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 I'm not a fan, so give me money ! - COLT

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Message(#) Sujet: I'm not a fan, so give me money ! - COLT I'm not a fan, so give me money ! - COLT EmptyVen 8 Avr 2011 - 16:04



Colt & Cléo
I'm not a fan, so give me money ! - COLT Cleo_e10

I'm not a fan
so give me money !






Se mouvant dans la salle-de-bain, Cléo terminait de se maquiller et de se coiffer. Du crayon noir sous les yeux pour augmenter l'intensité, un fard à paupière doré qui s'accordait à merveille avec sa peau, un peu de mascara, une légère couche de blush sur les joues et pour ponctuer le tout, un rouge à lèvre brun sur ses lèvres charnues. Elle ondula légèrement ses cheveux, les laissant détachés. Souvent, les clients préféraient, car ils pouvaient glisser leurs doigts dedans -ou les lui tirer comme des sauvages, tout dépendait de leurs préférences. Elle passa ensuite dans sa chambre, pour choisir sa tenue de travail. Elle avait limite plus de vêtements pour ça, que pour elle au quotidien. Elle soupira discrètement, trouvant ça vraiment déprimant. Mais depuis le temps, elle s'y était habitué. Au départ, à chaque fois qu'elle allait "bosser", elle avait envie de pleurer, de vomir et en rentrant, elle passait trois heures sous la douche pour laver son pauvre corps. Aujourd'hui, elle s'était blindée. Elle y allait sans y penser et se contentait d'une douche en revenant. De toute façon, elle avait vite comprit que ce n'était pas l'eau qui pourrait laver son corps. Les rares fois où elle avait l'impression d'être propre, d'être une véritable femme, c'était quand Goldie posait ses mains délicates sur elle. Oui, c'était les seules fois ou elle arrivait à oublier tout ça pour s'abandonner complètement à la magnifique blonde. Peut-être que le fait qu'elle soit une femme jouait beaucoup. Oui, c'était fort probable même. Enfin bref. Cléo avait finit par opter pour une petite robe noire à "froufrous" qui avouons le, la mettait véritablement en valeur. En même temps, c'était le but donc... Enfilant une paire d'escarpins aux talons vertigineux, elle enfila quelques bijoux discrets et sans grande valeur. Puis, elle recouvrit le tout d'un long manteau noir. Une touche de parfum dans le creux de la nuque, et elle était fin prête. La maison était vide ce soir-là. Goldie et Noah étaient sortit se pavaner devant les journalistes pour montrer ô combien ils étaient amoureux et tout le tralala. Ça lui donnait envie de gerber !

Mais ce soir, Cléo ne se rendait pas tout de suite sur son lieu de travail habituel. Elle avait été contactée pour être la "surprise" de jeunes hommes. Des musiciens à ce qu'il parait. Elle, elle n'avait jamais entendu parler de leur groupe. Et en vérité, elle s'en fichait bien ! Un client restait un client. Point. Elle espérait seulement ne pas tomber sur un groupe de 5 musiciens en manque. Sinon, son intervention prendrait rapidement les allures d'un mauvais porno. Ce qu'elle ne savait pas, c'était qu'à la base, on l'avait contactée parce qu'elle n'était rien d'autre qu'une prostituée de rue et qu'ainsi, on pensait emmerder les musiciens -une vengeance d'un homme trompé, sa copine étant fan d'eux, elle aurait apparemment oublié pour une nuit qu'elle était casée. Sauf que Cléo n'avait pas 50 ans, qu'elle n'était pas énorme, et encore moins vulgaire. Bref, qu'importe. Filant dans la nuit avec sa petite 106 noire, Cléo arriva sur le lieu dit. Une salle de concert visiblement. On lui avait donné un trousseau de clés qui lui permettrait de rentrer en toute discrétion, afin que la surprise soit totale. Cléo en était presque dégoutée. Est-ce que c'était vraiment une surprise dont ont rêvait ça ? Finir un concert et retourner dans sa loge et là HOP, découvrir une prostituée qui vous attend de pied ferme pour faire des galipettes ? La jeune femme secoua légèrement la tête de droite à gauche, essayant de penser à autre chose. De toute façon, elle avait déjà vu pire ! Elle se gara sur le parking privé, derrière le grand bâtiment. A l'intérieur, la musique assourdissante battait son plein, les hurlements passaient les murs sans peine tant la foule devait être déchainée. Certainement le rappel.

Cléo glissa la clé dans la serrure et la porte s'ouvrit sans problème. Elle jeta un coup d'œil à droite et à gauche, les couloirs étaient vides. Tant mieux. Elle fit quelques pas, scrutant les inscriptions sur les portes alors que le bruit de ses talons raisonnaient, brisant le silence. Finalement, elle s'arrêta devant la porte ou trônait fièrement la plaque "Loges des artistes". Elle attrapa la seconde clé du trousseau et ouvrit la porte, sans problème une nouvelle fois. Elle claqua la porte derrière elle, sans prendre le temps de la refermer à clé. Elle jeta ces dernières sur une commode avant de défaire son manteau et de le poser sur une chaise qui trainait. Sympa les loges dit donc. C'était le grand luxe ici. Canapé, bar et tout le confort. Même une salle-de-bain ! Cléo y alla faire un tour, afin de vérifier que tout était parfait sur elle. Elle resta de longues minutes toute seule devant le miroir, à réajuster sa robe, ses cheveux etc. Et puis, quelqu'un rentra. Allé, c'était à elle de jouer. Dernières vérifications et c'était bon. Elle éteignit la lumière de la salle-de-bain et ouvrit la porte, s'appuyant alors sur l'encadrement de la porte dans une position des plus provocantes. Lui tournant le dos, un jeune homme d'à peu près son âge à première vue, était en train de se servir à boire. D'une voix sensuelle, la belle brune lâcha alors : « Si tu veux, je pourrais te proposer un autre remontant... » Ça, c'était de l'entrée en matière claire, nette et précise. En même temps, elle était là pour ça alors bon. Le garçon se retourna aussitôt, visiblement surprit de sa présence. Lui offrant un sourire charmeur, Cléo se détacha du mur et avançant vers lui, féline et légère. Même si Cléo détestait son boulot, elle ne pouvait nier le fait qu'il était parfois moins difficile à exercer que d'autres. Autrement dit là, le jeune homme étant tout à fait séduisant, le dégoût serait amoindrit. Même s'il serait toujours bel et bien là. Approchant son visage à quelques centimètres du sien, le regard brûlant, elle glissa sa main droite sur le torse de l'inconnu en murmurant : « Tu dois être épuisé... Laisse-moi arranger ça. » Elle le poussa alors en arrière, l'obligeant à s'asseoir sur le canapé. Puis, elle fit demi-tour, partant à la recherche d'une chaine, ou quelque chose qui pourrait lui permettre de mettre un peu de musique. Elle en profita évidemment pour se déhancher, alors que sa robe révélait toutes ses fines jambes qu'elle exhibait fièrement. A force, c'était devenu machinal et elle n'avait même plus à réfléchir à ce qu'elle devait faire. C'était d'un triste...
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Message(#) Sujet: Re: I'm not a fan, so give me money ! - COLT I'm not a fan, so give me money ! - COLT EmptyDim 10 Avr 2011 - 21:23

