(#) Sujet: Tout ça, c'est la faute des lapins. Sam 25 Déc 2010 - 23:51
TOUT CA, C'EST LA FAUTE DES LAPINS.
La rédaction du premier message de ce topic a été fortement influencée (pour ne pas dire que c'est du copier/coller...) par le second chapitre de Perte et Fracas, roman de Jonathan Tropper. Ce passage et plus largement ce roman m’a inspiré ce que j’ai imaginé pour le personnage de Maât pour cette troisième saison du forum.
Tous les jours ou presque, je découvre des lapins sur notre pelouse. De petits lapins bruns au dos moucheté d’argent, avec un pompom blanc comme une boule de coton au niveau de l’arrière-train. Enfin, pour être plus précis : tous les matins ou presque, je découvre des lapins sur ma pelouse. Nous n’existe plus. Nous est mort depuis plusieurs mois. Il m’arrive parfois d’oublier – détail pour le moins étrange, étant donné que je ne pense qu’à ça et que j’ai maintenant un fils à charge pour me rappeler que Scott Matthews est mort, pour me rappeler que je suis maintenant seul. Qu’il est mort quelques semaines après que je ne l’ai foutu dehors. Ma maison. Ma pelouse. Mes putains de lapins.
La présence de lapins sur votre pelouse est censée être un atout charmant, un point fort, la preuve irréfutable que vous avez quittée la grande ville pour vous établir dans l’air raréfié de la banlieue de Miami. Nous avons suffisamment de monospaces pour faire fondre les deux calottes glaciaires à nous seuls, nous modernisons nos superbes baraques de cinquante ans d’âge avec assez de câbles en fibre optique pour garroter la planète entière, nous faisons pousser des galeries commerciales, des Home Depots, des Wal-Marts, des Stop and Shop et autres hangars à marchandises comme des tumeurs sur le moindre lopin de terre disponible mais nous avons aussi des lapins qui viennent batifoler sur nos pelouses comme dans une saleté de production Disney, alors le débat est clos. Nous ne faisons qu’un avec la nature. Parfois, j’en vois un émerger de sous la haie et s’aventurer sur la pelouse mais, le plus souvent, je les trouve déjà tranquillement posées sur leurs fesses au beau milieu du jardin, aussi immobiles que des statues, leurs petits naseaux vibrant imperceptiblement comme s’ils étaient reliés à un faibles courant électrique circulant sous terre. Et c’est généralement le moment idéal pour leur jeter des projectifs. Je m’efforce de les assommer parce qu’ils me rappellent l’endroit où je me trouve aujourd’hui, abandonné dans une vie que je n’aurais jamais imaginée. Alors j’en veux terriblement à Scott, puis je culpabilise d’en vouloir à Scott, puis je m’en veux de culpabiliser tout court. Bref, je leur balance des trucs. Des cailloux essentiellement, j’en garde tout un stock entreposé devant la porte. Oh, calmez-vous ! Ce n’est pas comme si j’avais déjà réussi à atteindre l’un de ces petits salopards. Et d’ailleurs, ils ne sont pas dupes : c’est tout juste s’ils frémissent quand l’un de mes missiles s’écrase sur la pelouse à un mètre derrière eux ou à trois kilomètres sur leur gauche. De temps en temps, l’un d’eux dresse l’oreille ou se contente de me défier d’un air moqueur avec ses petits yeux brillant de lapin. Hé, mec, ma grand-mère vise mieux que toi.
D’ailleurs, je vois un putain de lapin blanc qui me nargue à plusieurs mètres de moi, non loin de ma nouvelle boite aux lettres – l’autre a été emportée par l’ouragan – qui est toujours couchée sur le sol puisque je n’ai pas encore eu le courage de la plantée dans le sol étant donné qu’elle n’indique plus « Scott Matthews et Maât Blythe-Sheldon » mais « Lyann E. Roosevelt, Maât Blythe-Sheldon et leurs enfants ». Encore une illustration de cette connasse de fatalité. Quoi qu’il en soit, je saisis un de mes cailloux, le plus gros que j’ai en ma possession et je le jette avec négligence. Le projectile fuse à plusieurs centimètres au dessus de la tête du petit mammifère qui ne bouge pas d’un poil pour percuter violemment la carrosserie d’une voiture qui passait justement devant chez moi à ce moment-là. Aucun doute que le conducteur aurait juré avoir entendu une bombe contre son véhicule et aucun doute que la taule va en garder un souvenir. « Et merde… »
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(#) Sujet: Re: Tout ça, c'est la faute des lapins. Dim 26 Déc 2010 - 0:35
Cri de joie, cri de haine, cri malsain... les cris sont quelques choses que les humains ont du mal à résister, un cri part d’une dispute, ou bien d’une joie. Mais cette journée là fut sous le signe de la Dispute. J’étais seul depuis quelques jours, Jolan passa les vacances chez sa tante, j’avais beaucoup de boulot à la Fox et je n’étais pas chez moi pour le Réveillon. Je revenais du travail comme tous les jours cette semaine en fin d’après midi. La journée était assez fatigante. Mon patron me prennait la tête sans cesse, depuis l’histoire de l’ouragan et le scoop que j’ai loupé. Je me retrouve dans la rubrique des chiens écrasés... Je roulais tranquillement dans la résidance d’Apple Road avec de la musique plus que electrique. Quand j’entendis un bruit de Taule froissé qui ne concordé pas avec la musique que j’écoutais. Je regardais autour de moi avant de voir un homme chassant des... lapins? Enfin je ne savais pas je le voyais juste c’étais un homme plus que séduisant... Je m’arreta sur le bas cotés mettant mes feux de détresses.Je sortis de mon Véhicule m’approchant du jeune homme regardant l’impact sur ma portière passager en gueulant dans une langue étrangère certes! Mais surtout la langue de Molère: «QUEL EST LE SALAUD QUI!!!» Et je le regarda de nouveau le jeune homme me prosternant devant lui d’un regard plus que furax... Je venais d’acheter cette voiture! Pendant l’ouragan j’ai retrouvé ma Voiture completement désossé à trois patés de maison de chez moi. Et d’un ton calme mais assez faussez je lui dit: « C’est vous qui venez de faire ça? » Esperant que mon interlocuteur soit honnête je n’étais pas d’humeur à encore entendre des mensonges qui vont me faire peter un cable si cela continue encore! J’étais tellement énérvé que j’aurais été pret à tout pour me défouler sur quelqu’un et je crois que c’est ce pauvre homme qui vas morfler... Je ne savais pas comment faire mais mon instinct aller surement prendre le dessus. Tant dis qu’il me répondait je souleva un sourcil me demandant quoi faire à cet instant.
