doyouwantgowithme?

MacNamara’s Room Hotel: 18h30 le Samedi 04 Décembre 2011

Je ne savais que penser du faite que j’allais de mal en pire, Je suis arrivé à Ocean Groove au début du mois de Novembre, je pensais que tout se passerais bien, mais je sens déjà le désespoir. Déjà, la première fois que j’ai revu Tyler. J’ai eu droit à sa froideur légendaire, la même de notre séparation... Le truc qui aurait pu me rendre alcoolique pendant des années, mais cela à durer un an. Après des heures de thérapie j’ai réussit à oublier que le Whisky c’est bon et que Tyler est un égoïste. «Papa!» Enfin bref, j’en était où? Ah oui mon ex... « PAPA! ▬ Quoi?» Mon fils pouvait être enervant quand il me couper dans mes pensées... « Il est l’heure des simpson!! ▬ Oh!... Bah regarde les simpson...» Généralement les simpsons sur la fox ça passait au alentour de 18h30... « 18h30!!! Oula faut que je me depeche moi! » Je me leva du lit pour foncé dans la salle de bain, je me deshabilla et prit une douche en mode rapide t’es en retard cretin! Habiller et fin pret, il était 18h48. Je laissa mon portable faisant la morale à Jolan du faite de rester sage, qu’il y avait de quoi manger dans le mini bar et qu’il ne sera pas long. En descendant je fis appel à un Taxi. Ma voiture était encore en réparation aux garages, trois portière a changer et le moteur aussi. Mon chauffeur était un Afro-americain qui arreter pas de crier... Je me demandais si il savais que les autres conducteur ne l’entendais pas.

BRENNAN M.D : 18h55

Me voilà devant le cabinet, je sortis du Taxi lui réglant ses honoraires pensant bien faire je ne lui donna pas de pourboire, il se mit à m’insulter en congolais. Je me retourna raclant ma gorge et je lui en bon français que je suis : « Espece de Connard ! Oh moins j’ai pu t’entendre espece de chauffeur du dimanche!» j’ai remarqué à se moment là que mon français n’avais pas perdu de son molière. je m’approcha de la porte ayant l’impression d’avoir oublié quelque chose et comme de par hasard un roumain accompagné d’un enorme paquet de Rose passer derrière moi, je sortis 4$ pour lui en prendre quatre, quatre roses ? Je ne savais pas pourquoi quatre vas savoir c’est surement les quatre i.s.t que j’ai chopper en un an. Non biensur. Je rentrais dans le cabinet. Entendant les bruit de la fraise electrique ce qui me donna un envie de vomir... enfin ca c’était plus l’odeur d’un plombage ou la poussière qu’emet la dent quand on utilise la fraise, ca me donna une envie de fuir... Qu’est ce qui me prend de sortir avec mon pire enemie sur terre! UNE DENTISTE!!! Je m’approcha de l’accueil voyant la ravissante assistante qu’elle avait... Moins jolie qu’elle certe mais ses lunettes rondes a triple foyer lui aller à ravir!

Je me retourna, voyant docteur Brennan en blouse blanche, torturant les gencives d’un pauvre qui a trop bu de soda dans sa jeunesse. Je ne pouvais m’arreter de la contempler, et dire qu’elle a élu domicile ici. Personnelement jamais je ne pourrais dormir ici... Quoi que ca m’est arriver... Vilaine anesthésie générale... je deteste ses trucs. J’attendis fierement 19 heures avec le bouquet de rose dans les mains... Son patient sortit de la salle et je prenais place en entrant et elle se retourna après avoir ranger le dossier et le chèque avec une somme astronomique dessus et ses cheveux voltèrent aux ralenti... Son regard se posa sur moi... J’aurais été une glace j’aurais surement fondu à cette instant:

« Je suis là... Cette fois si... »

Je lui tendis le bouquet de rose rouge avec un sourire aguicheur sur les lèvres en ajoutant :

« Pour la dernière fois... Et aussi pour se soir. »

Citation :

H-J
* Léo parle Français

«- Je suis là... Cette fois si...
- Je vois ca .
- Pour la dernière fois... Et aussi pour ce soir.
- Merci,il ne fallait pas.- en les prenants - Tu m'excuses que je me change ? Tu peux attendre dehors,je sais à quel point cet endroit t'enchante - en souriant d'un air taquin -
- Si tu savais ce que mon estomac est entrain de ma faire... mais bon pour un premier rendez-vous ce n'est pas très classe de vomir sur son rencard. »

Je me mis à sortir prenant la sortie un instant prenant une grand bouffée d’air frais dans le couloir... J’entendis le ballon d’eau chaude du cabinet se déclancher et faire des siennes... C’était vraiment une vieille batise me dis-je dans ma tête. Après quelques minutes je décida de re-rentrer dans le cabinet et il ne m’aura fallu que quelque secondes avant de revoir Innocence. Elle s’approcha de moi et je lui ouvrit la porte tel un gentleman l’aurait fait et le me proposa d’aller boire un verre dans le bar en bas de la rue, je me mis à sourire accompagnant d’un : «Ce serait avec plaisir.» nous quittions son cabinet et sans trop en faire des caisses je respirais la bonne odeur filtrer par un filtre à air placer sur les conduits d’aération au dessus de ma tête. Nous prenions l’ascenseur... Je n’aurait pas pensé qu’être dans un endroit aussi cloitré en présence de mon dentiste pouvait être si agreable, moi qui enfant avait caucharmader de me faire trucider par un dentiste au dent si parfaite que cela faisait peur! Nous sortions de l’immeuble et nous commençions à marché, le temps devenait plus doux que c’est dernier jour, il n’était plus impossible de sortir de chez soit et de se retrouver le pantalon tremper jusqu’au cuisses. Nous arrivions après cinq longues minutes qui fut paraître courte à discuter avec la belle demoiselle que nous entrions dans le bar. C’était un bar assez sobre rien de bien originale, quelques tables, un bar et une barmaid qui semblait si faire avec les Syphonneur de Bière du dimanche. On s’installa à une table quand je continua: « Et c’est ainsi que je suis devenue journaliste. Mais dis moi toi? Comment ça t’es venu ta vocation de dentiste?» Je me mis à sourire c’est un peu la question qui me ferait penser à un film d’horreur, mais je voulais m’interesser à elle, elle m’attirait comme un aimant et elle était radieuse se soir, encore mieux que je l’aurait imaginer... Je nous commanda deux bières et j’attendis que l’on nous serve pour commencer à la regarder tandis que j’écoutais son histoire de vocation j’étais partit me noyer dans son regard... Je ne sais pas ce que j’avais, mais j’avais envie de passer la nuit avec cette femme.