Rythmant les dernières notes tout en laissant sa voix rejoindre celle de son frère, ce fut d'une dernière lignée endiablée qu'ils mirent fin au spectacle après le rappel. Disparaissant rapidement dans les coulisses afin d'éviter les hurlements typiques des fans, Colt, grisé par la scène et le spectacle qu'ils venaient tout juste d'offrir, se dirigea vers la loge dans l'espoir de calmer un peu ses nerfs à vif. Son frère et Dax n'étaient nulle part en vue et il ne prit pas la peine de les chercher; ils viendraient bien le rejoindre un jour ou l'autre. Si ça se trouve, ils étaient aux prises avec les journalistes; Colt n'en était que plus ravi d'être sortit de ce côté de la scène! Poussant la porte en laissant échapper un soupir de soulagement, il ne mit pas longtemps avant de se servir une bière, les cheveux ébouriffés et le regard un peu absent, euphorique. « Si tu veux, je pourrais te proposer un autre remontant... » Sursautant brusquement alors qu'il s'était réellement cru seul, la vue de la belle brune suffit à lui tirer un sourire. Provocateur, il but une gorgée de sa bière sans la quitter des yeux, avant de poser la bouteille sur la table non loin de lui. « Vraiment? Et tu sais que je pourrais appeler les flics pour te faire sortir d'ici? » Lui offrant un sourire amusé, mais charmeur alors qu'il accueillait la main de la belle sur son torse comme une invitation, la sienne se posa sur la hanche de la jeune femme en l'attirant légèrement vers lui. « Mais t'as de la chance, je me sens généreux. » avoua-t-il sans la quitter des yeux, alors que ses lèvres, d'une sensualité désespérante, presque agaçante, semblaient l'y inviter. « Tu dois être épuisé... Laisse-moi arranger ça. » Surpris de la voir prendre les choses en mains, Colt arqua un sourcil lorsqu'elle le poussa au creux du canapé avant de s'éloigner, le musicien la suivant du regard, ses prunelles se posant nonchalamment sur les courbes de son corps qu'elle s'était empressée de mettre en valeur. Colt ne savait pas comment elle avait pu faire pour s'introduire ainsi dans le couloir réservé aux artistes, mais tout ce qu'il savait, c'était qu'elle n'avait pas froid aux yeux. Décidément, les groupies ne cesseraient jamais de le surprendre!

« Épuisé, je sais pas. Tendu, ça, y'a pas de doute! » Il n'avait pas besoin de lui faire un dessin pour qu'elle comprenne de quoi il parlait et Colt n'avait pas l'intention d'attendre là qu'elle se décide enfin à s'occuper de lui. Se redressant alors que la radio émettait finalement ses premières notes, c'est d'un naturel déconcertant qu'il rattrapa la sublime brune pour laisser ses mains prendre d'assaut ses hanches et ses lèvres glisser dans son cou alors qu'il l'attirait contre lui. Son torse serré contre le dos de la jeune femme, il sentit une bouffée de chaleur l'envahir alors qu'il mordillait délicatement le lobe de son oreille. « Dommage, t'auras raté la fin du spectacle. » murmura-t-il à son oreille avant de chantonner quelques paroles, faisant écho à la radio juste pour elle, de manière à la faire fondre. Colt avait toujours aimé faire plaisir à ses fans, du moment qu'elles ne lui demandaient pas la lune. Il fallait dire que sa morale n'était pas ce qu'il y avait de plus élevée non plus et qu'il n'y avait pas grand chose qui pouvait s'interposer entre ses valeurs et ses obligations. Signer des autographes était l'une de ses obligations, obligation que Trent n'aimait pas trop remplir d'ailleurs, embrasser une fan un peu trop hystérique n'était qu'un plus qu'il se permettait de temps en temps, sans que ça ne touche aux conditions de leur contrat ou à ses propres valeurs. Il voulait profiter de la vie et quitte à être célibataire, autant jouer la carte de la drague jusqu'au bout, non? Il n'aimait pas spécialement user de son statut de musicien pour faire tomber les filles dans ses bras, ne serait-ce que pour la simple et bonne raison qu'il n'avait pas envie qu'elles se sentent trompées en pensant qu'il profitait d'elles, ce qui, même si ce pouvait être vrai - de temps en temps, comme tout le monde, non? - ne lui plaisait pas trop.

« Va falloir que tu m'expliques ton secret, ça pourrait m'être utile de savoir me prendre pour James Bond. » affirma-t-il en embrassant délicatement son cou sous le rire qui menaçait de s'échapper de ses lèvres. Bien sûr, il faisait référence à la facilité avec laquelle elle avait pu se glisser dans leur loge pour préparer sa petite surprise, surprise qui était loin de lui déplaire d'ailleurs! Ses doigts se faufilèrent jusqu'à sa cuisse, alors qu'ils remontaient sensuellement le tissu de sa robe pour lui laisser le champ libre.
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Message(#) Sujet: Re: I'm not a fan, so give me money ! - COLT I'm not a fan, so give me money ! - COLT EmptyJeu 14 Avr 2011 - 1:05



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so give me money !






Plutôt satisfaite de son effet de surprise, elle fut également assez soulagée de voir qu'il semblait plutôt ravie de la découvrir. Étant donné que personne n'était censé être au courant de sa venue, elle se serait retrouvé bien embêtée si on l'avait mise dehors. Tant de temps perdu alors qu'à cette heure-ci, ce n'était pas les clients qui manquaient. Et comme on dit, le temps, c'est de l'argent. Mais le doute étant levé, Cléo pouvait se concentrer sur ce qu'elle avait à faire. Après s'être autorisé une gorgée de sa bière, le jeune artiste déclara alors : « Vraiment ? Et tu sais que je pourrais appeler les flics pour te faire sortir d'ici ? » Cléo esquissa un petit sourire narquois, l'œil amusé. Vu comme il l'a dévorait des yeux, elle n'avait pas grand chose à craindre apparemment. Alors, provocante jusqu'au bout des doigts, elle vint poser sa main sur son torse, se mettant à le caresser légèrement s'amusant à l'effleurer alors qu'elle le fixait comme si elle lui lançait un défis. Le garçon vint déposer sa main sur la hanche de Cléo, l'attira légèrement vers lui. Se laissant faire, la belle creusa son dos afin d'accentuer l'effet de sa cambrure alors que sa chute de rein se faisait des plus parfaites. Avec le temps, Cléo avait apprit certaines choses assez simple pour attiser les fantasmes et les envies des hommes. Ce qui lui servait beaucoup au travail. Plus le client était content et satisfait, plus il donnait. Et Cléo pouvait ainsi se mettre un peu d'argent de côté, sans que ça n'aille dans la poche de Pride. Néanmoins, elle n'avait encore jamais essayé toutes ses techniques sur un homme autre qu'un client. Il fallait dire qu'elle avait si peu de relation en même temps... Voir aucune d'ailleurs. Elle avait beaucoup de mal à se laisser aller avec les hommes depuis qu'elle se prostituait. Un simple contact suffisait parfois à lu donner la nausée. Seules les femmes pouvaient encore lui provoquer un réel plaisir. Mais le sujet n'était pas là. Un sourire charmeur sur les lèvres, il ajouta finalement : « Mais t'as de la chance, je me sens généreux. » Lui effleurant les lèvres, Cléo échappa un petit rire satisfait. Bah tiens, qu'elle générosité. Espérons qu'il se montre aussi bon lorsqu'il sortira ses doux billets verts. C'était tout ce qu'elle lui demandait finalement. Puis, se détachant brusquement de lui, elle le poussa en arrière de façon à le faire tomber sur le canapé avant de s'éloigner de lui en se dandinant sensuellement -histoire de lui mettre l'eau à la bouche- avant d'allumer la radio afin de créer une ambiance. C'était toujours plus sympa que le silence d'une chambre d'hôtel ou seuls les gémissements rauques d'un homme marié en manque raisonnaient.

