(#) Sujet: I don't want to miss a thing Mar 4 Mai 2010 - 23:00
Le 26 avril 2011. Le soir sur une plage de l'île de Cuba.
La fuite d'Hailey Candwell le jour de son mariage avait eu l'effet chez moi d'une révélation : j'avais besoin de passer un peu de temps avec Scott, mon partenaire. C'est ainsi que nous avions convenu de prendre une petite semaine de vacances du 22 au 29 avril 2011 et deux jours après nous montions dans un avion pour nous rendre à Cuba dans un hôtel archi-étoilé. On ne pouvait pas dire que nous n'avions pas la vie belle. La réception de l'hôtel m'avait recommandé une plage très calme, reculée de la population afin que nous puissions passer une soirée tranquille. J'avais fait installé une large nappe jaune sur le sable accompagnée de champagne et évidemment d'un panier repas. J'avais fait les choses en grand. Avec un sourire non-dissimulé, je l'avais conduit sur ces grains de sable fin devant son visage bluffé par tant de surprises. Nous n'avions jamais eu l'occasion de partir en vacances ensuite et je voulais faire les choses bien. Après avoir dégusté un succulent repas préparé par notre hôtel et pendant que la nuit était finalement en train de se coucher sur Cuba, nous nous allongeâmes sur la nape tout en nous embrassant. C'est alors que mon téléphone se mit à sonner. « Maât... soupira Scott. On avait dit pas de portable, pas de boulot. - Je l'ai emmené pour que Lison nous tienne au courant. » Et justement, alors que je posais mes yeux sur l'écran de mon Blackberry, je pouvais lire le prénom de notre mère-porteuse. Depuis plusieurs semaines, les choses avaient bien avancé dans notre projet de bébé. Nous avions trouvé une mère-porteuse qui s'était d'ailleurs avérée être une femme incroyable me faisait réaliser que nous n'aurions pas pu trouver mieux; et nous avions procédé et multiples injections de sperme afin qu'elle tombe enceinte. Voilà la procédure accélérée même si les choses avaient été beaucoup plus compliquées que ça.
« Allo ? - Maât. Bonsoir c'est Lison... - Oui je sais. - Je ne vous dérange pas ? - Non non, bien sûr que non. Nous sommes en vacances pour une semaine à Cuba mais j'avais prit mon portable pour que tu puisses nous joindre au sujet des injections. - Justement c'est à propos de ça que je vous appelle. - ... - Maât ? - Oui oui, je suis toujours là. Je t'écoute. - Je suis enceinte Maât. Je suis enceinte. »
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(#) Sujet: Re: I don't want to miss a thing Jeu 6 Mai 2010 - 19:27
CRIQUE CALME ET RECULEE
Nous nous étions envolés, Maât et moi-même, vers la magnifique île de Cuba. Destination non lointaine mais pleine de charme puisque ce pays se trouvait également dans le Golfe du Mexique. Nous aviosn pris tous les deux une semaine de vacances. Les toutes premières de notre vie en couple. Et autant dire que me retrouver seul avec l'amour de ma vie me rendait bien plus que joyeux et heureux. Je l'aurais pour moi tout seul pendant sept longs jours, sans boulot et sans évènements imprévus. C'était un rêve qui se réalisait enfin car depuis le lancement du BεC Show, Maât était bien plus occupé et pris que lorsqu'il était Wedding Planer.
Aujourd'hui, voilà déjà quatre jours que nous étions arrivé sur cette île paradisiaque. Et ce soir, mon compagnon m'avait réservé une surprise. Ma curiosité me titilla lorsqu'il m'annonça cette nouvelle car je voulais à tout prix savoir de quoi il retournait. Biensur, me connaissant bien, Maât m'avait avoué cette petite soirée le matin même. Il aimait me voir languir et ce que je supportais le moins : devoir attendre. Le jeune Blythe s'amusait avec ma curiosité innée et semblait prendre son pied en rigolant par mon enthousiasme de la journée dû à cette future surprise. Le soir venu alors que 20 heure s'approchait, il me banda les yeux et m'emmena "je ne sais où". Je ne portais que mon short de bain, la chaleur était encore assez élevé pour ne porter que ce vêtement. Soudain, je retrouvai l'un de mes sens : celui de la vue et je fus ébloui par autant de beauté et de simplicité du lieu que mon homme nous avait préparé. Un énorme sourire pouvait se lire sur mon visage. J'étais heureux.