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(#) Sujet: Re: Tout ça, c'est la faute des lapins. Dim 26 Déc 2010 - 21:51
On ne peut pas dire que le scénario n’était pas prévisible. Après tout, cela faisait des semaines – peut être même plus – que je balançais des cailloux et autres projectiles sur ces lapins. La fille de Lyann, haute comme trois pommes, m’avait déjà sermonnée du haut de son plus jeune âge « Ongle Maât, tu ne devrais pas envoyer des cailloux sur eux. Tu vas finir par en blesser un ! » Je lui avais répondu simplement, en lui tapant doucement le sommet de sa tête blonde « C’est le but ma chérie, c’est justement le but ». Les yeux embués de larmes, choquée par tant de violence et de mesquinerie, c’est elle qui la première m’avait alors fait remarqué qu’un jour, je viserai surement mal et que les cailloux irait tout droit dans les roues d’une voiture ou alors dans la vitre d’un voisin. En fait, tout était la faute de cette gamine, qui m’avait jeté un mauvais sort. De cette gamine, et surtout des lapins. Putain de lapins.
Un homme sortit de la voiture accidentée – bon n’exagérons pas, il n’y avait pas de mort, le lapin était toujours vivant lui. Petit con. « QUEL EST LE SALOP QUI !! » Oh, du français. J’adorais cette langue que j’avais longtemps apprise et même beaucoup pratiquée avec certains de mes amis lorsque j’habitais à San Francisco, des amis qui vivaient dans le quartier français de la ville justement. Personne ne pouvait nier que cette langue donnait un charme fou et irrésistible à la personne qui le parlait. Bon évidemment, dans mon cas, je ne pouvais pas chasser mon accent américain qui restait malgré tous mes efforts, contrairement à mon interlocuteur qui semblait pure souche. « C’est vous qui venez de faire ça ? » me demanda-t-il en s’avançant vers moi. Je me doutais bien que j’allais passer un sale quart d’heure, ce n’était pas parce que je ne possédais pas de voiture – j’étais un danger public au volant, alors j’en étais réduis à me déplacer uniquement en taxi – que je ne pouvais pas comprendre la rage qui devait habiter cet homme à ce moment précis. Après tout, je venais quand même d’envoyer un petit rocher dans sa carrosserie. Il y avait de quoi faire un meurtre. « Demandez-moi ce que vous voulez, je suis prêt à tout pour me racheter ! » Sur ces paroles, je me penchais sur le côté de sa voiture pour regarder les dégâts, sans vraiment faire attention à mes fesses que je lui exposais largement au travers de mon jean’s. Je claquais ma langue avant d’ajouter « Et je vous paierai toutes les réparations, bien évidemment ! »
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(#) Sujet: Re: Tout ça, c'est la faute des lapins. Dim 26 Déc 2010 - 22:38
« Demandez-moi ce que vous voulez, je suis prêt à tout pour me racheter ! » Quel delicieuse proposition surtout quand ce jeune inconnu se pencha me laissant apercevoir ce petit fessier cacher par ce jeans qui le moulait assez bien, ca me faisait rêver rien qu’à voir ça le jeune homme était une tentation... Mais comme dirait mon cher ami Oscar Wilde, Le seul moyen de se délivrer d’une tentation, c’est d’y céder. Résistez et votre âme se rend malade à force de languir ce qu’elle s’interdit. Aaaah Oscar Oscar tes paroles me donne une raison de vivre... C’est ainsi que le jeune homme me parla d’une compensassion je mis à penser que sa sera bien son popotin ma compensassion... Après tout j’avais les moyen de réparer cette taule froissé... Mais j’étais assez énervé par ma journée, j’enchaina d’un ton plus calme: « Cela dit... Si vous m’offrez un verre, je m’occuperais de l’impact...» Raaah que dieu benisse les beaux cul!! Nan mais voilà que je dérailles, je sentais que j’allais pas tarder à l’avoir dans un lit... Après tout faut bien que je me défoule et si c’est dans cette situation je prend quand même... Il se redressa et je plongea mon regard dans le sien... mon corps se mettait à bouilloner son regard me pesait, une légère excitation se fit ressentir en moi... Une tension palpable se faisait ressentir... C’était assez agréable je n’avais pas ressenti ça depuis bien longtemps... Mais quel genre d’homme était ce mec? Je devais me présenté aux moins pas pur politesse qui connaisse le nom de celui qu’il allait le draguer: «Au faite je me présente, Léo MacNamara j’habite aux 1825.»
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(#) Sujet: Re: Tout ça, c'est la faute des lapins. Dim 26 Déc 2010 - 23:05
« Demandez-moi ce que vous voulez, je suis prêt à tout pour me racheter ! » Je ne m’étais pas rendu compte de la connotation ambigüe de ma phrase. Bon évidemment, dans d’autres contextes je m’en serai bien sûr rendu compte et plus encore, cela aurait été volontaire. Mais là j’avais quand même envoyé une pierre sur une voiture, je ne pensais pas un seul instant que mon attitude serait ambigüe pour mon interlocuteur. Je ne pensais même pas qu’il était homosexuel – Maât, tu es un éternel naïf et tu ne vois pas plus loin que le bout de ton nez, même quand ça se passe juste devant toi. « Cela dit... Si vous m’offrez un verre, je m’occuperais de l’impact... » Putain, j’y gagnais vraiment au change sur ce coup-là. J’aurais pu m’en tirer comme ça, mais ce n’était pas ainsi que j’avais été éduqué, je me devais donc d’en rajouter afin de montrer que je ne cherchais pas à tirer profit de la situation en acceptation son marché. « Laissez-moi plutôt vous payer un restaurant. Là, j’aurais d’avantage l’impression de vous rembourser une somme qui se rapprochera assez de celle de réparation ». Soyons honnête, je n’avais pourtant aucune idée de la somme à débourser pour payer les dégâts. Mais c’était toujours agréable de se racheter autour d’un bon plateau de fruits de mer.
Lorsque je me redressais pour lui faire face, je réalisais que son regard n’était peut être pas fiché sur sa voiture mais bien sur le bas de mon dos, mais je ne donnais pas raison à ma remarque, fidèle à ma naïveté. Pourtant, cela nous aurait bien évité des détours, puisque Léo ne cherchait vraisemblablement qu’à savoir à quelles fenêtres de ma bâtisse correspondait ma chambre. « Au faite je me présente, Léo MacNamara j’habite aux 1825. - Et moi ici, comme vous devez vous en douter. Maât Blythe-Sheldon, très enchanté de faire votre connaissance. » Je lui tendis la main pour le saluer d'une poignée de mains virils. Je notais au passage ses beaux yeux. Finalement, le déjeuner ne serait pas désagréable s'il acceptait ma proposition.