« Épuisé, je sais pas. Tendu, ça, y'a pas de doute! » Tiens donc. Cléo tourna légèrement la tête dans sa direction, continuant de lui tourner le dos. Ses cheveux virevoltant sous la force du mouvement, elle lui adressa un regard de braise, lui montrant que le message était bien passé et qu'elle allait s'occuper de résoudre ce problème. D'ailleurs, elle s'empressa de souffler d'une voix suave : « Ça tombe bien, j'ai plusieurs choses pour remédier à ça... » Le jeune homme se leva alors, la rejoignant rapidement. Posant ses mains sur ses fines hanches, Cléo se laissa faire alors qu'il partait déjà à la conquête de son cou, y déposant quelques baisers laissant facilement deviner la suite des évènements. Plaquée contre lui, sans possibilité de s'échapper, Cléo déposa ses mains sur celle du garçon alors qu'il s'était mit à lui mordiller le lobe de l'oreille. Mouvant délicatement son bassin contre Colt, la jeune femme pencha sa tête en arrière, la déposant sur son épaule. « Dommage, t'auras raté la fin du spectacle. » Déclara-t-il juste avant de se mettre à lui fredonner une de ses chansons. Mon dieu, s'il savait comme elle en avait rien à faire de son concert pour adolescentes en chaleur ! Mais à fond dans son rôle, Cléo fit mine d'être charmée par l'honneur qu'il lui faisait de chanter rien que pour elle, dans de telles conditions. Elle rétorqua alors, malicieuse et séductrice : « Heureusement, tu es là pour me consoler. Et je suis sûre que ça vaut toutes les fins de spectacles. » On pouvait difficilement être plus claire que ça.


« Va falloir que tu m'expliques ton secret, ça pourrait m'être utile de savoir me prendre pour James Bond. » Cléo redressa la tête, échappant un nouveau rire. Il le faisait exprès ou quoi ? Il devait bien se douter qu'on lui avait refiler les clés pour pouvoir entrer afin de pouvoir s'offrir à lui. Comment aurait-elle fait autrement ? Elle n'était pas superwoman. Mais visiblement, le chanteur s'amusait de la situation et préférait la prendre pour une fan, certainement tellement folle de lui qu'elle était prête à tout pour pouvoir obtenir ses faveurs. Bof, si ça lui faisait plaisir... Il était vrai que c'était un scénario plus sympa que le simple fait de se faire une prostituée qui faisait ça toutes les nuits. Glissant sa main droite en arrière, jusque sur la joue du garçon et la remontant pour la perdre dans sa chevelure, elle répondit finalement : « Je préfère conserver le mystère. Je ne dévoile jamais mes techniques... Quel que soit leur style. » Autrement dit, elle parlait autant de sa capacité à rentrer n'importe où, que de ses prouesses sexuelles. Repartant à l'assaut de son cou, la jeune femme frissonna légèrement tandis qu'il glissait sa main sur sa cuisse, remontant progressivement et entrainant le bout de tissu qui lui servait de robe au passage. Cléo se détacha alors de lui sans crier gare, se retournant afin de lui faire face. Le regard coquin, elle se mordilla la lèvre inférieure. Elle attrapa la main du garçon et sans hésiter vint la déposer sur la courbe de ses fesses, alors que son autre main se perdait déjà sous son tee-shirt. Et oui, quand Cléo travaillait elle était rapide et efficace. C'était un peu le dicton de la "maison" si j'puis dire. Ce fut alors à son tour de déposer ses lèvres dans le cou du jeune homme, lui donnant des baisers digne de la professionnelle qu'elle était. Sa première main revint se perdre dans les boucles du beau brun, dans un geste sensuel et attractif. Ses lèvres remontèrent sur sa nuque, puis sa joue et enfin s'arrêtèrent à la commissure de ses lèvres. Délicatement, elle attrapa la lèvre inférieure du garçon entre ses dents avant de refermer ses lèvres pulpeuses dessus et finalement, la relâcha et recula son visage du sien. Elle se détacha de lui encore une fois et posa ses deux mains sur son torse afin de le pousser en arrière pour le ramener jusqu'au grand canapé. Là, elle s'attaqua à sa chemise, lui retirant rapidement ses boutons, un à un. Elle remonta l'une de ses jambes dénudée contre celle de Colt, l'entourant alors avec. Une fois la chemise ouverte, elle l'a lui retira dans un mouvement rapide et calculé. Néanmoins, tellement habituée à voir des corps d'homme, son regard ne se perdit pas sur le torse de l'artiste, pourtant très bien taillé.

L'obligeant à se mettre sur le canapé, elle souffla à son oreille : « Allonge-toi sur le ventre... » L'homme s'exécuta, et Cléo lui grimpa dessus à califourchon, se lançant alors dans un massage des plus torrides. Ses mains allaient et venaient le long de son dos musclé, et parfois elle se penchait au-dessus de lui, venant y ajouter ses lèvres et quelques mordillements sensuels, tandis que ses cheveux lui effleurait délicatement la peau, comme une douce caresse. Elle laissait parfois ses mains descendre sur les côtés, frôlant ses hanches et la naissance de son ventre, pour remonter jusqu'à sa poitrine, cherchant à lui provoquer des frissons d'un autre ordre. Puis, elle replaçait ses mains, et cette fois-ci, les laissait descendre jusqu'à son pantalon, reculant à son tour sur le corps du jeune homme, comprimant son corps contre le sien. Posant sa bouche joueuse et quémandeuse au-dessus de sa ceinture, elle remonta le long de son dos jusqu'à retrouver sa position initiale. Première étape, le surprendre et le charmer. Fait. Deuxième étape, le détendre et le mettre en appétit. En cours. Troisième étape ? Surprise ! Et si le dicton disait "Jamais deux sans trois", avec Cléo, c'était plutôt "jamais trois sans quatre", si ce n'est plus... Colt n'était pas au bout de ses surprises.
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Message(#) Sujet: Re: I'm not a fan, so give me money ! - COLT I'm not a fan, so give me money ! - COLT EmptyDim 17 Avr 2011 - 7:05