La suite de ce début de soirée continua par un excellent repas accompagné d'une bouteille de vin blanc fraichement et très bien choisi. Je ne pouvais qu'apprécier ce moment. J'étais avec lui sur cette île, dans une petite crique reculée et calme, perdue entre des rochers. Je ne savais pas comment Maât avait trouvé cette endroit, mais il était magnifique. Rien ne pouvait être aussi romantique que de dîner sur les plages de Cuba avec un sublime début coucher de soleil. Je ne savais quelle heure il était et je dois bien avouer que je m'en foutais royalement. Par contre, ce qui m'importait beaucoup, c'était de l'avoir près de moi. Je l'aimais. Je l'aimais tellement que cet instant où je le fixais de mes yeux bleus n'aurait pu se terminer autrement que par un long, tendre et langoureux baiser passionné que le jeune Blythe entreprit, nous allongeant par le même occasion sur la nappe jaune. Puis, sans que je comprenne réellement ce qui nous arrivait, un téléphone sonna.
- Maât... Soupirai-je. On avait dit pas de portable, pas de boulot. Je le fixais de mes yeux bleus avec insistance. - Je l'ai emmené pour que Lison nous tienne au courant. Finalement, Maât finit par me convaincre. Son argument était de taille et je ne pouvais lui en vouloir de se tenir informer de l'évolution des choses avec Lison, notre mère-porteuse. Je cédais donc face à l'apparition de ce portable et face à l'envie du jeune Blythe de répondre. Je déposai alors ma tête sur le torse, nu, de celui que j'aimais, attendant ainsi qu'il finisse avec cette personne qui venait nous déranger dans un des moments les plus beaux et romantiques que j'avais vécu jusqu'ici.
- Allo ? Je n'entendais pas les réponses de la personne qui était à l'autre bout du fil. Je tentai quand même de suivre la discussion, bien que se soit assez difficile sans savoir qui était cette personne et sans connaître le contexte de l'appel. Oui je sais. [...] Non non, bien sûr que non. Nous sommes en vacances pour une semaine à Cuba mais j'avais prit mon portable pour que tu puisses nous joindre au sujet des injections. Finalement je compris qui était en pleine discussion avec mon homme. Lison l'avait appelé mais je ne connaissais toujours pas la raison de cet appel. Et ça me frustrait. ... Oui oui, je suis toujours là. Je t'écoute.
Maât semblait chambouler par ce qu'il entendait. Je me suis alors redressé en m'appuyant sur son torse avec ma main et approchant mon visage du sien. Je n'arrivais pas à comprendre ce qu'il ressentait : de la joie, de la tristesse... J'étais perdu. Je savais très bien que Lison était celle qui appelait et dans un élan d'angoisse, je me suis mis à imaginer le pire. Mon regard devait me trahir mais je ne le contrôlais pas.
- Maât ?! Qu'est-ce qu'il se passe ? Y'a un problème ?! Lui demandai-je avec une énorme boule dans le ventre.
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(#) Sujet: Re: I don't want to miss a thing Sam 8 Mai 2010 - 0:22
Je restais plusieurs secondes sans être capable de dire quoi que ce soit. Je restais le regard fixé droit devant moi, la bouche entre-ouverte. Il me fallait plusieurs secondes pour assimiler la nouvelle. Et puis sans prévenir, je me mis à pleurer; ce que Lison fit à son tour, de l'autre côté du téléphone. Je ne pensais même pas à Scott qui devait complètent paniqué en me voyant comme ça puisqu'il ne savait pas ce qu'il m'arrivait. Finalement, je lui fis un sourire et demanda à Lison d'attendre deux secondes. Je pris les mains de Scott dans les miennes, puis lui fis un beau sourire même s'il était humide de larmes.
« Lison est enceinte. Toi et moi, on va être papas. » Je ne savais pas comment Scott allait répondre, mais en tout cas, je savais parfaitement que c'était pour moi la plus belle nouvelle que l'on ne m'ait jamais faite.
