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 n°1608 /when fate hounds

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n°1608 /when fate hounds  Vide
Message(#) Sujet: n°1608 /when fate hounds n°1608 /when fate hounds  EmptyJeu 2 Déc 2010 - 20:54

when fate hounds
    STARRING ETHAN COOPER & ABBEY KASSIDY





. Parfois, il semblerait que la vie ait décidé de s’acharner. Sans comprendre pourquoi, on est accablé par la fatalité. Tous les maux du monde nous tombe dessus et c’est comme ci la terre se dérobait sous nos pas. C’est un peu près ce que tu ressens en ce moment. D’un naturel charmeur, tu donnes l’impression d’être un bon vivant, mais tu caches de profonde blessure. Rare son les personnes qui peuvent prétendre te connaître. Tu es mystérieux et c’est principalement ce qui fait ton charme. Alors pourquoi toi ? Pourquoi la vie semble s’acharner sur ta misérable existence ? C’était une nuit, tu rentrais tranquillement chez toi après une soirée bien arrosée et sans comprendre pourquoi, tu te retrouvas gisant sur le sol dur et froid. Plongé dans cette obscurité glaciale, tu es seul et tu te vide de ton sang : on viens de te tirer dessus. Pourquoi ? C’est la question que tu te poseras lors de ton réveil. Tu es rester dans le coma pendant de long jour et à ta grande surprise, rare était les personnes qui étaient venus prendre soin de toi. C’est à ce moment là que tu t’es rendu compte de la solitude qui demeurait dans ta vie. Après tout, tu ne pouvais t’en prendre qu’à toi-même, tu ne laisses pas les gens s’attacher à toi, tu les laisses passer, partir, vivre leur vie. Tu es seul, sans amour, sans amie, avec pour seul attrait, tes conquêtes qui te donne l’impression d’être quelqu’un d’aimer. Tu te rends compte que ta vie est un échec ! Cependant, alors que tu te croyais abandonné sur ce lit d’hôpital, tu apprends qu’une cliente et ex’ conquête passe régulièrement te voir. Lorsqu’elle ta vu réveillé, tu aurais presque cru apercevoir une lueur de soulagement dans son regard. Peut être que tu te fais des films, ou peut être as-tu eu de l’importance pour quelqu’un. A ton grand étonnement, tu es content que ce soit elle qui soit là, qu’elle ait pu s’inquiété de ta vie ou de ta mort. Elle, c’est Abbey. Elle est belle et a de nombreux charmes qui ne t’on jamais laissé indifférent.

Après plusieurs semaines de convalescence, les médecins te laissent enfin sortir de l’hôpital. Tu as passer pas mal de temps avec Abbey et vos relations sont plus liées quelles ne l’étaient auparavant. Tu connais ses goûts, ses hobbies et même ses peurs. Pour la première fois depuis longtemps, tu as réellement porter de l’intérêt pour quelqu’un et ce, sans aucun arrière penser. Tu es dans la voiture qui te conduit chez toi, ton amie au volant. Le voyage te parait être une éternité, mais une éternité que tu aurais voulu voir perdurer. Cette parenthèse de ta vie ta fais un bien fou, tu étais dans une bulle et tu avais l’air heureux. Tu as hâte de retourner chez toi, mais tu as peur de revenir à la réalité, de reprendre le cour de ta vie morose et sans aucun sens. Tu passes le pas de ta porte, ta maison est telle que tu l’avais laissé. Elle te parait vide et triste, sans vie, comme toi.

Tu pousses un soupir de soulagement, tu es chez toi. Tu invites Abbey à rentrer, tu lui dois bien ton hospitalité. Et puis, tu dois l’avouer, tu n’as pas envie qu’elle parte, tu t’es habitué à sa présence, à sa personnalité, tu es bien avec elle, et cela t’effraie un peu. Tu as peur de t’attacher, tu sais ce que s’est de souffrir. Tu tends un verre de blanc à ton amie, ton regard dans le sien. « Merci pour tout Abbey, tu as rendu cette convalescence bien agréable. » Tu lui fais un sourire qui te correspond, mais qui pour une fois est sincère. Tu bois une gorgée de ce chardonnay qui n’est pas de très bonne qualité et tu attends, toujours les yeux posés sur cette femme qui pourrait bien te changer…












Dernière édition par Ethan J. Cooper le Ven 3 Déc 2010 - 19:29, édité 1 fois
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n°1608 /when fate hounds  Vide
Message(#) Sujet: Re: n°1608 /when fate hounds n°1608 /when fate hounds  EmptyVen 3 Déc 2010 - 5:10


WHEN FATE HOUNDS
sujet se déroulant le 01 décembre 2011 (avant et pendant l'ouragan).