« Je préfère conserver le mystère. Je ne dévoile jamais mes techniques... Quel que soit leur style. » Colt arqua un sourcil sous la surprise, n'ayant aucun mal à imaginer la féline brune en femme chat. D'ailleurs, son emprise sur la jeune femme se fit plus fougueuse alors qu'elle se retournait vers lui, le musicien ne se privant pas de laisser courir ses doigts le long de la peau que lui offrait généreusement la belle. Les frissons qu'elle lui procura en faufilant sa main sur son torse n'étaient rien comparé à ceux prodigués par ses lèvres dans son cou. Elle savait décidément très bien s'y prendre, il n'y avait aucun doute là-dessus. Elle savait jouer des charmes de sa bouche, pulpeuse et sensuelle à souhait, pour lui soutirer des frémissements qu'il aurait malgré lui aimé retenir. Céder aussi facilement n'était pas dans ses habitudes, lui qui adorait se faire désirer et s'assurer de faire patienter un maximum celle qui partagerait son lit. La situation était toute autre désormais puisqu'il n'avait rien eu à faire, qu'elle s'était imposée d'elle-même et qu'elle était celle qui prenait les devants sans même lui demander de participer. Cette attitude aurait dû lui mettre la puce à l'oreille, mais le musicien n'était pas en état d'analyser les moindres faits et gestes de sa partenaire, ayant surtout l'intention d'agir, justement.

Étonné de la voir prendre les devants de cette façon alors qu'elle le poussait allègrement vers le canapé, Colt attrapa ses lèvres avec fougue pour l'embrasser alors que la jeune femme ne s'était pas encore permise de le faire. Au vu de son attitude plus que provocatrice, il ne faisait aucun doute que cela n'aurait su tarder et il mit un point d'honneur à prendre de l'avance, laissant sa langue s'entremêler à la sienne et son souffle caresser le sien sans pudeur. Malicieux, il mordilla sa lèvre inférieure alors qu'elle le repoussait contre le canapé, l'attirant à sa suite lorsqu'il y bascula. « On ne se débarrasse pas de moi comme ça ... » chuchota-t-il à son oreille avant de suivre d'un coup de langue les courbes de sa mâchoire jusqu'à effleurer à nouveau son cou d'un baiser. Bien vite, il se vit à moitié dénudé alors qu'elle lui avait retiré la chemise qu'il avait bien dû changer deux fois au cours du spectacle. Ce n'était tout de même pas de sa faute à lui si courir sur la scène avec sa guitare entre deux rythmes de batterie n'était pas de tout repos! « Allonge-toi sur le ventre... » L'audace de la jeune femme ne cesserait jamais de le surprendre et il obtempéra avec délice à la simple pensée de ses mains, douces et lascives, sur son corps meurtri par la dure réalité des concerts. Évidemment, c'était la meilleure excuse pour expliquer une délicieuse demande de massage, mais Colt ne manquait pas d'énergie et délier ses muscles n'était qu'une possibilité envisageable, pas une obligation. Le poids de la jeune femme au creux de ses reins ne suffit qu'à exciter davantage ses sens déjà en éveil, alors qu'il fermait les yeux pour tenter de contrôler la chaleur qui émanait de lui, n'ayant pas l'intention de s'incliner aussi aisément. Ou du moins, ce fut la promesse qu'il venait de se faire à l'instant, avant même que la belle brune ne commence son massage, laquelle il n'était pas certain de pouvoir tenir au vu des sensations toutes plus exquises les unes que les autres qu'elle tentait de lui procurer. « Huuumm... » ne put-il s'empêcher de lâcher sous les coups de langue qu'elle s'efforçait de garder appropriés. Qu'aurait-il pu donner pour qu'elle laisse tomber les barrières qu'instauraient encore entre eux les vêtements qu'ils portaient, se sentant soudainement à l'étroit alors que son propre corps, en ébullition, ne demandait plus qu'à assouvir cette pulsion qu'elle avait réussi à faire naître en lui.

N'y tenant plus alors que la belle s'était redressée légèrement, il fit de même afin de la renverser, manquant de s'étaler de tout son long au sol en ne prenant conscience qu'une seconde trop tard de l'étroitesse - il ne lui avait pourtant jamais paru si petit avant! - du canapé et ne se rattrapant qu'au dernier instant. Il clôtura le tout d'un baiser passionné où trônait une once d'orgueil qu'il tentait en vain de récupérer. Il fit glisser les bretelles de la robe sur les épaules de la brune et embrassa avec empressement la peau désormais mise à nue. Tant pis pour l'éthique, il n'avait plus envie de faire semblant. Elle avait fait naître en lui des envies que même le retour, supposé pour bientôt, de son frère et Dax n'aurait su apaiser. De toute façon, ce n'était pas comme si ce serait la première fois que l'un ou l'autre le trouverait dans une situation semblable, la surprise n'égaierait même plus leurs traits et il entendait d'ici la voix de Dax le sermonnant alors qu'il avait préféré baiser la première venue au lieu d'imposer sa présence devant les journalistes. À bien y penser, il avait fait le bon choix, d'autant plus qu'il savait, maintenant, ce qui l'attendait dans la loge. Il glissa ses doigts dans les cheveux de la jeune femme alors qu'il posait un genou de chaque côté de son corps dans l'espoir vain de se retenir. Sa main délaissa sa chevelure pour glisser sur le galbe de sa poitrine, sans avoir retiré la robe au préalable. Sa jambe se serra contre la sienne afin de ne plus laisser entre eux qu'une infime distance, distance qui lui permit de retirer, non sans peine, la robe que portait la belle. Contemplant avec délice les courbes qui s'offraient à lui, Colt laissa ses doigts pianoter sur la cambrure de ses reins, se demandant si quelqu'un l'attendait au détour d'une rue. Dans une maison aux apparences coquettes comme le laissait présager la leur. « Avoir su que tu m'attendais ici, j'aurais épargné les oreilles déjà malmenées par la musique trop forte en coupant court au spectacle... » murmura-t-il à son oreille, d'une voix suave qui se voulait enjôleuse. L'aurait-il fait? Bien sûr que non. Mais c'était tellement bon d'y croire!
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Message(#) Sujet: Re: I'm not a fan, so give me money ! - COLT I'm not a fan, so give me money ! - COLT EmptyVen 22 Avr 2011 - 23:57



