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 - (famille penright-wagner) kill me softly, debbie !

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- (famille penright-wagner)  kill me softly, debbie ! Vide
Message(#) Sujet: - (famille penright-wagner) kill me softly, debbie ! - (famille penright-wagner)  kill me softly, debbie ! EmptyJeu 28 Mai 2009 - 21:29


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    - (famille penright-wagner)  kill me softly, debbie ! 20syge1
    > toutes les femmes sont fatales ; on commence par leur devoir la vie, elles finissent par causer notre perte.


    Tout se résume à une chose: gagner ou mourir ! C'est dans cette optique que j'avais décidé de vivre, si je n'obtenais rien, ce n'était pas la peine de continuer.Ma vie avait toujours été faite de victoires, je n'avais jamais voulu perdre, et je n'avais jamais perdu, la défaite et l'échec étaient deux choses qui, dans ma vie, n'avaient pas lieu d'exister, je m'y renonçais.L'échec, c'était pour les faibles.Par cette journée ensoleillée et plutôt chaude, j'avais décidé de prendre mon jet privé afin de rejoindre Deborah à Miami, alors qu'elle n'en savait rien, j'avais décidé de lui en faire la surprise.Elle détestait çà, mais qu'importe, ce n'est pas comme si j'étais toujours obligé de demander son avis.Cela faisait environ une semaine que je n'étais pas descendu à Miami pour la rejoindre, certes, elle me manquait.Mais en ce moment, j'étais très occupé par le travail, et le fait que Debbie n'était pas toujours là pouvait parfois me manquer.Ma dernière victoire en date, c'était elle.Si je n'avais pu l'obtenir, alors personne n'aurait pu l'avoir.Durant le trajet, je m'étais mis à penser à elle, la seule idée qu'elle soit seule à Ocean Grove me dérangeait énormément, bien que mon ingrat de fils pouvait jeter un coup d'œil sur sa belle-mère, je n'étais pas rassuré tant que je n'étais pas arrivé sur les lieux.Je supposais que Deborah ne me ferait jamais le coup de me tromper, mais les hommes là-bas, sont des vautours, bien pire qu'à New York, et le moindre fait qu'un seul homme pouvait poser son regard sur elle me rendait incroyablement jaloux.C'est ce sentiment composé de jalousie et de possession envers Deborah, qui d'une part me faisait revenir chaque semaine, et qui me donnait parfois envie de rester plus longtemps.Bien que je l'aimais, et dieu sait que ce sentiment grandissait de jour en jour en moi, je n'arrivais pas toujours à la cerner.Je suppose qu'elle non plus n'arrivait pas à me cerner, parfois, il est vrai que je n'étais certainement le genre de mari idéal que toutes les femmes pouvaient penser.J'étais extrêmement méfiant et exigeant envers ma famille, et que Deborah fasse attention à elle, et à sa réputation, était pour moi une chose importante.Pas même ma femme ne devait faire un faux pas.J'avais toujours eu un faible pour ces femmes fatales, piquantes et sensuelles, qui vous rendent totalement fous, qui vous enivrent.Mais le problème avec ses femmes, et j'avais déjà donné avec la mère de Morgan par le passé, c'est qu'au final, elles finissaient par vous empoisonner et vous détruire.Bien que mon amour pour elle surpassait tout ce que j'avais pu imaginé, une part de moi tenait à rester sur ses gardes quand aux actes de Deborah, je ne savais pas de quoi une femme comme elle pouvait être capable de faire.Je pense qu'en matière de journée ratée, on peut faire pire.Un jet privé qui ne décolle pas à cause d'un souci technique, une légère baisse à Wall Street, un fils qui ne répond jamais au téléphone et une femme qui en faisait de même.Tous ces éléments avaient fini par rapidement m'agacer, et au final, j'étais énervé.Ne répondant pas au téléphone, je finis par laisser un message sur la boite vocale de Deborah pour qu'elle ne soit pas surprise de mon arrivée.Arrivé sur un aérodrome privé, mon agacement se fit sentir de plus en plus.Mon chauffeur était en retard, et à l'heure qu'il était, je ne désirais qu'une chose : retrouver Deborah.Bien que je ne lui ai pas montré par de petits gestes attentionnés, je ne pouvais pas dire qu'elle ne m'avait pas manqué.Je n'étais pas un de ces hommes qui prenaient sans cesse le téléphone pour appeler sa bien-aimée, elle comprenait, du moins je le pensais.Quand mon chauffeur finit par arriver, je continuais de surveiller la légère baisse de mon entreprise à la Bourse, et continuait en vain de joindre Deborah.
    Moi, qui en général, gardait mon sang-froid dans n'importe quelle situation, ce dernier commençait un peu à me délaisser, en effet, ce n'était pas la première fois qu'elle ne répondait pas, que j'avais du mal à la joindre, et son comportement parfois distant avec moi, me laisser craindre le pire.

