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 (jhordan kennedy) - le hasard fait souvent bien mal les choses.

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(jhordan kennedy) - le hasard fait souvent bien mal les choses. Vide
Message(#) Sujet: (jhordan kennedy) - le hasard fait souvent bien mal les choses. (jhordan kennedy) - le hasard fait souvent bien mal les choses. EmptyMer 20 Mai 2009 - 21:23


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    deborah penright - jhordan kennedy
    Faire semblant qu'un danger n'existe pas, c'est le meilleur moyen de tomber dedans.




    Cela faisait maintenant plusieurs semaines que Deborah Penright avait emmenagé à Ocean Grove, un quartier qui pour le moment la dépaysait totalement avec New-York.En cette matinée ensoleillée, elle s'était levée de bonne heure, sachant qu'en fin de matinée, elle devrait aller chercher Jack Wagner, son mari, à l'aéroport le plus proche.Ce dernier ayant eu un souci avec son chauffeur et ne pouvait se déplacer jusqu'en jet privé à Ocean Grove, il avait gentillement demandé à sa femme de venir le chercher, et cette dernière n'avait eu d'autres choix que d'accepter.Ce n'était pas la première fois que Jack venait rendre visite à sa femme, il était déjà venu la semaine dernière, et la semaine d'avant, à vrai dire il venait le plus souvent qu'il pouvait, et pour Deborah, un peu plus qu'elle ne l'imaginait.Elle qui ne s'attendait qu'à le reçevoir une à deux fois par semaine, elle le voyait débarquer parfois pour quatre à cinq jours.Après s'être levé, Deborah s'était accordé quelques longs instants afin de paraître présentable pour Jack, elle avala quelque chose en vitesse.S'asseyant dans sa spacieuse et luxueuse Austin Martin après avoir soigneusement refermé sa résidence, elle voulut appeler Morgan pour le prévenir de l'arrivée de son père.Comme à son habitude, elle tomba sur la messagerie et laissa un message d'une voix un peu anxieuse, comme à chaque fois que Jack arrivait.On ne sait jamais ce qu'il aurait pu découvrir entre temps, ou ce que son arrivée à Ocean Grove signifiait.Et comme Jack avait souvent l'habitude de ne rien laisser parâitre, il était très difficile pour la jeune femme de savoir ce que cachait son mari.A cette pensée, elle laissa un message à Morgan :

    - Evidemment, je tombe sur ton messagerie.Juste pour te prévenir que ton père arrive d'ici quelques heures et que je vais le chercher à l'aéroport, Howard a eu un souci avec la limousine, je te passe les détails techniques et inutiles.Tiens toi prêt pour midi, je pense que ton père voudra nous emmener déjeuner.Et sinon, hier soir, je dois avouer que c'était sans plus, tu ne t'es pas surpassé, du moins pas autant que d'habitude.

    Sur ces mots plutôt directs, elle balança son téléphone sur le siège passager et se dirigea vers l'épicerie du coin, qui faisait également station service.C'est que son petit bijou de voiture consommait beaucoup, et qu'elle n'avait bientôt plus d'essence.Etant plus ou moins pressée, elle prit le premier raccourci pensant qu’elle arriverait plus vite.Il s’est avéré qu’en fait elle s’était royalement trompé de direction et que son raccourci se transforma rapidement en une course contre la montre.En cette journée, Deborah se sentait maudite et le fait qu’elle venait de se tromper de direction la metta dans tous ses états.Anxieuse non seulement à l’idée que son mari arrivait à Ocean Grove, Deborah ne supportait pas non plus l’idée de se tromper.Réussissant à retrouver le chemin, bien qu’étant désormais sur les nerfs, Déborah Penright s’arrêta à la station service et sortit de sa voiture, claquant sa porte sur la voiture se trouvant à côté de la sienne, sans y prêter guère attention vu que son téléphone sonna au même moment.
    C’était Jack.Evidemment.Elle leva les yeux au ciel et s’appuya sur le coffre de sa voiture et répondit:

    - Debbie, mon avion aura un peu de retard, mais c’est léger, j’ai demandé à ce qu’on ne te fasse pas attendre.
    - Quel honneur…Déjà que je dois venir te chercher, maintenant que mon Austin n’a plus d’essence, je dois mettre les mains dans le cambouis.
    - Tu es trop délicate, Déborah…Tu as appelé Morgan ?
    - Délicate ? Non je suis juste énervée, je ne comprends pas qu’un homme aussi influent et riche que toi ne peut pas se permettre de faire réparer sa limousine et qui fait lever sa femme aux aurores pour venir le chercher sur un aérodrome privé se trouvant dans la cambrousse.Oui, j’ai appelé Morgan, messagerie comme à son habitude, je lui ai laissé un message lui prévenant que tu arrivais et que tu avais réservé une table au restaurant, comme d’habitude.
    - Il ne t’est jamais venu à l’esprit que j’avais peut-être envie de passer un peu de temps avec toi, avant de rejoindre ce quartier où règne langue de vipères et commérages.

    Déborah sentit alors une légère gêne dans la conversation , pour ne pas déclencher une éventuelle dispute,elle se ressaisit, s’excusa auprès de son mari de s’être énervé et raccrocha.Oui Deborah était énervée, les visites de Jack étaient sans surprise mais toujours imprévisibles.Cet homme qu’elle avait aimé était imprévisible, personne d’Ocean Grove ou même de New York ne connaissait réellement Jack.Pas même sa femme, pas même son fils.Elle lanca ensuite le téléphone sur le siège côté passager et soupira.Elle s’en voulait et c’est en cette matinée ensoleillée que Deborah Penright comprit que ce qu’elle était en train de faire n’était pas sérieux.Elle qui était censé incarner la femme modèle se retrouvait à avoir des relations sexuelles avec son beau-fils. Un pêché dont elle commençait à sentir la culpabilité l’empoisonnait petit à petit, se consument doucement dans sa conscience. Rare étaient les personnes au courant, et c’est en ce jour là que Deborah Penright comprit que son adultère allait devoir se terminer très rapidement, si elle ne voulait pas finir soit démunie soit tuée.On ne sait pas de quoi est capable Jack Wagner quand il rentre dans une colère noire.Deborah arrêta de se lamenter sur son sort, réveillée par une interpellation d’une voix qui ne lui était pas vraiment inconnue mais pas pour autant familière.Se retournant vivement, elle vit Jhordan Kennedy, jeune femme qui faut l’avouer ne l’appréciait guère, et c’était réciproque.Voyant l’état de la voiture de cette dernière, Deborah Penright comprit qu’elle venait d’accrocher sa voiture et que sa journée commençait mal, très mal.





Dernière édition par Deborah Penright le Mar 7 Juil 2009 - 15:27, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: (jhordan kennedy) - le hasard fait souvent bien mal les choses. (jhordan kennedy) - le hasard fait souvent bien mal les choses. EmptyJeu 28 Mai 2009 - 16:56

Lundi midi. Journée horrible, journée détestée et détestable. Samedi soir, Lundi midi, il fallait t'avouer que Jhordan n'aimait pas beaucoup les jours de la semaine, appart peut-être le Dimanche matin, en compagnie de Tammy. Le samedi soir était un jour détestable car au Parkwest Nightclub le monde affluait, normal me direz-vous pour une boite de nuit, surtout un Saturday Night (Fever or not), mais Jhordan détestait le monde, étrange probablement. Pourtant elle n'avait aucune problème de sociabilité, bien au contraire, que vous vous connaissiez ou non elle ne se gênerait pas à vous balancer des injures ou vous frapper en public. Socialement icorrecte ? Absolument. Le lundi midi ne valait pas mieux que le Samedi soir, non pas parce qu'elle se sentait offusquée par la terre entière et qu'elle se trouvait compressée au milieux d'une foule de gens tous aussi minables les uns que les autres, disons simplement que le Lundi le fillait le cafard. La routine routinière en somme. Métro, boulot, dodo. Sauf que dans le cas de Miss Kennedy il s'agit plus de Coupé cabriolet, coktails à répétition et nuit agitées. En ce lundi midi tout à fait exécrable, comme les cinquante et uns autres de l'année, c'était son Cabriolet qui venait lui pourrir sa journée de merde. Surprenant. Elle qui n'avait jamais manqué de respect à sa titine d'amour, voilà qu'elle refusait de démarer. Après avoir vérifier le niveau d'huile, le moteur et la batterie, Jhordan comprit qu'il fallait simplement lui remplir la panse de diesel. Une blonde reste une blonde que voulez-vous. C'est donc en poussant 'la bête' que Jhordan se rendit à la station service de son magnifique quartier. Quelques longues minutes plus tard la blondinette était arrivée à bon port. Lunettes de soleil sur le nez et courbes dévoilées elle entreprit le remplissage du réservoir de son bébé. Une fois bien repus, la bécane indiqua qu'elle était pleine comme un ogre et qu'il était temps de décamper. Jhordan referma le réservoir, déposa la pompe à essence et se dirigea à l'intérieur de la station service pour régler le repas de titine, et quel repas. $50,37 pour la demoiselle quand même.