I'm not a fan
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Son expérience rendait ses gestes infaillibles. Elle ne fut nullement surprise de le sentir frisonner sous ses caresses osées, habituée à ça, autant qu'il devait être habitué aux cris de ses fans. A l'aise, Cléo menait la danse avec assurance, sachant pertinemment ce qu'elle faisait et ce qui semblait d'ailleurs surprendre le jeune musicien. Qui cependant, se laissait faire avec plaisir visiblement. Alors qu'elle l'avait fait basculer sur le canapé, le jeune homme s'empressa de venir sceller ses lèvres aux siennes, et la brune lui rendit son baiser avec plus de professionnalisme que de passion pour le moment. Jouant avec sa langue et ses lèvres comme une experte, elle ne prenait même pas la peine de fermer les yeux, de toute façon, ça ne changeait rien pour elle. Du moins, pour le moment. Car il fallait dire que le jeune homme n'était vraiment pas déplaisant, et bien loin des vieux tas imbibés d'alcool qui venait se faire un petit plaisir vite fait avant de l'abandonner comme une merde, comme si elle n'était pas un être vivant. Alors parfois oui, très rarement, elle s'autorisait à savourer un peu. Juste pour soulager un peu son dégoût et sa fatigue. Car même si elle devait coucher avec l'homme le plus canon de la terre, ça n'aurait jamais la même intensité que si elle l'avait fait par choix. Comme avec Goldie par exemple... Enfin bref, la question n'était pas là. Leurs lèvres se détachèrent et le jeune homme lui murmura alors, d'une voix malicieuse : « On ne se débarrasse pas de moi comme ça ... » Ça tombait bien, elle n'avait nullement l'envie de se débarrasser de lui. Au contraire, plus ils feraient de choses ensemble et plus le tarif allait augmenter. Alors comment vouloir lui échapper ? Même pas en rêve. Se mettant alors à son massage puisqu'il s'était enfin résigné à lui présenter son dos, Cléo fit preuve de beaucoup d'attention et ne manqua pas de varier les gestes pour satisfaire son plaisir croissant. Il fallait dire qu'elle était là pour se plier en 4 et essayer de le satisfaire au maximum. C'était son boulot quoi. Même si elle devait avouer que ce soir, son travail lui plaisait un peu plus que d'ordinaire. Elle laissait ses yeux parcourir le dos bien taillé du musicien, si disant qu'en d'autres circonstances, elle aurait réellement put apprécier cet instant. Oui, en d'autres circonstances... « Huuumm... » Soupira-t-il, visiblement conquis par les mains agiles de la brunette. Un fin sourire se glissa sur ses lèvres pulpeuses, ravie de voir l'effet qu'elle avait sur lui.

Mais le garçon était pleins de surprise. Alors qu'elle pensait l'avoir à sa merci et diriger pleinement la séance, il se redressa subitement, la faisant basculer en arrière et lui échappant un petit soupire de surprise. Elle dû par la suite se mordre la lèvre inférieure pour ne pas se mettre à rire alors qu'il venait de manquer de s'étaler par terre. Mon dieu, il était parvenu à la faire sourire ! Miracle. Je veux dire, Cléo ne souriait jamais "pour de vrai" lorsqu'elle travaillait. Non, elle jouait un jeu, tout simplement. Mais là, l'ambiance plutôt détendue et agréable la mettait réellement à l'aise et elle n'avait pas envie de vomir dès qu'elle croisait son regard. Ce fut donc avec un petit regard mutin qu'elle le laissa revenir à lui pour échanger un nouveau baiser. Un peu surprise par l'intensité de celui-ci, Cléo finit par se laisser aller et le lui rendit, glissant sa main droite dans sa nuque, l'effleurant doucement pour lui provoquer encore quelques frissons. Visiblement, il aimait prendre les choses en main lui aussi. Alors tant pis, pas d'étape trois pour lui, qui n'était rien d'autre que celle du striptease. Quels impatients ses jeunes tout de même ! Tant pis pour lui, il ne savait pas ce qu'il ratait en grillant les étapes ainsi. Rapidement, ses bretelles de robe tombèrent et elle se laissa faire, signe qu'elle s'offrait totalement à lui. Même si de toute façon, ça avait été clair depuis le début. En même temps, elle était là pour ça alors forcément... ! Il se redressa ensuite, se plaçant au-dessus d'elle et bloquant son corps entre ses deux genoux, alors qu'il venait poser ses lèvres brûlantes sur la peau dorée de Cléo. Fermant les yeux quelques secondes, elle pencha la tête en arrière, laissant ses cheveux tomber en cascade dans son dos. Glissant ses mains sur le torse du garçon, elle les remonta jusqu'à ses épaules et les laissait aller et venir de part et d'autre de son buste découvert, jusque dans sa nuque. Puis, elle les laissait redescendre parfois un peu plus bas encore, s'aventurant à la naissance de son pantalon. Le garçon parcourait son corps à moitié découvert de ses mains viriles et de ses lèvres semblables au plaisir lui-même. Et alors qu'il découvrait le galbe de sa poitrine, il parvint même à lui arracher un discret frisson alors qu'elle rouvrait précipitamment les paupières, surprise de cette réaction non contrôlée. Les choses s'enchainèrent et rapidement, sa robe tomba au sol, révélant un ensemble noir en dentelle des plus suggestifs avec une pointe de transparence.

Elle lui jeta un regard passionné, comme s'il n'était qu'une proie et que son corps délicat était le piège. Même si à première vue, c'était elle qui semblait prisonnière de son emprise puissante. De nouveau, il porta sa bouche à son oreille pour lui susurrer sur un ton qui en aurait fait fondre plus d'une : « Avoir su que tu m'attendais ici, j'aurais épargné les oreilles déjà malmenées par la musique trop forte en coupant court au spectacle... » Bah tiens ! Cléo se retint de rire, ne voulant pas le froisser. Elle se retrouverait bien bête s'il s'avérait être des plus susceptibles et prenait la mouche face à sa moquerie, la plantant ici sans la payer ! Elle n'était pas venue pour perdre du temps. Jouer le jeu, il n'y avait que ça. Elle prit une mine totalement séduite par ses propos, feintant d'être flattée par une aussi délicate attention. Non mais vraiment, il y avait véritablement des filles qui seraient enchantées d'entendre ça ? Qu'elles idiotes ! On voyait bien qu'elles ne connaissaient pas les hommes. Leur vrai nature quoi. Mais sa situation de prostituée reprit le dessus et rapidement, elle se redressa, échappant à son emprise. Se mettant à genoux sur le canapé, face à lui, elle s'attaqua à la ceinture de son pantalon en répondant : « C'est mieux ainsi, l'effet de surprise n'est que meilleur. Avoue-le... » Elle approcha son visage du sien, effleurant ses lèvres pour le provoquer jusqu'au bout et lui faire avouer qu'en effet, la retrouver ici sans s'y attendre était bien mieux que de savoir. Une fois la ceinture et les boutons défaits, Cléo se releva et descendit du canapé. Là, dans des gestes sensuels et parfaitement contrôlés, elle fit glisser son pantalon le long de ses jambes, lui offrant quelques caresses et baisers brûlants au passage, faisant lentement monter la pression. Une fois le pantalon à terre, Cléo reposa son regard dans le sien, en petite tenue devant lui. Là, elle adopta une position qui la mettait bien en avantage et tout doucement, dégrafa son soutient-gorge avant de le laisser tomber au sol, dévoilant les courbes parfaites de sa poitrine. Elle murmura d'une voix basse et chaude : « Comme ça, on est a égalité. » Petit sourire en coin, et Cléo revint se placer au-dessus de lui, lui volant un baiser furtif, avant de laisser ses lèvres descendre le long de son corps, alors que ses fines mains s'aventuraient sur son caleçon, ne l'abaissant que très légèrement pour le moment. A vrai dire, ça l'amusait presque de le faire languir comme ça, de jouer avec son excitation et son impatience. Elle aimait garder le contrôle de la situation. Même si avec lui, ce n'était pas chose évidente et elle se doutait sans mal qu'il risquait rapidement de reprendre les choses en main, afin d'écourter cet instant pour passer aux choses sérieuses.