    La chaleur était encore plus intense à Miami qu'à New York.Quand mon chauffeur me déposa à l'entrée de la résidence que je partageais avec Debbie, je fus surpris de voir que même sa voiture n'était pas garée à l'endroit où elle l'était en général.Un élément qui fait que mon agacement de la journée se renforçait.Je pris congé auprès de mon chauffeur, le laissant vadrouiller dans Miami pendant quelques jours, et ne me préoccupant pas de ce qu'il pourrait faire.Costume trois-pièces, lunettes de soleil sur le nez, cheveux impeccablement coiffés, je venais de faire mon entrée dans mon nouveau quartier, une arrivée qui ne surprenait désormais plus mes nouveaux voisins.C'est à ce moment là que mon regard balaya le quartier après que mon chauffeur partit.La plupart d'entre eux, je parle de mes voisins, me considèrent comme un homme bon, ils me trouvent souriant, charmant et même sympathique.Qu'ils sont naïfs, j'envisageais de répondre par un sourire faux à l'un de mes voisins qui venait de me saluer au loin.La réputation des Wagner était une chose à laquelle je tenais particulièrement, et faire attention à l'image que l'on pouvait renvoyer y contribuait.Si Deborah avait été jusque là la reine des glaces avec le voisinage, j'avais opté pour un minimum de sociabilité avec ceux qui étaient désormais mes voisins.
    J'entrais alors dans ma nouvelle demeure déposant, dans le hall, mallette et journaux qui avaient pu faire mon divertissement durant le trajet sur un meuble en marbre qui surplombait l'entrée.Aucun son, pas de domestiques, il était évident que ma chère et tendre femme ne se trouvait pas à la maison.Etait- ce un raison pour lui faire une scène ? Non, mais je n'aimais pas savoir Debbie dehors sans qu'elle soit surveillée par quelqu'un de confiance que j'aurais pu engager.Ce n'était pas chrétien, ni même franc de faire surveiller celle qui partageait mes jours et mes nuits, mais il était nécessaire de le faire quand on sait qu'une femme comme elle se ballade à l'affut des regards des autres hommes.
    Je finis par dénouer ma cravate et me dirigea par des pas décidés à rejoindre le salon, c'est dans cette pièce que je finis par me détendre en me servant un verre de bourbon, c'est également là que je vis par la large baie vitrée Deborah qui sortait de son Austin cabriolet, l'air de rien, toujours aussi magnifique.La question était : Où était-elle partie ? Qu'avait-elle fait en mon absence ? Et surtout pourquoi n'avait-elle pas répondu au téléphone ? C'est alors que je m'adossa à l'encadrement de la porte du salon, histoire de lui faire une surprise.Un bruit de clé, la poignée de porte tourna, et Deborah entra, laissant ses affaires au même endroit où je les avais laissés, elle ne porta guère attention à mes affaires et semblait préoccupé.Je n'aimais pas son attitude, son visage froid, et son air soucieux et suspect.Elle se trouvait dos à moi, rangeant ses affaires.

    - Tu pourrais répondre quand je daigne t'appeler.

    Un léger cri, je lui avais fais peur, elle se retourna.Pas un sourire, elle semblait surprise, béate, ne savait pas quoi répondre.Que me caches-tu donc Deborah Penright ?


    - Oui, car au lieu de faire ta moue surprise, tu aurais su que j'arrivais aujourd'hui. Et ne me fais pas le coup du "Je n'avais plus de batterie, chéri."