Lorsqu’elle avait appris qu’on avait tiré sur son agent - pour une raison qui lui était fort inconnue - et que ce dernier était hospitalisé et plongé dans le coma, Abbey avait eu l’impression que le ciel venait de lui tomber sur la tête. Ethan et elle avaient toujours eu une bonne entente, et, qui plus est, il lui avait sauvé la vie… ou du moins, sa carrière. Et pour ça, elle lui en devait beaucoup. Alors, de le savoir dans un tel état l’avait elle-même mit dans un état second, une inquiétude la rongeant en permanence. C’était bien là l’un des problèmes d’Abbey : elle s’attachait si rapidement aux gens qu’elle se remettait très mal de l’abandon, peut importe la nature qui le composait. Alors, dès qu’elle avait su, elle s’était imaginée les pires choses, passant de la paralysie complète jusqu’à la fatidique mort. Et le seul moyen qu’elle avait eu pour soulager sa conscience et ses craintes avait été de visiter, à chaque jour que le calendrier lui offrait, la chambre d’Ethan. Elle y venait tellement souvent que les infirmières s’étaient même habituée à sa présence, contrairement à la toute première fois où elle avait presque créé une émeute rien que par sa présence dans l’hôpital en lui-même – à croire que sa réputation la poursuivait même jusqu’ici, là où elle aurait bien voulu l’oublier, pour une fois.

Puis, un beau matin, un téléphone lui annonça ce qu’ils avaient tous attendu avec impatience, durant ces longues semaines : il s’était enfin réveillé. C’était tellement improbable, d’après certains rapports des médecins, que ce fut seulement lorsqu’elle le fit, éveillée et assis dans son lit d’hôpital, qu’elle sut que les choses allaient s’arranger pour lui, que maintenant, il ne lui restait plus qu’à panser ces blessures et que la vie reprendrait son cours normal. Du moins, c’est ce qu’elle croyait. C’était sans compter sur l’attachement qu’avait développé Ethan à son égard. Elle, sa seule visiteuse – ou presque. Elle l’accompagna dans les semaines qui suivirent, restant à son chevet pour lui tenir compagnie lorsque son horaire le lui permettait. Disons qu’ils profitèrent de ces nombreux moments pour discuter et apprendre à se connaître… véritablement cette fois. Les conservations superficielles des premières rencontres et des discussions professionnelles laissèrent places aux vrais choses, à ce qui en valait vraiment la peine. L’on peut réellement dire que l’amitié avait prit sa place entre les deux protagonistes, voir peut-être même plus. Mais ça, Dieu seul le savait.

