaste. Il se tourna vers Presley, un sourire sur le visage. Plongés dans le noir le plus complet, il n'arriva pas à distinguer la tête de son amie mais il sentit que cette dernière tenta à plusieurs reprises d'allumer la lumière, en vain. Fabien fronça les sourcils. « Une coupure de lumières? ENCORE?! » dit Fabien, agacé. La jeune femme se pencha pour regarder par la fenêtre et remarqua que leur maison était la seule du quartier à être dans le noir le plus complet. Ce qui ne rassura pas du tout Fabien. Peut être bien qu'il allait finalement y passer après avoir survécu à une tentative d'assassinat géante lors de la soirée d'Halloween et à un ouragan la semaine dernière. Presley se leva mais Fabien préféra rester bien sagement sur le canapé. Un objet tomba brusquement au sol, Fabien fit un bond et se releva subitement, prêt à prendre ses jambes à son coup et sortir de la maison. « C’est moi j’ai du renverser un truc, faut trouver une lampe ou n’importe quoi, ça doit être les fusibles. » dit aussitôt Presley sur un ton confiant, si bien que Fabien essaya de retrouver son calme. Fabien décida qu'il valait mieux suivre Presley et ne surtout pas se séparer: une erreur monumentale qui avait tout le temps lieu dans les films d'horreurs et qui était synonyme de carnage puisque bons nombres de personnages se faisait trucider en pensant avoir plus de chance en prenant des chemins différents. « Il faut rester ensembles surtout! » murmura Fabien en cherchant dans les poches de son jean son téléphone portable. Deuxième chose, il fallait appeler les secours et ne surtout pas jouer au héros. Là encore, c'était toujours le bon moyen de se faire tuer. Malheureusement pour Fabien, pas de portable dans sa poche. Alors qu'il allait demander à Presley si elle son téléphone sur elle, un craquement se fit entendre. Fabien s'arrêta automatiquement et tourna la tête vers Presley, le regard inquiet et les yeux grands ouverts. « La c’était pas moi ! » dit Presley. Elle s'approcha de Fabien et lui attrapa le bras, surprenant par la même occasion le jeune homme qui lâcha un cri de surprise. « Chut .. chut ! Tu crois qu’il y a quelqu’un dans la maison ? » demanda Presley, alors que Fabien voulait à tout prit croire qu'il s'agissait de Robert, qui s'amusait. Cependant, tout comme Presley, Fabien avait en tête les récents cambriolages qui avaient eut lieu pendant un moment dans le quartier. Une récidive? L'ouragan avait détruit de nombreuses maisons, il s'agissait peut être d'un pilleur? « Tu crois que c’est un cambrioleur ? » questionna Presley. Elle pensait donc la même chose que lui, ce qui ne rassura pas du tout Fabien. C'était probablement un cambrioleur, oui. Quelqu'un bien décidé à s'attaquer à Presley et lui. « On doit sortir! Appelle les secours, appelle Sloan, appelle! » murmura Fabien en secouant le bras de Presley. Fabien entendit un nouveau craquement juste au dessus de leurs têtes. Fabien serra un peu plus fermement le bras de Presley. « Il faut qu'on bouge. » dit-il, en faisant un pas en avant. Prenant le peu de courage qu'il possédait à deux mains, Fabien fit à nouveau un pas avant de se tourner vers la jeune femme, hocher la tête pour lui dire que tout irait bien. Du moins, c'est ce qu'il espérait.
Allongée sur son canapé, la pièce éclairée seulement grâce à la télévision allumée, Romy n'écoutait que d'une oreille la chaine qu'elle avait mise. Elle ne saisissait que quelques brides de phrases et encore, elle était bien trop perdue dans ses pensées. A ses pieds se trouvait Jazz, son chien, qui dormait joyeusement en gigotant de temps en temps. Romy se retrouvait dans une situation qu'elle qualifiait d'étrange. Elle avait vécu assez longtemps sur les routes et, de manière générale, elle n'avait jamais eu de gros problèmes. Peut-être était-ce de la chance, ou simplement grâce à sa nature méfiante, mais elle n'était pas tombée sur un détraqué ou une personne malveillante. Lorsque c'était le cas, elle le pressentait facilement et l'évitait aussitôt. Encore fallait-il qu'elle soit sociable et fréquente beaucoup les gens, et ce n'était pas le cas. Elle pensait alors trouver un peu de stabilité dans un quartier "calme" de Miami, tel qu'Ocean Grove. On ne lui avait dit que du bien de cet endroit et elle n'avait pas été déçu jusque là, néanmoins elle avait dû faire face à sa première catastrophe naturelle. L'ouragan avait ravagé la ville et le quartier y comprit. Heureusement pour elle, sa maison n'était pas détruite et elle n'était pas blessée mais beaucoup de ses voisins n'avaient pas eu cette chance. Ce genre de situation presque apocalyptique qu'elle n'avait vécu qu'à travers la télé l'avait toujours touché et maintenant qu'elle-même en était une victime, c'était pire. Elle avait eu le