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- (famille penright-wagner)  kill me softly, debbie ! Vide
Message(#) Sujet: Re: - (famille penright-wagner) kill me softly, debbie ! - (famille penright-wagner)  kill me softly, debbie ! EmptyDim 14 Juin 2009 - 18:00



    Le comble pour une femme mariée, c'était l'ennui.Bien que ce ne soit pas le cas de beaucoup de ménagères d'Ocean Grove préoccupées toute une journée par leurs enfants ou par leur mari, c'était le cas de Deborah Penright.Mais pouvait-on la considérer comme une de ses femmes dévouées qui donnerait tout pour leur famille ? La chose serait bien naïve de penser qu'une femme comme Deborah se consacrait uniquement à trahir son mari en le trompant avec le fils de ce dernier, ce qui en faisait potentiellement son beau-fils.Non, Deborah Penright n'était pas le genre de femme à qui l'on pouvait confier la tâche de prendre soin de sa famille vu que jour après jour, elle ne faisait que de la gâcher.
    Comme tous les matins où son mari ne se trouvait pas à Ocean Grove, mais bel et bien en train de s'acharner sur ton travail à New York, Deborah Penright jouissait de la vie en célibataire qu'elle s'accordait, et que son voisinage avait pu remarquer : de ses sorties nocturnes et mondaines où elle revenait tard dans la nuit, de son besoin compulsif de revenir chaque jour avec des sacs où le nom d'une marque luxueuse était inscrite.Mais la chose que le voisinage pouvait soupçonner le plus, ce n'était ni le fait que la jeune femme sorte beaucoup, et ni le fait qu'elle achetait autant de fois que son mari lui manquait, mais un tout autre type d'activités digne de n'importe quelle célibataire légèrement garce, se trouvant à Miami.En effet, si certains se fichaient complètement de ce que la jeune femme faisait en l'absence de son mari, certains étaient accrochés à leurs rideaux dès que cette dernière se dirigeait vers la résidence de son beau-fils.On connaissait beaucoup de talents et d'étiquettes stigmatisées à Deborah Penright mais celle d'infidèle pourrait lui coller parfaitement à la peau.Elle prétextait des visites familiales, prétendant que Morgan et elle s'entendaient vraiment bien, étant donné que la différence d'âge étaient maigre, elle faisait taire les rumeurs mais le lendemain elle suscitait de nouveau les commérages vaniteux et immatures de certaines femmes.
    Et pourtant elle continuait, comme elle continua encore ce matin à passer par derrière pour éviter une fois de plus les soupçons qui existaient déjà à son propos.
    La solution était pourtant simple, il fallait arrêter tout type de relation entre Morgan et elle, mais notre chère Deborah s'y refusait elle-même, c'était devenu une drogue et dieu qu'il était dur de se débarasser de sa nouvelle obsession.Morgan lui apportait un peu d'aventures, un peu de piment dans sa vie.Si une attirance physique importante existait, c'était aussi l'ennui qu'éprouvait Deborah dans son mariage qui la poussait à pêcher.
    Pourtant, elle avait toujours pensé que Jack était un mari parfait, mais seulement en apparences.Pour tout le voisinage, Jack était le voisin parfait, il était souriant, amical, charmant, drôle, s'arrangerait toujours pour répondre au service des autres.Il était vu comme l'homme parfait qui avait épousé la jeune et séduisante mante religieuse la plus connue dans le monde du mannequinat, ils étaient vu comme deux parfaits opposés et pourtant dès que Jack franchissait le seuil de la maison, et refermait la porte, c'était un tout autre homme, l'homme cruel et insaisissable qui avait élevé Morgan, mais qui avait aussi épousé Deborah.Il avait toujours été ainsi, même s'il avait souvent de bons côtés avec sa femme, il était tout aussi difficile à cerner et ne laisser pas beaucoup de monde entrer dans sa bulle.