À l’annonce de sa sortie, ce ne fut une surprise pour personne de voir Abbey à ses côtés pour le reconduire chez lui, dans la maison qu’elle avait fait entretenir durant son séjour à l’hôpital pour éviter que les toiles d’araignées et la poussière n’envahissent l’endroit. D’ailleurs, même s’il craignait ce retour à la vie normale, l’actrice se doutait bien qu’il il y avait une parcelle de soulagement derrière ses inquiétudes. Le trajet en voiture se passa sans encombre, ne serait-ce que le ciel gris qui menaçait Miami depuis plusieurs jours, déjà. Cependant, préférant éviter à Ethan quelconques angoisses supplémentaires, Abbey n’avait pas abordée le sujet de ces alertes météorologiques qui pleuvait sur la ville. Le pauvre avait eu son lot de soucis pour l’année, de son avis. Elle l’aida à amener toute ses choses à l’intérieur et, une fois que ce fut chose faite, Abbey accepta avec joie l’offre d’Ethan de rester avec lui. Et puis, comment dire non à un verre de vin? « Merci pour tout Abbey, tu as rendu cette convalescence bien agréable. » lui mentionne-t-il, sourire aux lèvres. Aussitôt, un sourire timide apparu aux coins des siennes, alors qu'elle s’empressait de lui répondre. « Ce n’est rien. Tu as sauvé ma carrière, il était de mon devoir de t’aider à sauver ta vie, tu ne crois pas? » Ils firent un toast pour célébrer ce retour au bercail puis Abbey alla jeter un coup d’œil par la fenêtre pendant qu’Ethan continuait de se réinstaller chez lui. Dehors, le ciel s’assombrissait toujours autant et le vent semblait se faire un plaisir violent d’arranger quelques branches d’arbres ici et là. Un paysage pour le moins inquiétant. Se détournant de cette vision presque apocalyptique, la jeune femme se dirigea vers la télévision qu’elle alluma avant de prendre place sur le sofa qui lui faisait place. Ce qu’elle y vu ne la rassura guère. Une alerte de vents violents, voir même d’ouragan. Il ne manquait plus que ça… Se relevant aussi rapidement qu’elle s’était assise, elle avisa ses choses avant de se retourner vers Ethan, penaude. « Il faudrait peut-être que je rentre chez moi… avant que cette tempête ne nous tombe sur la tête. » fit-elle en pointant la télévision, toujours allumée aux postes d'informations.




Dernière édition par Abbey Kassidy le Ven 13 Mai 2011 - 6:37, édité 5 fois
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n°1608 /when fate hounds  Vide
Message(#) Sujet: Re: n°1608 /when fate hounds n°1608 /when fate hounds  EmptyVen 3 Déc 2010 - 21:04





. Le hasard, la fatalité… deux choses auxquelles tu ne croyais guère. Tu étais de ceux qui pensaient que chaque chose avait une raison d’être, chaque évènement avait un but précis. Et pourtant, maintenant plus qu’aujourd’hui, tu te demandes pourquoi ça t’est arrivé à toi ? Peut être pour te faire prendre conscience que la vie peut être magnifique, qu’elle peut avoir un sens même si, dans le passé, tu n’avais aucune raison d’être. Est-ce la destin qui a mis cet agresseur sur ta route pour que tu remarques enfin cette femme qui faisait partie de ton entourage et qui se trouve être une femme intéressante et pleine de charme ? C’était différent de la première fois, tu le sentais. Pourquoi ces palpitations à chaque fois que ton regard croisaient le sien ? Tu l’ignores… tu ne sais plus ce que c’est de désirer quelqu’un, plus que pour le sexe ou d’autre attrait. Tu as inconsciemment envie d’une vraie relation, tu ne veux plus être seul, tu veux être aimé à nouveau…

Les météorologistes annonçaient des bouleversements climatiques pour les prochains jours. Tu n’étais pas au courant de ça, ni Abbey, ni les médecins ne t’avaient informé de ces menaces qui pesaient sur la ville de Miami. C’est à peine si tu avais remarqué ce ciel gris menaçant, sur le chemin de ta maison. Tu étais bien trop perdu dans tes pensées, étant toutes destinés à cette femme qui se tenait non loin de toi. « Ce n’est rien. Tu as sauvé ma carrière, il était de mon devoir de t’aider à sauver ta vie, tu ne crois pas? » Elle était formidable, tu t’en rendais compte à présent, elle avait été là pour toi et trouvait ça tout simplement normale car tu avais sauvé sa carrière. Ca te semblait pourtant sans importance au jour d’aujourd’hui, comme si ton accident avait changé l’ordre de tes priorités.

Abbey regardait par la fenêtre, tu aurais presque pu voir un vent de panique la traversé lorsqu’elle alluma les informations. Perplexe, tu écoutais attentivement les avertissements des informateurs. Le risque qu’une tempête s’abatte sur Miami se précisait, tu restais perplexe, la nouvelle te tombait dessus. Mais tu ne prenais pas aux sérieux cette alerte… On était à Miami, quelles étaient les chances qu’un ouragan vienne détruire la ville la plupart du temps ensoleillé ? Et puis, ce n’était pas ton inquiétude première, Abbey prenais ça au sérieux, et tu n’allais pas te défiler. C’était à toi d’être présent pour elle. « il faudrait peut-être que je rentre chez moi… avant que cette tempête ne nous tombe sur la tête. » Tu lui fis un sourire réconfortant avant de l’invité à s’asseoir près de toi. « J’aimerais que tu restes… Que tu sois ici ou chez toi, ça ne changera pas la météo… » Et tu avais raison…











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n°1608 /when fate hounds  Vide
Message(#) Sujet: Re: n°1608 /when fate hounds n°1608 /when fate hounds  EmptyLun 27 Déc 2010 - 17:22


WHEN FATE HOUNDS
sujet se déroulant le 01 décembre 2011 (avant et pendant l'ouragan).