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Message(#) Sujet: Re: I'm not a fan, so give me money ! - COLT I'm not a fan, so give me money ! - COLT EmptyMer 27 Avr 2011 - 3:26

« C'est mieux ainsi, l'effet de surprise n'est que meilleur. Avoue-le... » « Je ne m'en plains pas. J'adore les surprises. » D'une voix suave, grave, presque entrecoupée d'une respiration semi-saccadée maintenant qu'elle s'affairait à lui retirer son jeans non sans caresser et embrasser les parcelles de peau qui étaient maintenant à découvert. Elle lui procurait de drôles de sensations, mais c'était tellement agréable! Peut-être était-ce dû à l'euphorie qu'il ressentait encore de son départ de la scène? Peut-être était-ce la raison pour laquelle il semblait tout éprouver à la puissance mille? Lorsqu'enfin elle réussit à le débarrasser complètement de son pantalon, Colt l'aurait bien attiré à lui, mais la jeune femme s'était reculée de façon à dénuder sa poitrine sous le regard on ne peut plus avide du musicien. Ce qu'elle était belle, bon sang! « Comme ça, on est a égalité. » Loin de penser qu'elle avait raison puisqu'une poitrine de femme valait largement plus qu'un torse de mâle, il demeura silencieux, patient, en espérant qu'elle reviendrait vite vers lui pour le laisser en profiter. Il n'eut pas à attendre longtemps et son excitation n'en fut que plus grande alors qu'elle revenait serrer son corps contre le sien, le musicien laissant ses mains insatiables prendre possession de ce corps tellement parfait. Allouvi, Colt frémit et ferma les paupières dans un sursaut de désir, la laissant jouer avec sa patience non sans tenter de la récupérer pour lui tout seul, conscient qu'il ne pourrait pas rester longtemps comme ça. Son envie d'elle était on ne peut plus claire, alors qu'il la laissait néanmoins prendre les choses en mains, se jurant de renverser la donne lorsqu'il en aurait l'occasion.

Charmé par l'audace de la jeune femme et ses courbes plus qu'appétissantes, le musicien laissa ses doigts glisser le long de ses hanches jusqu'à attraper le fin morceau de tissu qui la couvrait encore. D'une oeillade sensuelle, Colt fit descendre le sous-vêtement le long des fines jambes de la demoiselle, ses lèvres capturant les siennes pour l'entraîner dans un baiser à la saveur de folie. Il n'avait pas envie d'attendre. Plus il attendait, plus ils risquaient de se faire surprendre et même si ce n'était pas ce qui empêcherait Colt de s'adonner à se genre de pratique dans leur lieu de paix et de repos, il ne cherchait pas non plus à provoquer les deux membres de son groupe, déjà suffisamment poussés à bout par ses conneries passagères. Retirant complètement le tissu en laissant ses mains caresser ses cuisses, ses jambes, ses mollets, il poussa même l'audace jusqu'à embrasser son genou, remontant avec empressement, mais délicatement, le long de sa cuisse pour la parcourir de baisers, sans néanmoins s'attarder. Sa langue titilla un instant son nombril, remonta le long de son ventre jusqu'à traînasser un moment sur la poitrine de la jeune femme pour tenter de lui procurer quelques frémissements malgré son désir toujours plus grand de l'embrasser, de la caresser et de la posséder.

***
Épuisé, la respiration haletante, le musicien lui vola un nouveau baiser avant d'embrasser son cou, se redressant brusquement pour récupérer le caleçon qui s'était retrouvé un peu plus loin sur le sol. Une fois qu'il l'eut enfilé, il revint sceller leurs lèvres rapidement, murmurant à son oreille un doux: « Je reviens. » avant de disparaître non sans jeter un regard derrière lui pour observer la demoiselle toujours couchée sur le canapé. Ses cheveux épars de chaque côté de son visage lui donnaient un air farouche qui lui plaisait bien et son corps dénudé s'offrait de nouveau à lui, des frissons parcourant son corps à la seule pensée de ce qui aurait pu l'attendre s'il n'avait pas eu à plier rapidement bagages pour ne pas se faire surprendre dans le plus simple appareil. Pénétrant dans la salle de bain en poussant un soupir de soulagement, le musicien referma et verrouilla la porte derrière lui avant de faire couler la douche jusqu'à ce que l'eau soit chaude et qu'il puisse s'y glisser, après avoir retiré son sous-vêtement. Non seulement il avait eu chaud lors du concert, mais la sueur qui suintait désormais sur son corps avait été ravivée par les frémissements dont il avait été victime quelques minutes plus tôt. L'eau chaude lui fit du bien et il resta dans la cabine de couche, la tête appuyée contre la vitre, un long moment après avoir coupé l'eau, tentant de reprendre ses esprits.
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Message(#) Sujet: Re: I'm not a fan, so give me money ! - COLT I'm not a fan, so give me money ! - COLT EmptyJeu 28 Avr 2011 - 2:44

HJ : Indexe en bas de page.
Pourquoi diable - putain de bordel de merde ! - fallait-il toujours que ce soit le cul de Colt qui soit bordé de nouilles et non pas le sien ? Pourquoi ? A croire qu'un enfoiré de barbu sadiquo-pervers s'éclatait, depuis son nuage divin tout la haut dans le ciel, à faire se dresser sur la route de Trent impasses et contre-temps là où celle de son frère avait à chaque fois la chance d'être pavée de pâquerettes et de poneys allègres galopant crinière au vent ... Plus concrètement, c'est d'un pas lourd et agacé que Trent parvint enfin à regagner la loge après avoir du s'extirper des griffes de dizaines d'adolescentes hystériques qui - par on ne sait quelles astuces fourbes et pleines de vices - avaient réussi l'exploit de s'infiltrer en coulisses, précisément du côté de la scène où il était sorti seul tandis que Dax et Colt avaient préféré tirer leur révérence du côté opposé. Ah, s'il avait su qu'un troupeau de groupies enragées les attendait en embuscade côté cour, il aurait lui aussi fait le choix de sortir côté jardin ! Mais, comme pour confirmer la théorie du complot divin précédemment exposée, il avait fallu que ce soit sur lui que ça tombe ce soir là. " Encore " avait-il envie de dire tout en tournant sa clef dans la serrure de la loge.

Arrivé dans le vestiaire, il se défit de son t-shirt trempé de sueur et le balança sèchement sur la table qui servait de coiffeuse / retouche maquillage à Dax. Une Dax qu'il avait aperçu de loin en train de draguer l'un des vigiles et qu'il - en bon ami qu'il était, malgré tout - avait préféré laisser à son affaire plutôt que de rediriger vers elle la horde de gamines bavantes et suppurantes, assoiffées de câlins, d'autographes et de phots, bref, de tout ce qu'il détestait en somme. Là tout de suite, il ne rêvait que d'une chose : prendre une douche. Cela dit - et parce qu'il s'était donné tellement sur scène qu'il en avait oublié de s'hydrater - il préféra faire un détour par le bar pour se servir un verre avant d'aller nettoyer les traces de bave et peut-être même de gloss que certaines des adolescentes avaient laissé sur sa peau. Aussi se dirigea-t-il vers la porte qui lui faisait face plutôt que vers celle de la salle de bain pour l'ouvrir en toute innocente, sans s'attendre à découvrir le corps nue d'une parfaite inconnue allongée sur le canapé.