réflexe de se cacher dans la cave, et c'était sans doute grâce à cette initiative qu'elle était vivante aujourd'hui. Finalement, le danger se cache là où on l'attend le moins et pas forcément sur une route sombre et déserte mais parfois aussi dans un quartier haut de gamme. Elle était habituée à se complaire dans la solitude. Elle n'avait pas besoin d'avoir un million de personnes autour d'elle qui pouvaient prétendre être son ami. Elle trouvait d'ailleurs le silence bien plus attrayant que les longues discussions sans intérêts. Cela ne voulait pas non plus dire qu'elle ne parlait jamais, elle n'ouvre la bouche que lorsqu'elle souhaite dire quelque chose d'important et non pas pour "blablater". Jazz l'a sortit de ses rêveries tandis qu'il sortait des siennes. Il quitta le canapé et regarda fixement la jeune femme. Elle n'avait pas besoin de plus d'éléments pour saisir ce qu'il en était. Elle se leva donc à son tour et alla chercher la laisse, qu'elle attacha ensuite au collier de son chien. « Allons faire un tour avant que tu ne fasses une bêtise. » Elle n'avait clairement pas envie de sortir, puisqu'elle avait attrapé un très mauvais rhume mais elle n'avait pas forcément le choix. L'électricité n'était pas totalement revenue dans le quartier, voilà pourquoi elle aimait se munir d'une petite lampe de torche accrochée à son porte clé, au cas où. L'animal était tout particulièrement excité ce soir, et Romy dût le rappeler à l'ordre à plusieurs reprises. Ils marchaient depuis un petit moment maintenant, du moins c'était ce qu'en disait la montre mais Romy n'en avait pas encore conscience. Ce n'est qu'en apercevant le panneau de Lemon Street qu'elle comprit qu'elle se retrouvait dans l'autre rue que la sienne. Ni une ni deux, elle tira sur la laisse du chien et ils repartirent vers la maison. Elle pressa le pas, se hâtant d'être chez elle et de s'allonger sous une grosse couverture pour lire. Elle toussa, ce qui maltraita violemment et sans ménagement sa gorge déjà bien touchée. Elle passa devant les quelques maisons voisines à la sienne lorsqu'elle entendit – ou cru entendre – des cris. Elle s'arrêta net, et regarda autour d'elle en demandant à son chien s'il avait entendu. Évidemment il ne lui répondit pas, mais elle s'attendait peut-être à ce qu'il aboie, ce qu'il ne fit pas. Un autre cri l'interpella et elle comprit que c'était pas le fruit de son imagination. C'était distinct, elle n'eut aucun mal à repérer la maison d'où provenait les hurlements, elle était juste en face. Elle avança sur la pelouse, tenant fermement la laisse dans sa main. Arrivée au niveau de la porte principale, elle frappa mais aucune réponse et les bruits bizarres à l'intérieur ne cessait d'aller et venir. Elle fit le tour de la propriété, déboulant face à la porte secondaire et celle-ci était ouverte. Un autre cri, bien plus strident, lui glaça le sang et Jazz s'agita à ses côtés, impatient. « Reste là tu as compris ? ». Elle noua la laisse autour d'un tuyau et pénétra dans la pièce. Elle aurait dû se contenter d'appeler les secours mais elle n'avait pas son portable sur elle et peut-être que ce n'était pas ce qu'elle croyait. Tout était redevenu silencieux, la maison était plongée dans le noir le plus total et elle niait pas que le fait d'être malade ne faisait qu'accentuer sa paranoïa déjà à un stade avancé. Finalement, après s'être rendue compte qu'il n'y avait personne et qu'elle avait sans doute halluciné, elle se dirigea vers la sortie seulement elle changea d'avis en entendant le plancher craquer derrière elle. Elle se cacha aussitôt dans l'encadrement d'une porte, elle sentait son coeur s'emballait et les yeux lui piquer tant l'adrénaline chamboulait tous ses sens. Un immense fracas la fit sursauter, cela ressemblait comme à un vase se brisant au contact du sol et une chose la frôla: elle poussa un cri et sentit quelqu'un lui attraper le bras. Son seul réflexe fut de balancer son poing devant elle. Elle avait pris des cours de self-défense... S'en suivirent des plaintes, des grognements et des aboiement puis enfin la lumière s'alluma. La main avec laquelle elle venait de frapper la lançait désagréablement mais elle oublia presque la douleur en étant face à deux personnes. Elle se retourna vers deux grosses masses qui bougeaient dans tous les sens à côté d'eux : Jazz et un autre chien. Elle remarqua ensuite le jeune homme qui avait une main portée au visage. « Oh non ! Je suis vraiment désolée, je croyais que... enfin j'ai entendu des cris alors... Est-ce que ça va ? » Elle resta immobile, massant sa main douloureuse et très gênée par la situation. « Jazz ! Je t'avais dit de rester dehors. Viens ici ! » Le chien se secoua, manquant de faire tomber un autre objet et s'avança vers Romy.