« J’aimerais que tu restes… Que tu sois ici ou chez toi, ça ne changera pas la météo… » Dehors, la tempête grondait toujours de plus en plus fort, et Abbey hésitait sur le pas de la porte, ne sachant pas si elle devait accepter de rester ici, avec Ethan, ou si elle devait prendre la route pour retourner chez elle au plus vite. D’une façon où d’une autre, elle allait devoir se mettre à l’abri et un trajet en voiture pourrait s’avérer dangereux, même pour une ou deux minutes de trajet, car avec ce vent qui s’était levé, tout pouvait arriver : une branche tombant sur la route, une table de jardin traversant la rue devant elle, jusqu’à la toiture qui viendrait la frapper de pleins fouets. Était-ce vraiment sécuritaire d’ainsi risquer sa vie rien que pour retrouver le confort de sa propre maison, alors qu’elle était tout aussi bien ici, et en bonne compagnie. Qui plus est, elle ne pouvait faire ça à Ethan : l’abandonner en plein cœur d’une tempête alors qu’il avait traversé tant d’épreuves dernièrement… elle s’en serait voulu s’il lui était arrivé quelque chose alors qu’elle n’était pas à ses côtés. À vrai dire, sa décision était déjà prise avant même qu’il ne lui offre de rester à ses côtés. «D’accord… c’est peut-être mieux ainsi. » lui dit-elle finalement en redéposant ses effets personnels et son manteau là où elle les avait prit.

Il l’avait invité à venir s’assoir à ses côtés, et c’est ce qu’elle fit, gardant néanmoins une distance respectueuse entre eux. La relation amicale qu’il avait entretenue à l’hôpital était une chose, mais maintenant qu’ils étaient de retour dans le vrai monde, il était plus difficile d’ignorer ce qui les unissait réellement. Leurs vécus respectifs les poursuivait, et les sentiments autrefois ressentit par Abbey envers l’homme qui se trouvait devant elle semblait vouloir refaire surface, mais la belle n’était pas prête à y faire face, pas prête à s’avouer vaincu et à laisser une nouvelle fois place à l’amour dans sa vie. Sa dernière relation s’était terminé d’une façon si abrupte – en fait, elle lui avait littéralement brisé le cœur. Faire de nouveaux confiance à homme, qui qu’il soit, relevant d’un véritable défi en soi. Mais Abbey avait réussi à accorder sa confiance à Ethan, parce qu’il le fallait évidemment, après tout, il tenait sa carrière entre ses mains et pouvait bien en faire ce qu’il voulait… mais il agissait toujours en fonction des priorités de l’actrice et elle écoutait ses conseils, acceptait ses décisions car savait que c’était la bonne chose à faire.

Un grondement sourd se fit entendre à l’extérieur de la résidence, et les vitres tremblèrent sous la force du vent, qui se levait, toujours plus en puissance que la minute d’avant. Se retournant vers Ethan, Abbey la questionna du regard, inquiète. « Tu crois qu’on devrait aller se cacher au sous-sol… au cas où. Ça ne semble pas se calmer, dehors. » Certes, son regard trahissait sa crainte, mais ni sa posture, ni ses gestes, eux, ne laissait paraître son incertitude face à la menace qui pesait sur eux. Elle s’inquiétait de la tournure de la journée : et si un ouragan frappait réellement Ocean Grove et Miami, qu’adviendrait-il d’eux? Et sa maison? Survivrait-elle aux intempéries, restant forte dans la tempête… comme elle? Mais malgré toutes ses sombres pensées, elle ne voulait pas laisser voir à son agent tout ce qui pouvait bien lui passer par la tête : des scénarios catastrophes et de mauvais présages.
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