JHORDAN« La 3. »
CAISSIER« $50.37, s'il vous plait. »

Les formules de politesses n'était pas réellement ce que préférait la demoiselle, c'est pourquoi aucun 'Bonjour', 'Merci' ou 'Derien' n'était venu brouiller sa voix angélique. Elle récuppéra sa carte de crédit et sortit de la station service en direction de son beau cabriolet rouge. Elle ouvrit la portière, sourire aux lèvres, heureuse de constater que maintenant son Lundi allait peut-être devenir intéressant. Installant son derrière côté conducteur, Jhordan mit le contact au moment où un bruit sourd et inquiétant se fit entendre. Jhordan resta alors bloquée quelques longues minutes, très très longues minutes. Essayant au fond de son crâne de ne pas penser à se bruit qui venait de résonner contre sa portière. Les mains sur le volant, l'énervement vint à crisper ses doigts autour de celui-ci. Ce n'est que cinq minutes plus tard qu'elle prit conscience de qui était lke coupable dans cette affaire. Deborah Penright ! La futur ex belle môman de son futur ex copain. Jhordan lacha calmement son volant et ouvrit très lentement la portière de sa voiture. Elle constata les dégats et elle explosa. Elle balanca ses lunettes de soleil sur le siège passager à toute vitesse et se dirigea en furie vers Deborah, son futur ex victime. Elle se positionna à côté d'elle, attendant que la dâme veuille bien raccrocher son cellulaire. Bras croisés, appuyée de côté sur la carosserie de son horrible voiture. Elle s'entrainait à des politesses inhabituelles, l'attente. Deborah raccrocha alors et se retourna, elle fit alors face à Jhordan, sourire le plus faux en banane jusqu'aux oreilles.

JHORDAN« Deby quelle surprise ! Comment va l'épouse infidèle aujourd'hui ? »

Toujours son sourire mesquin aux lèvres, ne bougeant pas Jhordan attendait sa réponse patiement, même si elle se foutait royallement de savoir si Deborah allait bien.

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Message(#) Sujet: Re: (jhordan kennedy) - le hasard fait souvent bien mal les choses. (jhordan kennedy) - le hasard fait souvent bien mal les choses. EmptyMar 7 Juil 2009 - 16:09



    A peine le téléphone raccroché, Deborah eut à faire à un tout autre genre de problème que ceux de son mari.Jhordan Kennedy, l'une de ses principales rivales, attendait sagement qu'elle raccroche son téléphone afin de tenir des explications sur les légères rayures qu'elle venait de faire en se garant pour prendre de l'essence.Si elle venait faire la discussion, Deborah, elle, n'avait pas le temps de s'attarder pour lancer des piques ironiques à la jeune femme.
    La station-service était loin d'être le lieu où Deborah avait l'habitude de trainer, en général elle avait des domestiques qui allaient lui chercher de l'essence et la plupart du temps elle demandait surtout au chauffeur de Jack de mettre les mains là-dedans.L'odeur de l'essence la répugnait, mais bien que pressée, Deborah n'était pas le genre à se défier devant l'ennemi, au contraire elle aimait le provoquer à sa manière, avec une certaine subtilité et délicatesse.
    La matinée qui s'était déjà annoncée comme horrible ne faisait que de cummuler les catastrophes, après avoir rencontré l'une de ses pires ennemies, Jhordan s'amusait à des formalités et à une politesse qui ne lui ressemblaient en rien, et cela avait le don d'agaçer la jeune femme.