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(#) Sujet: Re: 1523 ϟ horror party, Boo ! (fabien&romy) Sam 1 Jan 2011 - 22:14
Presley resta perplexe un instant face à la réaction de son ami. Comme ça, il se sentait en danger il pensait à Sloan ? Tournant la tête vers lui, ignorant s’il la verrait ou non, elle se mit à chuchoter « Je crois que si on survit à cet attaque, il va falloir que l’on reparle de ton sentiment de sécurité en pensant à Sloan ! » Mais elle ne suivit pas un instant son conseil et n’appela personne, convaincu qu’ils parviendraient à s’en sortir tout seuls, ils n’étaient pas empotés, et ça se trouve il ne se passait rien de grave, c’était peut être simplement un tours de leur imagination. « Il faut qu'on bouge. » Approuvant d’un signe de tête, elle l’entraina avec lui, il fallait qu’ils retrouvent la boîte de fusibles ça ne pouvait provenir que de là. Attrapant Fabien de sa seule main de libre, l’autre étant plâtré, elle se dirigea vers la cuisine. « Et surtout ne fait pas de bruit ! » Elle remarqua rapidement que Robert s’était levé pour les suivre, il se donnait souvent l’allure du gros feignant tel un Garfield version canin, mais c’était à la base un chien entrainé et surtout protecteur. Suivant alors Presley comme son ombre, le chien était au moins plus agile que les deux jeunes gens qui manquèrent une fois de plus de se prendre un mur, bien que pour la jeune femme, elle connaissait cette maison sur le bout des doigts. Arrivé à la porte de la cave, Presley alluma son téléphone portable pour observer ce qui se passait en bas, et visiblement la pièce lugubre était vide. Il fallait qu’elle descende et qu’elle vérifie les fusibles, Liam le lui avait prit plusieurs fois sans compter Sloan et ses piqures de rappelles, elle devrait s’en souvenir, du moins en théorie. Mais dans la pratique, descendre dans une cave plongée dans le noir était bien plus inquiétant encore, d’autant que Fabien n’était pas vraiment l’archétype du mec qui pourrait gérer la situation, c’était peut être la le seul désavantage à avoir trouvé son alter-égo et vivre avec. Mais elle n’irait pas s’en plaindre, après tout ça lui faisait une occasion de se montrer autonome, il y a des petites joies comme ça dans la vie. Poser sa tête sur l’oreiller et se dire qu’on a eu besoin de personne pour vaincre sa peur du noir et partir à l’aventure dans la cave pour rétablir l’électricité, il en faut peu pour être heureux. « Bon, tu restes ici pour surveiller, moi je descends avec Robert tenter de rétablir la lumière. » Empruntant les marches avec prudence, suivit de près par son meilleur ami à quatre pattes, elle observa encore une dernière fois la pièce dans sa totalité grâce à la luminosité de son téléphone. Ignorant complètement ce que Fabien pouvait bien faire en haut, elle pensait surtout à elle, et à ce frisson d’effroi qui l’avait parcouru, elle était certaine que visiter un cimetière la nuit devait être tout aussi terrifiant. « Pourquoi les caves sont toujours aussi lugubres ? Aller, on va y arriver ! » Se dirigeant vers la fameuse boîte à fusibles, elle en regarda l’intérieur et tout ce qu’on lui avait montré revient très vite. C’était simpliste mais fallait-il encore le savoir. Précipitée par l’agitation qu’elle entendit au dessus d’elle, elle finit par rétablir l’électricité en quelques petites manipulations, avant de remonter à toute vitesse largement devancée par Robert. Arrivée dans la cuisine, elle eut la surprise de voir une jeune femme qu’elle ne connaissait absolument pas, un nouveau chien qui s’agitait tout autant que le sien, et Fabien qui grognait et gémissait tout en se tenant le nez. « Oh non ! Je suis vraiment désolée, je croyais que... enfin j'ai entendu des cris alors... Est-ce que ça va ? » Presley ne put s’empêcher de ricaner avant d’agresser son chien qui ne tenait pas en place. « Robert vient ici ! » Reportant son attention sur la demoiselle qui avait l’air à la fois confuse et fatiguée, elle n’avait clairement rien d’un cambrioleur. Elle comprit rapidement que tout ne fut que le fruit de leur imagination débordante s’apparentant de très près à de la paranoïa. S’approchant de Fabien pour regarder son nez, qui saignait à peine, Presley étouffa un petit rire. « Wow, vous me l’avez pas loupé là ! » La brunette partit vers son congélateur pour en sortir quelques glaçons qu’elle mit dans un torchon, avant de revenir près de Fabien et de leur invité surprise. « Mets ça sur ton nez, et oui je sais, c’est froid ! » lui dit-elle en chuchotant histoire de le taquiner un peu, avant de se re-concentrer vers la jeune femme. « C’est gentil d’être venu voir, en faite on a eu une petite panne d’électricité et comment dire .. En faite hmm .. Il a paniqué ! » Pointant son ami du doigt, oubliant totalement qu’elle fut sans doute la première à se mettre à crier et à stresser, elle ressentit comme une pointe de honte à l’admettre devant cette inconnue vraisemblablement plus courageuse qu’eux deux réunis.