Juin 2009. Maison des Blythe au 666, Apple Road dans le quartier résidentiel d'Ocean Grove, Miami. Quelques jours après avoir annoncé à ma soeur Victoria et à mon frère Rhys que Darla Davenport et moi avons rompu afin que je me mette officiellement en couple avec un homme, Scott Matthews, Victoria ressentit le besoin d'en discuter avec moi. Je devais avouer que les premières minutes furent pour moi assez difficiles, je me sentais géné d'aborder ce sujet avec elle. Mais après tout, c'était ma sœur, et progressivement les phrases se dénouèrent pour devenir une conversation limpide et agréable. Nous étions tous les deux installés dans les fauteuils en osier de la véranda de notre maison lorsqu'elle me demanda si je n'étais pas triste du fait que je n'aurais jamais d'enfant. « Je... Je t'avoue que je n'y avais pas vraiment pensé. - Tu as conscience que deux mecs ça ne peut pas avoir de bébéh hein ? me fit-elle remarquer en riant. - Oui merci Victoria, je crois que j'avais saisi ce détail, lui répondis-je en riant à mon tour. Sérieusement, je crois que je ne me suis jamais vraiment posé la question. Mais je sais qu'il existe toujours plusieurs alternatives. L'adoption évidemment, et puis j'avais vu un reportage une fois de femmes qui acceptaient de porter un enfant pour un autre couple. Mères-porteuses quoi. Mais en tout sincérité, je crois que le projet bébé n'est pas pour maintenant. » Il y eut quelques secondes de silence, puis Victoria se tourna vers moi avec un léger sourire avant de me dire simplement : C'est dommage. J'crois que tu aurais fait un super père.» Fin du flash-back.
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(#) Sujet: Re: I don't want to miss a thing Sam 8 Mai 2010 - 20:42
CRIQUE CALME ET RECULEE
- Maât ?! Qu'est-ce qu'il se passe ? Y'a un problème ?! Lui demandai-je avec une énorme boule dans le ventre.
Aucune réponse ne sortit de la bouche de Maât. Je le regardais fixement et je n'arrivais toujours pas à comprendre la situation. Son regard était perdu devant lui comme si je n'existais pas. Sa bouche entre-ouverte me montré que c'était grave, que quelque chose d'imprévu se serait produit avec Lison. J'avais peur. Non, j'étais terrifié et je paniquais comme jamais lorsque mon homme se mit à pleurer. C'était donc si grave que cela ? Il ne parlait toujours pas. Et pendant une seconde, je me suis demandé s'il le faisait exprès et si une giffle l'aurait sorti de sa rêverie. Mais je ne fis rien car un sourire apparut sur le visage de mon amant alors qu'il me prenait les mains. Je ne comprenais vraiment plus rien à la situation. J'étais totalement perdu que je finis par soupirer.
- Lison est enceinte. Toi et moi, on va être papas. Mon visage se décomposa entre un mélange d'une bouche entre-ouverte, d'un sourire et de la surprise que je ressentais actuellement. Je n'en revenais toujours pas. Ma peur s'envola rapidement alors que la joie et le bonheur la remplaçaient. C'était maintenant à mon tour de rester bouche-bée. Merci d'avoir appelé, Lison. Tu ne peux pas t'imaginer à quel point on est heureux. Merci pour tout. Bisous. Maât raccrocha. Mes yeux bleus croisèrent les siens. Je lui souris comme jamais je ne l'avais fait. Je n'arrivais pas à décrire l'émotion et le sentiment que j'éprouvais. Cependant, je n'avais pas besoin de parler, un seul regard et tout le monde aurait compris que j'étais le plus heureux des hommes. - On va être papas ! Répétai-je joyeusement alors que je me mettais à califourchon sur Maât, m'appuyant avec mes mains sur son torse musclé.
Je souriais, bêtement. Mais je ne pouvais pas faire autrement. La joie que je ressentais actuellement ne me permettait pas de ne pas le faire. La peur que j'avais éprouvé puis le bonheur qui était apparut m'avait légèrement bousculé. Mais désormais, tout était passé et je ne pouvais savourer que cette nouvelle avec Maât. Je me penchais alors vers mon amant et l'embrassai passionnément alors que le soleil se couchait peu à peu et que les vagues venaient s'échouer sur la plage. Notre soirée n'aurait pas pu être mieux. Le succulent dîner, le magnifique paysage et la dernière révélation ne pouvaient rendre cet instant aussi parfait. Je me redressai alors de quelques millimètres, mes lèvres effleurant toujours celle du jeune Blythe. Je sentais sa respiration sur mon visage.