« Putain mais c'est pas vrai ça, il en pousse de partout ! » Maugréa-t-il en détaillant froidement la plastique de rêve de la nymphe. « Allez hop, tu te rhabilles et tu te casses, c'est fini les conneries maintenant ! » Expliqua-t-il en s'avançant d'un pas pour dégager le passage tout en tendant le bras et en claquant des doigts en direction de la porte comme s'il ordonnait à un chien de suivre le chemin indiqué. Il en avait sa claque de toutes ces gonzesses en manque et le fait que celle-ci en particulier ait eu l'audace de se foutre à poil, les jambes quasi écartées, dans l'attente qu'il (lui ou son frère, allez savoir ... voire même Dax, pourquoi pas ; la seule musicienne du groupe déchainant aussi, selon la presse spécialisée, les passions de la population lesbienne !) revienne dans la loge était pour ainsi dire la goutte d'eau qui faisait déborder le vase.


Spoiler:


Dernière édition par Trent J. Marshall le Sam 7 Mai 2011 - 0:18, édité 2 fois
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Message(#) Sujet: Re: I'm not a fan, so give me money ! - COLT I'm not a fan, so give me money ! - COLT EmptyVen 6 Mai 2011 - 0:46



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« Je ne m'en plains pas. J'adore les surprises. » En même temps, quel homme n'aurait pas aimé ce genre de surprise ? Cléo n'en connaissait pas. Même le plus pieux n'aurait pu nier le délice que procurait ce genre de vision inattendue. En tout cas, c'était ce dont se persuadait Cléo. Elle pensait connaître les hommes, elle pensait avoir tout vu, qu'ils étaient tous les mêmes et qu'elle savait parfaitement comment ils fonctionnaient. Mais elle se trompait. Si elle connaissait en effet bien les déséquilibrés qui venaient lui rendre visite, elle ne se rendait pas compte qu'il existait tout un monde parallèle à celui-là, où les hommes ne trompent pas leur femme et ne dépense pas leurs billets pour quelques minutes d'un pseudo plaisir totalement égoïste. Mais ça, elle peinait à le croire. D'ailleurs, elle n'y croyait pas. Pas la peine de lui jeter la pierre, elle avait de sacrés bonnes raisons pour ça. Mais Cléo n'y pensait pas. Pas maintenant en tout cas. Car elle avait finit par trouver un certain plaisir dans les bras de ce musicien aux doigts bienfaisants. Mais elle s'éloigna de lui quelques instants, retirant son soutient-gorge et le laissant profiter de la vue qu'elle lui offrait. Même s'il était clair qu'il n'avait qu'une envie c'était de pouvoir reposer ses mains sur sa peau dorée, il ne semblait pas non plus se plaindre du spectacle qu'elle lui offrait. Presque amusée, ce fut avec un sourire aux lèvres qu'elle revint se mettre à califourchon sur lui, alors qu'il s'empressait d'emprisonner son corps contre le sien, comme pour être sûr qu'elle ne lui échapperait plus. Elle avait beau détester cette sensation "d'appartenance" elle ne pouvait nier l'évidence : cet inconnu était de loin son meilleur client. Et pas pour des raisons tarifaires ! Il était revenu à la conquête de ses lèvres, et Cléo le laissa faire, remarquant cette envie qu'il avait de pouvoir prendre le contrôle des choses. Si ça pouvait lui faire plaisir... Après tout, elle n'était là que pour ça non ? Lui faire plaisir. Son corps se retrouva bientôt entièrement dénudé, et le jeune homme laissa ses yeux se promener de part et d'autre, ne se lassant pas de ses courbes sensuelles. Elle s'affaira à lui retirer ce qui lui restait à lui aussi, avant de remonter une main dans ses cheveux, tandis que lui s'occupait de recouvrir son corps de baisers plus brûlants à chaque fois. Fermant les yeux, elle cessa de penser et se laissa aller, profitant du fait que pour une fois, elle n'avait pas envie de lui vomir dessus. Au contraire même. Soupirant de plaisir, il avait réussit à lui communiquer son impatience et dorénavant, même elle ne voulait plus perdre une seconde. Plantant ses doigts dans sa peau, elle s'abandonna à lui sans broncher, alors qu'il avait miraculeusement réussit à la charmer pour un instant de chair.


***

Ses poumons se remplissaient et se vidaient aussi vite d'air, son ventre suivant cette cadence rapide. Allongée sur le dos sur le canapé, elle passa une main dans ses cheveux en bataille, le regard planté dans celui de son partenaire. Il lui vola un bref baiser, puis en déposa un autre dans son cou. Cléo émit un léger rire discret, amusée par son comportement. Elle avait quasiment l'impression d'avoir véritablement fait l'amour. Et non pas d'avoir "travaillé". Elle n'aurait su développer cette sensation, mais c'était un fait. Il se leva et enfila son caleçon qu'elle avait un moment plus tôt jeté au loin alors qu'elle avait trouvé qu'il était de trop entre eux. Il revint vers elle et l'embrassa à nouveau, la belle brune lui rendit son baiser, pas farouche. « Je reviens. » Elle hocha la tête et lui offrit un sourire calme. Il disparut dans une pièce voisine et elle se retrouva alors seule, perdue dans ce silence apaisant. Reprenant son souffle, elle ferma les yeux. Les minutes s'écoulaient, mais Cléo ne voyait plus le temps filer. Elle avait remonté ses genoux et glissé une main derrière son crâne, faisant le vide dans son esprit. Elle ne voulait plus penser à rien. Et surtout pas au fait que la nuit n'était pas encore terminée et qu'elle allait devoir retourner se taper des clients bien moins agréables... Elle soupira à cette idée. Pendant quelques instants son esprit s'échappa pour se poser aux côtés de Loann. Un sourire tendre se dessina sur ses lèvres, alors que la simple pensée de cet homme suffisait à l'apaiser. Mais cette pause ne dura pas éternellement. Une porte s'ouvrit et aussitôt une voix masculine s'éleva : « Putain mais c'est pas vrai ça, il en pousse de partout ! » Pardon ? Cléo cligna des yeux et se redressa, se retrouvant assise en tailleur sur le canapé. Mais c'était... En fait elle ne savait pas son prénom, mais c'était le jeune homme avec qui elle venait d'avoir des rapports. Visiblement, il s'était changé. Mais pas lavé ? Il lui avait pourtant semblé entendre l'eau couler, non ? Apparemment non. Elle fronça les sourcils, interloquée par ce changement soudain d'humeur. Il semblait fortement contrarié de la voir, alors que quelques minutes plus tôt, il la quittait presque à contrecœur. C'était quoi son problème à lui ? Ses traits étaient tirés et vraiment, sa présence semblait le déranger. « Allez hop, tu te rhabilles et tu te casses, c'est fini les conneries maintenant ! » QUOI ? Cléo entrouvrit la bouche, indignée et révoltée de la façon dont il osait se comporter avec elle. Finalement, elle avait raison : tous les mêmes. Maintenant qu'il avait eu ce qu'il voulait, il la traitait pire qu'une merde et la chassait sans ménagement. Mais ça n'allait pas se passer comme ça. Cléo se leva du canapé, énervée elle aussi à présent. Espèce de petit merdeux, se répétait-elle en silence, alors que sa mâchoire crispée faisait grincer ses dents. Et tout en commençant à se rhabiller elle lâcha d'une voix sèche et désagréable : « Tu vas commencer par me parler autrement c'est clair ? J'suis pas ta boniche ! » Une fois les sous-vêtements enfilés elle chercha sa robe et la fit glisser le long de sa peau bronzée, dans des gestes furieux et précipités. Elle continua : « Le succès t'est monté à la tête mon pauvre. A moins que ce ne soit tes chromosomes X qui t'ai laissés croire que tu pouvais traiter les gens comme ça. Et même si mon métier n'est pas aussi noble que le tiens, je te signal que vous les artistes vous êtes pas du genre à vous plaindre quand vous nous trouvez dans vos loges et que vous partez pour le septième siècle pendant un moment. » Elle enfila ses talons et marcha jusqu'au garçon, le fusillant du regard. Et dire qu'il avait réussit à lui donner du plaisir. Lui, cette merde bouclée. Elle tendit sa main dans sa direction et ajouta finalement, vraiment remontée : « En tout cas, je partirais pas tant que tu ne m'auras pas donné ce que tu me dois : 125$. » Plantée devant lui, Cléo ne se doutait pas une seconde que le garçon qui venait de lui parler n'était autre que le jumeau du charmant jeune homme à qui elle venait de procurer quelques plaisirs libertins.
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Message(#) Sujet: Re: I'm not a fan, so give me money ! - COLT I'm not a fan, so give me money ! - COLT EmptySam 7 Mai 2011 - 0:59