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« Je crois que si on survit à cet attaque, il va falloir que l’on reparle de ton sentiment de sécurité en pensant à Sloan ! » dit Presley. Une phrase que Fabien ne comprit quasiment pas, mise à part qu'ils allaient devoir parler de Sloan. Le jeune français se retient de lever les yeux au ciel: parler de Sloan, c'était déjà son quotidien alors une conversation de plus ou de moins. Avant d'avoir l'occasion de faire une remarque à son tour, la jeune femme ouvrit la porte de la cave dans le but d'entrer dedans pour remettre le courant en route. Fronçant les sourcils lorsqu'il lui demanda de rester ici et qu'elle allait descendre avec Robert, Fabien bougeant la tête de gauche à droite. C'était une très mauvaise idée. Une très très mauvaise idée, et il ne perdit pas un instant pour le dire à Presley. « Non, non, non! On va mourir si on se sépare! » dit-il, alors que la jeune femme lui ordonnait de faire moins de bruit, et se mit à descendre les escaliers de la cave. Voilà, c'était la fin. Presley allait mourir dans d'affreuses souffrances, puis, Fabien se ferait mutiler puis battre à mort. Des images violentes et sanglantes prirent possession de l'esprit de Fabien et alors que la jeune femme disparue dans l'obscurité de la cave, Fabien préféra se diriger vers la cuisine pour récupérer de quoi se défendre, et peut être aller protéger Presley en cas de besoin. Quoi de mieux que de prendre un couteau de cuisine? Même s'il ne se pensait pas capable d'enfoncer un couteau dans la poitrine de quelqu'un, il valait mieux assurer ses arrières. Prudemment, il s'avança tout en longeant les murs de la maison et en essayant de garder son calme. « On va mourir, on va mourir. Je vais me faire trucider et on va manger mes entrailles... » dit-il en français, avant de s'arrêter un instant pour reprendre sa respiration et tenter de ne pas s'enfuir en courant. Si Presley avait réussit à descendre à la cave, il pouvait très bien se rendre dans la cuisine. « Calme toi Fabien. Respire. Calmement. Si tu dois mourir, c'est ton destin, tant pis. » finit-il par se dire à lui même, avant de s'avancer une nouvelle fois. Il pénétra enfin dans la cuisine et alors qu'il allait ouvrir un tiroir, il sentit un coup de poing lui arriver en pleine figure. La douleur arriva à son tour, et alors qu'il gémissait de douleur en posant ses deux mains sur son nez, la lumière s'alluma brusquement, l'aveuglant complétement. Robert débarqua rapidement en fonçant sur un autre tas de poils, suivit par Presley. « Oh non ! Je suis vraiment désolée, je croyais que... enfin j'ai entendu des cris alors... Est-ce que ça va ? » dit une voix féminine qu'il ne connaissait pas. Fabien releva tant bien que mal la tête pour découvrir une jeune femme brune, tout en se tenant la main. Sûrement la main qui était entré un contact violent avec le nez de Fabien. Le jeune homme se toucha la nez avant de grimacer de douleur. Il en était sûr, il allait maintenant avoir droit à une rhinoplastie. « Robert vient ici ! » hurla Presley après son chien, qui remuait dans tous les sens en compagnie du second canidé, ce qui donnait légèrement le tournis à Fabien. « Jazz ! Je t'avais dit de rester dehors. Viens ici ! » dit aussitôt l'inconnue. Fabien leva les yeux au ciel: il fallait vraiment payé un dresseur pour ces animaux! Presley s'agenouilla face à Fabien, avec un grand sourire sur le visage ce qui ne plaisait pas vraiment à Fabien, n'appréciant pas qu'elle se moque de lui alors qu'il venait de se faire agresser. « Mets ça sur ton nez, et oui je sais, c’est froid ! » dit-elle en lui tendant un torchon avec des glaçons dedans. Fabien le posa sur son nez tout en grimaçant mais ne fit aucuns commentaires, alors que Presley commença à faire la conversation avec l'étrangère. «C’est gentil d’être venu voir, en faite on a eu une petite panne d’électricité et comment dire .. En faite hmm .. Il a paniqué ! » dit-elle. Fabien ne comprit pas tout ce qu'elle venait de dire, mais il saisit parfaitement le sens de sa phrase: elle l'accusait d'avoir paniqué! Les yeux grands ouverts, il ouvrit la bouche pour riposter: « Non mais tu te moques de moi? » dit-il, avant de se relever tout en posant le chiffon ainsi que les glaçons sur le plan de travail. « Je rêve! Non mais vraiment, j'aurais tout entendu! » dit-il en français, avant de regarder les deux chiens puis de reporter son attention sur Presley et Romy. « Euh... Vous voulez boire quelque chose? » demanda t-il poliment, avant de reprendre le chiffon et de le poser sur son nez, puis de se tourner vers Presley. « Sauf si Madame Presley à trop peur de se faire une nouvelle fois attaquer par un meurtrier! » dit-il, un petit sourire narquois sur le visage, sachant qu'elle ne comprendrait probablement rien de ce qu'il venait de dire.