- Je t'aime. Lui chuchotai-je alors que je me relevai en essuyant de mes doigts fins les larmes de mon présentateur. Mes yeux azurés ne lachèrent pas les siens. En ce moment, nous étions en phase. Un lien encore plus fort qu'auparavant venait de s'installer entre nous grâce à ses deux regards ne pouvant se détacher l'un de l'autre. Nous étions en pleine communication même si aucuns mots ne sortaient de nos bouches.
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(#) Sujet: Re: I don't want to miss a thing Dim 16 Mai 2010 - 2:45
Une fois que nous fûmes d'accord que Lison serait bien notre mère porteuse, nous avions tous les trois eu une longue conversation pour décider de la technique de la conception de notre bébé. Scott avait une nette préférence pour les hommes et semblait avoir du mal à se visualiser de le faire avec une femme. Quant à moi, cela ne me dérangeait pas plus que ça. J'attachais d'ailleurs de l'importance pour la conception "naturelle". Même si on dit souvent que les parents ne sont pas ceux qui font l'enfant mais bien ceux qui paient pour les chaussures, je tenais à ce que l'enfant ait une part de mon ADN. C'était important pour moi, pas vraiment pour Scott c'est pourquoi il me laissa faire. Toutefois, je voyais bien que l'idée que j'ai un rapport sexuel avec Lison pour la conception de cet enfant lui posait un sérieux problème. Je pouvais le comprendre mais j'étais trop heureux à l'idée d'avoir un enfant que je ne me rendais pas vraiment compte du sacrifice que je demandais en échange à Scott. Alors que nous allions "le faire" avec Lison, ce dernier entra dans la pièce, sur les nerfs. Maintenant, lorsqu'il nous arrive d'en parler, la scène nous fait plutôt rire. Mais ce n'était pas vraiment le cas sur le moment.
J'étais fou de joie. Et pourtant je ne cessais de me demander dans ma tête "est-ce que tout va bien se passer ? Est-ce que Scott et moi saurons être de bons pères ?". Je me demandais aussi si je le méritais vraiment, si je méritais vraiment ce cadeau. J'allais être papa. Bonjour, Maât Blythe-Sheldon, 27 ans, futur-père. Après avoir raccroché, mes yeux se posèrent sur le visage illuminé de joie de Scott, et je fus réjouis : voilà avec qui ma vie avançait, évoluait, se construisait. J'avais une chance folle de l'avoir à mes côtés.
« On va être papas ! » répéta-t-il, tout sourire. « Oui... » soufflais-je. Contrairement à beaucoup d'hommes qui ne réalisent pas tout de suite le sens de ces paroles, ce n'était absolument pas mon cas. J'avais parfaitement comprit ce que tout cela impliquait - j'avais parfaitement comprit le poids des mots et je n'en étais que plus réjoui. Je laissais finalement Scott se pencher vers moi, et m'embrasser avec ce merveilleux sourire affiché sur ses lèvres. Je sentais sa respiration qui se faisait plus accélérée, plus pressante pendant que nos lèvres se rejoignaient - une sensation que j'appréciais tellement. « Je t'aime. » Et ces simples mots me rassurèrent, comme une promesse m'indiquant que tout irait dans le meilleur des mondes, même si les choses ne seraient surement pas simples.
Nous étions dans un coin reculé de la plage, à l'abri de tous les regards. De plus, vu l'heure avancée de la soirée, nous ne risquions pas d'être surpris. Pendant que nous nous embrassions, mes mains caressèrent tranquillement son torse, puis ma douche descendit le long de son cou pour y déposer quelques bisous dans cette zone que je lui savais particulièrement sensible. Instantanément, j'entendis la respiration de Scott s'accélérer. Mes mains continuèrent leur descente, suivant chaque forme du corps de mon compagnon.
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(#) Sujet: Re: I don't want to miss a thing Mar 8 Juin 2010 - 13:39
CRIQUE CALME ET RECULEE
Nous nous embrassions. Nous nous caressions. Nous étions simplement heureux. Heureux d'être dans quelques mois ce que tout homme revaît d'être : un père, une figure paternel montrant à son enfant les évènement de la vie quotidienne, le soutenant dans ses choix et lui expliquant ce qu'est la vie, l'amour et biensur les emmerdes aussi. Tout serait différent avec ce bébé qui entrerait dans notre vie et dans notre maison. Jamais, je n'aurais cru cela possible. Il y a quelques mois encore, j'étais un célibataire amoureux sortant d'une année de coma. Et aujourd'hui, j'étais devenu un homme amoureux et en couple construisant son propre restaurant et attendant un bébé avec l'homme de sa vie. La situation était telle que je ne pouvais que sourire et être heureux, du moment que je partageais ma vie avec lui.