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(#) Sujet: Re: Tout ça, c'est la faute des lapins. Lun 27 Déc 2010 - 0:08
« Cela dit... Si vous m’offrez un verre, je m’occuperais de l’impact... » C’est vrai que sa demande était très ambigüe et vu comment j’étais en manque et surtout que j’étais seul en ce moment, et je n’avais pas cette responsabilité de père qui m’empechait de profiter de mes jeunes 26 ans c’est ainsi qu’il surencherissa de plus belle: « Laissez-moi plutôt vous payer un restaurant. Là, j’aurais d’avantage l’impression de vous rembourser une somme qui se rapprochera assez de celle de réparation ». Je me mis à sourire il ne perdait pas la face en tout cas, mais son coté Naif le rendait extrement mignon... Cretin mais adorable. J’acquiesa en lui disant : «Bon... D’accord déjeunons alors...» Il me regarda et je sentais son regard sur moi. Hum Léo tu vas toucher le gros lot... Il se présenta... Son prénom était commun... Et j’aimais beaucoup il me tendais sa main que je serra avec un coup virils comme a mon avis il le recherché. En relachant sa main je lui déclara: «Je vous emmène? Vous auriez cas me guider...» Ou je le laisserais bien s’occuper de mon cas quand il le veut... j’ai l’impression de retourner au moment ou je couchais avec Goldie. Nous commencions a aller vers ma voiture quand j’ouvris la portière passager, une habitude d’un père, mais cela pouvait porter à confusion, Il rentra et je fis de même, je demarra la voiture et nous commençions à rouler quelque minutes plus tard nous arrivions aux restaurant, nous avions parler et fait connaissances, il était père Célibataire tout comme moi... J’en étais ravii de trouver quelqu’un de la même situation que moi mais je ne me serais pas douter qu’il serait vraiment comme moi un Gay papa... Ce fut un Restaurant assez classe, effectivement il allait en perdre pour son argent nous rentrions et un serveur bien habillé s’approcha nous demandons la question habituelle... Après lui avoir répondu nous approchions d’une table pour deux, face à face. Chacun s’installa la table était assez petite je pouvais sentir la jambe de Maât se posait contre la mienne. Je lui dit : «C’est un restaurant magnifique... Je ne connaissais pas...» Je regardais l’architecture qui semblait une imitation italienne... Dans ma famille on connaissais pas bien l’architecture Italien et Français une Manie chez certains de mes ailleuls.
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(#) Sujet: Re: Tout ça, c'est la faute des lapins. Mar 28 Déc 2010 - 13:29
« Bon... D’accord déjeunons alors... » Je commençais progressivement à comprendre à tout cela pouvait nous mener, et qui me fit décrocher un sourire. Mais après tout, où était le mal ? Nous étions tous les deux des adultes consentants et responsables de nos actes, vu son attitude je me doutais qu’il n’avait personne dans sa vie. Quant à moi, je n’avais connu personne (non vraiment, personne) depuis ma séparation avec Scott ni depuis sa mort, autant dire que je ressentais le besoin d’avoir un peu de contact humain, un peu de chaleur humaine. Si ma nouvelle connaissance pouvait me procurer ça, je n’allais pas dire non.
Après m’être présenté à lui, je notais qu’il n’eut aucune réaction en entendant mon nom. Une aubaine pour moi. Mon nouvel « ami » n’avait pas la moindre idée de qui j’étais, il ne savait pas qu’il allait passer son déjeuner avec un présentateur de talk show sur une chaîne nationale. Une aubaine pour moi parce que je pouvais être sûr qu’il n’était pas un journaliste camouflé essayant d’obtenir un scoop intéressant. « Je vous emmène? Vous auriez cas me guider... » J’acquiesçais d’un signe de la tête avant de le suivre dans sa voiture. J’eus un sourire lorsqu’il m’ouvrit la portière, contrairement à ce qu’il devait penser, je n’avais pas l’impression d’être face à un père prévoyant, mais bien à un chauffeur. Habitué aux services d’un chauffeur de taxi, je fus amusé de me retrouver à côté de lui, sur la place du mort alors qu’habituellement je devais me contenter d’une place sur la banquette arrière. Quoi qu’il en soit, ce fut agréable de discuter avec lui pendant le trajet sous mes indications de la route pour le conduire jusqu’au restaurant que le convoitait. Nous avions de nombreux points communs et je me mis alors à me demander ce qu’il recherchait. Une histoire sans lendemain agrémentée d’un bon déjeuner ou quelque chose supplémentaire ? Après tout, je devais avouer que ce n’était pas du tout mon genre de me contenter de si peu et face à quelqu’un d’aussi sympathique et agréable, avec qui je passais clairement du bon temps, je commençais à me demander si je ne voulais pas plus… Une relation sérieuse et durable. Attention Maât, tu risques de te brûler les ailes.
Nous arrivâmes dans le restaurant que j’avais sélectionné. « Bonjour monsieur Blythe-Sheldon. Une table pour deux ? » J’hochais la tête puis suivais le serveur qui nous conduisit à une table un peu en reclus, face à la mer. Voilà l’avantage principal d’être une personnalité publique, où que j’aille, si on me reconnaissait, c’était vraiment un sésame pour tous les services possibles et imaginables, le staff des lieux étant toujours prêt à avoir quelqu’un de connu dans leurs locaux pour que cela leur fasse une bonne promotion. « C’est un restaurant magnifique… Je ne connaissais pas… - Je l’aime beaucoup. Ils servent des plateaux de fruits de mer délicieux. » Je lui fis un sourire tandis que je sentis sa jambe contre la mienne. Je sentais alors une chaleur d’excitation en imaginant ce qu’il pourrait suivre après notre déjeuner mais je chassais déjà cette vision de ma tête en essayant de me concentrer sur le présent. « Je prendrais un plateau de fruits de mer s’il vous plait » commandais-je avant de reporter mon attention sur mon ami qui passa commande à son tour. « Alors dîtes-moi Léonard, que faites-vous dans la vie ? Et surtout pourquoi un homme aussi charmant que vous se retrouve père célibataire ? »
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(#) Sujet: Re: Tout ça, c'est la faute des lapins. Mar 28 Déc 2010 - 21:20
« C’est un restaurant magnifique… Je ne connaissais pas… - Je l’aime beaucoup. Ils servent des plateaux de fruits de mer délicieux. - Ca ne m’étonnes pas, mais je vais vous faire une confidence, je ne suis pas très fruit de mer. »
Mon dieu cet homme était adorable, je dois dire que ca faisait bien longtemps que je n’avais pas rencontré quelque d’aussi agréable... Je devrais faire attention d’habitude je n’attire que soit des sociopathe ou d’autres truc dans le genre (petit coup pour Tyler ) Mais cela dit être en compagnie de Maât me réjouisser. Je dois dire que c’étais un bon coup du destin de nous avoir réunis, le jeune serveur qui nous avait amener refit son apparition et tout de suite Maât donna sa commande, je demanda aux serveur de revenir dans cinq minutes car je n’avais pas encore choisit, le nez planter dans le menu... J’écouta alors le début de conversation que mon jeune interlocuteur me fit savoir: « Alors dîtes-moi Léonard, que faites-vous dans la vie ? Et surtout pourquoi un homme aussi charmant que vous se retrouve père célibataire ? - Premiérement appelez moi Léo... je préfére Léonard est juste un héritage de ma famille. Sinon je suis Journaliste dans le domaine du faits divers pour l'instant. Eh bien c'était un mauvais coup du Destin, je suis tomber amoureux d'une femme très jeune, à mes dix huit ans je l'ai mit enceinte et depuis j'élève seul mon jeune fils. Et vous? Vous êtes aussi dans la même situation que moi... Et d'un magnifique bébé qui plus est.» Je laissa échapper un sourire, en me replongeant dans ma carte hésitant entre une Salade de Gesiers, ou une salade de Chèvre chaud. Le jeune serveur revena. 5 minutes pîle poil, Maât devait être incroyablement célébre pour qu’on ne le fasse attendre, cela me faisait sourire rien qu’à l’idée d’y penser. Et dire que se serait surement mon cas après quelque mois à la Fox, je commençais à être connu surtout dans la région du Texas. J’était Léo MacNamara le jeune journaliste qui s’occuper des Festivals et des Arts en Général. Mon ancien patron m’avait choisit pour mon pays d’origine, utilisant le stéréotype du Français connaissant tous aux arts. Je regardais le serveur en lui disant: «Pour moi se sera une Salade de Gésier, mais si vous pouviez évitez de mettre du pain à l’ail vous serez gentil.» Bah oui si je passe après le déjeuner à sauter au cou du jeune Blythe-Sheldon je préférais encore avoir bonne haleine. C’est quand je lui demanda: «C’est vrai que je vous reconnais, enfin c’est votre nom. Au bureau de la Fox certain chroniqueur vous connaisses en tant que co-présentateur de génie. Je dois dire que j’aimerais voir ça.» Lui dis-je en lui afichant un de mes plus beau sourire je frotta doucement ma jambe contre la sienne en buvant un verre d’eau frais pour calmer mon Excitation qui commençais à augmenter avec mes gestes envers le jeune présentateur.