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(#) Sujet: Re: 1523 ϟ horror party, Boo ! (fabien&romy) Mer 19 Jan 2011 - 0:43
Elle ne pouvait pas connaître pire situation embarrassante dans son nouveau lieu de vie. Tout s'était déroulé à merveille depuis son aménagement, elle n'avait fait aucune gaffe – ou presque – que ce soit verbalement ou physiquement. Évidemment, c'était trop beau pour que cela ne dure. Elle venait tout de même de donner un coup de poing à son voisin ! Elle n'aimait pas la violence, mais l'utilisait si cela était nécessaire et elle avait réellement pensé que c'était le moment ou jamais de faire valoir ses nombreuses heures d'entrainement. Elle s'était juste trompée de cible. Elle grimaça en voyant du sang, son amie lui apporta alors de quoi calmer la douleur. Quant à la main de Romy, elle ne sentait déjà plus rien. «C’est gentil d’être venu voir, en faite on a eu une petite panne d’électricité et comment dire .. En faite hmm .. Il a paniqué ! » Romy hocha brièvement de la tête, toujours un peu confuse et posa son attention sur le jeune homme qui semblait dorénavant outré par les paroles de son amie-colocataire-petite-amie-soeur-peu importe. Il n'était apparemment pas du tout d'accord avec l'image que l'inconnue venait de lui donner quand d'un coup, il se mit à parler une langue étrangère. Du français ? La texane n'était pas une experte en la matière, mais elle était assez cultivée pour reconnaître la langue qu'il venait d'employer. Romy fronça les sourcils, elle n'était pas certaine de comment réagir. Est-ce qu'il venait de l'insulter ? Jurait-il dans une autre langue pour ne pas choquer ? Ou était-ce juste une sorte de code secret que lui seul et la brunette à ses côtés pouvaient comprendre ? Il se remit pourtant à utiliser l'anglais et lui demanda si elle ne voulait pas quelque chose à boire. Un peu prise au dépourvue, Romy secoua la tête – erreur fatale, elle crut tomber au sol tant la pièce bougeait autour d'elle à cause de son rhume. « Un verre d'eau ira, merci. » Elle sourit amicalement, retenant un geste fougueux de la part de Jazz qui voulait repartir jouer avec l'autre chien. Elle le tenait fermement par le collier, celui-là, quand il s'y mettait, c'était quelque chose. Une nouvelle fois, le jeune homme dit quelques mots en français, Romy était totalement perdue mais laissa couler. Puisque maintenant, elle avait plus que franchie la barrière des politesses entre voisins en ayant cogner l'un d'entre eux, elle décida de tout de même se présenter. Au moins, ils pourront donner un nom à la personne qui venait de faire une entrée fracassante. « Je suis dans le quartier depuis peu de temps et j'ai entendu pas mal de choses sur ce qui a pu arriver par ici. J'ai un peu paniqué en entendant les cris, je m'excuse encore pour ton nez. » dit-elle en se tournant vers le jeune homme. « Je suis Romy et je n'ai pas pour habitude de frapper mes voisins. » Un peu d'humour ne ferait pas de mal, quitte à ce qu'elle en rit toute seule, ce n'était pas un problème. La tension qu'elle avait ressenti en entrant dans la maison plongée dans l'obscurité était maintenant bien redescendue. La gêne commençait à passer, même si elle avait toujours un peu de mal à savoir où se mettre exactement.
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S’il y avait bien une chose qu’elle détestait, c’était quand son colocataire se mettait à baragouiner en Français sans qu’elle ne soit en mesure de comprendre. Cette langue était d’une barbarie tant elle était difficile à apprendre, mais c’était amusant d’entendre un accent français durcir les mots, même s‘il avait fait beaucoup d‘efforts ce n‘était pas encore gagné. Mais savoir qu’il était très probablement entrain de se moquer d’elle ne l’emballait pas plus que ça non plus, de plus ce n’était pas très poli face à leur « invitée » surprise, qui devait être probablement mal à l’aise ou entrain d’imaginer les pires choses. Si elle était tout aussi parano qu’elle, à penser qu’on riait d’elle lorsqu’elle entendait des personnes rire derrière elle, elle devait surement penser le pire de ce qu’il avait du dire. « Continue et je te parle en espagnol ! » lui répondit-elle très rapidement avec espièglerie mais autorité. Il était évident que cette nouvelle voisine ne tarderait pas à les prendre pour fou, mais après tout, elle avait bien débarqué en faisant étalage de son talent pour les sports de combat. Égalité ! Mais en bonne maitresse de maison et malgré la remarque de Fabien, une fois de plus en français dont elle ne comprit que « peur, attaque et meurtrier » comprenant vite qu’il se moquait d’elle sans pour autant en connaitre les détails, elle s’empressa de servir leur invité. Se saisissant d’un verre dans le meuble au dessus de l’évier, elle se dirigea vers la porte du réfrigérateur et lui servit son verre d’eau avant de le lui tendre. Cette voisine était tout de même plutôt réactive, mais elle hésitait encore à savoir si c’était d’avantage rassurant ou inquiétant de savoir qu’elle résidait juste à côté. Vu l’état du nez de Fabien, valait mieux s’en faire une amie, bien qu’elle semblait agréable et plutôt gentille. « C’est vrai que le quartier n’est plus calme depuis longtemps. Désolée pour cette frayeur. » lui répondit-elle en souriant, quant au nez de son très cher colocataire, il finirait bien par devenir indolore, à moins que Presley ne cogne dedans par fausse inadvertance pour venger les évidentes moqueries dans sa langue natale. Souriant à la remarque de Romy, jolie prénom d’ailleurs, elle commençait à la voir un peu moins comme une dangereuse sociopathe, mais plutôt comme une championne de boxe un peu maladroite. « Moi c’est Presley, comme Elvis oui. Je suis bavarde et dingue mais je crois qu’on s’y fait. » Autant la mettre au parfum tout de suite, si elle n’avait pas fait fuir le mec le plus renfrogné qu’elle ait rencontré, à savoir Sloan, elle craignait moins d’effrayer sa nouvelle voisine. Laissant le soin à Fabien de se présenter lui-même, elle finit par s’assoir à la table de la cuisine et invita la jeune femme ainsi que Fabien à la rejoindre. « C’est une sacré droite que t’as là, tu as appris ça où ? » S’enquit-elle d’avantage pour apprendre à connaitre sa voisine que ma curiosité malsaine. « Je pense que je vais éviter de trop te contrarier, je tiens à mon nez » renchérit-elle avec humour. Elle espérait avant tout, dissiper totalement le petit malentendu et se changer les idées aussi d’une certaine façon.