J'étais à califourchon sur Maât et je profitais pleinement de la vue qui m'était offerte : le torse de l'homme que j'aimais passionnément. Il m'embrassais, je l'embrassais, nous nous embrassions. Et je finis par me laisser faire. Je laissais les habiles mains de mon compagnon me caresser le torse alors que ces doux baisers se concentraient sur mon cou. Je ne pouvais rester de marbre. Ma respiration s'accéléra. Sans vraiment en être conscient ou le faisant par un automatisme dû à mon excitation du moment, l'une de mes mains se dirigea délicatement sur les parties intimes du présentateur. Oui, j'étais très excité. Oui, j'avais très envie de lui. Et oui, je ne me maitrisais plus. Je désirais simplement le sentir contre moi et en moi. Je pris alors une initiative, m'extirpant des lèvres de Maât pour me focaliser sur ce maillot de bain et lui enlever ce dernier bout de tissu avec une sensualité digne des plus grandes comédies romantiques. Chose faite, je retournais à place avant de nous basculer sur le côté. Je me retrouvais ainsi avec un homme terriblement sexy et nu sur moi alors que je n'avais qu'une seule envie en le voyant : dévorer sa bouche par un baiser passionné. Je me suis mis à le caresser, mes mains passant le plus de temps sur ses fesses musclés. Puis, dans un moment de lucidité inattendu, je me stoppai d'un coup.
- Et si quelqu'un arrivait ? Lui dis-je alors que je n'avais pas bougé mes mains de l'une de mes parties favorites du corps de mon homme. Si on nous surprenait en... en pleine action ? Je commençais à paniquer face à cette idée et cela devait clairement se voir. On devrait peut-être s'arrêter là ? J'en ai pas envie. Je dirais même que je préfèrerai continuer. Mais... Maât me fit signe de me taire en déposant son index sur mes lèvres. J'obéis sans chouiner. J'aimais particulièrement lorsqu'il dominait la situation, même si j'appréciais de le faire également. Mais aujourd'hui, c'était une autre histoire.
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(#) Sujet: Re: I don't want to miss a thing Dim 11 Juil 2010 - 22:34
Je commençais à avoir vraiment envie de Scott. Après tout, c'était normal. Nous étions tous les deux à moitié nus sur le plage complètement déserte et au milieu des dunes. Personne ne pouvait nous voir, si personne ne venait. Et puis nous n'allions pas nous arrêter en si bon chemin, et attendre de revenir à notre hôtel pour nous laisser aller. J'avais envie de lui, je ne voyais pas pourquoi je devais m'en priver.
Les petites caresses de Scott sur mon entrejambe furent l'effet cherché. Pendant qu'il me caressait, j'essayais de me focaliser sur son cou pour ne pas trop me laisser aller. Mais il était doué, très doué. Puis d'un geste rapide, je me retrouvais alors complètement nu. Ma virilité contre le corps de Scott, nous entreprîmes de nous embrasser une nouvelle fois jusqu'à ce qu'il nous bascule. Une fois sur lui, et lui allongé sur le dos, ses mains descendirent le long de mon dos pour atteindre mes fesses qu'il caressait avec insistance. Pendant ce temps, ma bouche descendait le long de son torse pour embrasser d'abord ses tétons, puis son ventre jusqu'à son nombril. Je ne pouvais pas ignorer la bosse qui déformait le maillot de Scott. Je me mis à sourire, satisfait.
« Et si quelqu'un arrivait ? Si on nous surprenait en... en pleine action ? - Et bien nous l'inviterons à se joindre à nous ! » répondis-je en riant. J'allais pour l'embrasser une nouvelle fois mais je vis sur son visage qu'il avait l'air de s'inquiéter. « On devrait peut-être s'arrêter là ? J'en ai pas envie. Je dirais même que je préfèrerai continuer. Mais... » Je mis mon index sur la bouge de Scott pour lui faire signe de se taire. « Ne t'inquiète pas, vu l'heure et le lien, personne ne viendra » lui répondis-je, pour le rassurer. Puis je repris le contrôle de la situation. Je lui retirais à son tour son dernier vêtement pour qu'il soit complètement nu contre moi. Sentir me corps contre le sien était vraiment ma sensation favorite. Afin qu'il se détende, j'entrepris de lever son torse jusqu'au bas de son ventre puis m'appliquait à lui procurer du plaisir pendant que mes mains caresser ses jambes. Je sentis Scott qui se laissait complètement aller à aux sensations que je lui procurais.