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(#) Sujet: Re: Tout ça, c'est la faute des lapins. Dim 2 Jan 2011 - 21:59
Oui, je trouvais Léonard W. Macnamara vraiment charmant. Je passais un déjeuner très agréable en sa compagnie et je me surpris à me demander s’il y avait une chance que nos devenions plus intimes, pas seulement pour une nuit ou une amitié améliorée mais bien pour une relation sérieuse et durable. Je n’étais pas vraiment doué pour les relations d’un soir, je m’attachais trop vite aux personne, je n’étais pas vraiment fait pour ça. Pourtant, j’avais bien l’impression que Léonard ne souhaitait pas autre chose qu’un contact physique. Pourquoi ne tombais-je pas sur quelqu’un avec qui je pouvais avoir une relation sérieuse, hm ?
J’eus un sourire en l’attendant demander au serveur de revenir plus tard puisqu’il n’avait pas décidé ce qu’il comptait prendre pour le déjeuner. Contrairement à moi qui savais parfaitement ce que je voulais à chaque fois que je me trouvais dans un restaurant, Léonard me fit penser à Darla, mon ancienne compagne, pour qui choisir un plat dans un restaurant semblait être synonyme d’une demande en mariage, elle mettait toujours un temps monstre pour commander ce qu’elle désirait, demandant aux serveurs de repasser toutes les cinq minutes. Elle changeait même parfois son plat une fois qu’il était déposé devant elle. Des sautes d’humeur en somme qui devait franchement la faire haïr du staff du lieu. « Alors dîtes-moi Léonard, que faites-vous dans la vie ? Et surtout pourquoi un homme aussi charmant que vous se retrouve père célibataire ? - Premièrement appelez-moi Léo... je préfère Léonard est juste un héritage de ma famille. » J’eu un hochement de la tête. D’accord pour Léo, dans ce cas. « Sinon je suis Journaliste dans le domaine du faits divers pour l'instant. Eh bien c'était un mauvais coup du Destin, je suis tombé amoureux d'une femme très jeune, à mes dix huit ans je l'ai mit enceinte et depuis j'élève seul mon jeune fils. Et vous? Vous êtes aussi dans la même situation que moi... Et d'un magnifique bébé qui plus est. - Pour ma part, j’étais en couple avec un homme depuis pas mal de temps déjà. Nous avons adopté Valentin dans le Massachusetts et puis quelques mois après, mon partenaire a été tué par le cambrioleur qui sévissait dans le quartier. Je pense que vous voyez de quelle histoire je parle, si vous étiez dans le coin en septembre. Je me retrouve donc veuf et père-célibataire. » Je lui fis un sourire pour cacher mon mal l’aise. Qui plus est, j’étais loin de lui avoir raconté toute la vérité. Un gros secret entourait l’adoption de Valentin, sans parler que je n’avais pas été tout à fait honnête avec Léonard puisque Scott Matthews, mon feu-partenaire, et moi n’étions plus en couple à sa mort. Mais je n’avais pas spécialement envie de rentrer dans les détails devant un homme que je connaissais à peine.
« Pour moi se sera une Salade de Gésier, mais si vous pouviez évitez de mettre du pain à l’ail vous serez gentil. » Je fis la moue en l’entendant commander une salade. Les fruits de mer étaient quelque chose qui demandait plus de temps à manger qu’une salade, il aurait surement terminé son plat avant que je n’arrive à la moitié du mien. Et s’il y avait bien quelque chose que je détestais, c’était bien faire attendre la personne avec qui je déjeunais, et devoir supporter son regard sur moi en train de manger. « Finalement, simplement un crabe complet pour moi s’il vous plait », dis-je simplement au serveur. Comme ça, je ne renonçais pas pour autant à mes fruits de mer. « C’est vrai que je vous reconnais, enfin c’est votre nom. Au bureau de la Fox certain chroniqueur vous connaisses en tant que co-présentateur de génie. Je dois dire que j’aimerais voir ça. - Tout le mérite revient à Milla Carragher, ma co-présentatrice. C’est son sourire irrésistible et ses longues jambes de mannequin qui font tout le travail et qui attire tout l’audimat des des autres chaînes. Vous savez ce que c’est, les femmes adorent regarder une belle blonde et pester contre sa beauté, quant aux hommes, ils ne se lassent pas regarder son décolleté plongeant tandis qu’elle annonce le prochain invité. » Je me saisis alors de ma serviette en tissu blanc déposé devant moi tandis que le serveur nous présentait nos plats. « Une bouteille de Saint Emilion, de votre meilleure année pour accompagner le tout s’il vous plait » demandais-je au serveur tout en prononçant le nom du vignoble avec mon petit accent américain qui me donnait surement beaucoup de charme aux yeux de Léonard pour qui le français n’était pas une langue étrangère. « Enfin le beau bronzage de Milla attire les hétérosexuels, cela va s’en dire » ajoutais-je en riant. « Pour ma part, je récupère les quelques hommes insensibles aux charmes de ma collègue »
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(#) Sujet: Re: Tout ça, c'est la faute des lapins. Lun 3 Jan 2011 - 1:13