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La douleur au niveau de son nez se calma peu à peu, si bien que Fabien déposa le torchon contenant les glaçons sur un plan de travail, avant de se tourner vers Presley qui s'adressa à lui: « Continue et je te parle en espagnol ! ». Le ton autoritaire de la jeune femme calma immédiatement Fabien, qui se sentit soudain mal à l'aise. Quelle idée il avait eut de se mettre à parler en français devant Presley, qui ne comprenait pas un mot ou pas grand chose mais surtout devant Romy qui devait sûrement se sentir visé par les propos du jeune homme alors que la cible était Presley. Fabien resta néanmoins silencieux, croisant ses bras contre son torse tout en observant Robert et l'autre chien d'un oeil interrogateur en se demandant ce qu'ils pouvaient bien se dire. Il releva cependant la tête et se mit à regarder Presley prendre un verre pour servir de l'eau à Romy. « C’est vrai que le quartier n’est plus calme depuis longtemps. Désolée pour cette frayeur. » répondit Presley. Fabien acquiesça d'un signe de tête. Ocean Grove était loin d'être le havre de paix qu'il s'imaginait. Il trouvait même surprenant qu'avec tous les incidents que le quartier connaissait, l'espérance de vie soit aussi forte. Ou qu'il y est même toujours autant de nouveaux arrivants. De la même façon que Presley, lui même commençait à voir Romy comme une jeune femme pleine de vie un brin maladroite, et non pas comme une psychopathe venu dans le but de les découper en morceaux puis de les manger. Finalement rassuré, se disant que son nez ne ressemblerait pas à celui de Cyrano de Bergerac, Fabien se détendit légèrement, adoptant un pose un peu plus décontracté et un sourire malicieux sur le visage. Le moment de présentation arriva, et alors que Presley se présenta comme une fille bavarde, Fabien se sentit obligé de commenter. « Extrêmement bavarde. Et tout autant dingue. », alors que son sourire s'élargissait sur son visage. « Et je suis Fabien, son colocataire français. » ajouta t-il, tout en se joignant à Presley qui venait de s'assoir. Il tira la langue à Presley, avant de reporter son attention sur Romy, au même instant que Presley l'assaillait de question. D'une question pour être plus exact. « C’est une sacré droite que t’as là, tu as appris ça où ? » demanda t-elle, alors que Fabien jeta un regard par terre lorsqu'il sentit une masse tapait contre sa jambe. Il fronça les sourcils en remarquant qu'il s'agissait de Robert. Ce chien avait probablement passé un marché avec Presley dont le but était de rendre complétement fou Fabien. Le moins que l'on puisse dire, c'est que cela fonctionnait terriblement bien. Le jeune homme soupira bruyamment, alors que Presley et Romy entamait un début de conversation. « Ce chien va finir empailler dans ma chambre. » dit-il, sans se soucier de couper la conversation entre les deux jeunes femmes par une menace brutale. Il se tourna vers elles, un petit tour d'excuse en se sentant une nouvelle fois pas à sa place. « Pardon. » lâcha t-il avant de se lever pour sortir un nouveau verre et la bouteille d'eau. Toutes ces émotions lui avait donné la gorge sèche et il était presque sûr à deux doigts de la déshydratation. Il se servit un verre, avant de rejoindre Romy et Presley. « D'où est-ce que tu viens? » demanda t-il à Romy, curieux à son tour. Si la jeune femme était peut être soulagée de voir ses voisins en vie, elle allait sûrement être plus inquiète en découvrant que les deux colocataires allaient lui faire subir un vrai interrogatoire sur toute sa vie.