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(#) Sujet: Re: I don't want to miss a thing Mer 14 Juil 2010 - 19:55
CRIQUE CALME ET RECULEE
- Et si quelqu'un arrivait ? Si on nous surprenait en... en pleine action ? - Et bien nous l'inviterons à se joindre à nous ! Il riait mais je ne trouvais pas ça drôle. Au contraire, ça m'inquiètait plus qu'autre chose. - On devrait peut-être s'arrêter là ? J'en ai pas envie. Je dirais même que je préfèrerai continuer. Mais... - Ne t'inquiète pas, vu l'heure et le lieu, personne ne viendra. Il avait beau me réconforter, j'avais quand du mal à le croire. Certes, le lieu était calme et reculé et l'heure était assez tardive pour un petit plongeon dans la mer. Cependant, je n'étais toujours pas rassuré. - T'en es sûr ? Lui demandai-je alors qu'à la fin de ma question, Maât me procurait déjà un plaisir qui n'eut pour effet que de me faire gémir.
Mon envie qui s'était soudainement stoppé était revenu en flèche avec ce que mon homme me faisait si bien. J'étais désormais détendu et complètement à sa merci. Je me courbais tellement c'était bon. Maât savait très bien s'y prendre, il fallait bien l'avouer. Je me laissais complètement aller. Il serait le maître de la situation et je serais à lui en cette soirée d'avril sur cette magnifique île de Cuba. Mon amour était grand et nos ébats toujours plein d'amour. C'est pourquoi alors qu'il me fixait de ses magnifiques yeux je me suis rapproché de lui pour l'embrasser avec une fougue que seul lui connaissait, me plaçant en même temps sur lui. Je voulais être à lui. Je voulais qu'il soit en moi. Je désirais lui procurer un tout autre plaisir que celui qu'il venait de me donner. En quelques minutes, cet évènement arriva et j'entrepris des mouvements amples mais efficaces alors que mon homme rugissait de plaisir. J'oubliais complètement mon angoisse précédente pour profiter de lui comme jamais. Je l'embrassais encore une fois alors que je sentis l'une de ses mains qui caressait mon dos humidifié par la sueur. Il faisait certes moins chaud qu'en pleine journée, mais faire l'amour en bord de plage avec un magnifique coucher de soleil et des températures atteignant surement le 25°C n'aidait pas à ne pas transpirer. Sa main descendit se retrouvant alors entre mes hanches et mes fesses. Ca m'excitait et sans m'en rendre compte, Maât me retourna et changea nos positions. Je lui tournais désormais le dos alors qu'il reprenait le contrôle de la situation en unissant à nouveau nos deux corps. Nous gémissions de plaisir ensemble. C'était si bon que je n'aurais pu m'arrêter. J'attrapais alors sa main et la plaçais sur mon ventre alors que je me redressais pour que mon dos touche son torse musclé. Nos deux visages étaient l'un à côté de l'autre. je sentais le souffle de mon compagnon sur mon cou qu'il s'empressa d'embrasser avant de venir vers ma joue puis mes lèvres. Son déhanché s'accéléra et, alors que d'une main il me tenait au niveau des abdominaux, de l'autre il procurait un plaisir que tout homme apréciait. Nos gémissements devinrent alors plus intenses et surement plus forts. Mais dans le feu de l'action, je ne pouvais plus me contrôler. A certains moments, il m'était même arrivé de pousser sensuellement un "Maaaaât" de plaisir. Et finalement, notre jouissance fut telle que je ne pus m'empêcher de m'effondrait sur la couverture qu'il avait soigneusement placer pour notre soirée. Je reprenais mon souffle avec un Maât qui se colla contre moi, m'enlaçant de ses bras. Je souriais. Nous venions de faire l'amour. Nous venions juste de le faire à Cuba alors que notre mère porteuse attendait l'enfant que nous rêvions d'avoir. Je fus comblé par cette soirée romantique et notre voyage n'aurait pu se passer aussi mieux.