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| (#) Sujet: Re: sometimes, we just need to be together to feel good. Mer 23 Juin 2010 - 12:19 | |
| Anton parlait trop, il le savait, mais il ne pouvait pas s’en empêcher. Alors il se laissa embrasser par la jeune femme et profita du baiser. Il savait qu’il allait ensuite devoir la laisser partir. Il devrait la ramener à l’hôpital, donc il ne la reverrait pas avant le lendemain ou quelques jours plus tard tout dépendrait quand elle voudrait le voir. Entendant la question de la jeune femme, il la regarda se lever, mais il resta assit. Il n’avait pas envie qu’elle parte maintenant. Ils n’avaient pas eu beaucoup de temps pour eux et il n’avait pas du tout envie de la laisser partir. Il voulait encore pouvoir profiter du fait qu’il était aimé. Ca faisait très longtemps qu’il n’avait pas ressentit ça. Evidemment avec sa mère et ses filles il l’était mais pas par une femme et ça lui avait manqué. Entendant la jeune femme lui dire que les filles et ses parents l’attendaient, il fit une grimace. Puis, elle lui demanda de venir et il finit par capituler et prit la main de la jeune femme.
Se laissant embrasser par la jeune femme, il resta main dans la main avec elle pour aller jusqu’à la moto. Ne parlant pas, il profitait juste de la présence de l’autre. Puis Anton dû déposer Lily à l’hôpital. Il n’osait pas l’embrasser vu qu’il y avait des personnes de l’hôpital dehors, alors il lui sourit et lui prit la main pour lui montrer à nouveau qu’il était là. La laissant alors partir, il la regarda aller dans l’hôpital et soupira. Puis, reprenant la route, il se rendit chez lui, mais resta dans sur sa moto quelques minutes. Entrant finalement chez lui, il reçu les filles dans ses bras qui lui posèrent tout un tas de questions sur ce qu’il avait fait avec Lily. Leur répondant, il les laissa ensuite filer et il alla dans la cuisine.
Ca va mon grand ? Moi oui. Lily ne va pas bien ?
Se retournant vers son père, il fut une nouvelle fois surprit que ce dernier demande des nouvelles de la jeune femme.
En effet et elle préfère se réfugier dans le travail. Laisses là faire, elle sait ce qui est bon pour elle ou pas. Ouais.
Anton partit alors dans sa chambre réfléchir et laissa ses parents s’occuper des filles. Le soir arriva vite et Anton regarda l’heure, il était temps de faire le dîner, mais finalement sa mère avait tout préparé. Appréciant cette ambiance, il s’en faisait quand même pour la psychologue. FIN |
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