La jeune texane attrapa le verre d'eau que sa voisine lui tendit et s'excusa pour la frayeur occasionné. Romy haussa simplement des épaules car ce n'était pas bien grave au final. Comme toujours, Romy s'était fait beaucoup trop d'idées et avait foncé la tête baissée. « Moi c’est Presley, comme Elvis oui. Je suis bavarde et dingue mais je crois qu’on s’y fait. » Elle étouffa un léger rire et acquiesça d'un geste de la tête. Elle était franche, ne semblait pas avoir peur de passer pour une « folle » c'était plaisant pour Romy d'être en face d'une personne qui ne se prend pas la tête. En arrivant à Ocean Grove, elle avait cet affreux préjugés que tous ses voisins seraient hautains et superficiels, mais en réalité, ce n'était pas le cas pour tout le monde. Elle se sentit alors bien plus à son aise, elle n'avait plus aucune raison de rester sur ses gardes. « Et je suis Fabien, son colocataire français. » Romy se tourna ensuite en direction du jeune homme, elle comprenait mieux dorénavant. Elle lui sourit à son tour. « Enchantée » dit-elle à l'encontre des deux jeunes gens en face d'elle. Presley prit finalement place sur l'une des chaises, Romy ne tarda pas à l'imiter et s'installa. Elle jeta un regard inquiet en direction de son chien, elle craignait qu'il ne fasse une autre bêtise mais apparemment il venait de se faire un nouveau copain. Elle reporta alors son attention sur sa voisine qui venait de lui poser une question. A l'évocation du coup qu'elle avait donné à Fabien, elle rougit légèrement. « De mon père, entre autre. Quand on est sur les routes, il est parfois conseillé de savoir se défendre. On ne sait jamais sur qui on peut tomber. » Ils allaient certainement lui poser des questions, comme à chaque fois qu'elle avoue être ou avoir été une sorte de vagabonde. Mais cela ne la gênait en aucun cas, elle ne ressentait aucune honte à parler de tout ceci, bien au contraire. « Ce chien va finir empailler dans ma chambre. » Romy arqua un sourcil, posa son regard sur Fabien puis il s'excusa, se rendant compte que sa remarque était tombé comme un cheveu sur la soupe. Elle rit intérieurement, elle n'était apparemment pas la seule à jouer les maladroits de temps en temps. Elle apporta le verre à ses lèvres, l'eau fraiche lui procura une agréable sensation dans sa gorge. « D'où est-ce que tu viens? » Elle regarda tour à tour Presley puis Fabien. Elle aurait aimé répondre « Un peu de partout » mais c'était une réponse qui n'amènerait que d'autres questions. Romy n'avait pas envie de jouer la carte du mystère. « Une petite ville du Texas. » Elle marqua une pause, souriante. « C'est très différent de Miami. A l'opposé même. » ajouta-t-elle en se mettant à caresser le haut du crâne de Jazz qui s'était incrusté à ses côtés.
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(#) Sujet: Re: 1523 ϟ horror party, Boo ! (fabien&romy) Ven 4 Mar 2011 - 17:05
« Extrêmement bavarde. Et tout autant dingue. » Il avait une chance inouïe d’avoir gagné son affection presque instantanément à leur rencontre -il faut dire que tomber sur quelqu’un dans un état d’ébriété plus qu’élevé pouvait créer des liens- autrement elle n’aurait pas pu prendre cette remarque aussi sereinement. Elle était consciente de trop parler et plus que certaine de l’ennuyer la plus part du temps, mais était-ce vraiment de la politesse qui le pousser à ne jamais s’en plaindre ouvertement? Ça pouvait être aussi de la crainte de se retrouver à la porte, ou bien peut être qu’à l’instar du jour où elle a eut peur de le vexer, lui a mentit sur son amour des cuisses de grenouilles. Qu’importe, elle n’accueillit pas non plus cette remarque avec un grand sourire, mais plutôt un petit rictus en coin et un regard malicieux qui aurait très bien pu signifier : « tu me le paieras! ». Puis elle reporta rapidement son attention sur leur nouvelle invité qui semblait se détendre un peu, elle n’avait pas l’air stressé pourtant mais plutôt mal à l’aise, Presley devait être la seule personne au monde qui demeurait à l’aise même dans les situations les plus rocambolesques tant ça lui était arrivé de nombreuses fois. L’écoutant alors avec attention, elle ouvrit de grands yeux de surprises. Elle ne l’aurait pas imaginé sur les routes, en la voyant elle ne l’aurait pas cru capable d’atteindre le nez de Fabien avec autant de force non plus. Mais c’était un sentiment d’envie qui l’envahit ensuite. La jeune femme ne fut jamais en reste côté sensations fortes, très grande amatrice d’adrénaline elle pouvait pousser ses limites un peu trop loin. Partir à l’aventure en revanche ne lui avait pas apporté que des bonnes choses, pourtant c’était l’un de ses nombreux rêves, un road-trip, était souvent un objectif pour tout les jeunes après leur diplôme. Très peu se lançait, il fallait un sacré courage pour lâcher le confort de sa petite vie, pour se perdre chaque jour un peu plus loin de chez soi! Elle aurait voulu surenchérir sur une question supplémentaire, avide de savoir ce qu’elle avait vu. Bien que de toute évidence elle ne fut pas seule mais avec son père ? Peut être était-ce par obligation à cause de son emploi. Les hypothèses étaient multiples et peut être pas aussi excitante du point de vue de Romy, mais justement, elle ne pouvait le savoir et était presque impatiente d’en savoir plus. Elle n’en eut pas le temps cependant, Fabien avait le même don qu’elle pour les remarques inattendus. Ne le prenant pas au sérieux, elle le voyait, sincèrement, très mal tuer un chien et l’empailler ensuite, Fabien était l’un des rares hommes qu’elle connaissait à être bien trop gentil pour faire quelque chose dans ce gout là. A l’opposé de son voisin capable de mettre des rats morts dans sa boite aux lettres et qui sait quoi d’autres encore. Ou d’Ozzie qui lui aurait surement donné un coup de pied phénoménale sans perdre ce sourire idiot qu’il arborait si souvent. « Et après c’est moi la dingue ?! » Ce contenta-t-elle de demander, sans attendre réellement une réponse. Enfin, il se mit à s’intéresser un peu plus à leur conversation et de continuer ce petit interrogatoire qui dépendait plus d’une curiosité presque enfantine de la brunette. Le Texas ? Lorsqu’elle s’était enfuit avec son ex-mari, elle lui avait soumis l’idée de partir pour cet état, mais il en avait fait qu’à sa tête. Elle songea immédiatement que si elle devait un jour s’enfuir avec Sloan, ce qui devait être un jour envisageable, elle ne lui laisserait pas trop le choix. Le Texas la faisait rêver, elle voyait la vie comme bien plus simple là bas, plus tranquille, peut être rustique et très loin de la prétention des quartiers de Miami et d’Ocean Grove. « Tu t’es retrouvée sur les routes, tu es Texane, et tu arrives à le faire taire avec une droite impressionnante ?! C’est officiel je suis jalouse! » Bien sur, elle n’avait aucune envie de frapper Fabien, mais elle ne perdait pas une seule occasion de l’embêter. « Mais qu’est-ce qui t’a mené sur les routes ? » Elle aurait très bien pu se contenter de ses réponses, mais en vérité, elle était tellement fascinée par la jeune femme à présent, qu’elle en oubliait même de s’excuser pour sa curiosité peut être excessive.