    - Je dois avouer qu'avant la vue de ton visage, tout allait parfaitement bien.Je ne vais pas te retourner la quesiton, je me fiche de savoir si tu es fatiguée ou agacée, ou bien si tu es heureuse en ce moment.

    Un large sourire faux s'afficha sur les lèvres pulpeuses de Deborah.Cette dernière se dirigea vers la pompe à essence et remplit sa voiture de ce liquide à l'odeur répugnante.Elle replaçà ensuite la pompe à essence, après quelques instants, et constata avec surprise que Jhordan se trouvait toujours appuyée contre sa voiture.Deborah afficha une certaine pointe d'agacement devant celle qui se trouvait être la seule que Morgan appréciait réellement.Mais connaissant son beau-fils à merveille, elle savait d'avance que leur idylle naissante ne s'afficherait jamais au grand jour et que Jhordan Kennedy ne deviendrait jamais la belle-fille de Jack.
    C'est alors que Deborah se rappela qu'en arrivant ici, elle avait frôler ou plutôt embouti la voiture hideuse de Jhordan.Son cabriolet ressemblait à ceux que l'on pouvait croiser dans les mauvaises séries télévisées américaines et qui appartenaient en générale à la pouffe de service.Ce cliché fit sourire involontairement Deborah et la mystérieuse brune reposa ses yeux sur la jeune femme, la dévisageant de la tête aux pieds par la même occasion.

    - J'oubliais, je suis sincèrement désolé pour ta voiture.Mais je suis certaine que Morgan va adorer t'accompagner au concessionaire pour t'acheter une Porsche.

    Son ton était ironique, son regard noir, son attitude fatale.Les mains sur les hanches, Jhordan semblait de plus en plus agacée par le comportement matérialiste de Deborah.Et puis elle s'attendait à quoi, à de franches excuses de sa part, à ce qu'elle fasse un constat ou à ce qu'elle lui propose de payer les réparations.Il n'y avait plus de doute sur la haine qu'entretenait Debbie envers la jolie blonde.Jhordan était une des femmes les plus diaboliques du quartier d'Ocean Grove, et Debbie avait récemment aperçu son petit jeu autour de Jack.Et ce genre d'attitude ne pardonne pas, étant rancunière, encore plus vers ses ennemis, Deborah savourait plus qu'autre chose les quelques rayures provoqués par elle-même, si elle voulait la guerre, elle l'aurait.Mais en attendant, Deborah n'allait pas laisser n'importe quelle blonde à grosse poitrine lui volait son mari, ni même son amant.Alors Jhordan, on déclare la guerre ou on continue à se fusiller du regard ? Deborah s'avançà vers la jeune femme, resta statique devant elle, son regard ne bougeait pas et les gens avaient beau attendre derrière, elle s'en fichait royalement.
    Qui aurait pu croire qu'un jour Deborah Penright s'amuserait à mettre du diesel dans sa Porsche et à se disputer avec une des ses rivales ? Si la scène s'était passé à New-York, elle aurait été sure de se retrouver sur les journaux à scandales le lendemain matin.

    Spoiler:

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Message(#) Sujet: Re: (jhordan kennedy) - le hasard fait souvent bien mal les choses. (jhordan kennedy) - le hasard fait souvent bien mal les choses. EmptyMar 14 Juil 2009 - 18:34