« Sinon je suis Journaliste dans le domaine du faits divers pour l'instant. Eh bien c'était un mauvais coup du Destin, je suis tombé amoureux d'une femme très jeune, à mes dix huit ans je l'ai mit enceinte et depuis j'élève seul mon jeune fils. Et vous? Vous êtes aussi dans la même situation que moi... Et d'un magnifique bébé qui plus est. - Pour ma part, j’étais en couple avec un homme depuis pas mal de temps déjà. Nous avons adopté Valentin dans le Massachusetts et puis quelques mois après, mon partenaire a été tué par le cambrioleur qui sévissait dans le quartier. Je pense que vous voyez de quelle histoire je parle, si vous étiez dans le coin en septembre. Je me retrouve donc veuf et père-célibataire. - Oh Quel triste fin! disais-je d'un ton acablé. Hélas je ne connais pas cette histoire, je ne suis arrivé qu'en Novembre à Miami, mais je dois que je peut comprendre ce que vous ressentez, j'ai passer ses cinq dernières années à ressasser le passé, c'est quand j'ai connu un homme merveilleux, mais hélas on c'est quitté il y a un an et demi et j'ai décidé de quitter le Texas pour venir vivre ici. » Evidement je ne savais pas qu’il parlait de Scott matthew le premier amour inavoué de mon Ex Petit-ami Tyler. Je connaissais biensur l’histoire de se meurtre, mais je trouvais ça tellement bizarre comme Coïncidence que cela ne ma parut pas essantiel. Dire qu’il a eu son fils par cet union, je trouvais ça adorable, je voyais demandé ça à Tyler cela me fit rire un instant, rien que de voir sa tête aurait pu me faire mourir si c’était possible. Je me resaisissa après deux secondes pour commender enfin : « Pour moi se sera une Salade de Gésier, mais si vous pouviez évitez de mettre du pain à l’ail vous serez gentil. » Je regardais Maât ayant finit, il semblait pâle comme si il avait un fantome, je le vis refaire sa commande: « Finalement, simplement un crabe complet pour moi s’il vous plait - Oh non! Maât ne vous privez pas pour moi! C'est que j'ai déjà prit un temps avant de venir dans le quartier pour manger quelque chose...» J’étais embeté, il m’avait fait les louanges de ses fruits de mer si longtemps que je ne voulait pas qu’il se prive pour moi et puis voir un homme jouer de ses mains avec la carcasse d’un crustacé pouvait me donner chaud... le voir être agile de ses doigts m’aurait emoustiller de plus bel: « C’est vrai que je vous reconnais, enfin c’est votre nom. Au bureau de la Fox certain chroniqueur vous connaisses en tant que co-présentateur de génie. Je dois dire que j’aimerais voir ça. - Tout le mérite revient à Milla Carragher, ma co-présentatrice. C’est son sourire irrésistible et ses longues jambes de mannequin qui font tout le travail et qui attire tout l’audimat des des autres chaînes. Vous savez ce que c’est, les femmes adorent regarder une belle blonde et pester contre sa beauté, quant aux hommes, ils ne se lassent pas regarder son décolleté plongeant tandis qu’elle annonce le prochain invité. » Je ne pouvais que sortir un «oh!» a cet phrase qui fut longue, je dois dire que c’est avec mon physique que j’ai pu rentrer dans le journalisme télévisé, me voir à la radio aurait était catastrophique j’ai horreur d’être assis la et a parler devant un micro dans une salle tout pitite de chez pitite pire qu’un placard a balai, je l’ai fait au lycée je le referais plus maintenant Tant dis que le serveur nous servit nos plats, je vis le pauvre Crabe devant le nez de Maât j’avais de la peine pour lui je regardais le serveur après que Maât: « Une bouteille de Saint Emilion, de votre meilleure année pour accompagner le tout s’il vous plait - Ainsi que le plat de fruit de mer de Monsieur Blythe-Shyldon et ainsi qu’un Tournedos saignante avec sa Julienne de Légume... » Je regardais Maât avec un sourire, il voulait qu’on mange Souhâte! Nous allons festoyer! Je commença un piquer avec ma fourchette un bout de viande l’apportant à ma bouche, je regardais Maât en continuant son anecdocte sur son émission, je dois dire que l’avoir entendu de son accent américain pouvait me donner des frissions, avait il découvert mon point faible? Ah si il savais ce que je pouvais lui reserver: « Enfin le beau bronzage de Milla attire les hétérosexuels, cela va s’en dire » ajoutait-il en riant. « Pour ma part, je récupère les quelques hommes insensibles aux charmes de ma collègue - Ah que serait les médias sans de bon redacteur qui ne pense qu’à l’Audimat derrière tout ça. Je dois dire que cette Milla doit être délicieuse, pas autant que vous devant l’écran. » Je vis le serveur revenir avec la bouteille de vin. Un Saint Emilion, je le vis débouché le vin, je le regardé avec attention, j’étais un Aristocrate, je n’ai pas qu’on gâche ce que les pauvres de ce pays qu’est la France ont fait par le passé c’est un gachis du patrimoine. Cela dit le serveur était très mignon dans son costume de Sommelier, mais j’étais plus attiré par cette bouteille, il commença à me servir pour lui j’étais l’inviteur peut être dù a mon acharnement à le regarder faire. Je leva le verre regardant la couleur et je me dit a penser tout haut: «Un rouge... Une robe peu banale pour un Saint Emilion» Je le fit tourner pour regarder si il y rester des résidu, je continua par hummer et gouter et recracher d’une facon delicate dans le verre: «Mais vous seriez pret à nous arnaquer pour ce prix... un 2003, cela vas faire 9 ans que ce vin est fait, il a déjà pas mal perdu son arôme fruité... Vous appelez ça une bonne année? Avez vous étez en France monsieur? Non? Eh bien il serait temps d’y aller pour goûter du vrai vin... Et non de la Piquette je ne donnerais pas à ma Grand-mère» J’évita de m’emporter, mais mon coter français se fit revoir, Franche et surtout grand gueule... Le Sommelier repartit reprenant la bouteille, je regardais Maât en toussotant et en lui disant: «Pardonnez-moi mon impolitesse, je ne supporte pas qu’on arnaque mes amis.». Je le regarda, je n’aurais peut être pas du dire amis, peut être amant, mais cela dit nous avions pas commençer, je dois dire que si j’étais plus optimiste, j’aurais peut être voulu plus avec Maât, il était charmant et il me faisait rire, les atout majeur pour me combler, mais mon coeur était ailleur, même si j’aurais voulu qu’il soit là... J’aurais aimé gardé contact avec lui espérant que cela soit possible après ce repas.
