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 Pain teaches us to live

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Pain teaches us to live Vide
Message(#) Sujet: Pain teaches us to live Pain teaches us to live EmptyJeu 3 Mar 2011 - 15:44



Pain teaches us to live ...

    LIAM K. STANFIELD & PARKER O'BRYAN

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Assise sur la chaise attendant son tour, Parker regardait autour d'elle. Il y avait un petit garçon dans les bras de sa mère en pleure. C'était vraiment une journée merdique, faut l'avouer.
Parker était chez elle, elle avait mit ces baskets, elle avait besoin de prendre l'air, elle avait besoin de courir. Elle se mit dans son hall d'entrée pour mettre sa veste. Il l'avait tellement énervé, il l'avait poussé à bout. Elle regarda le vase qui était dans son entrée. Un horrible vase offert par une collègue à elle. Elle le prit, et commença à le jeter à terre. Elle était énervée, elle en pouvait plus de ce mec qui lui disait toujours que quelque chose n'allait pas. Et puis comment cela se faisait il qu'ils se retrouvaient tous les deux ici. Après tout le monde est assez grand pour eux deux. A force de chercher des réponses on s'y perd. Et c'était bien le cas de Parker. Elle se perdait dans toutes ces histoires. C'est avec ces écouteurs qu'elle sortit de chez elle. Elle ne prit pas la peine de fermer sa porte à clef. Étrangement elle avait confiance dans ce petit quartier. Elle avait commençait son jogging normalement, mais la colère était tellement la, qu'elle ne se rendait même pas compte qu'elle courait extrêmement vite. Vite au point de se faire mal au genou. Finalement, la douleur nous prouve que nous ressentons quelque chose, c'est ce qui nous montre qu'on est en vie. Elle était assise sur un banc, en train de regarder son genou. Il était totalement enflé. Ce n'était pas la première fois qu'elle avait mal de la sorte, elle se disait que cela passerait avec le temps. Mais rien n'y fait. Parker avait finie sa course en boitant jusque chez elle. Elle avait finie par appeler un taxi qui l'avait emmener à l'hôpital. "L’hôpital le plus proche s'il vous plait"
Voila comment elle s'était retrouvée ici, à regarder ce petit garçon qui souffrait le martyre. Elle sortit de ses pensées lorsqu'une infirmière vint la trouvée. "Mademoiselle Parker O'Bryan s'il vous plait". Elle s'était levée avec difficulté, et avait suivit l’infirmière qui se dirait comme ils le disaient si bien, les box. C'était en fait une salle avec énormément de matériels. Que ce soit du matériel de réanimation que de désinfection. L’infirmière l'avait installée sur ce qui servait de lit hospitalier, et lui avait demander de retirer son pantalon pour que le médecin puisse examiner le genou correctement. les radios avaient déjà étaient faites, elle les posa tout simplement pour que le médecin puisse poser son diagnostique. Parker se sentait mal à l'aise, se dire qu'un médecin allait venir, et la regarder. Ces joues étaient devenus rosées. D'une voix douce, elle demanda un renseignement à l’infirmière. Elle était petite, et sa tenue lui allait à ravir. Elle regarda ces yeux fort noir "Excusez moi, est ce que je peux téléphoner?. L’infirmière lui avait répondue d'un simple signe de tête pour lui dire que non, puis quitta la pièce. Le médecin était venu bien longtemps après, avec les cheveux totalement ébouriffaient. Il lui parlait de ligament fracturés, d'opération etc. Rien qu'elle ne comprenait. Il lui disait qu'il n'était pas sur de son diagnostic, qu'il allait voir avec un confrére à lui. Il avait prit son téléphone et avait demander le service de neuro. Qu'est ce que la neurologie avait avoir avec un probléme au genou? Elle en avait marre. Déja trois heures qu'elle était la à attendre qu'on la prenne en charge. Peu de temps après, un jeune homme arriva. il était élégant et sa blouse blanche lui donner un air sérieux qu'elle apprécier. Mais il fallait taper le poing sur la table. Elle en avait marre de rester à poiroter. Bon écouter, monsieur Après avoir regarder son étiquette qui indiquait sa fonction et son prénom elle reprit. Docteur Stanfield, ça fait je ne sais pas combien de temps que je suis la. Ce n'est pas pour une petite foulure que vous allez prévenir tout l’hôpital, si? Je veux juste des comprimés pour atténuer la douleur et c'est bon. Je ne doute pas de vos compétences, mais j'ai une vie dehors qui m'attend." Elle était froide, dur. Mais elle voulait faire autre chose, quitter l'hopital. Elle n'avait jamais réellement aimer ça. Depuis bien longtemps elle n'avait pas remit les pieds dans un hôpital.
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Message(#) Sujet: Re: Pain teaches us to live Pain teaches us to live EmptyVen 4 Mar 2011 - 19:12