Qu'elle fronce les sourcils et qu'elle paraisse outrée laissa Trent parfaitement indifférent. Exaspéré par la séance de harcèlement qu'il venait de subir, il estimait avoir assez donné de sa personne pour la soirée et si cette fanatique en arrivait à le traiter de grossier personnage parce qu'il ne ressentait ni l'envie ni le besoin de lui sauter dessus (comme c'était apparemment ce qu'elle attendait, quoi d'autre dans cette " tenue " et dans cette position de toute façon ?) ça ne serait en aucun cas la fin du monde à ses yeux. Elles commençaient à sérieusement lui pomper l'air toutes ces minettes hystériques et le fait que l'une d'entre elles se soit introduite dans sa loge repoussait les limites de l'acceptable. A quoi faudrait-il s'attendre par la suite si leur deuxième album marchait aussi bien que le premier ? A ce que d'autres folles dans son genre se mettent à leur courir après, bambins baveux en bandoulière, en pleurant et en suppliant pour qu'ils reconnaissent des gosses qui n'étaient même pas les leurs ? Comment pouvait-on en arriver à un tel niveau d'irrespect de la vie privée des gens ? Belle ou pas, elle n'était en aucun cas la bienvenue dans ce seul havre de paix qui était sensé l'isoler du reste de la population du bâtiment maintenant qu'il avait fait ce pour quoi on l'avait payé : jouer. Si on lui avait dis qu'un jour il en serait réduit à maudire son succès auprès de certaines femmes, il ne l'aurait pas cru. Après tout, Colt et lui s'étaient mis à la musique pour séduire les filles avant que ce ne soit la musique qui ne les séduise ... Force était de constater que les temps avaient changé depuis leur adolescence et que l'admiration discrète qu'avaient les fans pour les artistes de l'époque s'était peu à peu transformée en délire incontrôlable et proprement exaspérant. Bientôt, il en était sûr, il prendrait le pli de regarder derrière les rideaux de sa chambre ou sous son lit si personne de mal attentionné ne s'y était planqué dans l'espoir de le toucher ou de lui baver sur la joue ...

« Tu vas commencer par me parler autrement c'est clair ? J'suis pas ta boniche ! » " Bah tiens ! " Pensa-t-il en arborant un air des plus méprisant tandis que la belle se rhabillait à la hâte comme la dernière des trainées éconduites. « Le succès t'est monté à la tête mon pauvre. A moins que ce ne soit tes chromosomes X qui t'ai laissés croire que tu pouvais traiter les gens comme ça. Et même si mon métier n'est pas aussi noble que le tiens, je te signal que vous les artistes vous êtes pas du genre à vous plaindre quand vous nous trouvez dans vos loges et que vous partez pour le septième siècle pendant un moment. » Amorçant une grimace d'incompréhension qui lui tordit les lèvres et lui fit hausser les sourcils, Trent en vint à se demander s'il ne manquait pas plus d'une case à cette nana. S'il parvenait à comprendre qu'elle se vexe, il ne parvenait en revanche pas à cerner de quoi elle pouvait bien vouloir parler en lui tenant ce genre de discours. Et, pour tout dire, il s'en foutait pas mal. Le fait qu'elle ne reconnaisse pas ses torts et qu'elle se paye l'audace de lui répondre alors qu'elle était sur son territoire ne l'incitait pas le moins du monde à faire un effort de compréhension. Hautin, il s'attendait à ce qu'elle se tire pour de bon après avoir enfilé ses talons et la regarda s'approcher de lui en supposant qu'elle lui passerait sous le nez sans rien ajouter, mais le fait qu'elle s'arrête et tende la main dans sa direction vint mettre à mal ses espoirs visiblement trop naïfs. Comment ça 125$ ? Moqueur, il éclata d'un grand rire froid et incrédule.

« 125$ pour quoi ? Y'a même pas de quoi te payer une séance de psy avec ça. Je te conseille de te rendre directement à l'HP ma pauvre fille, ils seront te prendre en charge là bas ! Je crois même que l'état met en place des subventions pour les tarées dans ton genre et puisque je suis charitable, je vais t'aider à retrouver ton chemin, regarde. » L'attrapant par le poignet, il la tira violemment à sa suite pour traverser le vestiaire et rejoindre la porte qui donnait sur le couloir. Là, il se servit de sa main libre afin d'ouvrir le battant d'un geste vif et plaça l'inconnue face à l'encadrement de façon à pouvoir poser ses deux mains de part et d'autre de ses omoplates et de la pousser au dehors sans aucune grâce. « Et voilà, bon vent ! » S'exclama-t-il en lui claquant la porte au nez et en la verrouillant au passage pour éviter tout retour gagnant. Atterré il s'adossa au mur et son regard se posa sur un sac à main bien trop féminin pour appartenir à Dax. Après avoir levé les yeux au ciel, il s'empara de l'objet, rouvrit la porte à la hâte et le jeta dehors au même titre que sa propriétaire en se moquant bien de faire voler capotes et tubes de rouge à lèvre dans tous les sens. Pour finir (et pour la deuxième fois en quelques secondes), il claqua la porte sèchement et la verrouilla une fois de plus avant de se rendre au bar et de déguster - ENFIN - son verre si durement gagné.
Non mais !
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