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(#) Sujet: Re: Tout ça, c'est la faute des lapins. Lun 3 Jan 2011 - 15:15
« Pour ma part, j’étais en couple avec un homme depuis pas mal de temps déjà. Nous avons adopté Valentin dans le Massachusetts et puis quelques mois après, mon partenaire a été tué par le cambrioleur qui sévissait dans le quartier. Je pense que vous voyez de quelle histoire je parle, si vous étiez dans le coin en septembre. Je me retrouve donc veuf et père-célibataire. - Oh Quel triste fin! Hélas je ne connais pas cette histoire, je ne suis arrivé qu'en Novembre à Miami, mais je dois que je peux comprendre ce que vous ressentez, j'ai passé ses cinq dernières années à ressasser le passé, c'est quand j'ai connu un homme merveilleux, mais hélas on c'est quitté il y a un an et demi et j'ai décidé de quitter le Texas pour venir vivre ici. - Je vous envie ! Il n’y a rien de mieux qu’un nouveau départ pour se ressemble d’une rupture difficile et passer à autre chose !répondis-je simplement en haussant les sourcils. Maintenant je me venge contre l’univers en balançant des cailloux sur les lapins qui peuplent ma pelouse. » Cette dernière précision me fit beaucoup rire. « C’est de cette manière que j’ai envoyé cette pierre contre votre voisin. Je visais Bunny. Je leur donne des noms. Le blanc que j’ai loupé, c’est Bunny. Enfin… je dois être honnête avec vous, je ne suis pas sûr de les reconnaitre, il se ressemble beaucoup. » J’étais très amusé par cette conversation, mais je prenais doucement conscience que Léonard devait me prendre pour un taré, un des nombreux déjantés qui peuplait notre banlieue chic de Miami.
« Pour moi se sera une Salade de Gésier, mais si vous pouviez évitez de mettre du pain à l’ail vous serez gentil. - Finalement, simplement un crabe complet pour moi s’il vous plait. - Oh non! Maât ne vous privez pas pour moi! C'est que j'ai déjà prit un temps avant de venir dans le quartier pour manger quelque chose... - Je vous assure qu’il n’y a pas de problème. Et puis de toute façon, j’ai toujours les yeux plus gros que le ventre ! » Une fois que le serveur revint, je lui commandais une bouteille de vin, et c’est alors que mon invité en profita pour changer une fois encore ma commande et la sienne. Le serveur devait nous haïr, mais pour ma part j’étais très amusé par cette situation. J’appréciais beaucoup la compagnie de Léonard Mcnamara.
« Enfin le beau bronzage de Milla attire les hétérosexuels, cela va s’en dire. Pour ma part, je récupère les quelques hommes insensibles aux charmes de ma collègue. - Ah que serait les médias sans de bon rédacteur qui ne pense qu’à l’Audimat derrière tout ça. Je dois dire que cette Milla doit être délicieuse, pas autant que vous devant l’écran. » J’eus un sourire supplémentaire devant la dernière remarque de Léo. « Léo, êtes-vous à tout hasard en train de me draguer ? » Je n’y allais pas par quatre chemins, et c’était justement le plus amusant là-dedans. En quelques secondes, le serveur revint avec la bouteille que je lui avais demandée. En grand professionnel et français pur souche, Léonard observait le sommelier ouvrir la bouteille puis servir le breuvage dans un verre vouté. « Un rouge... Une robe peu banale pour un Saint Emilion » Il le porta à ses lèvres, le goûta… puis recracha le tout dans le verre. « Mais vous seriez prêt à nous arnaquer pour ce prix... un 2003, cela vas faire 9 ans que ce vin est fait, il a déjà pas mal perdu son arôme fruité... Vous appelez ça une bonne année? Avez vous étez en France monsieur? Non? Eh bien il serait temps d’y aller pour goûter du vrai vin... Et non de la Piquette je ne donnerais pas à ma Grand-mère. » Visiblement, le serveur ne savait plus où se mettre. Pour ma part, j’appréciais la franchise et le savoir faire de mon invité. Le serveur me regarda, le visage décomposé et visiblement navré de son erreur. Il bafouilla quelque chose que je ne parvins pas à comprendre, puis il repartit avec la bouteille sans demander son reste – je l’imaginais déjà en train de courir dans les cuisines puis dans la cave du restaurant pour trouver une bouteille digne de ce nom et qui répondrait à mes attentes et surtout à celles, exigeantes, de Léonard. « Pardonnez-moi mon impolitesse, je ne supporte pas qu’on arnaque mes amis. Je vous en prie, vous n’avez pas à vous excuser. J’aime la franchise. »
HJ – Je suis désolé, mon message n’est pas vraiment utile mais je n’avais pas l’imagination sur ce coup-là xD. Je me rattrape au prochain, n’hésite pas à me le dire si tu n’arrives pas à y répondre, je trouverai bien quelque chose à rajouter pour faire avancer convenablement notre topic xD.
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(#) Sujet: Re: Tout ça, c'est la faute des lapins. Lun 3 Jan 2011 - 18:54
« Oh Quel triste fin! Hélas je ne connais pas cette histoire, je ne suis arrivé qu'en Novembre à Miami, mais je dois que je peux comprendre ce que vous ressentez, j'ai passé ses cinq dernières années à ressasser le passé, c'est quand j'ai connu un homme merveilleux, mais hélas on c'est quitté il y a un an et demi et j'ai décidé de quitter le Texas pour venir vivre ici. - Je vous envie ! Il n’y a rien de mieux qu’un nouveau départ pour se ressemble d’une rupture difficile et passer à autre chose !Répondait-il en haussant les sourcils, je l’aurais pris bizarrement comme passez a autre chose avec lui, j’aurais bien aimé cela dit cela me plongea dans mes pensées, il continua en me parlant de cette histoire de Lapin. Maintenant je me venge contre l’univers en balançant des cailloux sur les lapins qui peuplent ma pelouse. » Je me suis mit à rire en même temps que lui, cela me rapelle mon Fils Jolan avec le célébre jeu de Rayman avec les Lapins crétins. Je voyais bien Maât à la place de Rayman. « C’est de cette manière que j’ai envoyé cette pierre contre votre voiture. Je visais Bunny. Je leur donne des noms. Le blanc que j’ai loupé, c’est Bunny. Enfin… je dois être honnête avec vous, je ne suis pas sûr de les reconnaitre, il se ressemble beaucoup. - *rire* Effectivement, y a de quoi devenir dingue... » Je me mettais à sourire, il était dérangé mais je trouvais ça vraiment adorable. ma jambe continua de l’éffleurer je me sentais bien en la compagnie de Maât cela me changeait beaucoup depuis quelques jours, surtout avec Tyler... J’avais beaucoup de mal à le comprendre. Mais passer une journée comme celle ci en compagnie d’un jeune homme charmant et qui semblait aussi content que moi à être présent ici. Cela faisait déjà quelque temps que j’avais envie de ça et voilà qu’on me sert ça sur un plateau, cela aura peut être couter un choc sur ma voiture mais cela en valait la peine. Cela faisait quelque minute que nous parlions, surtout j’essayais de convaintre Maât de ne pas changer son menu parce que je prenais simplement une salade, j’avais envie de viande juste après donc cela aurais prit du temps et surtout le temps d’un plateau de fruit de mer... Il se plaigna comme quoi il finissait souvent les yeux plus gros que le ventre cela ma fait rire. Je dois dire que j’étais très amusé de voir le visage du serveur tirailler par mes soubressot des plus anodin en ce qui concerne mes choix de plats. Et je voyais que Maât en prenait un certain plaisir aussi. Il me parla de sa cher Collégue qui d’après sa description serait une femme radieuse aux longues jambes élancées. Je ne demandais cas voir, mais il allait droit au but et je doit dire que cela ne me dérangeait pas du tout: « Enfin le beau bronzage de Milla attire les hétérosexuels, cela va s’en dire. Pour ma part, je récupère les quelques hommes insensibles aux charmes de ma collègue. - Ah que serait les médias sans de bon rédacteur qui ne pense qu’à l’Audimat derrière tout ça. Je dois dire que cette Milla doit être délicieuse, pas autant que vous devant l’écran. » Il eus un sourire à ma dernière remarque, je voyais qu’il semblait avoir compris que j’étais pas un moine pour autant. « Léo, êtes-vous à tout hasard en train de me draguer ? » Je me mis à sourire, posant mes deux coudes sur la tables, posant ainsi ma tête sur mes deux mains et je lui dit me rapprochant doucement: «Cela se pourrait bien...» Je me mit à sourire en me redressant commencant à reprendre une autre bouché de cet salade qui était délicieuse, j’adorais les plats de chasseur cela faisait très campagnard francais et j’adorais les mets. C’est ainsi qu’après quelque minutes après avoir assasiné le sommelier pour son mauvais goût en vin et son inculture. Tant dis qu’il repartait pour pleurer dans les jupons de son patron je m’excusa en vers Maât d’être aussi embetant avec ça: « Pardonnez-moi mon impolitesse, je ne supporte pas qu’on arnaque mes amis. - Je vous en prie, vous n’avez pas à vous excuser. J’aime la franchise. - Eh bien cela est tout à fait honorable... En parlant de franchise, je dois dire que vous êtes direct dans votre genre et cela est dù au faite que ma jambe est entrain de jouer avec la votre depuis tout à l’heure et cela ne vous dérange pas, je vous repose la même question... » Je reprenais ma respiration en ayant un sourire provocateur et en reprenant avec: « Monsieur Blythe seriez vous entrain de me draguer par tout les hasards?» j’eus un sourire toujours aussi provocateur, Maât était si... Spéciale je dois dire que c’était ça qui m’attirait chez ce co-présentateur.