« Ça suffit! » affirma aussitôt le médecin en levant les mains pour tenter de calmer les deux externes qui se disputaient dans son bureau. « Si vous continuez à vous comporter comme des enfants de cinq ans, vous regarderez l'opération de l'autre côté de la fenêtre. » « Mais... ! » « Pas de mais! La chirurgie est une discipline qui demande beaucoup de concentration, je ne vous laisserai pas ruiner leur travail! » soupira Liam en détournant le regard sous la sonnerie de son bipper. Il fit un pas de côté pour l'attraper et maugréa lorsqu'il comprit qu'on l'appelait des urgences. Relevant la main afin de signifier aux deux impertinents de ne pas bouger, il prit le téléphone avant de le glisser entre son épaule et son oreille. « Oui! McLarry? C'est Liam. Écoute, tu diras à ton monde que je ne fais plus d'urgence. Qu'ils voient ça avec mes patrons ... Quoi? ... Bon, j'arrive. » Après avoir déposé l'appareil sur son socle, le regard du médecin se fit virulent alors qu'il jaugeait rapidement les deux étudiants qui n'étaient même pas, théoriquement, sous sa tutelle. « Je vais devoir vous demander de sortir et de vous occuper. Si vous n'avez rien à faire, votre titulaire se fera un plaisir de vous faire classer ses dossiers! » Il posa une main sur chacune de leurs épaules pour les forcer à quitter son bureau, n'ayant aucunement envie de se retrouver avec une tornade à gérer en revenant. Il abandonna donc les deux externes sur le pas de sa porte après l'avoir refermée et verrouillée derrière lui.

Appuyant avec force sur le bouton de l'ascenseur, il y grimpa rapidement lorsque ce dernier se fut arrêté à sa hauteur et n'en descendit qu'une fois parvenu au rez-de-chaussée. « Liam, on t'attendait! Salle 2! » « Qu'est-ce qu'on a? » « Possible rupture du ligament du genou. » « Attends ... Vous m'appelez pour une foulure? » « On est débordés. » Poussant un soupir alors qu'il détestait ne pas suivre à la lettre les règles établies à son retour conditionnel, il préféra néanmoins attraper le dossier pour y jeter un rapide coup d'oeil tout en se dirigeant vers la salle qu'on lui avait attitrée. Il ne redressa la tête que lorsqu'il eut refermé la porte derrière lui, un léger sourire étirant ses lèvres. « Bonjour mademoiselle O'Bryan, je suis le docteur Stanfield. Voyons voir... » Il n'eut toutefois pas le temps de replacer les radiographies sur le tableau blanc qu'elle semblait s'énerver et s'impatienter. « Bon écoutez, monsieur, docteur Stanfield, ça fait je ne sais pas combien de temps que je suis là. Ce n'est pas pour une petite foulure que vous allez prévenir tout l’hôpital, si? Je veux juste des comprimés pour atténuer la douleur et c'est bon. Je ne doute pas de vos compétences, mais j'ai une vie dehors qui m'attend. » Poussant un léger soupir alors qu'il n'était pas d'humeur à se disputer avec une patiente, il tenta de se calmer en prenant tout de même le temps de poser les radios sur le tableau et de l'allumer avant de répondre. « J'imagine que tu sais, mademoiselle, que le genou est la partie de ton corps qui revêt une importance capitale dans tous tes mouvements? Lorsque tu cours, lorsque tu sautes, lorsque tu tombes. C'est toujours eux qui prennent alors c'est important de bien le soigner si tu veux qu'il guérisse bien et rapidement. » L'attente aux urgences pouvait parfois être interminable et Liam comprenait parfaitement son point de vue. Néanmoins, elle n'était pas la seule blessée et elle n'était pas non plus sur le point de mourir. C'était injuste, mais c'était comme ça; on s'occupait d'abord de ceux qui requéraient des soins rapides.

Il fronça les sourcils en observant attentivement les clichés, bien qu'un peu désarçonné, en effet. « Tu as déjà eu des problèmes avec ton genou, avant? Qu'est-ce qui s'est passé? » Comme à son habitude, il avait préféré ne pas la vouvoyer, ne serait-ce que pour instaurer un climat de confiance et d'amabilité entre eux. « Tu peux plier ta jambe, s'il te plaît? Jusqu'à ce que ça te fasse mal. » Sérieux, il garda un oeil rivé sur le genou de la demoiselle, récupérant un tabouret à roulettes pour s'y asseoir et être ainsi un peu plus à l'aise.
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