    Ce matin même, Deborah s'était levé aux aurores afin de prendre une rapide douche, et de choisir la tenue qu'elle porterait lorsqu'elle irait voir Morgan dans les minutes qui allaient suivre.Si la jeune femme se levait si tôt, c'était pour éviter de croiser le plus de monde possible, afin de cacher la réalité au voisinage.Elle opta pour une robe jaune vif qui s'assortit parfaitement avec son teint légèrement caramélisé.Elle enfila une paire de talons noirs, et pris son sac à main à la volée.Après avoir passé la matinée à tromper son mari avec son fils, Deborah fila rejoindre Elisha Connors, une de ses amies, tout aussi cruelle qu'elle, pour déjeuner.Après ce déjeuner, Deborah fila alors rejoindre des amies mannequins qui étaient de passage à Miami, c'est avec plaisir qu'elles échangèrent des ragots lors d'une séance shopping.C'est donc en milieu d'après-midi que Deborah Penright avait décidé de rejoindre la maison afin de ranger tous ses nouveaux coups de coeur vestimentaires.Son retour suscita alors les commérages d'un attroupement de dames plus ou moins âgées lorsqu'elle passa devant elle en voiture.Le fait qu'elle soit au centre des rumeurs les plus folles pouvait parfois lui plaire, mais c'est une crainte immense qui empoisonnait petit à petit et quotidienement Deborah, comme si elle sentait qu'elle avait en effet un problème avec sa conscience.Mais refuser de voir le jeune Wagner était une chose qu'elle n'arrivait pas à faire, et si ce n'était pas elle qui le faisait, il faudrait que quelqu'un vienne un jour mettre à terme à cet adultère dont pour le moment Jack n'en avait aucune idée.Allumant une cigarette au passage, Deborah gara sa somptueuse voiture dans l'allée principale de sa maison, referma la porte avec soin afin de se diriger vers le coffre de la voiture où elle sortit divers sacs sortis des magasins de haute-couture.C'était çà l'avantage d'être une femme reconnue et respectée, le fait d'être Mrs.Wagner lui ouvrait bien des ports, mais son statut de mannequin lui avait ouvert le début de la gloire.
    C'est d'une démarche féline, le visage fermé et distant, d'une attitute glaciale et mystérieuse que Deborah Penright ouvra la porte de la maison qu'elle partageait avec Jack.Elle savait bien que ce dernier arriverait dans la journée, ou dès le lendemain.Mais il fallait avouer qu'aujourd'hui, le nom de Jack Wagner ne lui avait pas effleuré l'esprit.
    Posant ses divers achats dans le hall d'entrée, posant ses clés sur le meuble de l'entrée, elle remarqua que sa cigarette se consummait plus qu'elle ne l'avait imaginée.Et au moment où cette dernière fut écrasée par les doigts fins et sensuels de Deborah, elle remarqua que son mari était alors arrivé quand ce dernier se mit à parler.

    - Tu pourrais répondre quand je daigne t'appeler.

    Un son sortit de la bouche de la jeune femme, elle n'avait pas soupçonner une seconde la présence de son mari.Et c'est d'un geste vif qu'elle se retourna vers lui.Il se trouvait dans l'encadrement de la porte, cravate légèrement dénouée, verre d'alcool à la main, d'un sang froid toujours aussi irréprochable, il ne semblait pas énervé, tranquille, attendant une réponse de la part de sa femme.

    - Oui, car au lieu de faire ta moue surprise, tu aurais su que j'arrivais aujourd'hui. Et ne me fais pas le coup du "Je n'avais plus de batterie, chéri."

    Contrairement à lui, c'est un sentiment de panique qui submergea Deborah, elle était plus que surprise de le voir ici, c'est vrai qu'elle n'avait pas consulté son téléphone de la journée, ce qui était plutôt rare mais tout aussi évident quand on était occupé toute la journée.C'est d'un regard profond qu'elle regardait son mari, ses yeux bleus ne la trahissaient pas, elle savait mentir, elle avait longtemps appris à manipuler les gens, reste à savoir si Jack la croyait ou pas quand elle le manipulait.

    - Je suis vraiment désolé, j'ai revu d'anciennes amies mannequins et ayant passé l'après-midi avec elle, je n'ai pas consulté mon portable.Cela m'est complètement passé par la tête.

    Espérant que cela suffirait à apaiser la tension qui s'était développée en quelques instants, les lèvres de Deborah finirent par dessiner un léger sourire envers son mari afin d'apaiser la situation.Et c'est en s'approchant de lui de sa démarche féline et sensulle qu'elle déposa un long et tendre baiser sur les lèvres de son mari.Par ce geste, elle tentait de s'excuser, mais aussi de faire oublier à son mari les quelques doutes qui avaient pu traverser son esprit quand elle n'avait pas daigné répondre au téléphone.
    Quittant ses lèvres, l'espace d'un instant, elle planta son regard dans celui de son mari, et d'un ton amusé, elle décida de jouer avec le feu.

    - De toute manière, je sais comment me faire pardonner, n'est-ce pas Jack ?




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