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(#) Sujet: Re: Tout ça, c'est la faute des lapins. Dim 9 Jan 2011 - 1:51
« Enfin le beau bronzage de Milla attire les hétérosexuels, cela va s’en dire. Pour ma part, je récupère les quelques hommes insensibles aux charmes de ma collègue. - Ah que serait les médias sans de bon rédacteur qui ne pense qu’à l’Audimat derrière tout ça. Je dois dire que cette Milla doit être délicieuse, pas autant que vous devant l’écran. - Léo, êtes-vous à tout hasard en train de me draguer ? - Cela se pourrait bien... » Devant sa réponse, je me devais de sourire et de rougir un peu. Voilà quelque chose que mon métier ne parvenait pas à changer : quand on est présentateur télévisé, on doit apprendre à se contrôler et ne pas laisser ses ressentis et ses sentiments ressortir à l’écran. Mais en ce qui me concerne, je n’étais tout simplement jamais parvenu à me contrôler. Pour être tout à fait sincère, c’était d’ailleurs ce qui plaisait chez moi.
Après l’épisode du sommelier, même si je n’avais pas du tout été mis mal à l’aise par ce moment, j’appréciais tout de fois que Léonard se confonde en excuses. Cela montrait tout d’abord qu’il avait de l’éducation, mais aussi qu’il savait reconnaître ses erreurs de comportement lorsqu’il en faisait une. Il semblait être un homme équilibré. Voilà qui était quelque chose de satisfaisant. « Pardonnez-moi mon impolitesse, je ne supporte pas qu’on arnaque mes amis. - Je vous en prie, vous n’avez pas à vous excuser. J’aime la franchise. - Eh bien cela est tout à fait honorable... En parlant de franchise, je dois dire que vous êtes direct dans votre genre et cela est dû au faite que ma jambe est entrain de jouer avec la votre depuis tout à l’heure et cela ne vous dérange pas, je vous repose la même question... Monsieur Blythe seriez vous entrain de me draguer par tout les hasards? - Cela se pourrait bien… » Et je me penchais alors vers lui pour ajouter : « Et pour être tout à fait honnête, je trouve ça particulièrement agréable… »
Le reste du repas se passa de manière particulièrement agréable. Evidemment, nous ne cessâmes pas de jouer avec nos jambes, tout en laissant de temps en temps nos mains entrer en contact. Je le trouvais particulièrement charmant et je craquais complètement pour lui. J’essayais de ne pas, fidèle à moi-même, m’imaginer déjà marié avec lui. Forcément, à la fin du repas, nous décidâmes de prolonger un peu plus ce moment partagé ensemble qui ressemblait de plus en plus à un rendez-vous. Les enfants et ma colocataire Lyann n’étant pas chez moi pour la journée, je lui proposais de venir boire un dernier verre ou simplement à café chez moi. Il accepta évidemment. Une fois la portée d’entrée passée, je n’eus même pas le temps de me diriger vers la cuisine qu’il se collait déjà à moi pour m’embrasser. En quelques minutes et après plusieurs baisers échangés, nous nous retrouvâmes dans ma chambre au premier étage de la maison. Il me poussa sur mon lit et vint au dessous de moi tout en m’embrassant. « Léo, attends… Attends… » Je l’écartais un peu de moi, reprenant mon souffle. Je savais très bien ce qu’il allait se passer, et je voulais être particulièrement clair. Je voulais être sûr que nous étions sur la même longueur d’onde, que nous recherchons la même chose et qu’il n’y aurait pas de souffrance à l’issue de tout cela. « Je te préviens, on est d’accord sur un point. Toi et moi, c’est juste pour aujourd’hui. A la rigueur une ou deux autres fois mais c’est tout. Je ne suis pas prêt pour me remettre dans une relation, ce n’est pas ce que je recherche pour le moment. Je veux juste profiter un peu avec toi. Mais c’est tout… »
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(#) Sujet: Re: Tout ça, c'est la faute des lapins. Dim 9 Jan 2011 - 2:38
« Pardonnez-moi mon impolitesse, je ne supporte pas qu’on arnaque mes amis. - Je vous en prie, vous n’avez pas à vous excuser. J’aime la franchise. - Eh bien cela est tout à fait honorable... En parlant de franchise, je dois dire que vous êtes direct dans votre genre et cela est dû au faite que ma jambe est entrain de jouer avec la votre depuis tout à l’heure et cela ne vous dérange pas, je vous repose la même question... Monsieur Blythe seriez vous entrain de me draguer par tout les hasards? - Cela se pourrait bien… »Il se pencha vers moi, j’étais intriguer completement absorbé par ses mots, Mâat avait le don de m’hypnotiser de son regard c’est ainsi qu’il continua. : « Et pour être tout à fait honnête, je trouve ça particulièrement agréable… » J’eus un sourire en entendant cette phrase, il était vraiment mignon surtout quand il a rougis quelque secondes plutôt quand je lui ai avoué que je le draguais... Il avait un coté jeunot que je n’arrivais pas à resister, le repas fut des plus agréables, je n’avais pas mangé en aussi bonne compagnie depuis des années. Je dois dire que les parents de la mère de Jolan que je dois me coltiner chaque année ses toujours assez ennuyeux. Nous profitions pour rapprocher nos mains, mes doigts carrèsèrent les siens et cela s’engrenna à sa main. Nos jeux dangereux se faisait de plus en plus ressentir. Je me voyais déjà avec lui, j’étais trop parti dans un fantasme de jeune. Nous quittions le restaurant après qu’il est payé, nous rentrions chez Maât et il m’invita pour boire un dernier verre, mais dés qu’on ai rentré chez lui, je lui sauta au cou pour l’embrasser, ma main carressa sa joue se nichant à sa nuque et quelque minutes, nous nous retrouvions dans sa chambre, j’étais à cheval sur lui et il se detacha de moi: « Léo, attends… Attends… » Je sentais qu’on devais mettre les choses au clair, c’était surement mieux, même si je ne savais pas à quoi m’attendre avec lui c’est quand il continua sur