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Pauvre Romy. Alors qu'elle était simplement venu rendre visite à ses voisins en espérant que tout aille bien chez eux à la suite d'une coupure de courant, la voilà en face à face avec deux pseudos-policiers qui lui faisaient vivre un véritable interrogatoire. Les questions s'enchaînaient à une vitesse folle, si bien qu'elle devait regretter d'être venue. Curieux, Fabien était néanmoins intéressé de savoir pourquoi elle venait de débarquer à Ocean Grove. Lui même aimait beaucoup raconter son arrivée à Miami et la raison pour laquelle il avait quitté le pays de la baguette pour s'installer ici. D'après ce qu'il venait de comprendre, elle venait tout droit du Texas. « Tu t’es retrouvée sur les routes, tu es Texane, et tu arrives à le faire taire avec une droite impressionnante ?! C’est officiel je suis jalouse! » dit Presley. Fabien lui tira la langue, n'appréciant pas du tout qu'elle se moque de l'aggression qu'il venait de subir. Il porta une nouvelle fois le verre d'eau à ses lèvres histoire de s'hydrater, puis, continua de prêter une oreille attentive à la conversation des deux jeunes femmes. « Mais qu’est-ce qui t’a mené sur les routes ? » demanda finalement Presley, dont la curiosité était montée d'un cran. Fabien la comprenait parfaitement puisque lui même était très curieux de nature. Loin de là à fouiller dans les affaires des gens pour découvrir tout ce qu'il pouvait sur eux mais il aimait beaucoup poser des questions et s'intéresser à la vie des autres. Bien qu'extrêmement maladroit et se retrouvant souvent dans des situations de solitude intense, Fabien était quelqu'un que l'on pouvait qualifier de philanthrope. Il aimait les êtres humains et faire des rencontres étaient ce qu'il appréciait le plus dans la vie de tous les jours. C'était d'autant plus intéressant de faire la connaissance de personnes de cultures ou de nationalités différentes. Découvrir de nouvelles façons de vivre, de nouveaux plats à manger etc. Romy semblait être une personne sympathique et souriante et il avait de grandes chances qu'étant voisin, Fabien puisse la revoir et la questionner une autre fois sur la vie au Texas. Le jeune français adorerait faire un tour des États-Unis et peut être que Romy pourrait le conseiller sur les endroits à aller absolument voir lorsque l'on allait faire un tour au Texas, l'état le plus vaste du territoire américain. « En effet, ça doit pas mal te changer du Texas. » finit-il par dire. Il pouvait parfaitement comprendre ce qu'elle venait de dire. Lorsqu'il avait quitté son département natal en France pour débarquer aux États-Unis, le dépaysement avait été total. Les deux pays n'avaient absolument rien à voir. Connaissant un peu la géographie du territoire américain, Fabien se doutait bien que d'un état à l'autre, les choses pouvaient se révéler être dépaysantes aussi. « Quand je suis arrivé de France, j'étais totalement perdu. » dit-il, bien décidé à ne pas laisser Romy raconter sa vie seule. Presley avait beau connaitre son histoire, Fabien ne se lassait pas de raconter qu'il avait tout de même vécu pendant plusieurs jours dans un cabanon en bois après que sa famille d'accueil soit partie sans prévenir. « D'autant plus que j'ai été SDF avant de rencontrer cette chère Presley. » acheva t-il en posant une main sur l'épaule de sa colocataire, sans se douter qu'elle allait bientôt le quitter pour s'installer avec Sloan, cette traitresse. Il sourit à son amie, avant de se tourner vers Romy: « Je suis sûr que tu vas te plaire ici. Avec tes voisins formidables, tu es bien tombée! » finit-il par dire en souriant en peu plus. Il se releva alors pour ouvrir l'un des placards et sortit un paquet de gâteaux, manquant de trébucher sur l'un des chiens, une fois encore. Il leva les yeux au ciel. « Est-ce que ça vous tente un film? » demanda t-il, pour finir la soirée comme elle avait si bien commencé, devant un film d'horreur.