Comme précisé plus haut, Jhordan se foutait éperdument de la bonne santé de Deborah, c'est pourquoi la réponse à cette question ne l'intéressait en aucun point. Mais la facilité de la réponse de la jeune femme fit sourire Jhordan. C'est vrai après tout on parle de Jhordan Kennedy et de Deborah Penright, les répliques doivent être sanglantes et à la hauteur l'une de l'autre, or la réponse de la jeune mannequin ne cassait pas trois pattes à un canard. Ce qui était assé amusant dans leur relation c'est que le comportement de chacune était strictement similaire à celui de l'autre.
Depuis son adolescence Jhordan était amie avec Tammy Hunkerfield, une rousse pulpeuse et assée dévergondée. Avec le temps et les années les gens s'étaient apperçut que Tammy&Jhordan n'était en réalité que de parfaite copie l'une de l'autre, excepté l'apparence physique de chacune. Là où de nombreux avaient également été surpris, y compris les principales intéressées, c'était la facilité avec laquelle elles étaient devenues amies sans aucun problèmes. En temps normal l'une comme l'autre, et comme toute femme, ne supporte pas la rivalité féminine, quand vous constatez qu'un danger s'approche vous cherchez systématiquement à vous en débarasser, mais dans le cas Jhordan/Tammy il n'y avait jamais eut d'éjection. A l'inverse, c'était exactement ce qui s'était produit avec Deborah. Les deux jeunes femmes étaient tellement semblables, qu'elles en voyaient en l'autre un réel problème, surtout quand vous savez que belle-môman couche avec l'homme que vous aimez, mais en toute sincérité, Jhordan était sûre que si les rôles avaient été inversés, elle aurait agit de la même manière que Deborah. Et qui l'en blamerai, avouons tout de même que Lyssa était plutôt ... caprivant.

Deborah : Je dois avouer qu'avant la vue de ton visage, tout allait parfaitement bien. Je ne vais pas te retourner la quesiton, je me fiche de savoir si tu es fatiguée ou agacée, ou bien si tu es heureuse en ce moment.
Jhordan : Excuse moi tu parlais ? J'ai cru entendre quelque chose, mais malheureusement je n'écoutais pas. Tu disais ?

Jhordan accentua ce foutage de gueule en lui tendant son oreille en signe d'écoute parfaite. Quelques secondes après elle revint à sa position dite 'de base' : bras croisé, hanche droite posée sur la Porshe de madame et regard noir.
Jhordan et Deborah faisait exactement partie de la même classe sociale, mais là où chacune se différenciait c'était que Debby faisait partie de ses femmes maladivement assistées par leur entourage, et quand on parle d'entourage on entend bien par l'argent de leur époux constament en voyage, tandis que Jhordan elle ne ventait pas sa richesse. Tout comme Debby, sa richesse n'était pas la sienne. Certes la jolie brune avait fait quelques défilés pour gagner sa croûte, mais son réel pouvoir, sa réelle 'gold credit card' Debby la devait en grande partie à son mec actuel. Dans un tout autre registre Jhordan elle, se contentait des différentes assurances vies de sa famille en déclin. Son grand-père avait d'abord quitté ce monde, laissant à leur grand-mère et actuelle hébergeuse un gros paquet de fric derrière lui. Ensuite s'était enchainée pour la belle blonde la mort de ses deux géniteurs et étant la seule héritière de cette moche & petite famille, l'argent lui de chacun lui était revenu de droit. Jhordan observait donc Deborah mettre la main à la patte, la voir tripoter une pompe à essence et ouvrir le réservoir de son bolide tout en affichant un air dégouté. La blondinette comprit donc pourquoi elle croisa Debby ce jour-ci, soit parce qu'elle avait viré son larbin de service pour 'travail baclé' et connaissance Debby la raison de se renvoit ne constituait rien de professionnelle, soit Jack était dans le coin alors elle fuyait les lieux où il serait suceptible qu'ils se croisent tout les deux.
Jhordan aimait beaucoup suivre la relation Debby/Jack, c'était intéressant pour elle, c'était un peu comme un remake mal tourné des Feux de l'Amour avec en personnages principaux Jack, le patriarche cocu et dégoulignant d'argent, Deborah, le seconde épouse matérialiste et seule & Lyssa, le beau-fils très apprécié par le second acteur principal. Là où les choses étaient moins amusantes pour Jho, c'était quand il fallait encaisser les parties de jambes en l'air à répition entre Lyssa et la furie; Debby.

Deborah : J'oubliais, je suis sincèrement désolé pour ta voiture. Mais je suis certaine que Lyssa va adorer t'accompagner au concessionaire pour t'acheter une Porsche.
Jhordan : Je vais plutôt lui demander de m'acheter une corde. Tu sais avoir une Porsche me pousserai forcément à finir comme toi, alors autant mettre fin à mes jours dans l'immédiat.

Finir comme Deborah ? Pour Jhordan, c'était inconcevable. En plus vous avez-vu sa coiffure ?

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