sa lancée: « Je te préviens, on est d’accord sur un point. Toi et moi, c’est juste pour aujourd’hui. A la rigueur une ou deux autres fois mais c’est tout. Je ne suis pas prêt pour me remettre dans une relation, ce n’est pas ce que je recherche pour le moment. Je veux juste profiter un peu avec toi. Mais c’est tout… » je posa mon index sur ses lèvres et je lui dit doucement: « Pour moi c’est très clair... » J’eus un sourire avant de reprendre les festivités, je commença à l’embrasser avec tendresse, rien ne vaut un baiser tendre pour commençer, mes mains descendirent au niveau de son haut le remontant posant mes mains sur son ventre, les tracés de ses abdominaux pouvait faire rougir un apollon j’en était abasourdit, je remonta doucement jouant de mes doigts pour découvrir un corps inconnu pour moi. après quelque secondes je me detacha de lui pour retiré son haut, mais je repris le baiser d’une façon plus fougueuse plus determiné, je savais ce que je voulais à présent et c’était passer un moment très agréable avec Maât. Une de mes mains glissèrent dans ses cheveux pour que l’autre aille descendre aux niveaux de son bas ventre jouant avec le premier bouton de ce qu’on pourrait appeller un Pantalon. Et quand je le détacha, mes baisers descendirent vers sa nuque pour donner quelque sensation à mon faucheur de lapin. Je plongea ma main qui était entrain de retirer un par un les boutons de son pantalon dans ce qui semblerait un boxer sentant la virilité de Maât je descendit doucement mes baisers. Tout passa si vite, je n’aurais pas crus passer un si bon moment, On était en parfaite symbiose tout les temps, je n’avais pas pris mon pied depuis si longtemps après Tyler. Je me retrouva sur le dos, complêtement nu la couverture de Maât sur le bas des jambes, Maât était sur moi... Aussi Essouflé que moi, j’eus un sourire provocateur j’étais si bien après ce moment. Mes mains furent encore posé sur les fesses du jeune présentateur. La nuit venait de tomber sur Ocean Groove je ne penserais pas que cela avait duré plus d’une heure... le temps était passé si vite.
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(#) Sujet: Re: Tout ça, c'est la faute des lapins. Dim 9 Jan 2011 - 15:13
« Je te préviens, on est d’accord sur un point. Toi et moi, c’est juste pour aujourd’hui. A la rigueur une ou deux autres fois mais c’est tout. Je ne suis pas prêt pour me remettre dans une relation, ce n’est pas ce que je recherche pour le moment. Je veux juste profiter un peu avec toi. Mais c’est tout… - Pour moi c’est très clair… » Je lui rendis son sourire avant de me laisser aller sous ses baisers. Il y avait toujours quelqu’un d’angoissant et d’inquiétant de faire l’amour pour la première fois avec quelqu’un dont le corps nous est encore inconnu. Mais par-dessus le marché, c’était aussi très électrisant. Découvrir de nouvelles sensations, et se laisser aller sous des lèvres que l’on découvre. J’aimais particulièrement le menton carré de Léonard. Un frisson me parcourut lorsqu’il posa doucement ses mains sur mon ventre, ses doigts suivant doucement le tracé de ces abdominaux que j’avais pourtant négligé depuis la mort de Scott. D’ailleurs, c’était Scott qui avait pour habitude de s’amuser à suivre les formes de mon ventre, passant son doigts entre ce qu’il surnommait mes « carrés de chocolat » jusqu’à les deux lignes qui dessinait un V strict au bas de mon ventre. J’aimais profondément un homme. Il s’appelait Scott Matthews et aujourd’hui, il est mort.
Il cessa ses baisers, entrepris de me retirer un premier vêtement pour dévoiler complètement le haut de mon corps. Plus entreprenant, je subissais ses embrassades plus passionnées que précédemment. Pendant qu’il m’embrassait tout en détachant le premier bouton de mon pantalon, je caressais son dos d’une main, l’autre glissant sous son pantalon puis son sous-vêtement pour caresser sa fesse droite. Je frissonnais lorsque sa langue descendit dans le creux de ma nuque. L’instant d’après, je sentis sa main s’aventurer en dessous de ma ceinture qui jonchait d’ailleurs depuis quelques minutes déjà sur le sol, au pied de mon lit. C’est alors que tout s’accéléra. Je me retrouvais rapidement complètement nu, tout comme l’était mon partenaire après que j’ai entrepris de lui retirer ses vêtements. Installé entre ses jambes, je l’embrassais doucement. J’étais un romantique, cela pouvait se voir dans ma façon d’embrasser.
Quelques heures plus tard, la nuit commençait à tomber sur Ocean Grove. Installé en suspension sur Léonard pour ne pas trop l’écraser de mon poids, je reprenais doucement ma respiration. J’entrepris de l’embrasser doucement à la commissure de ses lèvres, puis dans le creux de son cou, juste en dessous de son oreille. J’attrapais ensuite le drap qui se trouvait à nos pieds pour le remonter jusqu’à mon ventre tout en basculant à côté de Léonard, mon ventre contre son flan. « Bon… C’était cool, je te remercie, je pense que tu peux partir maintenant ! » lui assurais-je d’un ton amusé. Il tourna sa tête vers moi d’un regard outré, hésitant visiblement entre l’envie de m’en décoller une et l’incertitude de savoir si j’étais vraiment sérieux dans mes paroles. Je me mis à rire. « Je rigole, je rigole ! Je ne veux pas que tu partes. Enfin pas tout de suite… » Je plongeais alors mon regard dans le sien, réalisant que je n’étais pas particulièrement sûr de vouloir qu’il parte, justement. La réalité de ma personnalité et de mon caractère me rattrapait. Je n’étais pas doué pour être seul, je n’étais pas fait pour les aventures d’un soir, il fallait que je me rende à l’évidence. Aïe, Maât, on sait déjà qui va souffrir dans l’histoire.
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(#) Sujet: Re: Tout ça, c'est la faute des lapins.